25 AVRIL 2024 - Plan d'action !

C'est une évidence, chaque enfant a besoin de ses 2 parents. 

Qui pourrait alors oser encore le contredire aujourd'hui... Et pourtant ! 

En cas de séparation parentale conflictuelle, combien de parents s'attribuent le droit de manœuvrer, de formater l’enfant ou l'adolescent par le mensonge, par la calomnie et la manipulation psychologique dans le but de "démolir" l'autre parent et lui faire ainsi rejeter cet autre parent, en toute impunité ? En agissant ainsi, en toute inhumanité, ce parent manipulateur et aliénant, cherche, encore et toujours, à s’approprier mentalement l'enfant en l'instrumentalisant, commettant alors, de fait, un abus psychologique grave, aux conséquences catastrophiques...

Bis 2

Or, bien trop souvent, la justice et ses services annexes ferment clairement les yeux face à tant d'inhumanité et de violations des droits de chacun(e), enfants comme adultes. Cela suffit ! "Toute personne a droit au respect de sa vie familiale". Or ce droit fondamental inscrit à la convention Européenne des Droits de l'Homme (Article 8.1) est bien trop souvent bafoué tout comme les droits fondamentaux de l'Enfant pourtant rappelé avec vigueur par la Convention internationale des droits de l'Enfant.

La lutte contre ces abus psychologiques que représente l'instrumentalisation de l'Enfant, son emprise mentale (Abus orchestrés tant par des mères que par des pères, car il ne s’agit absolument pas d’une question de genre) auraient dû et devraient être intégrés, sans délai, à la lutte contre les violences psychologiques auxquelles de plus en plus d'enfants se trouvent ainsi confrontés, au « plan d'action 2023-2027 contre les violences faites aux enfants » engagé par la France. Il y a urgence à agir !

L'Affiche de l'opération 2024

Affiche 25 avril 2024 ok pf

Depuis cinq ans l'association n'a cessé de demander l'intégration de la lutte contre les violences psychologiques subies par les enfants, face aux séparations parentales extrêmement conflictuelles (Emprise, manipulations mentales, instrumentalisation,...), au plan d'action lancé en 2020 par le Secrétariat d'Etat en charge de l'Enfance et des Familles. Pour cela, plusieurs entretiens et propositions avaient été abordés avec Adrien TAQUET, alors Secrétaire d'Etat, et ses conseillers.

Le 20 novembre 2020, dans le cadre des « 22 mesures pour en finir avec les violences faites aux enfants », lancées le 20 novembre 2019 (Premier Plan d'action) Adrien TAQUET appelait officiellement à une mobilisation accrue envers les enfants en situation de handicap, les enfants placés en institution et le enfants victimes de violences psychologiques et des phénomènes d’emprise.

Mais, malheureusement, rien n'a suivi... !

Lâcheté ? Mensonge ? Incompétence ? Manque de rigueur ?

La successeure d'Adrien TAQUET, Madame Charlotte CAUBEL, n'en a pas fait davantage malgré moult demandes préférant se retrancher dans le silence durant toute la durée de son mandat. Aucune des propositions faites par l'association n'a obtenu le moindre retour de sa part, bafouant même les convenances ! Elle a lancé un nouveau plan d'action où là encore, ces violences psychologiques sont purement et simplement ignorées, dédaignées, au mépris de millions de victimes.

Or, les violences psychologiques infligées aux enfants (Situation d’emprise, exclusion, manipulations, instrumentalisation, désaffection forcée envers le parent ciblé et collatéralement les autres membres familiaux du parent ciblé, conflit de loyauté imposé, perte du libre-arbitre, …), au cœur de la séparation parentale ultra-conflictuelle (Plus de 30% des séparations et affectant des millions d’enfants au fil du temps), ne cessent, hélas, de progresser, année après année.

Les Secrétaires d'Etat (ou Ministres délégués) passent, ces violences augmentent et l'Etat continue indignement et lamentablement de fermer les yeux !

Et ces violences souvent cachées engendrent un nombre de plus en plus important de jeunes perturbés, cabossés, désœuvrés, exposés à de multiples pièges au sein de la société (Exposition à de multiples déviances et dérives), au risque de décrocher et/ou d’exprimer une colère que la société n’est pas capable de juguler lorsque leur détresse familiale s'était engagée et/ou s’engage, malgré eux, les poussant même à devenir acteurs de conflits qui, à la base, ne les concernent pas.

Tout cela est non seulement irresponsable, mais cela est, avant tout, contraire à l'intérêt supérieur de l'Enfant et au respect de ses droits fondamentaux, tout comme vis-à-vis du droit fondamental à la vie familiale que tout citoyen (enfant comme adulte) est supposé détenir incontestablement. (Sauf si celai est bien entendu contraire à l’intérêt de l’enfant et avéré), affichant, de fait, de graves manquements quant au respect de la Convention Européenne des Droits de l’Homme (Article 8.1), de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (Articles 9, 12, 16, 18, 24) et de la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne (Articles 7 et 24), pour ne citer qu’elles.

Si ces violences psychologiques, compte tenu de la séparation parentale ultra-conflictuelle, se perpétuent et que de telles situations demeurent inchangées, les problèmes majeurs de santé morale, de santé physique et des troubles d’ordre social ne cesseront de s’amplifier encore et encore, et de mettre plus à mal la société, notre société.

Or, il est du devoir de toutes et tous, à commencer par l’Etat et ses Pouvoirs publics d’y mettre un frein catégorique et d’agir, enfin, en conséquence.

L’intégration au plan d’action 2023-2027 contre les violences faites aux enfants(*) de ces violences et abus psychologiques, afin de mettre en place des actions concrètes de protection, d’accompagnement des victimes et de prévention, est absolument essentielle et urgente ; une intégration suivie d’effet, impliquant, de fait, le lancement, sans perdre de temps, de mesures concrètes. Pas un jour n’est à perdre !

A ce jour, ces violences n'y sont toujours pas incluses ; à ce jour, l’État continue sa politique de l'autruche ; à ce jour, les services concernés se taisent... Quoi de plus déraisonnable et même inconscient ?

JM2P a demandé expressément, dès février dernier après la mise en place du nouveau Gouvernement, au Président de la République, au Premier Ministre et à la nouvelle Ministre déléguée, chargée de l'Enfance, Madame Sarah EL HAÏRY, de la Jeunesse et des Familles d'y remédier au plus vite avec pour objectif de pouvoir enclencher un travail d'information et de consultation d'ici ce 25 avril pour une intégration au plan d'action espérée pour le 20 novembre 2024, journée internationale des Droits de l'Enfant.

(*) : https://www.gouvernement.fr/actualite/plan-2023-2027-contre-les-violences-faites-aux-enfants-22-actions-pouragir#:~:text=Le%20plan%202023%2D2027%2C%20qui,les%20diff%C3%A9rentes%20formes%20de%20violences

Le lancement de l'opération 2024 :

Le jeudi 25 avril prochain, la 19ème journée internationale contre l’exclusion parentale, contre la désaffection parentale et pour la sauvegarde du lien parental.

  Une double action pour l’association « J’aime mes 2 Parents »

Cette journée internationale du 25 avril, célébrée dans plus d'une cinquantaine de pays à travers le monde, fédère un grand nombre d'actions afin de dénoncer les violences psychologiques infligées aux enfants lorsque, au cœur même de la séparation parentale ultra-conflictuelle, l'un de leurs deux parents s'ingénie à les manipuler afin de leur faire rejeter le parent ciblé et même les autres membres familiaux du parent ciblé, même si ce dernier n'a jamais commis quoi que ce soit de reprochable, bien au contraire…

Cette journée vient également dénoncer les situations d'exclusion parentale imposées en toute illégalité, au mépris le plus absolu du droit fondamental à la vie familiale que chaque être humain est pourtant en droit de bénéficier, d'où l'immense importance de sauvegarder, coûte que coûte, le lien parental.

Or, dans ce domaine, la France se trouve non seulement à la traîne vis-à-vis de nombreux pays européens, mais pire encore, elle ne respecte pas les Conventions pourtant ratifiées depuis de nombreuses années relatives aux droits de l'homme, aux droits internationaux de l'enfant et a trop souvent tendance à ne pas appliquer ses lois !

 

Cela n'est plus acceptable, cela n’est plus entendable...

 

► A ce jour, les séparations et divorces particulièrement conflictuels dépassent les 30% de l’ensemble des procédures (justice familiale) en cours et, bien trop souvent, elles ne sont, hélas, pas menées, pas traitées ni instruites en tant que telles (Absence d’expertises médico-psy, phénomènes d’emprise, d’intrumentalisation des enfants et de conflits de loyauté importants non traités ou purement et simplement déniés à tort) par un nombre trop important de magistrats, impliquant, de fait, un nombre sans cesse grandissant de drames et de tragédies familiales, ayant incontestablement des répercussions particulièrement préoccupantes sur l’avenir de ces familles, tant sur le plan de la santé (physique et mentale) que sur le plan social.

 

► Près de 35% des enfants ne voient plus du tout ou sinon au maximum 2 fois par an l'un de leurs 2 parents. Ce chiffre est profondément révoltant et même horrifiant ! Une bonne partie d’entre eux se trouve ainsi exposée face à moult violences et abus psychologiques graves et désastreux (Conflits de loyauté, emprise mentale, manipulations et chantages affectifs profonds, perte du libre-arbitre, ...) empêchant ainsi de maintenir le lien.

Cela entraîne incontestablement des répercussions sur l’avenir de ces enfants, sur leur équilibre, sur leur développement psychoaffectif et même sur leurs futures relations socio-émotionnelles. (Des séquelles pouvant être lourdes à porter durant leur vie d’adulte)

 

► Ne pas encourager, ne pas soutenir et aider les parents (qui n'ont pas commis le moindre acte répréhensible à l'encontre de l'enfant) à davantage d'équité, à construire la mise en place d'une résidence alternée pour les enfants (Seulement 12 à 13% en France contre 40 à 45% en moyenne dans de nombreux pays européens, à commencer par nos voisins Belges) et à les responsabiliser dans ce sens (ce qui demeure pourtant l'esprit de la loi relative à l'autorité parentale n° 2002-305), c'est, là aussi, encourager les risques majeurs d'une exclusion parentale, qu'elle soit paternelle ou maternelle et l’exacerbation des conflits.

Plus d’équité pourrait alors permettre de limiter des possibles instrumentalisations (emprise, manipulations mentales, abus psychologiques et chantages, …) des enfants par l’un des deux parents mais aussi être un moyen simple de réduire la mono-parentalité (Le problème de la mono-parentalité pour laquelle le Premier Ministre veut agir) sans cesse croissante.

Mépriser également cela, c'est sacrifier bien des familles et mépriser ainsi le droit fondamental à la vie familiale, tant pour les enfants que pour les adultes concernés et développer plus encore le nombre de parents-solos dont le nombre a presque doublé (Ils sont passés de 950.000 en 1990 à plus de 1,7 million parents-solos aujourd’hui).

 

► Ces éléments établis viennent démontrer un nombre grandissant de violations au regard de l’article 8.1 de la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales : « Toute personne a droit au respect de sa vie familiale… », empêchant ainsi l’enfant de se construire au côté de ses deux parents, figures d’attachement et de sentiments, d’éducation, d’accompagnement et de valeurs et laissant ainsi le libre cours à la destruction des racines maternelles ou paternelles de l’enfant, à l’instrumentalisation de l’enfant, lors de la séparation parentale ultra-conflictuelle ; une séparation tellement laissée-pour-compte qu’elle dérape de plus en plus souvent au profit de l’installation possible de phénomènes de désaffection parentale, dès lors que l’un des deux parents décide (sans qu’il n’en soit, de plus, empêché par les autorités judiciaires concernées) de « supprimer », d’ « éradiquer » purement et simplement l’autre parent de la vie des enfants, puis collatéralement des autres membres familiaux du parent ciblé.

Il en va d’ailleurs de même au regard de l'article 7 de la Charte des Droits Fondamentaux de l'Union Européenne.

Il en est également ainsi au regard de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (A commencer par ses articles 9,10 et 18).

 

 Pour le jeudi 25 avril 2024, une double action sera donc menée par l'association « J'aime mes 2 Parents » :

 

► La première d'entre elles viendra sensibiliser les citoyens de la Métropole Lilloise avec une présence sur un lieu à la fois fréquenté en cette période tactique (Vacances scolaires du printemps) : Présence de nombreux promeneurs, enfants, adultes et familles afin de les sensibiliser à ce terrible fléau que devient l'exclusion parentale au sein de notre société...

C'est donc l'Esplanade de Lille qui a été choisie, carrefour entre l'accès au Zoo de Lille, le terrain de jeux, la Citadelle et le Cita-Parc. Au pont de la Citadelle.

L'association « J’aime mes 2 Parents » sera donc présente afin de sensibiliser les passants, converser, témoigner, échanger :

Remise de flyers, d'autocollants et lieu d'information de 14h00 à 18h00 ce jeudi 25 avril :Ê

Citadelle 3b

 

► La seconde action est directement menée auprès du Gouvernement Français et tout particulièrement à destination de la Ministre déléguée chargée de l'Enfance, de la Jeunesse et des Familles, Madame Sarah EL HAÏRI, compte tenu de l'inadmissible inertie de l’État vis-à-vis des millions de victimes de l'exclusion parentale, de la réelle désaffection parentale constatée, impliquant de sévères abus et de lourdes violences psychologiques.

 

Est-ce à dire que les millions de victimes (enfants et adultes) ne sont, aux yeux de la France, aux yeux du gouvernement, que des INVISIBLES ? 

Or, la France doit assurément garantir la protection de chaque citoyen, mineur et majeur, afin de respecter, en toutes circonstances, son droit au respect de sa vie familiale, gardant à l’esprit que la vie familiale est le droit de vivre et/ou communiquer ensemble, de sorte que des relations familiales puissent se développer normalement, même en cas de séparation des parents et que les membres d’une famille puissent être ensemble, d’autant que la séparation des parents doit être sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale et que chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent, sans perdre de vue également que l’intérêt supérieur de l’enfant ne doit nullement être minimisé, ou laissé de côté.

De plus, venir infliger des violences psychologiques à l’enfant afin de saboter les relations parentales et familiales maternelles ou paternelles parce que l’autre parent en a décidé ainsi, sans la moindre raison justifiable, doit être sanctionné et la prise en charge des victimes doit être immédiate, à commencer par l’enfant ; l’enfant étant exposé à des abus psychologiques sérieux, compte tenu de caractère très conflictuel de la séparation de ses parents (Emprise mentale, conflit de loyauté important, instrumentalisation, chantages, y compris affectif, désaffection parentale, perte du libre arbitre, …). Ce sont là, rappelons-le, des abus psychologiques graves !

N’oublions jamais que chaque enfant doit être protégé dans son droit, afin de lui permettre d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants, tant maternels que paternels et ne pas subir le moindre abus psychologique afin de l’en dissuader et/ou de l’en empêcher.

Au cœur de cette seconde action, l'association « J'aime mes 2 Parents » demande vivement, réclame instamment, à l’État Français, représenté par la Ministre chargée de l'Enfance, de la Jeunesse et des Familles que ces violences psychologiques puissent enfin être intégrées clairement, et dès maintenant, au sein du « Plan d'action 2023-2027 contre les violences faites aux enfants » et que l’annonce de la mise en place d’actions concrètes soit faite et que suive, dans les plus brefs délais, la concrétisation de ces annonces avec le lancement des premières actions de protection et de prévention.

Tant le Président de la République que le Premier Ministre ont été également informés de cette urgente et plus que nécessaire requête.

CES MILLIONS DE VICTIMES NE SONT PAS DES ÊTRES INVISIBLES,

LOIN DE ! 

LA FRANCE N’A NUL DROIT DE LES TRAITER COMME TELS !

ET LA FRANCE N'A AUCUN INTERÊT À SE RETROUVER LANTERNE ROUGE DE L'EUROPE SUR LE SUJET !

Les presidents de jm2p lancent l operation du 25 avril 2024Lancement de l'opération par le nouveau président de l'association, Arnaud DEWANNAIN et l'ancien président, devenu président d'honneur, chargé des relations avec l'Etat, les pouvoirs publics, François SCHEEFER

 

Il y a urgence d'agir, si nous ne voulons pas que les jeunes générations actuelles et celles à venir, compte tenu de l’inaction face à ces violences et abus psychologiques endurés se désagrègent. Or, l'inaction vient déjà, jour après jour, aggraver leur détresse, les difficultés et les crises de notre société. (u N’oublions pas non plus que plus de 60% des jeunes (mineurs) interpellés lors des émeutes, au cours de l’été 2023, provenaient de familles mono-parentales avec plus ou moins de modes dysfonctionnels et que les violences dans les milieux scolaires et de jeunesse ne cessent de progresser).

 

Les violences psychologiques que nous dénonçons doivent être combattues puissamment et la coparentalité doit être recentrée car elle est absolument nécessaire à la construction de la vie de l’enfant, à la vie familiale et il est donc particulièrement inadmissible qu’en France tant de parents, de familles et d’enfants se voient ainsi privés de leur droit fondamental au respect de la vie familiale (u Pour info, le Code civil français rappelle que : « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent » - Article 373-2 du code civil). et ne puissent pas maintenir le lien, au mépris des lois, des règles et des conventions et, plus gravement encore, au mépris de toutes ces personnes, avant tout victimes, profondément meurtries, traumatisées, fracassées.

Le TRACT de l'opération du 25 avril 2024 :

Tract 2024

Opération : DEMANDE EXPRESSE D’INTÉGRATION DE LA LUTTE CONTRE CES VIOLENCES ET ABUS PSYCHOLOGIQUES AU PLAN D’ACTION 2023-3027 :

Operation plan d action 2024

L’intégration de la lutte contre les violences et les abus psychologiques, dans le cadre ses séparations ultra-conflictuelles et l’instrumentalisation des enfants, au sein du plan d'action 2023-2027, doit être établie, sans délai, et les actions de lutte doivent, de fait, débuter dans les plus brefs délais.

La France n’a déjà que trop tardé !

Aujourd’hui, les crises sociales qui se succèdent depuis un certain temps et ne cessant d’enfler ne peuvent et ne pourront, hélas, qu’augmenter compte tenu d’une jeunesse de plus en plus désemparée, trop souvent « larguée », désœuvrée et, pour un nombre de plus en plus important, devant faire face à des abus psychologiques sérieux, entraînant la perte du patrimoine maternel ou du patrimoine paternel.

Ces enfants, ces jeunes, mais aussi les parents et les familles ciblées, anormalement frappées d’exclusion, les uns et les autres malmenés, ignorés face aux injustices endurées, face à leur souffrance, à leur profonde détresse et face à l’inhumanité imposée, ne peuvent décemment pas s’épanouir et vivre avec équilibre et confiance ; bien au contraire. 

Ils sont, à ce jour, des millions de laissés-pour-compte.

Et la jeunesse impliquée, exposée aux abus et à de telles injustices, privée de repères parentaux maternels ou paternels, que deviendra-t-elle, demain, en tant que peuple adulte ?

Est-ce à dire qu’en France les violences psychologiques subies seraient ou sont alors négligeables, donc insignifiantes… ?

Or, nul ne doit perdre de vue que l'enfant a un besoin essentiel de ses deux parents pour se développer au mieux et se construire afin d’affronter l’avenir et sa future vie d’adulte.

De plus, la coparentalité doit se maintenir bien au delà de la séparation parentale et des possibles conflits et ainsi survivre et se réaliser, afin de permettre à l’enfant de se construire au côté de ses parents, figures d’attachement et de sentiments, d’éducation, d’accompagnement et de valeurs.

Est-ce que la France en a toujours conscience aujourd'hui, la France mais aussi ses gouvernants, ses législateurs, ses professionnels des secteurs de la santé, de la justice et du social, pour ne citer qu’eux ?

Si oui, aucune impasse vis-à-vis des violences psychologiques endurées (Emprise, exclusion, manipulations, instrumentalisation, désaffection forcée envers le parent ciblé, conflit de loyauté imposé, perte du libre-arbitre, …) par les enfants face à la séparation parentale ultra-conflictuelle, ne peut être tolérée. L’action s’impose !

 

► La balle est dans le camp du Président de la République, du Premier Ministre et de la Ministre déléguée chargée de l'Enfance, de la Jeunesse et des Familles.

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