25.04.2025 - Passer à l'offensive !

Chaque enfant a besoin de ses 2 parents. Cela paraît tellement logique dans l’esprit de la société et pourtant, les institutions, les pouvoirs publics, ne semblent pas être aussi catégoriques puisqu’ en cas  de  séparation parentale hautement conflictuelle pour laquelle l’enfant se retrouve, bien malgré lui, pris en otage, manipulé et même instrumentalisé par l’un des deux parents afin de se l’approprier et, par conséquent, de le forcer à rejeter et même à haïr l’autre parent (alors que le parent ciblé n'a rien fait pour mériter un tel traitement inique), rien n’est véritablement entrepris pour empêcher de tels manœuvres, pourtant synonymes d’abus et de violences psychologiques majeures ! 

Enf depr2

Bien trop souvent, la justice et ses services annexes ferment clairement les yeux face à tant de violence mentale endurée, à commencer par l’enfant, face à tant d'inhumanité et de violations des droits de chacun(e), enfants comme adultes.

La justice familiale, serait-elle amnésique ?

"Toute personne a droit au respect de sa vie familiale". Oui, et ce droit fondamental s’inscrit noir sur blanc dans la Convention Européenne des Droits de l'Homme (Article 8.1) et même au cœur de la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne (Article 7) !

Faut-il également rappeler le contenu des droits fondamentaux de l'Enfant développés au sein de la Convention internationale des droits de l'Enfant ?

La lutte contre ces abus psychologiques que représente l'instrumentalisation de l'Enfant, son emprise mentale (Abus orchestrés tant par des mères que par des pères, car il ne s’agit absolument pas d’une question de genre) devrait être menée sans relâche, jour après jour, par toutes et tous : citoyens, institutions, organismes, professionnels de la santé, de la justice, des politiques et l’ensemble des pouvoirs publics, jusqu‘au plus haut niveau de l’Etat…

Mais l’immobilisme ambiant montre à quel point l’Etat Français se moque encore et éperdument des conséquences liées à de telles violences et à de tels abus psychologiques, à moins qu’il accepte d’en faire la démonstration inverse, alors que, malheureusement, la France ne cesse de faire face à une « violentisation de la jeunesse » pour laquelle de tels abus y contribuent assurément, au même titre que l’exclusion parentale - Une des conséquences avérées de ces abus -, impliquant d’ailleurs une mono-parentalité sans cesse croissante et les difficultés que cela implique et affiche un retard de plus en plus manifeste par rapport à ses partenaires et voisins européens qui, quant à eux, mettent en place des projets qui deviennent des actions, des protocoles ; ils créent des services dédiés, forment des professionnels afin de lutter contre ces terribles violences psychologiques.

Nul ne peut considérer que ces abus, nommés internationalement  « phénomène d'aliénation parentale » (ou tout autre terme employé) n'existe pas et ne serait pas reconnue. Assurément, ces violences et abus psychologiques sont bel et bien endurés par un nombre grandissant de victimes et les milieux scientifiques et médicaux peuvent parfaitement l’attester, sous oublier leurs publications professionnelles. Et pourtant, la France qui aurait déjà dû réagir et agir en conséquence depuis des années, ne fait rien ou si peu, développant ainsi une véritable forme de non-assistance à enfants, à parents et à familles en danger.

CELA SUFFIT !

L'AFFICHE DE L'OPÉRATION 2025...

Affiche 25 avril 2025 20 ans ok bis

Cette 20ème journée internationale du 25 avril, célébrée dans plus d'une cinquantaine de pays à travers le monde, fédère un grand nombre d'actions afin de dénoncer les violences psychologiques infligées aux enfants

lorsque, au cœur même de la séparation parentale ultra-conflictuelle, l'un de leurs deux parents s'ingénie à les manipuler avec opiniâtreté afin de leur faire rejeter l’autre parent, qu’il soit la mère ou le père, et même les autres membres familiaux du parent ciblé, même si ce dernier n'a jamais commis quoi que ce soit de reprochable, bien au contraire…

Cette journée vient également dénoncer les situations d'exclusion parentale imposées en toute illégalité, au mépris le plus absolu du droit fondamental à la vie familiale que chaque être humain est pourtant en droit de bénéficier, d'où l'immense importance de sauvegarder, coûte que coûte, le lien parental.

Or, en France, il apparaît que :

œ Près de 35% des enfants ne voient plus du tout ou sinon au maximum 2 fois par an l'un de leurs deux parents. Ce chiffre est profondément révoltant et même horrifiant !

œ A ce jour, les séparations et divorces particulièrement conflictuels dépassent les 30% de l’ensemble des procédures (justice familiale) en cours et, bien trop souvent, elles ne sont, hélas, pas menées, pas traitées ni instruites en tant que telles (Absence d’expertises médico-psy, phénomènes d’emprise, d’intrumentalisation des enfants et de conflits de loyauté importants non traités ou purement et simplement déniés à tort) par un nombre trop important de magistrats, impliquant, de fait, un nombre sans cesse grandissant de drames et de tragédies familiales, ayant incontestablement des répercussions particulièrement préoccupantes sur l’avenir de ces familles, tant sur le plan de la santé (physique et mentale) que sur le plan social.

œ Ne pas encourager, ne pas soutenir et ne pas aider les parents (qui n'ont pas commis le moindre acte répréhensible à l'encontre de l'enfant) à davantage d'équité, à construire la mise en place d'une résidence alternée pour les enfants (Seulement 12 % en France contre 40 à 45% en moyenne dans de nombreux pays européens, à commencer par nos voisins Belges) et à les responsabiliser dans ce sens (ce qui demeure pourtant l'esprit de la loi relative à l'autorité parentale n° 2002-305), c'est, là aussi, encourager les risques majeurs d'une exclusion parentale, qu'elle soit paternelle ou maternelle et même l’exacerbation des conflits.

œ Faire traîner en longueur les procédures judiciaires familiales lors de la séparation afin de laisser la situation s'aggraver est particulièrement irresponsable.

« La famille est certainement ce qui est le plus cher dans la vie des justiciables. Une séparation, la gestion des enfants, un changement dans les situations professionnelles et donc financières des époux, des parents, etc… Par leurs enjeux, les différends familiaux demandent une décision rapide. Attendre 13 mois entre la clôture et les plaidoiries n’a aucun sens. Attendre 30 mois pour une demande de modification de la résidence d’un enfant mineur en appel est irrationnel. »    

                                                                                                           (Maître Élodie QUER, avocate à Paris)

œ Mépriser le plus souvent et ne prendre aucune mesure, pourtant prévue par la loi, y compris sur le plan pénal, vis-à-vis des délits de non-représentations d'enfants lors des séparations parentales conflictuelles, c'est venir clairement nuire à la relation entre le parent ciblé et ses enfants. La non-représentation d’enfant(s) correspond, généralement, à la première étape de la mise en œuvre de l’exclusion orchestrée par le parent fautif, afin d’empêcher l’autre parent de maintenir le contact avec les enfants et de partager du temps avec eux, puis, collatéralement, avec les autres membres familiaux du parent ciblé (A commencer par les grands-parents, jouant pourtant un rôle essentiel à leur développement, passant par l'écoute et le dialogue, l'apprentissage et la transmission de savoir-faire et du patrimoine familial).

œ Ne pas mettre en place, de façon systématique, face au conflit, une expertise médico-psy sur la famille (Parents et enfants) afin de démasquer les situations d'emprise et d'instrumentalisation des enfants, entraîne souvent une forme de complicité avec le parent manipulateur et potentiellement toxique, tout comme certains comportements désinvoltes de certains magistrats face à cet outil vraiment précieux afin de mettre en évidence les dysfonctionnements familiaux.

œ Imposer des droits de visite médiatisés, alors que les structures d'accueil sont submergées et ne peuvent d'ailleurs pas appliquer les jugement rendus ou imposer des délais d’attente supérieurs à 6 mois, alors que, de plus, rien n'indique que le parent ciblé ait commis le moindre acte répréhensible à l'encontre de l'enfant, c'est venir saper la relation entre le parent ciblé et l'enfant et également mettre en danger leurs liens.

Dans ces conditions, les crises sociales qui se succèdent et ne cessant d’enfler ne peuvent et ne pourront, hélas, qu’augmenter, compte tenu d’une jeunesse de plus en plus désemparée, trop souvent « larguée », désœuvrée ; ces enfants, ces jeunes, mais aussi ces parents, ces familles, les uns et les autres malmenés, ignorés face à leurs injustices, face à leur souffrance, face à leur profonde détresse et face à l’inhumanité imposée, ne peuvent décemment plus s’épanouir et vivre avec équilibre et confiance ; tout au contraire. Ils sont, à ce jour, des millions de laissés-pour-compte.

Soleil c2

E Pour ce vendredi 25 avril 2025, une double action sera donc menée par l'association « J'aime mes 2 Parents » :

n L’opération première vise le Haut-Commissariat à l’Enfance nouvellement installé selon la volonté du Président de la République, afin de remplacer le Ministère délégué à l’Enfance.

En effet, c’est Madame Sarah EL HAÏRI (ancienne Ministre déléguée à l’Enfance), Haute-Commissaire à l’Enfance, nommée le mercredi 5 mars 2025, qui est directement visée par l’association.

Ainsi, il lui est demandé de bien vouloir s’exprimer sur ce qu’elle entend entreprendre face à ces abus et violences psychologiques graves que représente l’aliénation parentale, afin de venir rassurer les millions de victimes (Enfants + parents ciblés + membres familiaux des parents ciblés (mères et pères) se trouvant collatéralement victimes, à commencer par les grands-parents), mais aussi de préciser ce qu’elle entend mener pour désamorcer toutes les colères qui couvent, qui ne cessent de gronder et qui risquent, à chaque instant, des dérapages de celles et ceux qui se trouvent ainsi épuisés, au bout du rouleau, face à tant d’inhumanité et d’injustice.

Pour la France, son intervention le vendredi 25 avril 2025, journée hautement symbolique à travers le monde entier, serait enfin le signe d’une prise de conscience et de la volonté d’agir enfin pour contrer les dégâts de l’aliénation parentale car, dans ce domaine, le pays apparaît très en retard par rapport à de nombreux autres pays, y compris en Europe…

Mettre un frein à ces violences psychologiques, c’est également freiner moult possibles dérives et déviances dans lesquelles ces enfants-là risquent, à tout instant, de basculer ; plus encore lorsqu'ils se trouvent en pleine adolescence.

De plus, nul n’a le droit de subir de tels tourments et, fondamentalement, chacun a droit à sa vie familiale et tout enfant doit être protégé de toute violence, y compris psychologique et ses droits, aussi élémentaires soient-ils, doivent également être assurément sauvegardés, au plus vite. 

Dans ces conditions, un entretien au Haut-Commissariat à l’Enfance à Paris, le vendredi 25 avril, est sollicité.

A défaut, un message retour de la part de Madame EL HAÏRI, afin que nous puissions le transmettre aux victimes, serait primordial pour rassurer enfin toutes les victimes, pour les assurer de sa prise de conscience et de son engagement à vouloir venir en aide pour combattre ces abus et ces violences psychologiques subies.

Cela redonnerait un espoir devenu indispensable.

Restera alors à espérer que la promesse d’une mise en place concrète de travaux pour y parvenir, y compris interministériels, devienne réalité et que des propositions, des solutions, pourront alors être engagées, espérant, de plus, que l’Etat lui en accordera tous les moyens nécessaires. Rappelons tout de même la promesse faite en avril 2022 par le Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON : « La protection de l'enfance est et sera au cœur des cinq années qui viennent. », soit de juin 2022 à mai 2027…

Or, en 2025, il y a urgence à agir, compte tenu du nombre grandissant de victimes. Au sein de la société, il n’y a pas, hélas, que la violence conjugale qui court… Loin de là !

Il n’y a pas, hélas, que les violences physiques intra-familiales qui circulent !

Mais, il y a toute cette violence et tous ces abus qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, car ils sont avant tout psychologiques et pourtant particulièrement redoutables et même très destructeurs, à commencer pour les enfants, alors exclus et arrachés de la moitié de leur patrimoine parental et, conséquemment, de la moitié de leurs propres racines (maternelles ou paternelles).

Rappelons-le ces violences ne sont en aucun cas genrées, elles peuvent frapper n’importe qui, enfants puis adultes, sans distinction de classe sociale  !

Cette première action, dans le cadre de la 20ème journée internationale contre l’aliénation parentale sera, espérons-le, l’occasion d’obtenir enfin les premiers engagements concrets de l’Etat Français et non plus des pétards mouillés que les Ministères dédiés à l’Enfance et/ou aux Familles n’ont cessé d’être ; des projets, des soi-disant actions à venir avortées, des déclarations sans effet… Cela suffit…

Le Président de la République a fait le choix de ne plus conserver de Ministère chargé de l’Enfance, préférant mettre en place un Haut-Commissariat qui lui est dorénavant consacrée pour favoriser la pérennité du travail à accomplir et non subir les changements répétés de Ministres chargés de l’Enfance (4 Ministres chargés de l’Enfance en moins de 6 ans).

Ainsi, en cas de changement de gouvernement, la Haute-Commissaire restera à son poste et pourra faire appel aux services des ministères utiles à sa mission, notamment ceux en charge des solidarités, de la santé, de l’éducation nationale, de la justice, de l’intérieur, des affaires étrangères, aux corps d’inspection, au Haut Conseil de la Famille, de l’Enfance et de l’âge, au Conseil national de la protection de l’Enfance, au Conseil national de l’adoption, au Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale, à la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives, à la Délégation interministérielle à la prévention et à la lutte contre la pauvreté, ainsi qu’aux caisses et organismes de sécurité sociale.

 

 Parallèlement à l’opération menée auprès du Haut-Commissariat (Français) à l’Enfance, l’association s’adresse au Haut-Commissariat aux Droits de l'Homme auprès des Nations Unies afin de bien vouloir user de toute son influence pour faire en sorte que l’Etat Français prenne enfin les moyens nécessaires pour appliquer les conventions et lois exécutoires en matière de protection de l’enfance face aux violences et abus psychologiques que représente l’aliénation parentale et de bien vouloir apporter sa force de persuasion afin que l’Etat Français prenne enfin en compte l’urgence à venir en aide à toutes les victimes d’un tel fléau qui s’installe, à commencer pour les enfants  ainsi  forcés à faire le deuil « impossible » de l'un de leurs deux parents, pourtant en vie, souvent même de la moitié de leurs racines, qu'elles soient issues du patrimoine maternel ou du patrimoine paternel et de protéger le droit fondamental à la vie familiale pour toutes et tous, à commencer pour les parents injustement et illégalement exclus et pour les familles évincées en toute impunité, sans oublier, bien entendu l'urgence vis-à-vis des enfants, à la fois grandement fragilisés, traumatisé et meurtris.

 

De plus, puisque l’Etat Français a fait le choix, suite au dernier gouvernement nommé (Décembre 2024) de supprimer, contre toute attente, le Ministère délégué à l’Enfance et de le remplacer par un « Haut-Commissariat à l’Enfance », quel sera l’efficacité de ce dernier pour prendre les mesures qui s’imposent compte tenu de ses moyens réduits (Par rapport à un Ministère) et surtout de les faire appliquer ?

Si le Haut-Commissariat aux Droits de l'Homme auprès des Nations Unies pouvait prendre attache avec le Haut-commissariat à l’Enfance et l’inciter à agir pour agir contre ces violences psychologiques lourdement subies par les enfants instrumentalisés et aliénés au cœur du conflit parental, ce serait alors une véritable étape salutaire au profit de la protection de l’enfant, mais aussi de considération et de respect vis-à-vis de son droit fondamental à la vie familiale.

 

n La seconde opération se focalise sur LILLE avec la distribution de tracts afin de sensibiliser plusieurs centaines de passants, de converser avec eux, de témoigner, d’échanger avec eux à propos de l’exclusion parentale, de l’instrumentalisation des enfants et de l’emprise psychologique qui frappent un nombre important de citoyens, adules et enfants, devenus victimes de violences psychologiques et d’abus, compte tenu de la séparation parentale hautement conflictuelle ; un nombre qui, malheureusement, n’a cessé d’augmenter ces vingt dernières années tout comme la conflictualité croissante lors de la séparation parentale et l’absence de professionnalisme, d’écoute et un manque évident, dans bien des cas, d’objectivité et d’équité de la part du système judiciaire familial, mais aussi de nombreux services gravitant autour, à commencer par une majorité de travailleurs sociaux, compte tenu de moyens et de formations adaptées, des soignants et experts,…

Qu’attend encore l’Etat pour enfin prendre ses responsabilités et combattre ces situations, à la fois illégales, discriminatoires et néfastes au bon fonctionnement de la société et tout particulièrement sa jeunesse, mais aussi et avant tout inhumaines ?

Et n’oublions jamais que chaque enfant doit être protégé dans son droit, afin de lui permettre d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants, tant maternels que paternels et ne pas subir le moindre abus psychologique afin de l’en dissuader et/ou de l’en empêcher.

Chaque parent, chaque enfant, doit pouvoir bénéficier du respect absolu de leur droit fondamental à la vie familiale, amplement rappelé par la Convention Européenne des Droits de l’Homme et d’autres conventions et chartes européennes et internationales. 

Les violences psychologiques dénoncées par l’association « J’aime mes 2 Parents » doivent être combattues puissamment et la coparentalité doit être recentrée car elle est absolument nécessaire à la construction de la vie de l’enfant, à la vie familiale.

Il est donc particulièrement inadmissible qu’en France tant de parents, de familles et d’enfants se voient ainsi privés de leur droit fondamental au respect de la vie familiale…

( Pour rappel, le Code civil français rappelle que : « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent » - Article 373-2 du code civil).

Il est tout aussi inadmissible qu’en France tant de parents, de familles et d’enfants ne puissent pas maintenir le lien, au mépris des lois, des règles et des conventions et, plus gravement encore, au mépris de toutes ces personnes, avant tout victimes, profondément meurtries, traumatisées, fracassées, au bout du rouleau.

Deux séances de distributions de tracts seront organisées à l’occasion de cette 20ème journée internationale contre l’aliénation parentale et pour le maintien du lien parental et familial :

Le vendredi 25 avril 2025 : Place Rihour au centre de la ville de LILLE (Près de la station de métro) de 14h00 à 17h00.

 Le dimanche 27 avril 2025 : A l'Esplanade LILLE, carrefour entre l'accès au Zoo de Lille, la Foire aux manèges, le terrain de jeux, la Citadelle et le Cita-Parc, de 14h00 à 17h00.

Lieux de rendez-vous à LILLE - Distributions des flyers le vendredi 25 et le dimanche 27 avril 2025 :

Carte 25 04 2025 250et 27

Les flyers :

Flyer
Tract 2024

Construction barre002

Ajouter un commentaire