ARBRE DROITS A LA FAMILLE 24

L'ARBRE DES DROITS À LA FAMILLE - Samedi 16 novembre 2024...

Chaque enfant a besoin de ses 2 parents... Qui pourrait et oserait encore le contredire aujourd'hui ?

Et qu’en est-il des familles ? Bien entendu, elles ont droit au maintien du lien avec leurs enfants, leurs petits-enfants, etc… Mais la réalité peut être tout autre…

En cas de séparation parentale, il est  particulièrement inacceptable que les enfants puissent être totalement coupés des relations et des liens en tous genres (Ils sont plus de 1,5 million) avec l'un de leurs 2 parents (leur mère ou leur père), parce que l'autre parent en a décidé ainsi, décidant de s'attribuer le droit de formater les enfants par le mensonge et le chantage, par la calomnie et par la manipulation psychologique afin de les "posséder" et dans le but suprême de "démolir" l'autre parent et leur faire ainsi rejeter l'autre parent.

Cette exclusion est toute aussi lourde à porter pour les adultes, à commencer pour les parents injustement et arbitrairement exclus.

Les autres membres familiaux du parent ciblé subissent également cette exclusion de plein fouet, à commencer pour les grands-parents.

Mains

Lorsqu’un parent, au cœur du conflit de la séparation, décide de s’approprier les enfants allant jusqu’à les contrôler mentalement, commettant ainsi des abus psychologiques sérieux, détruisent purement et simplement l'équilibre psychoaffectif des enfants, mais aussi leurs racines et leur patrimoine  (maternel ou paternel), au risque de traumatiser leurs enfants à vie.

C’est ainsi que l’une des familles peut se retrouver anéantie et la perte du lien développent tout autant de lourds traumatismes aux adultes accompagnant le parent évincé.

La justice familiale, manquant de moyens, de formations, de compétences dans bien des cas, face à de tels drames n'a nul droit de l'ignorer et ne peut se rendre complice de tels actes dévastateurs, au mépris des droits de l'enfant, au mépris des droits de la Famille, des Familles.

AFFICHE DE L'OPERATION du 16 novembre 2024 :

Affiche 16 novembre 2024 ok revu

Dans le cadre de la 71ème journée internationale de l’Enfance et de la 35ème journée internationale des Droits de l’Enfant.

« La plantation de l'arbre des droits à la Famille »

Le « 3ème anniversaire de l'arbre de la Coparentalité » planté le 20 novembre 2021

Le « 1er anniversaire de l'arbre des droits de l’Enfant » planté le 18 novembre 2021 

► « Qu'en est-il du respect des droits de l'Enfant et du droit à la Famille ? »

 

L' arbre des droits à la Famille vient rappeler, à chaque instant, jour après jour, que nul n’a le droit de bafouer la famille, les familles, aussi multiples et différentes soient-elles aujourd’hui, incluant enfants, parents, grands-parents et les autres membres familiaux et proches importants à la vie de l’enfant.

« L’arbre des droits à la Famille » vient ainsi compléter les valeurs et les messages exprimés par un tel symbole, venant par conséquent compléter immanquablement les deux autres arbres enracinés.

Les uns ne vont pas sans les autres… : Enfants ♦ Parents ♦ Familles.

La plantation de « L'arbre des droits à la Famille » viendra ainsi compléter et achever la « triade arboréenne ».

Planter un arbre, celui des « droits à la Famille » en ce 16 novembre 2024, c’est rappeler l’un des fondamentaux de notre société, celui de la famille, celui des familles et de ses valeurs, de leurs valeurs, celui de l’enfant, le fruit de l’union de ses parents et véritable ciment familial.

Associer les autres membres familiaux, à commencer par les grands-parents, jouant généralement un rôle primordial dans la formation de l'enfant et pour lesquels tous les spécialistes s’accordent sur le fait qu’ils jouent un rôle essentiel à l’enfant et son développement, passant par l'écoute et le dialogue, l'apprentissage et la transmission du savoir-faire et du patrimoine familial, autant  que  d’autres  ascendants et proches de l’enfant apparaît comme essentiel.

 

« La famille c'est une richesse incroyable, ça donne des outils pour pouvoir affronter les moments extraordinaires, les moments plus difficiles, les hauts, les bas. » 

Céline DION,

Compositrice et chanteuse

 

Au regard de la Convention Européenne des Droits de l’Homme (Article 8) et de la Charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne (Article 7), la vie familiale ne s’arrête pas à la relation « enfant(s)-parents », car il y a aussi la possible existence de liens forts avec les grands-parents, mais aussi avec les oncles et tantes, les cousin(e)s, les parrains, les marraines et les beaux-parents, de l'enfant.

Ce troisième arbre peut ainsi témoigner de l’urgence à agir au profit de la protection des liens familiaux, des droits familiaux, afin que l’enfant puisse en profiter et bénéficier de l’entretien indéfectible des relations personnelles avec ses ascendants ; un témoignage qui, ainsi, perdurera ad vitam.

Tous les enfants doivent avoir les mêmes chances de s’épanouir et de grandir auprès de leurs ascendants, tant maternels que paternels.

 

Depuis plus de 12 ans maintenant, l’association « J'aime mes 2 Parents », entend les SOS de milliers de parents et de grands-parents (Près de 5000 à ce jour), y compris vos SOS, en tant que victimes d'exclusion parentale s'accompagnant le plus souvent de phénomènes d'emprise, de manipulations et de violences psychologiques infligées aux enfants... Cela suffit !

De telles violences, de tels abus, n'ont nul droit d'être ! Cela suffit !

Madame Agnès CANAYER, Ministre déléguée, chargée de la Famille et de la petite enfance a été invitée pour cette journée du 16 novembre prochain et nous lui avons proposé de devenir la marraine de cet arbre des droits à la Famille.

De même, Monsieur Paul CHRISTOPHE, Ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Egalité entre les femmes et les hommes (Avant sa prise de fonction, il était Député du Nord depuis 2017) a été invité, espérant qu’il veuille bien accepter de devenir le parrain de cet arbre.

L'une et l'autre s'excusent de ne pouvoir êtrre présents (agenda surbooké) et ne viendront donc pas jusqu’à nous à cette occasion et souhaient grand succès à l'événement. Par contre Monsieur Olivier FAUCHILLE, président de l’UDAF-59 (Union départementale des associations familiales du Nord) à laquelle l'association est affiliée sera présent.

 

La présence des uns et des autres à cette cérémonie peut ainsi permettre de redonner vraiment un peu d’espoir à tant de victimes qui se sentent totalement abandonnées par l’Etat et ses pouvoirs publics depuis de trop nombreuses années, hélas, face à l’absence de respect des droits de l’Enfant lors des séparations parentales conflictuelles, tout comme le manque réel de respect vis-à-vis des droits à la Famille, compte tenu d’une inadmissible exclusion parentale qui s’installe lors du possible conflit aigu pouvant se développer durant la procédure de séparation parentale et la potentielle apparition de violences psychologiques, y compris celle de l’instrumentalisation des enfants afin de les forcer à rejeter arbitrairement l’un de leurs deux parents et, par conséquent, de porter gravement atteinte à leur patrimoine et racines maternels ou paternels. 

De même l’égalité "femme - homme" demeure encore, à ce jour, trop souvent méprisée, pour la femme en tant que mère, pour l’homme en tant que père. Or, lorsque l’on pense famille et coparentalité, les droits de l’une et ceux de l’autre n’ont nullement à subir la moindre différenciation, y compris durant et au-delà de la séparation parentale. JM2P regrette profondément l'absence de nos ministres.

 

Quoi qu'il en soit, le travail de communication et la volonté de trouver des solutions face aux situations soulevées ci-dessus a débuté le 15 novembre 2024 avec les services du Ministère en charge de la Famille et de la Petite-Enfance, conscient des drames qui se jouent lors de la séparation parentale ultra-conflictuelle.

 

Chacune et chacun devraient être sensibles à la cause des droits à la Famille et ceux des enfants, au respect inaltérable du droit fondamental à la vie familiale rappelé au sein même de la Convention Européenne des Droits de l’Homme (Article 8.1) et de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (Article 16)*, document incontournable servant de feuille de route mondiale en matière de liberté et d’égalité et qui protège les droits de chaque personne, partout dans le monde.

 

* : Article 16 (Charte Universelle des Droits de l’Homme) :

1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution. 

3. La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l'Etat.

 

Le rendez-vous est donc donné le :

 

Samedi 16 novembre 2024 à 12h00

Au Parc de la Mairie d’HELLEMMES (59260) à côté de LILLE (NORD)

155, rue Roger Salengro.

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16 novembre 2024 souvenir 2

“ALLOCUTION POUR LA PLANTATION DE L’ARBRE DES DROITS À LA FAMILLE ”

La société ne cesse d'évoluer au fil des années et les familles, aussi multiples, soient-elles, suivent le mouvement. Mais, il y a un point commun qui marque malheureusement cet enchaînement, c'est le nombre grandissant d'enfants qui subissent de plein fouet la séparation de leurs parents. Alors, la souffrance s'installe face au déchirement des parents et pire encore si l'enfant se trouve pris en otage, instrumentalisé au milieu des colères, de la haine, du sentiment de propriété, qui viennent animer certains parents de plus en plus belliqueux, assoiffés parfois d'une vengeance inappropriée et sans limite.

Cette guerre qui s'installe, sans le moindre discernement, aboutit alors rapidement au désastre subi par l'enfant, la perte de ses repères, son équilibre qui s'écroule, son développement qui ne peut plus se poursuivre sereinement, l'emportant ainsi dans un tourbillon de maltraitances psychologiques, de mal-être et de pièges pouvant l'entraîner vers de nombreuses déviances.

Ces situations sont devenues, depuis des années déjà, un problème sociétal majeur pour lequel la justice de notre pays, tout comme l’État, n’a toujours pas pris la mesure de son ampleur, n'étant ni formée ni adaptée, à ce jour, pour y faire face et gérer de tels conflits.

Pire, l’exclusion parentale s'installe en présence d’une justice familiale inexpérimentée, clouée par une impressionnante léthargie.

Or, la séparation parentale n'est, en aucun cas, la cessation de la coparentalité, tout au contraire. La coparentalité doit se maintenir, coûte que coûte.

 

I] Et notre arbre de la coparentalité, planté le 20 novembre 2021, est là pour rappeler l'insigne importance d'appliquer et de respecter la parentalité partagée, y compris au-delà de la séparation. Cet érable rouge du Canada restera là au cours des décennies et des siècles à venir pour le remémorer, encore et encore.

Quant à l’enfant, il se trouve broyé au cœur du conflit parental alors qu'il aime indépendamment ses deux parents. Une partie des enfants arrivent tant bien que mal à maintenir la tête hors de l'eau, malgré les blessures et les traumatismes émotionnels accompagnant leur nouveau quotidien. Mais, beaucoup d'autres risquent de sombrer à tout moment et, là encore, la société et ses pouvoirs publics, sa justice familiale, ne semblent pas en capacité de les accompagner, de les sauvegarder comme il se doit, parce notre système n’est toujours pas adapté, parce qu'il manque cruellement de moyens et de formations.

Les droits de l'Enfant se trouvent alors négligés et même transgressés au quotidien.

 

II] Notre arbre des droits de l'Enfant, planté le 18 novembre 2023 est là et le restera au cours des décennies et des siècles à venir, afin de les rappeler. En effet, les droits de l'Enfant soulignent le caractère fondamental du maintien des liens de chaque enfant avec ses ascendants, ses racines tant maternelles que paternelles, tel l’enracinement de notre second érable du Canada.

Pour ce qui est des familles exposées à l'exclusion parentale, elles ne cessent d'augmenter outre mesure. Là encore, l’État n'a toujours pas pris la mesure de l'ampleur des drames qui se jouent et parfois même des tragédies pour lesquelles, généralement, la société et surtout l’État tentent d'étouffer ou de marginaliser. Et pourtant...

La famille, les familles, appartiennent à l’un des fondamentaux de notre société, ce que d'ailleurs, dès le XIXème siècle, Honoré de Balzac corroborait :  « La famille sera toujours la base des sociétés. »

 

III] Nul ne peut ignorer l'importance de la famille pour l’enfant, le fruit de l’union de ses parents et véritable ciment familial. Tous les membres familiaux, à commencer par les grands-parents, peuvent jouer un rôle primordial dans la formation de l'enfant, lui apportant un rôle essentiel tout comme à son développement, au côté des parents, passant par l’amour, l'écoute et le dialogue, l'apprentissage et la transmission du savoir-faire et du patrimoine familial, autant  que  d’autres  ascendants et proches de l'enfant peuvent également y contribuer.

C'est pourquoi le droit à la vie familiale apparaît clairement inscrit dans un certain nombres de textes fondateurs : La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (Article 16), la Convention Européenne des Droits de l’Homme (Article 8), la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (Articles 9 et 18) et la Charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne (Article 7), pour ne citer que ceux-là.

Dans ces conditions, il apparaît essentiel de protéger et d'appliquer les droits à la Famille, d’où la plantation de notre troisième arbre qui se doit d'être dédié à ces droits, témoignant de l’urgence à agir au profit de la protection des liens familiaux, des droits familiaux, tant maternels que paternels, afin que l’enfant puisse bénéficier de l’entretien indéfectible des relations personnelles avec ses ascendants.

Ce chêne à feuilles de laurier vient ainsi compléter et achever cette « triade arboréenne » au cœur du Parc de la Mairie d'Hellemmes.

 

Les Parents,

Les Enfants,

Les Familles :

Trois inséparables pivots de notre société, sans qui, elle ne serait rien.

 

Tout comme l’arbre est vivant et persistant, les droits des Parents et les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale, les droits fondamentaux de l’Enfant et le droit fondamental à la vie familiale, les droits des Familles, doivent être tout aussi vivaces et, par conséquent, expressément respectés, assurément appliqués, à chaque instant et sans aucune discrimination.

Qu'on se le dise !

Pour pouvoir appliquer le droit fondamental à la vie familiale, il est donc capital que les droits de la famille, qu'elle soit maternelle ou paternelle, soient respectés sans la moindre ambiguïté par l'ensemble des acteurs de la justice familiale, mais aussi par les divers services auxquels la famille se trouve impliquée (milieux médicaux, sociaux, administratifs, scolaires, …).

Dsc06602
Dsc06586
Dsc04808

Arbre de la Coparentalité : 3ème anniversaire - Planté le 20 novembre 2021.

Arbre des Droits de l'Enfant : 1er anniversaire - Planté le 18 novembre 2023.

Arbre des Droits à la Famille : Planté le samedi 16 novembre 2024.

2024 : 71ème journée internationale de l’Enfance et 35ème journée internationale des Droits de l’Enfant.

Affiche 20 novembre 2024 ok

Egalement, dans le cadre de cette journée internationale du 20 novembre 2024, l’association « Racines d'enfants », située dans le Grand-Est a organisé une action de sensibilisation devant l'Ecole Nationale de la Magistrature, située à Bordeaux ; une action pour laquelle « J’aime mes 2 Parents » s’est jointe par l’intermédiaire de notre administratrice, Cécile DEVEAUX, demeurant justement dans la région Nouvelle-Aquitaine.

Ce fut l'occasion, en ce jour international des Droits de l’Enfant, de rappeler que dans l’intérêt des enfants, le droit de grandir et même de vivre avec leurs deux parents apparaît essentiel et même fondamental, lorsque, bien sûr, les conditions sont réunies. Hélas, même aujourd’hui, au XXIème siècle, cela n’est toujours pas acquis en France, tout particulièrement lors des séparations parentales conflictuelles. Tant de drames ne cessent d’augmenter au fil des années…

Par conséquent, la justice familiale se doit, dans l’intérêt de l’enfant, de respecter ces droits fondamentaux, le droit à la vie familiale faisant partie intégrante de cette élémentaire légitimité (favoriser la résidence alternée si le conflit parental n’est pas trop sérieux et si l’enfant n’est pas déjà fortement endoctriné), tout comme la protection face à toute possible violence psychologique subie par l’enfant lorsqu’il devient, bien malgré lui, l’otage d’un de ses deux parents, lors de la séparation parentale, et que de tels abus viennent mettre en péril son équilibre et altèrent les liens avec les divers membres de la famille maternelle ou paternelle de l’enfant, au risque même d’aboutir à une exclusion ou à un rejet parfaitement injustifiés.

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