Cela n'arrive pas qu'aux autres - 25 avril 2020.

Le 25 AVRIL : Depuis quinze ans, la lutte contre l'aliénation parentale est devenue une action internationale amplement reconnue... En 2020, il est plus que temps d'AGIR !

Chaque enfant a besoin de ses 2 parents... Qui pourrait encore oser le contredire aujourd'hui ? En cas de séparation parentale,  il est particulièrement inacceptable que l'un des 2 parents puisse encore s'attribuer le droit de manœuvrer, de formater l’enfant ou l'adolescent par le mensonge, par la calomnie et la manipulation psychologique dans le but de "démolir" l'autre parent et lui faire ainsi rejeter cet autre parent. En agissant ainsi, en toute inhumanité, ce parent manipulateur et aliénant, cherche à s’approprier mentalement l'enfant, commettant de fait un abus psychologique grave. Lutter contre l'aliénation parentale est le devoir de tout citoyen responsable croyant aux valeurs humaines et à ses principes édictés au sein d'un bon nombre de conventions internationales.

Affiche de l'opération "25 avril 2020" - Cela n'arrive pas qu'aux autres...

Le samedi 25 avril, pour la 15ème année consécutive, un nombre de plus en plus important, à travers le monde, englobant l’ensemble des continents, s'unira afin de célébrer à nouveau la journée inter-nationale contre l'exclusion parentale, contre "l'aliénation parentale" (*) (terme anglo-saxon pas toujours bien compris et que des chercheurs et professionnels apparentent aujourd'hui à une réelle « parentectomie », mot sans nul doute plus visuel et plus réaliste mais surtout très parlant) Pour combattre l'aliénation parentale il est capital d’éduquer chacune et chacun afin de les alerter à propos des dangers qu’elle représente.

Les premières victimes sont avant tout les enfants, pris généralement au piège par l’un des deux parents au cœur même du tourbillon de la séparation particulièrement conflictuelle. Ainsi, l’un des deux parents met tout en place pour exclure l'autre parent de la vie des enfants, n'hésitant pas à manipuler leurs propres enfants pour qu’ils deviennent eux-mêmes acteurs du rejet du parent à ostraciser.

Et pourtant, il demeure capital pour tous les enfants de ne pas se mêler des disputes des parents et de leur séparation et donc de ne pas les laisser les obliger à mentir pour dire du mal contre l’un des deux parents.

Aucun parent ne doit forcer les enfants à s’impliquer dans les disputes et les séparations parentales et de les empêcher ainsi de partager des moments de vie avec leurs parents,tantôt chez l'un, tantôt chez l’autre...

Les enfants ne sont pas responsables de la séparation de leurs Parents.

Aussi, il est fondamental que chaque enfant puisse garder le droit de pouvoir vivre auprès de ses 2 parents malgré la séparation et/ou le divorce. (Sauf bien entendu s’il s’avère que cela soit contraire à son intérêt et que cela soit prouvé).

Les enfants n'ont pas à se séparer ou à divorcer de leurs parents et même notre code civil rappelle clairement que : « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent » (Article 373-2) et « L’enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants. » (Article 371-4).

Pourtant, aujourd’hui en France, les chiffres avancés sont accablants : Plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) ont totalement perdu le contact avec l’un de leurs 2 parents (majoritairement avec leur père). Plus de 2,5 millions d’enfants voient rarement l’un ou l’autre de leurs 2 parents (Pour plus des ⅔, il s’agit de leur père).

C’est pourquoi, en 2020, l’association « J’aime mes 2 Parents » a voulu axer son action en direction des enfants, afin de les sensibiliser sur l’importance de ne pas oublier qu’ils ne sont absolument pas responsables de la séparation de leurs parents, qu’il faut continuer à les aimer comme avant et que ni l’un ni l’autre n’ont le droit de leur en empêcher.  

Pour les parents, c’est également un message très important qu’ils se doivent de conserver en eux. En effet, si malheureusement, ils se trouvent un jour confrontés à la séparation et/ou au divorce, qu’ils n’oublient jamais qu’ils resteront parents toute leur vie et que de ce fait, le respect de leurs enfants, mais aussi celui de l’autre parent demeurent essentiels afin de protéger l’équilibre psychoaffectif de leurs enfants mais aussi de les aider à préparer au mieux leur vie future. 

Ainsi, le samedi 25 avril, c’est par la magie du théâtre de marionnettes, que le message à destination des enfants, mais aussi des adultes, sera délivré.

Faire comprendre ce qu’est l’aliénation parentale, avec des mots simples et faire prendre conscience de l’existence des pièges qui peuvent s’installer lors de situations d'emprise mentale et de manipulations psychologiques, représentent les principaux axes de cette journée. Cela n’arrive pas qu’aux autres !

Ce n’est pas simplement à Hellemmes que l’on se mobilise, mais bel et bien à travers le monde entier.

De par la teneur de plus en plus grave, voire virulente, que peut prendre le conflit parental lors de la séparation ou du divorce, l'exclusion parentale n'a nul droit de s'implanter, trôner et provoquer moult drames et tragédies et pourtant elle ne cesse de progresser, année après année et tant nos gouvernants que les législateurs demeurent particulièrement atones, visiblement inertes, malgré les multiples tragédies familiales qui ne cessent de s’étendre. Et bien trop souvent, les magistrats ne savent que faire, allant même jusqu’à ne pas appliquer la loi pourtant supposée être la référence de leurs actions et de leurs décisions.

Nous sommes confrontés, aujourd'hui plus qu'hier à une intransigeance, voire même à une forme de radicalisation au sein de conflits parentaux qui entraînent alors ce que l'on qualifie globalement d'exclusion parentale (ou d'aliénation parentale) sévère.

Et « la France d’en haut » se tait… « La France d’en haut » ne répond pas aux multiples inquiétudes et préfère continuer, jusqu’à preuve du contraire, d’appliquer la politique de l'autruche, méprisant, de ce fait, l’ensemble des victimes de cette terrifiante exclusion parentale, à commencer par les enfants eux-mêmes, manipulés et totalement emprisonnés par l’emprise. Cela suffit !

Ailleurs, les autres pays Européens débattent, tentent d’apporter des solutions et légifèrent. Les professionnels du secteur judiciaire et juridique, du secteur médical et psychologique et les services sociaux s’unissent afin d’agir en concertation et œuvrer pour venir au plus vite en aide aux victimes de l’aliénation parentale. En France nous sommes plombés par système obsolète et quelque peu anachronique, un système devant être réformé de la cave au grenier et où un travail interdisciplinaire entre le monde du juridique et du judiciaire, mais aussi celui de la médecine et de la psychologie, en passant par le secteur social, doivent travailler ensemble, se former et adapter des procédures et des décisions cohérentes afin de lutter efficacement contre les terribles conséquences de la séparation parentale ultra-conflictuelle pouvant rapidement engendrer d’insupportables situations d’exclusion abusive et inique, mais aussi d’aliénation parentale dévastatrice.  

Le préjudice est immense, tant sur le plan émotionnel et psychologique que relationnel et social, médical et même vital parfois, sans compter les multiples dérives et déviances qui peuvent apparaître (**), tant pour l’enfant que pour le parent anormalement et illégalement évincé et pour d’autres victimes collatérales (En premier lieu, les grands-parents, puis autres membres familiaux,…).

Ce légitime combat contre l’aliénation parentale (l’exclusion parentale) doit être celui de tout citoyen responsable croyant aux valeurs humaines et à leurs principes édictés au sein de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales, à commencer par l'application du respect au droit à la famille (Art. 8), mais également par la Convention Internationale des Droits de l'Enfant ( A commencer par les Art. 9 et 18) (***).

En 2020, il ne devrait plus exister des orphelins de mère, des orphelins de père, pourtant toutes et tous bel et bien vivants, parce que l’un des deux parents en a décidé ainsi, parce que d’autres peuvent les laisser tomber, parce que notre système judiciaire apparaît véritablement à bout de souffle, dépassé, déconnecté, noyé sous des tonnes de dossiers, n’appliquant pas la loi déjà existante, étant de plus mal informé et mal formé face à ces situations et manquant cruellement de moyens financiers, humains et de formations adaptées.

Et pourtant, le nombre de ces orphelins de mère, de ces orphelins de père ne cesse d’augmenter de manière infâme. Rappelons-le : Plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) ont totalement perdu le contact avec l’un de leurs 2 parents (majoritairement avec leur père). Plus de 2,5 millions d’enfants voient rarement l’un ou l’autre de leurs 2 parents (Pour plus des ⅔, il s’agit de leur père) Soit, au total, plus d’un quart des enfants de moins de 18 ans en France !

Et qu’on se le dise, l’exclusion parentale et les situations d'aliénation parentale et leurs conséquences affectent bel et bien autant la gent féminine que masculine et les effets sur les enfants sont catastrophiques tout comme pour les parents injustement écartés, broyés anéantis, les grands-parents injustement éradiqués et autres membres familiaux maternels ou paternels.

Chaque enfant a droit à ses deux parents, chaque enfant a besoin de ses deux parents, Chaque enfant a le droit d'aimer et d'entretenir des relations avec ses ascendants, à commencer avec ses parents, mais aussi les autres membres familiaux maternels et paternels.

L'événement est prévu à HELLEMMES (Banlieue de LILLE), le samedi 25 avril à l’« Espace des Acacias » (Au premier étage) - Place Joseph Hentgès - 59260 HELLEMMES -

Accès possible par le métro, ligne n°1 - arrêt « Hellemmes » se trouvant juste en face de la salle municipale (Rue Roger Salengro)

000 hellemmes 000acacias 

 2 séances du spectacle de marionnettes :

1ère séance à 15h00 et la 2ème séance à 17h00.

 

- 1ère séance : Accueil dès 14h30. A 15h00 : Présentation suivie du spectacle, lui-même suivi de questions/réponses et échanges avec le public.

- De 16h00 à 16h30 : Pause avec possibilité de prendre une boisson. 

- A 17h00 : Nouvelle présentation suivie du spectacle, lui-même suivi de questions/réponses et échanges avec le public. Fin à 18h00.

 

000 cov annule

Ajouter un commentaire