Arbre aux témoignages 2021

L'ARBRE AUX TEMOIGNAGES - 25 AVRIL 2021 -

Le 25 AVRIL : Depuis seize ans, la lutte contre l'aliénation parentale demeure une action internationale amplement reconnue... La pandémie n'y changera rien... En 2021, il faut AGIR !...

Chaque enfant a besoin de ses 2 parents... Qui pourrait encore oser le contredire aujourd'hui ? En cas de séparation parentale,  il est  donc particulièrement inacceptable que l'un des 2 parents puisse encore s'attribuer le droit de manœuvrer, de formater l’enfant ou l'adolescent par le mensonge, par la calomnie et la manipulation psychologique dans le but de "démolir" l'autre parent et lui faire ainsi rejeter cet autre parent. En agissant ainsi, en toute inhumanité, ce parent manipulateur et aliénant, cherche, encore et toujours, à s’approprier mentalement l'enfant, commettant de fait un abus psychologique grave. Lutter contre l'aliénation parentale est le devoir de tout citoyen responsable croyant aux valeurs humaines et à ses principes édictés au sein d'un bon nombre de conventions internationales. Nul n'a le droit de laisser un tel abus psychologique se poursuivre et se répéter... Cela suffit !

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Affiche de l'opération "25 avril 2021" - L'arbre aux témoignages...

Affiche 25 avril 2021 fr

Pour cette année 2021, les préparatifs de la journée du 25 avril, journée mondiale contre l’aliénation parentale (*), devaient s’adapter au contexte de la crise sanitaire.

C’est pourquoi, étant très limités dans nos actions compte tenu des décisions nationales, des arrêtés préfectoraux, etc…, nous ne pouvons pas remettre en place la pièce initialement proposée l’an dernier (Spectacle de théâtre de marionnettes intitulé « Cela n'arrive pas qu'aux autres » qui fut déjà annulé à cause du premier confinement national), compte tenu de l’interdiction des rassemblements en intérieur, impliquant la présence d'un public, même masqué (Spectacle qui était déjà prévu en 2020 à l’Espace des Acacias à Hellemmes, près de Lille – Région des Hauts-de-France).

Le message qui devait alors être adressé à destination des enfants, mais aussi à celle des adultes, afin de leur faire comprendre ce qu’est l’aliénation parentale (*), avec des mots simples, devait leur faire prendre conscience de l’existence des pièges qui peuvent s’installer lors de situations d'emprise mentale et de manipulations psychologiques alors que les parents se séparent en pleine crise, générant alors conflit sur conflit.

L’opération de 2021 n’est donc à nouveau pas possible sous cette forme.

En effet, les restrictions liées à la crise sanitaire empêchent encore tout rassemblement, y compris à l’approche de ce printemps 2021.

Dans ces conditions, il apparaissait compliqué de pouvoir proposer une action rassemblant du monde.

 C’est pourquoi, une opération à l’extérieur était envisagée pour 2021 par l’association « J’aime mes 2 Parents ». L’action devait être menée dans le cadre de la 16ème  édition internationale de la journée contre l’aliénation parentale, contre l’exclusion parentale, journée partagée dans le monde entier au cours de laquelle un nombre de plus en plus important de pays englobant l’ensemble des continents, s'unit afin de célébrer cette journée spéciale du 25 avril.

Mais, compte tenu des mesures sanitaires toujours trop restrictives à un mois de cette journée, même en espace extérieur, celles-ci ne permettent d'organiser l'événement dans des conditions optimales et sécurisées compte tenu des variants du virus (Covid-19) toujours actifs et les mesures de distanciation restant en vigueur.

 Si, les conditions s’améliorent au cours du second semestre 2021, que les règles aient amplement gagné en souplesse et les restrictions levées, cette opération pourrait alors être envisagée dans le cadre de la 68ème journée internationale de l’Enfance, le samedi 20 novembre 2021.  A suivre. 

 

(*) :  Terme anglo-saxon pas toujours bien compris et que des chercheurs et professionnels apparentent aujourd'hui à une réelle « parentectomie », mot sans nul doute plus visuel et plus réaliste mais surtout très parlant, un véritable processus qui consiste à programmer un enfant ou un adolescent afin qu’il se mette petit à petit à rejeter puis à haïr aveuglément l’un de ses deux parents et ensuite collatéralement les autres membres familiaux du parent aliéné (Grands-parents,…) sans que cela ne soit justifié. Ainsi, par le mensonge, la calomnie et la manipulation renouvelés sans relâche, l’un des deux parents s’approprie mentalement l’enfant ou l’adolescent, un abus émotionnel gravissime et destructeur, une maltraitance psychologique, qui peuvent, dès lors, entraîner des répercussions psychologiques pouvant tout autant engendrer des problèmes psychiatriques pour le restant de leur vie.

 

Mais de quoi s’agit-il pour 2021 ?

 

L’opération 2021, baptisée « L’arbre aux témoignages » consiste à réunir les élus du Nord de la France, les victimes d’aliénation parentale, d’exclusion parentale, les sympathisants, afin de rendre hommage aux victimes de l'exclusion parentale, de dénoncer de tels abus afin qu’ils ne puissent davantage se reproduire.

Au cours de cette année 2021, l’association « J'aime mes 2 Parents » a publié  60 témoignages recueillis auprès des membres et de sympathisants de l’association.

 Les résultats de ce travail ont été adressés au plus hauts responsables de l’Etat... :

  • Le 4 mars 2021, à : Monsieur Adrien TAQUET, Secrétaire d’Etat à l'Enfance et aux Familles ainsi qu’à son Conseiller, Monsieur Philippe ROMAC.
  • Le 8 mars 2021, à Monsieur Emmanuel MACRON, Président de la République et à Madame Hélène DAVO, Conseillère justice auprès du Chef de l’Etat,
  • Le 8 mars 2021, à Monsieur Jean CASTEX, Premier Ministre et à Monsieur Stéphane HARDOUIN, Conseiller Justice auprès du Premier Ministre,
  • Le 8 mars 2021, à Monsieur Eric DUPOND-MORETTI, Garde des Sceaux et Ministre de la Justice et à Madame Christelle HILPERT, Conseillère Affaires civiles et prospectives.

…Afin de les faire réagir et leur faire prendre conscience (une fois de plus) de l’urgence d'agir, de mettre un terme aux dysfonctionnements existant, d’apporter l’aide nécessaire aux victimes (Enfants comme adultes), voire de légiférer sur la question afin de venir compléter la loi du 4 mars 2002 n° 2002-305 - relative à l'autorité parentale car, il manque visiblement tout un chapitre à consacrer aux séparations dites « hautement conflictuelles » venant affecter la vie de l’enfant et son équilibre psychoaffectif. Il en va de l’intérêt de l’enfant.

Il en va de même, si l’un des parents décide de s’approprier l’enfant, quitte à commettre des abus psychologiques graves (Emprise et manipulations mentales, phénomène d’aliénation parentale,...) et de ne plus respecter les droits de l’autre parent, bafouant alors, totalement et le plus souvent en totale impunité, l’autorité parentale conjointe.

Il est plus que temps d’agir, et au plus vite, face à un tel fléau qui s’est bel et bien ancré au sein de la société…

A en juger par la soixantaine de témoignages compulsés (Il y en a tant d’autres qui pourraient être ajoutés, tout aussi dramatiques, intolérables et même inhumains de par les épreuves abominablement subies, mais également les dysfonctionnements de notre système, son manque de professionnalisme (pour un bon nombre de cas) et de rigueur, son manque de moyens (Apprentissage, formations, suivi de formations, moyens humains et financiers, pour ne citer qu’eux)), si rien n’est fait pour y remédier rapidement, chacune et chacun doit, d’ores et déjà, prendre conscience qu’il s’agit là d’une véritable bombe à retardement qui risque bel et bien d’éclater et de rejaillir sur la société toute entière et sur son avenir…

L’avenir de milliers de familles et d’enfants sont dramatiquement en jeu.

Cette violence psychologique n'est nullement une question de genre ou de classe sociale et met en danger tant les enfants que de nombreuses familles, qu’elles soient maternelles ou paternelles.

Rappelons qu’en 2019, plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) ont totalement perdu le contact avec l’un de leurs deux parents (majoritairement avec leur père). C’est cela la France, aujourd’hui !

Et, plus de 2,5 millions d’enfants voient rarement (1 à 3 fois par an) l’un ou l’autre de leurs deux parents (Pour plus des ⅔, leur père). C’est aussi cela la France, aujourd’hui !

La crise sanitaire a, à coup sûr, accentué ces dramatiques situations et, hélas, augmente ces chiffres déjà alarmants, si cela n’est déjà pas fait… Triste constat…

Avec « l’arbre aux témoignages », l’association tenait à rendre hommage à ces soixante familles actuellement déchirées, meurtries et faisant face à une injustice et à une inhumanité inqualifiables, parmi tant d’autres ; des enfants, des mères, des pères et des grands-parents…

Parce que  cette violence et cet abus qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, car ils sont avant tout psychologiques et pourtant particulièrement redoutables et destructeurs, peuvent détruire la moitié du patrimoine parental de l'enfant et conséquemment de la moitié de ses racines, ils peuvent détruire des hommes et des femmes… Car l’aliénation parentale n’est ni une question de genre ni une question de classe sociale.  

Ces 60 témoignages auraient dû être fixés (ou seront fixés lorsque la crise sanitaire sera derrière nous) sur l’un des arbres du Parc de la Mairie d’Hellemmes (Après accord Municipal) devant ainsi l’arbre aux témoignages pour cette année 2021. (Témoignages imprimés sur papier et plastifiés afin de pouvoir résister, bien sûr, à la pluie durant les quelques semaines d’exposition dans le parc)

A eux seuls cet arbre et ces 60 témoignages pourront un jour ou l’autre (car nous espérons qu’aux jours meilleurs, lorsque la pandémie sera derrière nous, nous pourrons honorer cet arbre aux témoignages - Peut-être le samedi 20 novembre 2021, dans le cadre de la 68ème journée internationale de l’Enfance) faire pleinement comprendre à toutes et à tous que les limites du supportable sont dépassées et que la douleur, la souffrance et même l’invivable sont là, d’ores et déjà devant nos portes, devant celles de toute la société et qu’il est plus que temps d’agir.

 De même, un second temps fort pourrait être ajouté par la plantation d’un arbre qui deviendrait alors le symbole de la sauvegarde du lien parental

« L’arbre de la sauvegarde du lien parental » pourrait alors être tout autant inauguré pas des élus de la région et/ou de la Métropole Lilloise.

Bien entendu, cette inauguration se déroulerait également au Parc de la Mairie d’Hellemmes (une fois les autorisations officielles acquises).

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A propos des témoignages recueillis...

Les 60 témoignages apportés en 2021, parmi tant d’autres, viennent souligner un certain nombre de points communs, tels que :

 - Le désarroi, la souffrance et souvent le désespoir.

Il s’agit avant tout de victimes qui ne sont pas considérées ou traitées comme telles. Certains parents sont même vraiment au bout du rouleau…

- La violence qui s’installe au fil du temps, essentiellement psychologique.

- L’inertie, l'incompréhension de la justice, l’absence d’empathie, mais aussi sa lenteur absolue.

Or, dans les situations d’emprise et de manipulations psychologiques exercées sur l’enfant afin de rejeter injustement, sans la moindre raison valable, l’autre parent, la lenteur est la pire ennemie car elle laisse le champ libre au parent aliénant, manipulateur et/ou toxique.  

- Les juges apparaissent pour beaucoup comme étant incapables de saisir les enjeux en cours, ou donnant l’image d'être incapables de prendre conscience qu'il ne s'agit pas de séparations "classiques", qu’il y a bel et bien des abus psychologiques qui se jouent, des manipulations de l’enfant et parfois même des chantages orchestrés à la clé.

- Le manque important de compréhension des autres intervenants, le manque de connaissances sur le sujet et même des lacunes, le manque d’écoute et de temps consacré, le manque évident d’empathie (même au minimum) de la part : des services sociaux, des services de Police ou de Gendarmerie, de possibles experts.

- Un terrible sentiment de rejet de la part des services de Police ou de Gendarmerie lorsque les victimes viennent déposer plainte pour non-représentation(s) d’enfant(s), le sentiment d’être traités en suspects ou en moins que rien avec à la clé le refus d’enregistrer la plainte… (Ce qui est contraire à l’article 15-3 du Code de procédure pénale précisant que tout commissariat de Police ou Gendarmerie est tenu de prendre une plainte et ce, même si le domicile ou les faits sont géographiquement éloignés.).

- Le sentiment profond d’être incompris et par conséquent souvent d’être méprisés.

- Le sentiment d’être considérés comme des moins que rien, comme des parias de la société, ou bien encore des parents de seconde, voire de troisième classe ou de n’être même plus parents...

Bien d’autres points communs auraient pu être ajoutés, de telle sorte que l’on pourrait avoir la nette impression que les parents aliénés, exclus, rejetés, subissent plus ou moins le même parcours, un parcours qui, en fait, se différencie essentiellement en fonction du degré de la violence psychologique infligée.

De même, les parents aliénants, pervers, manipulateurs et/ou toxiques, qu’ils soient femmes ou hommes, donnent la nette impression d’être toutes et tous sortis « diplômés » de l’école de la manipulation psychologique, de la mauvaise foi absolue, du mensonge et du savoir-faire dans l’art de l’emprise mentale.

C’est pourquoi, il est urgent de réagir face à de telles situations, de plus en plus nombreuses, de plus en plus destructrices et par conséquent possiblement dangereuses pour l’avenir de la société, compte tenu du nombre croissant d’êtres fracassés et de jeunes en pertes de repères parentaux (maternels ET paternels) stables et éducatifs.  

De plus en plus de pays en ont pris conscience à travers l’Europe. Des mesures ont été prises, des travaux législatifs ont été menés, des groupes recherche formé pour apporter des solutions et mettre en place un certain nombre de protocoles (Grande-Bretagne, Gibraltar, Irlande, Suède, Danemark, Belgique, Pays-Bas, Italie, Espagne, Roumanie, Croatie, etc…)

Le dernier en date : La République de Malte en janvier 2021.

En France (avant la pandémie), plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) ont totalement perdu le contact avec l’un de leurs deux parents (majoritairement avec leur père). C’est cela la France, aujourd’hui !

Plus de 2,5 millions d’enfants voient rarement (1 à 3 fois par an) l’un ou l’autre de leurs deux parents (Pour plus des ⅔, leur père). C’est aussi cela la France, aujourd’hui !

N’est-ce pas déjà trop aux yeux des dirigeants et des législateurs de la France ?

Quel avenir pour la société, pour notre société, nos familles, nos enfants ?

Nos dirigeants et les pouvoirs publics n’ont jusqu’alors pas encore vraiment pris conscience, ou si peu, de l’abîme sans fond qui ne cesse de s’étendre face à l’exclusion parentale suite aux phénomènes d’emprise et de manipulations psychologiques exercés sur l’enfant par l’un des deux parents dans le cadre des séparations conflictuelles.

Et notre système judiciaire, apparaît totalement dépassé, impuissant ; il s’avère, à ce jour et depuis un certain temps déjà, quelque peu inexpérimenté face à toutes ces tragédies familiales qui se jouent jour après jour ; hélas, il croupit désastreusement...

Même si le Secrétaire d’Etat, Adrien TAQUET, a déclaré fin novembre 2020 : « Les avancées de mesures phares du plan dans un contexte de crise sanitaire : le déploiement en cours sur l’ensemble du territoire des unités d’accueil et d’écoute Enfant en Danger Pédiatriques (UAPED), la généralisation du numéro d’écoute et d’orientation pour les personnes attirées sexuellement par les enfants, ou encore le lancement depuis septembre 2020 d’une taskforce sur la prostitution des mineurs, tout en appelant à une mobilisation accrue envers les enfants en situation de handicap, les enfants placés en institution et ceux victimes de violences psychologiques et des phénomènes d’emprise. », il n’en demeure pas moins que le temps passe, que les tragédies familiales se poursuivent, s’accumulent, sacrifiant, ainsi et sans relâche, tant d’enfants et de familles supplémentaires.

Alors cela suffit.

Il n’est plus temps de tergiverser, il faut agir maintenant et tout de suite !

 

Faut-il rappeler ce que représente la violence psychologique subie par l’enfant, devenu soldat ou objet de manipulation, de chantage et/ou de vengeance, dans le cadre des séparations parentales ultra-conflictuelles pour lesquelles rien n’est mis en œuvre à ce jour, ou si peu… !?

 

Rappelons-le, selon le psychologue hospitalier Christian BESNARD, également psychologue près la Cour d’appel de Rennes, un enfant qui manipulé, sous emprise, un enfant qui est en permanence nié, rabaissé est plus en danger sur le plan psychique qu’un enfant qui se fait régulièrement frapper.

En effet, ce dernier peut construire son identité tout en prenant des coups parce qu’il peut en attribuer la responsabilité à l’adulte. 

De même, la psychiatre et psychothérapeute familialeMarie-France HIRIGOYEN, qui travaille depuis plus de quarante ans sur les violences psychologiques, explique que les ressorts de l’emprise détruisent les capacités psychiques des victimes et les enferment dans une relation dont elles ont de plus en plus de mal à s’en sortir sans la moindre intervention efficace et professionnelle. 

Or, la violence psychologique attaque la personne dans son intégrité, sa santé psychique et physique. Cela rend malade par le biais du stress ou d'attaques émotionnelles.

C'est une atteinte à la dignité et à l'image de soi qui s’installe parce qu'une personne victime de violence psychologique va avoir une baisse d'estime de soi, va déprimer, avoir des troubles anxieux ou métaboliques. Et bien pire encore selon l’âge de la victime…

Et pour conclure, comme cette psychiatre et psychothérapeute familiale l’affirme : « La violence psychologique peut être plus néfaste que la violence physique, elle peut détruire bien plus une personne et laisser des traumas plus importants. »

 

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« Si rien n’est fait pour y remédier rapidement, chacune et chacun doit, d’ores et déjà, prendre conscience qu’il s’agit là d’une véritable bombe à retardement qui risque bel et bien d’éclater et de rejaillir sur la société toute entière et sur son avenir… »

François Scheefer, président de l’association « J’aime mes 2 Parents »

Même si les séparations « hautement conflictuelles » ne dépassent pas encore les 20% à 25% de l’ensemble des séparations annuelles (quoique, avec les conséquences des périodes de confinement, les conflits familiaux ont visiblement augmenté), elles ont doublé en moins de dix ans. Non seulement la violence psychologique qu’elles engendrent n’a cessé de s’accentuer, mais les conséquences provoquées sur les enfants et sur les adultes injustement évincés, tous broyés et anéantis, développent de plus en plus dégâts tant sur le plan de la santé physique et mentale, que sur le plan sociétal et social.

L’enfant n’a nul droit de pâtir de toutes ces situations conflictuelles.

 

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IL FAUT :

 

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BLOQUER L'ENFANT DANS SA RELATION AVEC L'AUTRE PARENT EST INACCEPTABLE !

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NON !     CELA SUFFIT !

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