L'ARBRE DES DROITS DE L'ENFANT - SAMEDI 18 NOVEMBRE 2023 - HELLEMMES.

Chaque enfant a besoin de ses 2 parents... Qui pourrait et oserait encore le contredire aujourd'hui ? Et chaque enfant a des droits. Le droit fondamental de l'enfant, séparé de ses deux parents ou de l'un d'eux, d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents est incontournable. Et pourtant, même en France cela n'est pas appliqué, en dépit de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant !

En cas de séparation parentale, il est  particulièrement inacceptable que les enfants puissent être totalement coupés des relations et des liens en tous genres (Ils sont plus de 1,5 million) avec l'un de leurs 2 parents (leur mère ou leur père), parce que l'autre parent en a décidé ainsi, décidant de s'attribuer le droit de formater les enfants par le mensonge et le chantage, par la calomnie et par la manipulation psychologique afin de les "posséder" et dans le but suprême de "démolir" l'autre parent et leur faire ainsi rejeter l'autre parent. Or, en s’appropriant ainsi mentalement les enfants, commettant ainsi des abus psychologiques sérieux, ces parents-là détruisent purement et simplement l'équilibre psychoaffectif des enfants, mais aussi leurs racines et leur patrimoine  (maternel ou paternel), au risque de traumatiser leurs enfants à vie.

La justice familiale, manquant de moyens, de formations, de compétences dans bien des cas, face à de tels drames n'a pourtant nul droit de l'ignorer et de se rendre alors complice de tels actes dévastateurs, au mépris des droits de l'enfant, au mépris de l'intérêt supérieur de l'enfant et de sa vie future. 

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L'AFFICHE DE L'OPERATION DU SAMEDI 18 NOVEMBRE 2023 : OPÉRATION ORGANISÉE DANS LE CADRE DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE L'ENFANCE ET DES DROITS DE L'ENFANT. A HELLEMMES (près de LILLE)

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Le 20 novembre 1989, après des années de débats, la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) a été adoptée à l’unanimité par les Nations Unies.

Pour la première fois dans l’histoire, un texte international reconnaissait explicitement les moins de 18 ans comme des êtres à part entière, porteurs de droits humains, sociaux, économiques, civils, culturels et politiques ; des droits fondamentaux, obligatoires et non négociables. Ainsi, tous les Etats signataires sont tenus de s’engager à défendre et à garantir les droits de tous les enfants sans distinction et sans conditions. En France, la Convention est entrée, in extenso, en vigueur le 2 septembre 1990 et dispose, de plus, d’une autorité supérieure aux lois nationales conformément à l’article 55 de la Constitution.

Et pourtant, au regard de cette Convention, en lien avec les situations conflictuelles parentales en matière de séparation, il apparaît de plus en plus fréquent que les principes fondamentaux de celle-ci, fassent l'objet d'un sidérant passage à la trappe.

 

L'intérêt supérieur de l'Enfant se déclinant sur plusieurs principes se trouve ainsi malmené : l'entretien régulier des relations personnelles et des contacts directs de l'enfant avec ses deux parents n'est plus garanti, tout comme la possibilité pour l'enfant d'être élevé et éduqué par ses deux parents. De même, la protection de l'enfant face à toute forme de violence, y compris psychologique, n'est plus garantie dès lors que son instrumentalisation au cœur du conflit parental ne fait l'objet d'aucune mesure pour y remédier, pour y mettre fin.

 

u Aujourd’hui, l’Etat Français, les pouvoirs publics ne peuvent davantage laisser de tels manquements, de tels abus et violences psychologiques se perpétrer plus longtemps, se perpétuer encore et encore. Il en va du principe même de l’intérêt supérieur de l’enfant, pour reprendre l’expression attitrée dans le langage juridique.

u Mais, derrière ces mots, ce sont des faits, des actes et une réelle protection des victimes qui sont attendus et même en droit d’être exigés, compte tenu des droits fondamentaux, obligatoires et non négociables de la CIDE.

u Planter l’arbre des Droits de l’Enfant à Hellemmes sera un acte concret, organisé le 18 novembre 2023, dans le cadre de la journée internationale de l’Enfant et de ses droits. Cela rappellera à toutes et à tous que vouloir les défendre, c’est avant tout agir.

Les Droits de l’Enfant ne sont pas de simples mots, des phrases juxtaposées, immobiles et figées sur le papier, loin de là…

u Tout comme l’arbre est vivant et persistant, les droits fondamentaux de l’Enfant doivent être tout aussi vivaces et, par conséquent, mis assurément en application, à chaque instant.

u Il n’y a plus la moindre place à l’immobilisme ni même la moindre politique de l’autruche admissible face à l’exclusion parentale, face au non-respect des droits de l'Enfant.

Le Président de la République, alors candidat au renouvellement de son mandat, annonçait lors de sa prise de parole conclusive du débat présidentiel en avril 2022, qu’il ferait de la protection de l’Enfance l’enjeu majeur de son quinquennat.

Une fois réélu, il l’a, à nouveau, confirmé et réaffirmé encore...

Or, à ce jour encore, face aux violences psychologiques subies, face aux abus d’emprise mentale au cœur même de la séparation parentale conflictuelle, rien n’a, pour l’heure, été engagé malgré tant de mises en garde et d’appels au secours au fil du temps.

Les parents qui pleurent leurs enfants bel et bien vivants ne reçoivent pas la sympathie de la communauté ; la justice familiale et ses services tendent trop souvent à les snober, les laissant seuls face à l’injustice, face à leur chagrin et à leurs pleurs, tout en silence, ne les forçant qu’à constamment se justifier face au rejet incompris, sans prendre les moyens d’agir adéquatement.

u Or, la coparentalité implique expressément que l’enfant est et doit être au centre des préoccupations et n’oublions jamais que la séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale et que chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent.

C’est le Code Civil Français qui le clame ! Qu’on se le dise et qu’on l’applique enfin ! 

u L’exclusion parentale infligée aux enfants, au mépris de leur protection n’a nul droit d’être ! L’enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants.

Là encore, c’est bel et bien le Code Civil Français qui l’affirme ! Qu’on se le dise et qu’on l’applique enfin ! 

u Que l’arbre des Droits de l’Enfant témoigne de l’urgence à agir ; un témoignage qui perdurera ad vitam. Ne pas les reconnaître est déjà une violence.

u Tous les enfants doivent avoir les mêmes chances de s’épanouir et de grandir auprès de leurs ascendants, tant maternels que paternels.

u En plantant ensemble « L’arbre des droits de l’enfant » cela permettra de rappeler non seulement ce jour, mais jour après jour, année après année, que nul n’a le droit de bafouer ces droits, que tout enfant a les mêmes droits que les adultes, auxquels s’ajoutent des droits spécifiques adaptés à ses besoins.

u « L’arbre des droits de l’Enfant » viendra compléter les valeurs et le message exprimés par nos actions, nos missives, et rappeler tout autant l’extrême importance que véhicule, de façon complémentaire, « L’arbre de la Coparentalité » pour lequel nous célèbrerons également son second anniversaire ce 18 novembre. L’un ne va pas sans l’autre.

 

Depuis début octobre 2023, il a été demandé à Madame Charlotte CAUBEL, Secrétaire d’Etat en charge de l’Enfance, de bien vouloir assister et participer à cet événement en tant que marraine de cet arbre des droits de l’Enfant.

Sa présence permettrait enfin de redonner un peu d’espoir à tant de victimes qui, depuis tant d’années maintenant, attendent que l’Etat leur parle enfin, que l’Etat vienne apporter son soutien et faire comprendre et entendre qu’il agira enfin pour protéger les milliers d'enfants et plus encore, qui, chaque année, se retrouvent victimes d’abus et de violences psychologiques graves, compte tenu de leur instrumentalisation, dans le cadre de la séparation parentale ultra-conflictuelle de leurs parents.

Les représentants politiques, les parlementaires du Nord, les représentants associatifs locaux, les médias, seront également conviés à cet événement tout comme le Conseil Communal Hellemmois des enfants.

 

 « A un enfant, quel que soit son âge, on n'a jamais le droit de voler la fin d'une belle histoire. »

Maurice SCHUMANN,

 Homme d'État, journaliste et écrivain français.

 

 « Nous devons à nos enfants – les êtres les plus vulnérables de toute société – une vie exempte de violence et de peur. »

Nelson MANDELA,

Homme d'État d'Afrique du Sud.

 

 « Les enfants sont la chose la plus précieuse dans la vie. Un parent doit faire tout ce qu'il peut pour donner à un enfant le sens de la famille. » 

Elvis PRESLEY,

Chanteur américain, alias « le King »

 

L’enfant doit être au centre des priorités, il doit pouvoir vivre avec ses parents et ses droits doivent être formellement protégés, respectés et observés. Aucune violence psychologique ne doit être admise au même titre que les violences physiques endurées.

De même, le principe de coparentalité doit être tout autant appliqué.

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Où se rendre à cet événement ?

Plan

Rendez-vous au Parc de la Mairie d'HELLEMMES à 14h30 :

155, rue Roger Salengro

59260 HELLEMMES

INVITATION :

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L'arbre des droits de l'enfant à Hellemmes

L’arbre des droits de l’Enfant vient de prendre racine.

Et, ô miracle, la pluie s’est arrêtée pour nous laisser célébrer les droits de l’Enfant ! 

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Le discours prononcé lors de la cérémonie par le président de l'association (François Scheefer) :

L’exclusion parentale, l’indifférence face aux droits de l'enfant trop souvent bafoués et le mépris vis-à-vis du droit fondamental à la vie familiale sont, malheureusement, devenus communs au sein même de la société.

Et pourtant, face à de telles inobservations, ce sont des milliers de drames familiaux qui s’additionnent chaque année.

Ces drames trouvent généralement leur origine lors de la séparation parentale particulièrement conflictuelle des parents, parce que l'un des parents est exclu par l’autre parent. Et en cas d’exclusion parentale, les grands-parents, les oncles, les tantes, les cousins et cousines de l’enfant sont alors également écartés.

En fait, toute la famille du parent anormalement proscrit n'existe plus malgré sa subsistance, ce qui vient détruire la moitié des liens, des racines et du patrimoine de l’enfant.

Commence alors un véritable deuil d’un enfant pourtant vivant et cette épreuve est non seulement difficile pour un parent et les autres membres de la famille, mais elle est, avant tout, insondablement douloureuse et tout bonnement impossible.

Quant à l’enfant, ses droits fondamentaux apparaissent ainsi totalement foulés aux pieds.

Enfants comme adultes se trouvent alors plongés dans une violence intra-familiale et psychologique intense.

Certes, les adultes injustement exclus souffrent de la situation, mais nul ne devrait oublier, à commencer par les magistrats, les travailleurs sociaux et les professionnels de la santé, que l’exclusion parentale afflige et frappe plus encore l'enfant.

L’enfant, pour qui l’exclusion parentale lui est imposée, ne peut plus passer du temps avec le parent injustement rejeté et par conséquent la famille ciblée avec qui il avait pourtant de bonnes relations.

L’enfant ne peut plus leur rendre visite, vivre avec eux, passer du temps avec eux, au mépris de la loi, au mépris des jugements rendus, au mépris des Droits de l’Enfant, au mépris de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, au mépris de la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne et même au mépris des souhaits, de la volonté et des espoirs de l’enfant.

Dans la société d’aujourd’hui, on veut faire croire que le public, les professionnels et même les institutions, écoutent la volonté de nos enfants.

Mais, est-ce vraiment le cas ?

La situation des enfants qui se trouvent dans une situation où l’un de leurs parents, puis d’autres membres familiaux, sont exclus, démontre, hélas, qu’il n’en est rien.

Or, ils sont plusieurs millions aujourd’hui à subir un tel affront, une telle inhumanité…

 

Tous les enfants, n’ont-ils pourtant pas le droit d’avoir des relations et d’entretenir des liens étroits avec leurs deux parents ?

N’y a-t-il pas là, depuis des années déjà, un signal d’alarme puissant qui doit être repéré, compris et analysé avec professionnalisme, lorsqu’un enfant vient soudainement exclure l’un de ses parents et même les autres membres de sa famille maternelle ou paternelle sans le moindre fondement ?

La réalité du terrain démontre, le plus souvent, que rien ne semble interpeller les pouvoirs publics ni même les supposés professionnels…

Ou sinon, il est peut-être plus facile, en tant qu’êtres humains et professionnels de la justice, de la santé, et du secteur social, de croire que le parent rejeté, puis le reste de sa famille, sont vraiment si mauvais et délétères que toute communication et toute coexistence du lien doivent cesser ?

Est-il plus facile pour le système de protection de l’enfance, pour le système médico-psychologique, pour le système judiciaire, de statuer contre le parent exclu parce qu’il n’y a pas de moyens, de temps, de connaissances en la matière et de recours efficaces dans ce genre de cas ?

Chaque année, l’avenir de milliers d’enfants, de milliers de parents et de familles, se retrouve à la merci de supposés professionnels, mais bien trop souvent à côté de la plaque.

Les laissés pour compte se retrouvent donc irrégulièrement proscrits ; des parents tristes et effondrés, des familles brisées, mais aussi et avant tout, des enfants marqués à vie par de redoutables dommages à l’âme, parce que forcés à rejeter la moitié de leurs racines, de leur patrimoine, forcés d’exclure leurs souvenirs s’attachant « au camp ennemi » et manquer tant de moments importants à partager ensemble, forcés à subir des violences psychologiques importantes, des chantages affectifs majeurs, des manipulations à répétition, afin de maintenir le rejet imposé.

Or, ce rejet est non seulement infondé et illicite, mais il est surtout à l’origine de parents manipulateurs souvent narcissiques et assurément toxiques.

Les parents qui pleurent l’insupportable absence de leurs enfants, pourtant vivants, entendent trop souvent d’autres parents, des amis, des connaissances et même des professionnels dire que leurs enfants reviendront quand ils auront 18 ans et ils réaliseront à quel point l’autre parent les a manipulés.

Foutaise !

 

La réalité démontre qu’il n’y a aucune garantie que ces enfants-là reviendront sans la moindre intervention.

Heureusement, il y des situations pour lesquelles le miracle de la re-connexion se réalise. Et pourtant, dans la majorité des cas, les professionnels n’y sont pas pour grand-chose car le problème n’est pas traité à la hauteur !

Aujourd’hui, l’Etat Français et ses services ne peuvent davantage laisser de tels abus, de telles violences et abus psychologiques se perpétrer davantage, se perpétuer encore et encore et demeurer incompris, non-traités avec soin et un professionnalisme escompté.

Il en va du principe même de l’intérêt supérieur de l’enfant pour reprendre l’expression attitrée dans le langage juridique.

Mais, derrière ces mots, ce sont des faits, des actes et une réelle protection des victimes qui sont attendus et même en droit d’être exigés.

 

Planter l’arbre des Droits de l’Enfant, c’est rappeler à toutes et à tous que vouloir les défendre, c’est avant tout agir.

Les Droits de l’Enfant ne sont pas de simples mots, des phrases juxtaposées, immobiles et figées sur le papier.

Tout comme l’arbre est vivant et persistant, les droits fondamentaux de l’Enfant doivent être tout aussi vivaces et, par conséquent, mis en application à chaque instant.

Il n’y a plus la moindre place à l’immobilisme ni même à la moindre politique de l’autruche face à l’exclusion parentale.

Le Président de la République, alors candidat au renouvellement de son mandat, annonçait lors de sa prise de parole conclusive du débat présidentiel en avril 2022, qu’il ferait de la protection de l’Enfance l’enjeu majeur de son quinquennat. Une fois réélu, il l’a, à nouveau, confirmé et réaffirmé encore... A ce jour encore, face aux violences psychologiques subies, face aux abus d’emprise mentale au cœur même de la séparation parentale conflictuelle, rien n’a, pour l’heure, été engagé malgré tant de mises en garde et d’appels au secours au fil du temps.

A ce jour, le plan d'action 2024-2027 pour en finir avec les violences faites aux enfants, annoncé depuis le Conseil des Ministres du 7 juin dernier n’en a toujours pas tenu compte !

Or, tous ces enfants doivent être reconnus comme victimes, aidés, accompagnés et secourus. Leurs parents doivent enfin être entendus, compris et soutenus et non-abandonnés à leur chagrin, à leurs pleurs et délaissés face à de terribles injustices subies.

N’oublions pas que l’arbre de la Coparentalité planté le 20 novembre 2021, fêtant ainsi ses deux ans, rappelle que les deux parents doivent participer à la vie de l’enfant, de leurs enfants.

La coparentalité implique que l’enfant est et doit être au centre des préoccupations et n’oublions jamais que la séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale et que chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent.

Ce n’est pas moi qui le dit mais bel et bien le Code Civil Français ! Qu’on se le dise et qu’on l’applique enfin ! 

L’exclusion parentale infligée aux enfants, au mépris de leur protection, n’a nul droit d’être !

L’enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants.

Là encore, ce n’est pas moi qui le dit mais bel et bien le Code Civil Français ! Qu’on se le dise et qu’on l’applique enfin ! 

Que l’arbre des Droits de l’Enfant témoigne de l’urgence à agir.

Ne pas les reconnaître est déjà une violence.

Tous les enfants doivent avoir les mêmes chances de s’épanouir et de grandir auprès de leurs ascendants, tant maternels que paternels.

Pour conclure, je laisserai la parole à deux célébrités pour vous permettre de méditer sur leurs justes propos :

Nelson MANDELA, Homme d'État d'Afrique du Sud n’a cessé de proclamer :

« Nous devons à nos enfants – les êtres les plus vulnérables de toute société – une vie exempte de violence et de peur. »

Et de son côté, comme le déclarait le King, Elvis PRESLEY :

« Les enfants sont la chose la plus précieuse dans la vie. Un parent doit faire tout ce qu'il peut pour donner à un enfant le sens de la famille. » 

A Hellemmes, le samedi 18 novembre 2023

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« A un enfant, quel que soit son âge, on n'a jamais le droit de voler la fin d'une belle histoire. »

Maurice SCHUMANN,

 Homme d'Étatjournaliste et écrivain français.

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