L'ARBRE DE LA COPARENTALITE - 20.11.2021.

Chaque enfant a besoin de ses 2 parents... Qui pourrait toujours le contredire aujourd'hui ? En cas de séparation parentale,  il est  donc particulièrement inacceptable que l'un des 2 parents puisse encore s'attribuer le droit de manœuvrer, de formater l’enfant ou l'adolescent par le mensonge, par la calomnie et la manipulation psychologique dans le but de "démolir" l'autre parent et lui faire ainsi rejeter cet autre parent. En agissant ainsi, en toute inhumanité, ce parent manipulateur et aliénant, cherche, encore et toujours, à s’approprier mentalement l'enfant, commettant de fait un abus psychologique grave. Or, l'enfant demeure bien trop souvent négligé, ses avis ne comptent pas ou si peu et lorsqu'il est manipulé, qui lui vient en aide ?

La justice familiale ne peut davantage ignorer de telles situations et abus psychologiques graves. Qui plus est, l’article 9 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant insiste sur le fait que : « Les États parties respectent le droit de l'enfant séparé de ses deux parents ou de l'un d'eux d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses 2 parents, sauf si cela est contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant ».

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L'AFFICHE DE L'OPERATION DU SAMEDI 20 NOVEMBRE 2021 :

CETTE OPÉRATION EST ORGANISÉE DANS LE CADRE DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE L'ENFANCE ET DES DROITS DE L'ENFANT.

Affiche 20 novembre 2021

Discours de François Scheefer, président de l’association « J’aime mes 2 Parents » lors de la journée du 20 novembre 2021, journée internationale de l'Enfance et des Droits de l'Enfant :

 

Cette année 2021 aura profondément marqué les esprits de par son lot de douleurs et de souffrances ressenties par tant de parents démunis, de grands-parents tout autant démunis et d’enfants profondément meurtris par l’exclusion parentale s’accompagnant le plus souvent d’emprise et de profondes manipulations psychologiques les plus perverses endurées.

Parents et grands-parents injustement écartés de la vie de leurs enfants, de leurs petits-enfants, ne savent plus que faire pour renouer le lien avec eux, enfants embastillés et manipulés, englués par un conflit de loyauté qui les dépasse tant.

Et ce ne sont pas des déclarations incohérentes formulées suite à la publication, le 27 octobre dernier, du premier rapport de la Commission indépendante contre l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) qui viendront calmer les esprits.

Oui, l’inceste doit être combattu coûte que coûte, mais non l’aliénation parentale n’a rien à voir à cela et cette violence psychologique existe bel et bien, hélas. Mal compris chez nous, ce terme avant tout anglo-saxon, nécessiterait peut-être une autre appellation ce que, par exemple, d'autres pays nomment aujourd’hui déjà le phénomène de  « parentectomie ».

Mais peu importe, à ce jour, le terme employé, les faits sont bel et bien là et les violences psychologiques qui en découlent sont bel et bien présentes, à commencer pour l’enfant qui les subit et le parent qui en est à l’origine est autant homme que femme…

Ce n’est ni une question de genre ni question de classe sociale. 

Par contre, c’est bel et bien l’enfant qui en souffre le plus.

 

En cette journée internationale de l'Enfance et des Droits de l'Enfant, on a bien du mal à imaginer à quel point certains de leurs droits fondamentaux sont bafoués au quotidien.

On a bien du mal à imaginer que l'enfant ne puisse pas maintenir le droit, pourtant essentiel, à entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents, mais aussi avec tous ses ascendants, malgré la séparation ou le divorce des parents et, pourtant, il en va ainsi...

Près d'un enfant sur trois en France ne voit plus du tout l'un des deux parents ou sinon une fois par an, au grand maximum deux fois par an.

L'enfant doit pouvoir bénéficier de ses deux parents qui ont et qui conservent, malgré la séparation, une responsabilité commune pour ce qui est d'élever l'enfant et d'assurer son développement.

Et pourtant dans bien des cas, l'un des deux parents en est empêché parce que l'autre parent en a décidé ainsi, au cœur même d'une séparation hautement conflictuelle et que tous les coups sont permis pour éradiquer cet autre parent de la vie de l'enfant.

Ainsi, c'est au quotidien que la convention internationale des droits de l'Enfant, à commencer par ses articles 9 et 18, apparaît comme étant bafouée, reléguée, à tort, aux oubliettes.

Et malheureusement, les services de l’Etat ne sont, à ce jour, toujours pas en capacité d'y remédier et même d'appliquer, d'ores et déjà, la loi en vigueur, mais également de venir mettre en place les procédures nécessaires afin de contrer de tels manquements s'accompagnant le plus souvent d'abus psychologiques graves imposés à l'enfant.

L'enfant est alors devenu un pion sur l'échiquier d'une guerre sans merci où il se retrouve ainsi piégé par un parent possessif souvent manipulateur et même toxique qui transforme l'enfant en soldat soudainement chargé de haïr son autre parent et la famille qui va avec.

Peu importe si l'enfant aime ses deux parents, s'il affectionne ses deux familles, il n'a plus de choix possible et doit alors se soumettre et obéir au parent aliénant. Et la justice, globalement démunie et désorganisée, n’apporte aucune solution et même pire, aggrave, dans bien des cas, la situation.

 

Cette année 2021 a profondément marqué les esprits de par la détresse de tant de parents et collatéralement de grands-parents qui ne savent plus que faire pour renouer le lien avec leurs enfants, leurs petits-enfants, alors que dans le même temps, d’autres pays, y compris en Europe, semblent en passe de réussir, ou sont tout  au moins sur la voie d’y parvenir après avoir réussi à se remettre en question, à se former et à réformer comme il se doit tout ce qui touche à l’enfant et ses fondamentaux et à une justice familiale plus attentive et mieux préparée.

Les terribles effets psychologiques liés à la Covid-19 ont accentué les drames familiaux et les dégâts psychiques sur l'enfant, mais aussi la détresse des adultes qui entourent l'enfant.

La désorganisation, le manque de rigueur et de moyens en terme de justice familiale, tout comme la « déprofessionnalisation » d'un certain nombre de services supposés venir en aide à de telles victimes, accentuent plus encore la gravité de la situation et l’absence d’une réelle action de lutte contre les violences psychologiques subies par l'enfant, au détriment d’autres mesures issues généralement du lobbying ou du buzz médiatique, est inadmissible.

Oui, l’emprise psychologique est un abus. Certes, elle ne se voit pas au premier coup d’œil, elle ne s'entend pas, mais elle est redoutable et les dégâts occasionnés sont considérables.

Or, si ces conflits familiaux intensifiés par l'exclusion et les violences psychologiques endurées, en premier lieu par les enfants, puis par les adultes victimes d'une exclusion sans nom, à la fois injuste et inhumaine, nul ne peut et ne pourra s’étonner que de telles violences psychologiques subies, n’étant pas traitées comme il se doit, de bout en bout, il en résulte alors et immanquablement le fait que la société entre, si ce n’est pas déjà fait, dans un cercle vicieux qui viendra par conséquent auto-entretenir la violence en tout genre, impliquant de graves dérives et déviances, tout comme la perte des repères pourtant essentiels à notre jeunesse et un esprit de famille en haute voie de disparition…

 

Dans ces conditions, l'association « J'aime mes 2 Parents », vient, une fois de plus, tirer la sonnette d'alarme et vient demander à toutes les personnes croyant aux valeurs de notre pays, souvent apparenté au berceau des droits de l'Homme et donc de l'enfant, de prendre leur courage à deux mains et de tout mettre en œuvre pour que de telles situations ne puissent davantage se propager, se poursuivre et à terme persister.

Chacune et chacun se doit de se comporter en citoyen responsable croyant aux valeurs humaines et à ses principes édictés au sein des conventions internationales, telles que celle des Droits de l'Homme ou bien encore celle des Droits de l'Enfant dont c'est le 32ème anniversaire aujourd'hui.

Nos législateurs, nos décideurs ne devraient jamais le perdre de vue et par conséquent œuvrer sans délai pour que l'exclusion parentale et toutes les violences psychologiques subies lors des séparations parentales ultra-conflictuelles ne puissent davantage se maintenir et que chaque enfant victime de violences psychologiques et de phénomènes d’emprise soit rapidement pris en charge, accompagné et aidé afin qu'il puisse retrouver, aussi vite que possible, ses repères et ses racines parentales, ayant bien entendu le droit le plus absolu d'aimer indépendamment ses deux parents, ses deux familles.

J'ose croire, j'ose espérer que la France ne faillira pas à sa noble mission de protéger l'ensemble de ses citoyens, à commencer par les plus jeunes et par conséquent les plus fragiles mais aussi l'un des fondamentaux de notre société, à savoir celui de la famille, celui des familles et leurs valeurs.

La famille, ou plutôt les familles, aussi multiples et différentes soient-elles aujourd’hui, s’organise(nt) généralement autour de l’enfant. Or, n'oublions jamais que l'enfant a besoin de ses deux parents pour se développer au mieux.

 

La coparentalité est nécessaire à la construction de la vie de l’enfant, tout comme l’arbre est nécessaire à la construction de la vie sur Terre. Elle s’apparente à un puissant et réel symbole, par excellence, de la vie en perpétuelle évolution.

L’arbre, symbole de vie, demeure un élément essentiel au quotidien de la société humaine et de son cadre de vie.

Il joue un rôle déterminant pour la survie de l’humanité ; la famille s’apparente au berceau de la vie, à la base de la société, où les individus se rencontrent avec leur histoire et leur désir commun de devenir parent.  

A travers les trajectoires familiales devenues multiples, la coparentalité doit se maintenir, bien au-delà de la séparation parentale et des possibles conflits et ainsi survivre, afin de permettre à l’enfant de se construire au côté de ses parents, figures d’attachement et de sentiments, d’éducation, d’accompagnement et de valeurs, entourés également des autres membres familiaux.

L’arbre de la coparentalité, planté aujourd’hui,  doit le rappeler à chaque instant…

Tout comme l'enfant, l'arbre a besoin de son entourage, il s'en nourrit. 

Que vive la coparentalité !

Que l'enfant puisse s'épanouir, grandir et s'en nourrir…

Alors, non à l'exclusion parentale, non aux violences psychologiques afin de s'approprier l'enfant en plein conflit parental. Mais oui à la protection effective de l'enfant et de son droit fondamental à pouvoir maintenir le lien, aimer et vivre avec ses parents, ses ascendants.

Oui à la coparentalté !

A Hellemmes, le samedi 20 novembre 2021,

François Scheefer, président de l'association.

 

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Inauguration de l'expo : "L'arbre aux Témoignages"

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La plantation de "l'arbre de la Coparentalité"

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La journée du 20 novembre sur les ondes de RCF

Présentation de l'association et introduction de la journée du samedi 20 novembre 2021 par François Scheefer, président de l'association.

Pour entendre cette interview, cliquez sur le lien ci dessous :

https://rcf.fr/actualite/m-comme-midi-hautsdefrance?episode=174758

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L’opération 2021, en 2 temps…

257428326 3966430826790800 3516284211386957812 nLa première partie sera baptisée « L’arbre aux témoignages » et consiste à réunir les élus du Nord de la France, les victimes d’aliénation parentale, d’exclusion parentale, les sympathisants, et tous les publics qui le souhaitent, afin de rendre hommage aux victimes de l'exclusion parentale, de dénoncer de tels abus afin qu’ils ne puissent davantage se reproduire, à commencer pour les enfants, premières victimes profondément atteintes.

Au cours de cette année 2021, l’association « J'aime mes 2 Parents » a publié un total de 60 témoignages recueillis auprès des membres et de sympathisants de l’association.

A en juger par ces témoignages choisis (Il y en a tant d’autres qui pourraient être ajoutés, tout aussi dramatiques, intolérables et même inhumains de par les épreuves abominablement subies, mais également les dysfonctionnements de notre système, son manque de professionnalisme (pour un bon nombre de cas) et de rigueur, son manque de moyens (Apprentissage, formations, suivi de formations, moyens humains et financiers, pour ne citer qu’eux)), si rien n’est fait pour y remédier rapidement, chacune et chacun doit, d’ores et déjà, prendre conscience qu’il s’agit là d’une véritable bombe à retardement qui risque bel et bien d’éclater et de rejaillir sur la société toute entière et sur son avenir…

L’avenir de milliers de familles et d’enfants sont dramatiquement en jeu.

Cette violence psychologique n'est nullement une question de genre ou de classe sociale et met en danger tant les enfants que de nombreuses familles, qu’elles soient maternelles ou paternelles.

Rappelons qu’en 2019, plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) ont totalement perdu le contact avec l’un de leurs deux parents (majoritairement avec leur père). C’est cela la France, aujourd’hui !

Et, plus de 2,5 millions d’enfants voient rarement (1 à 3 fois par an) l’un ou l’autre de leurs deux parents. C’est aussi cela la France, aujourd’hui !

La crise sanitaire a, à coup sûr, accentué ces dramatiques situations et, hélas, augmente ces chiffres déjà alarmants, si cela n’est déjà pas fait… Triste constat…

Avec « l’arbre aux témoignages », l’association peut ainsi symbomiquement rendre hommage à ces soixante familles actuellement déchirées, meurtries et faisant face à une injustice et à une inhumanité inqualifiables, parmi tant d’autres ; des enfants, des mères, des pères et des grands-parents…

Parce que  cette violence et cet abus qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, car ils sont avant tout psychologiques et pourtant particulièrement redoutables et destructeurs, peuvent détruire la moitié du patrimoine parental de l'enfant et conséquemment de la moitié de ses racines, ils peuvent détruire des hommes et des femmes…

Ces 60 témoignages pourront être fixés sur l’un des arbres, ou autour d’un arbre avec des piquets (1,5 m de haut) du Parc de la Mairie d’Hellemmes ou au Parc Eugène Engrand à Hellemmes, devenant ainsi l’arbre aux témoignages pour cette année 2021.

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La seconde partie sera consacrée à la plantation d’un arbre qui deviendrait alors le symbole de la sauvegarde du lien parental ou celui de la coparentalité.

« L’arbre de la sauvegarde du lien parental » ou « L’arbre de la Coparentalité » pourrai alors être tout autant inauguré par des élus de la région et/ou de la Métropole Lilloise, soit au Parc de la Mairie d’Hellemmes (Parc François Mitterrand) ou au Parc sportif Eugène Engrand.

Les premières victimes des manipulations psychologiques sont les enfants, afin de leur faire injustement rejeter l’autre parent dans le cadre de la séparation ultra-conflictuelle de leurs parents. 

Dans ces conditions, la journée du 20 novembre (Journée internationale de l’Enfance et des Droits de l'Enfant) correspond parfaitement à la mise en place de l’opération prévue. Face aux phénomènes d’exclusion et d’emprise mentale, les droits de l’enfant sont clairement bafoués. Pour rappel :

L’article 9 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant : « Les États parties respectent le droit de l'enfant séparé de ses deux parents ou de l'un d'eux d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents, sauf si cela est contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant ».

L’article 18 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant : « Les États parties s'emploient de leur mieux à assurer la reconnaissance du principe selon lequel les deux parents ont une responsabilité commune pour ce qui est d'élever l'enfant et d'assurer son développement ».

Or, non seulement les droits de l’enfant ne sont pas respectés face à de telles situations, mais la violence psychologique subie par l’enfant, devenu soldat ou objet de manipulation, de chantage et/ou de vengeance, dans le cadre des séparations parentales ultra-conflictuelles pour lesquelles rien n’est mis en œuvre à ce jour, ou si peu… est à la fois inhumaine et grave de conséquences.

Selon le psychologue hospitalier Christian BESNARD, également psychologue près la Cour d’appel de Rennes, un enfant qui manipulé, sous emprise, un enfant qui est en permanence nié, rabaissé est plus en danger sur le plan psychique qu’un enfant qui se fait régulièrement frapper.

En effet, ce dernier peut construire son identité tout en prenant des coups parce qu’il peut en attribuer la responsabilité à l’adulte. 

De même, la psychiatre et psychothérapeute familialeMarie-France HIRIGOYEN, qui travaille depuis plus de quarante ans sur les violences psychologiques, explique que les ressorts de l’emprise détruisent les capacités psychiques des victimes et les enferment dans une relation dont elles ont de plus en plus de mal à s’en sortir sans la moindre intervention efficace et professionnelle. 

Or, la violence psychologique attaque la personne dans son intégrité, sa santé psychique et physique. Cela rend malade par le biais du stress ou d'attaques émotionnelles.

C'est une atteinte à la dignité et à l'image de soi qui s’installe parce qu'une personne victime de violence psychologique va avoir une baisse d'estime de soi, va déprimer, avoir des troubles anxieux ou métaboliques. Et bien pire encore selon l’âge de la victime…

Et pour conclure, comme cette psychiatre et psychothérapeute familiale l’affirme : « La violence psychologique peut être plus néfaste que la violence physique, elle peut détruire, bien plus, une personne et laisser des traumas plus importants. »

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En neuf ans, JM2P a entendu, lu, vu, rencontré et pris connaissance de plus de 3000 situations, 3000 familles appelant au secours…, toutes, ou presque, faisant face à des incohérences de la justice familiale, des erreurs inacceptables, l’absence d’écoute et de moyens, la non-application de leurs droits, la non-application de la loi, la non-application de jugements pourtant exécutoires, des silences et des délais dépassant l’entendement, des manques de connaissances et visiblement de formation, des souffrances inacceptables dans un pays pourtant démocratique et considéré comme étant « le berceau et la terre des droits de l’Homme ».

Les 60 témoignages que nous apporterons autour de l’arbre à Hellemmes, la plantation d’un arbre dédié à la coparentalité, au maintien du lien parental, seront des signes forts, face à l’urgence d’agir et de respecter enfin le droit fondamental à tout enfant, à tout parent, à tout grand-parent, à tous les membres de la famille de l’enfant, de respecter la vie familiale, leur vie familiale...

(Article 8 de la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales :« Toute personne a droit au respect de sa vie familiale… ».)

Toutes ces situations sont tellement dévastatrices qu’un nombre grandissant de victimes n’en peuvent plus et risquent le dérapage.

Tous ces désastres ne sont pas et ne sont plus admissibles. Trop de familles sont détruites, mais aussi l’avenir émotionnel et possiblement mental de tant d’enfants et également d’adultes. Cela suffit !

Espérons que nous pourrons nous donner, tous ensemble, rendez-vous à Hellemmes, le samedi 20 novembre 2021 (Journée internationale de l’Enfance et des droits de l’Enfant).

 

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IL FAUT DONC :

Agir

CAR BLOQUER L'ENFANT DANS SA RELATION AVEC L'AUTRE PARENT EST INACCEPTABLE ET, PIRE ENCORE, C'EST INHUMAIN !

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