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4 mars 2022 : La loi relative à l'autorité parentale (n° 2002-305) a 20 ans, mais pourtant...

Le vendredi 4 mars 2022, la France fête les 20 ans de la loi n° 2002-305 relative à l'autorité parentale, à la fois orientée sur l'intérêt de l'enfant et sur la coparentalité en toutes circonstances, y compris lors des séparations particulièrement conflictuelles... Ainsi, l’intérêt de l’enfant est explicitement celui d’être élevé par ses deux parents, reprenant ainsi l’esprit des dispositions édictées par la Convention internationale des droits de l’enfant.

C’était alors une étape importante dans l’évolution du droit de la famille, avec un renforcement significatif du principe de coparentalité et, aussi et surtout, en mettant le focus sur l'intérêt de l'enfant, tout en demeurant, malheureusement, assez évasif quant à l’appréciation dudit intérêt de l'enfant et laissant ainsi les juges libres d'interpréter ce qu’est cet intérêt…

Mais cette loi apparaît, aujourd’hui encore, inachevée compte tenu d’imprécisions venant nuire à la bonne marche de son application, mais aussi face aux conflits parentaux majeurs où l'enfant se retrouve ainsi instrumentalisé au cœur-même des querelles parentales auxquelles il ne devrait jamais être associé.

De plus, il apparaît que cette dite loi est de moins en moins appliquée tout particulièrement lors des conflits parentaux épineux liés à la séparation et cette non-application représente bel et bien une flagrance d'injustice inadmissible et même souvent pusillanime...

Ainsi, à titre d’exemple, les délits de non-représentation d’enfants se trouvent de plus en plus snobés par un système judiciaire se révélant de plus en plus dépassé face aux conflits parentaux qui ne cessent de progresser (Et la crise sanitaire n’a rien arrangé sur le sujet, au contraire) et ne sont pas traités comme il se doit. L’intérêt de l’enfant s’efface devant de tels abus, des abus pouvant aller jusqu’à l’emprise psychologique subie alors orchestrée par un parent devenu manipulateur et possiblement toxique, afin d’éradiquer la relation de l’enfant avec son autre parent, mettant ainsi à mal, pour ne pas dire instaurant une éradication pure et simple dans les cas les plus graves, de la moitié des racines et du patrimoine de l’enfant, qu’elle soit maternelle ou paternelle, le plus souvent, en toute impunité. L'exclusion parentale qui s’installe n’a pas de genre et touche toutes les classes de la société.

Depuis 10 ans, l’association « J'aime mes 2 Parents » ne cesse d'alerter les gouvernants, les législateurs et autres élus à propos de ces dérives de plus en plus graves, de ces non-applications et des impératives compléments à la loi à mettre en place au plus vite. A ce jour, hélas, les dégâts continuent de progresser malgré une certaine prise de conscience de la part des pouvoirs publics mais une indécrottable inertie portant un lourd préjudice à l’enfant, détruisant de plus en plus de familles à travers le pays, piétinant allègrement le droit fondamental à la vie familiale, au mépris des règles, au mépris de la loi et des conventions pourtant ratifiées par la France !

 

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La justice familiale doit être au coeur des Etats Généraux de la Justice prévus à l'automne 2021

L’association « J’aime mes 2 Parents » invite le Président de la République à prendre conscience que lorsque l’on parle des Etats Généraux de la Justice annoncés pour cet automne 2021, cela doit absolument englober la justice civile et donc celle de la famille et non se focaliser, encore et toujours essentiellement sur les sujets poussés médiatiquement et/ou qui font « le buzz », tels que la politique carcérale ou bien encore le monde du pénal et des féminicides, des violences (physiques) conjugales,…, compte tenu des événements relayés sur les médias nationaux, des grèves répétées et des mouvements sociaux divers de ces dernières années ! Outre l’urgence de venir en aide et de prendre les mesures qui s’imposent auprès des enfants victimes de violences et abus psychologiques lors des séparations parentales ultra-conflictuelles, violences qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, et pourtant particulièrement redoutables et destructrices, il apparaît, clairement et indubitablement, que la justice familiale a trop souvent été délaissée et doit être enfin et consciencieusement « soignée » afin d’éviter tant de dysfonctionnements et de situations totalement anormales, pourtant subies, parfois même en totale inobservation et la non-application de jugements exécutoires rendus et de la loi elle-même et de conventions Européennes et internationales (La Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales, la Convention Internationale des Droits de l’Enfant) que la France a pourtant ratifiées.

Hélas, puisque la justice d’aujourd’hui est de moins en moins capable de venir protéger les victimes de l’exclusion parentale, au cœur-même des séparations parentales et des divorces particulièrement conflictuels. engendrant drames et tragédies familiales, de plus en plus de parents victimes n’étant même pas reconnues, étant même méprisées par le système judiciaire, parce que les jugements rendus ne sont même pas appliqués (par exemple les non-représentations d’enfant) sont au bout du rouleau et les enfants sont profondément meurtris. Tant de familles sont détruites, mais aussi l’avenir émotionnel et possiblement l’avenir mental de tant d’enfants et d’adultes sont en jeu.

L'Etat doit prouver que toutes les victimes de l'exclusion et de l'aliénation parentales ne sont pas des parias de la société...

Janvier/février 2022 : Face à l'exclusion parentale, face à l'aliénation parentale, jusqu’à preuve du contraire, ce quinquennat aura été un échec absolu, comme les précédents d’ailleurs, alors que, dans le même temps, d'autres pays européens ont avancé sur la question ; ils ont reconnu l’urgence d'agir et ont agi... Or, la France a, au contraire, reculé. 

Le comportement du Secrétariat d’Etat à l’Enfance et aux Familles qui promettait de répondre aux demandes et aux attentes présentées sur le sujet, au fil du temps, depuis 2019, laisse même supposer que le sujet est purement « tabou », alors que l’exclusion parentale, s’accompagnant le plus souvent de phénomènes d'emprise psychologique et de manipulations mentales infligés aux enfants lors de la séparation parentale ultra-conflictuelle, fracassent des milliers et des milliers de familles (Enfants et adultes) chaque année, et de manière exponentielle aujourd'hui (L'une des conséquences de la crise sanitaire). Il suffit, pour s'en convaincre, de voir sur le terrain les tragédies qui se jouent.

Aujourd’hui, plus d'un quart des enfants de France ne voient plus du tout (ou au grand maximum une à deux fois par an) l'un de leurs deux parents.

Cette exclusion n’est nullement une question de genre ou bien encore de classe sociale.

Nul ne peut continuer à faire comme si tout cela n’existait pas, comme si tout cela n’avait pas la moindre importance.

Il reste bien peu de temps au Gouvernement pour venir prouver que toutes les victimes de l'exclusion et de l'aliénation parentales ne sont pas des parias et des laissés-pour-compte de la société, qu’elles y ont toute leur place, que leur statut de victime sera enfin reconnu, que prioritairement les enfants seront pris en charge et les familles victimes aidées, accompagnées et suivies par de vraies équipes de professionnels.

Certes cela ne peut pas se faire en trois mois, mais les pistes doivent être élaborées, le lancement d’une campagne de lutte contre les violences psychologiques doit être menée (Telles que les phénomènes d'emprise psychologique et de manipulations mentales infligés aux enfants lors de la séparation parentale ultra-conflictuelle), sans oublier une communication effective et particulièrement visible sur le sujet dans les plus brefs délais...

OMS : L’aliénation parentale est liée à un problème de santé mentale, au diagnostic problème de relation "parent-enfant" et est indexée dans la CIM-11

Nous y sommes… !

L’aliénation parentale est bel et bien liée à un problème de santé mentale renvoyant au diagnostic "problème de relation "parent-enfant", l’aliénation parentale est officiellement indexée dans la CIM-11.

 

Les États membres de l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) ont définitivement adopté le 25 mai 2019 la onzième révision de la Classification statistique internationale des maladies et des problèmes de santé connexes (CIM-11) qui fut proposée le 18 juin 2018. Elle entrera internationalement en vigueur dès le 1er janvier 2022.

 

Malgré les efforts de groupes idéologiques et politiques, incluant des groupuscules ultra-féministes, pour empêcher la version de la CIM-11 proposée depuis le 18 juin 2018 contenant à l’index de la classification le terme « aliénation parentale » en l’associant au code « QE52.0 » se rapportant aux pathologies relatives au problème de relation "parent-enfant", la validation est définitivement acquise.

 

L’O.M.S., devant les multiples apports et preuves scientifiques du monde entier, n’a donc pas cédé à la pression, ni aux vagues de désinformation et de fausses nouvelles relatives à l'aliénation parentale. L’aliénation parentale est donc enfin reconnue comme étant un problème de santé mentale et cette reconnaissance est bel et bien acquise.

Cette nouvelle classification a donc été établie et validée de manière transparente et sur la base de la collaboration internationale.

 

Déclaration de l’O.M.S. : « La CIM est le garant de l’identification des tendances dans le domaine de la santé et la pierre angulaire des statistiques à l’échelle mondiale et constitue la norme internationale en matière de notification des maladies et des problèmes de santé. Il s’agit de la classification standard des diagnostics à des fins cliniques et de recherche. La CIM sert à définir les maladies, les troubles, les traumatismes et les autres problèmes de santé connexes.

 

En outre, la CIM tient compte des facteurs qui influent sur la santé et des causes externes de mortalité et de morbidité, permettant d’avoir un aperçu global de chaque aspect de la vie susceptible d’avoir une influence sur la santé.

 

Il est essentiel de comprendre de quoi les personnes tombent malades et de quoi elles finissent par mourir pour établir les tendances relatives aux maladies et cartographier les épidémies, pour décider comment programmer les services de santé, pour allouer les fonds destinés à la santé et pour investir dans l’amélioration des thérapies et de la prévention. La CIM-11 est désormais adaptée à de multiples usages, notamment l’enregistrement des données cliniques, les soins de santé primaires, la sécurité des patients, la résistance aux antimicrobiens, l’allocation des ressources, le remboursement, la répartition des cas, outre les statistiques de mortalité et de morbidité.

 

La CIM-11 a été actualisée et adaptée aux réalités du XXIe siècle et tient compte des principales avancées de la science et de la médecine. Elle peut désormais être efficacement intégrée aux applications et aux systèmes d’information électroniques utilisés dans le domaine de la santé. Cette nouvelle version totalement électronique permet d’enregistrer plus de détails et elle est beaucoup plus facile à utiliser ; ce qui entraînera moins d’erreurs et de moindres coûts ; et rendra l’outil beaucoup plus accessible, en particulier dans les milieux à faibles ressources. »

 

Nous ne pouvons que féliciter toutes celles et tous ceux qui ont contribué à ce pas de géant, à commencer par le Professeur William BERNET du Département de Psychiatrie à l'Université de Médecine de Nashville aux Etats Unis et Président du Groupe International d'études sur l'aliénation parentale (PASG). On ne peut qu’être heureux de cette décision finale à laquelle l’Etat Français ne pourra davantage ignorer et jouer à la sourde oreille, à laquelle le Ministère de la Justice devra impérativement tenir compte et par conséquent rectifier auprès des Magistrats et professionnels de la justice, les inqualifiables prises de position (A l’époque véhiculées par Madame Laurence ROSSIGNOL, alors Ministre des Familles et que Madame Nicole BELLOUBET a suivies aveuglément alors que la version proposée de la CIM-11 venait d’être dévoilée depuis le 18 juin 2018, considérant à tort que l’aliénation parentale ne bénéficiait d’aucune reconnaissance scientifique).

 

L’association JM2P qui avait déjà réagi face à ces aberrations véhiculées l’été dernier par Madame Nicole BELLOUBET, Ministre de la Justice (Suite à sa réponse écrite en date du 12 juillet 2018, faisant suite à la question écrite n° 02674 publiée dans le J.O. du Sénat en date du 28/12/2017, provenant de Madame Laurence ROSSIGNOL, ancienne Ministre des Familles et aujourd’hui Sénatrice de l’Oise) et qui n’avait d’ailleurs pas daigné nous répondre, vient à nouveau d'intervenir auprès de cette dernière afin de demander d’apporter au plus vite les corrections qui s’imposent par rapport à ce qu’elle avait publié sur le site « Intranet » de la direction des affaires civiles et du sceau du Ministère de la Justice pour informer les magistrats du caractère controversé et non reconnu… !

Qu’on se le dise, que la France le sache : L’aliénation parentale est associée à un problème de santé mentale (Sous la codification « QE52.0 ») et cette reconnaissance ne peut être davantage ignorée.

"LES BALLONS DU 25 AVRIL 2019" contre l'aliénation parentale et l'exclusion.

Le 25 avril 2019 : Nouvelle journée mondiale contre l’aliénation parentale et la lutte pour le maintien du lien familial.

Cette année, le 25 avril 2019 sera un jeudi. L'association met d'ores et déjà en chantier sur la Métropole Lilloise une nouvelle opération des "BALLONS DU 25 AVRIL". (Ballons biodégradables). Comme les années précédentes, nous avons l'intention de faire un vaste lâcher de ballons biodégradables en fin de journée le 25 avril prochain (A 17h00), des ballons accompagnés de messages d'espoir, de messages adressés aux enfants ou adolescents illégalement devenus "orphelins" de leur maman ou de leur papa, parce que l'autre parent a décidé de saborder les relations entre l'enfant ou l'adolescent et le parent inhumainement écarté, et collatéralement, les grands-parents et autres membres de la famille du parent illégalement isolé.

Si vous avez des idées pour médiatiser l'opération, pour la soutenir et lui permettre d'avoir un impact plus important dans la Métropole, dans la région et à travers la France et même hors de nos frontières, n'hésitez pas car nous comptons sur vous, nous comptons sur toutes celles et tous ceux qui se sentent concernés par ce terrible phénomène d'emprise et de manipulation infligé à l'enfant ou l'adolescent.

N'hésitez pas à nous faire part de vos suggestions : JM2P@outlook.fr  

Pour en savoir plus sur l'opération de l'an dernier : "LES BALLONS DU 25 AVRIL 2018"

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Le 20 novembre : Journée Internationale des droits de l'enfant. L'association JM2P monte au créneau !

► En 1995, l’Assemblée Nationale a décidé d’inscrire au calendrier national le 20 novembre comme étant la « Journée Mondiale de la défense et de promotion des droits de l'enfant » célébrant du même coup la convention internationale des droits de l'enfant adoptée le 20 novembre 1989 rappelant parmi ses 54 articles :

L’article 9 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant : « Les États parties respectent le droit de l'enfant séparé de ses deux parents ou de l'un d'eux d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents, sauf si cela est contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant ».

L’article 18 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant : « Les États parties s'emploient de leur mieux à assurer la reconnaissance du principe selon lequel les deux parents ont une responsabilité commune pour ce qui est d'élever l'enfant et d'assurer son développement ».

► La France fut parmi les tous premiers pays européens a avoir ratifié la Convention relative aux droits de l'enfant. En France, ce traité international est entré en vigueur dès le 2 septembre 1990.

Aujourd'hui encore, un certain nombre de pays n'a pas mis en application ce traité (malgré signature).

Par exemple : Les USA, la Somalie. (Source Wikipédia)

 

               Description de cette image, également commentée ci-après

 

Un peu partout à travers le monde, cette journée internationale des Droits de l'Enfant du 20 novembre fait l'objet de célébrations et manifestations festives en tous genres. 

► Cette année encore, en 2018, l'Association "J'aime mes 2 Parents" sensibilise, autant que possible, notre cause et celle des enfants injustement devenus orphelins de mère ou de père, en toute impunité, auprès des médias, de l'ONU (Haut Commissariat aux droits de l'Homme), de l'UNICEF et du Défenseur des Droits. La France oublie qu'elle bafoue les droits fondamentaux de l'enfant en cas de séparation conflictuelle des parents pouvant entraîner en toute impunité l'exclusion de l'un des 2 parents dans la vie de l'enfant. En effet, plus de 920.000 enfants ne voient plus l'un de leurs 2 parents. Empêcher les violences psychologiques pouvant être infligées aux enfants lors de séparations conflictuelles (Emprise, manipulation et mensonges afin de s'accaparer les enfants et de faire en sorte qu'ils rejettent petit à petit l'autre parent), doit être une action essentielle, or la France se tait, sa justice n'est pas ou n'est plus capable de réagir et d'agir, faute de moyens et de formations. Cela ne peut plus être toléré. Chaque enfant a droit et a besoin de ses deux parents, de ses racines maternelles autant que paternelles.

Il est plus que temps de rappeler haut et fort auprès du Gouvernement Français et de la Présidence Française que :

 

   CHAQUE ENFANT A LE DROIT DE VIVRE ET DE COMMUNIQUER AVEC SES DEUX PARENTS.

 

  CHAQUE ENFANT A LE DROIT DE COMMUNIQUER TANT AVEC SES ASCENDANTS MATERNELS QUE SES ASCENDANTS PATERNELS.

 

  CHAQUE ENFANT AIME INDEPENDAMMENT SES DEUX PARENTS ET DOIT DONC POUVOIR LES AIMER LIBREMENT ET INDEPENDAMMENT.

 

   CHAQUE ENFANT A BESOIN DE SES DEUX PARENTS. AUCUN ENFANT N’A ET NE DOIT DIVORCER DE L’UN DE SES DEUX PARENTS.

 

  LE DROIT À LA VIE FAMILIALE EST UN DROIT FONDAMENTAL À CHACUN, À COMMENCER POUR L’ENFANT (Art.8 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme).

 

  TOUTE EMPRISE ET MANIPULATION MENTALES ÉXERCÉES SUR L’ENFANT AFIN DE L’ÉCARTER DE L’UN DE SES DEUX PARENTS EST UN DÉLIT, UN ABUS PSYCHOLOGIQUE GRAVE.

 

  TOUT DOIT ÊTRE MIS EN ŒUVRE POUR APPLIQUER L’ENSEMBLE DE CES PRINCIPES.

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Celles et ceux qui souhaitent diffuser l'affiche informative ci-dessous, n'hésitez pas à l'imprimer (Affiche disponible ci-dessous).

Un excellement moyen pour les adhérents se trouvant hors de la région des Hauts-de-France de faire connaître votre légitime combat, notre juste et légitime combat et de faire adhérer les gens autour de vous. Merci.

AFFICHE INFORMATIVE - A diffuser :

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O.M.S. : La CIM-11 est parue aux Etats-Unis le 18 juin 2018.

Pour les professionnels, il apparaît à partir de ce jour que même si l’aliénation parentale n'est pas formellement incluse en tant que telle dans la liste des maladies, elle est dorénavant incluse dans l'index des termes se rattachant à la proposition finale de la CIM-11 (ICD-11 en anglais) sous le code « QE52.0 » se rapportant aux pathologies relatives au problème de relation "parent-enfant". Malgré tout, un grand pas est franchi !

 

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Mobilisation le 16 mai 2018, pour l'équité parentale - Chaque enfant a droit à ses 2 parents et a besoin d'eux.

C’est après mûre réflexion et consultation du Bureau exécutif et faisant référence à la mention « ...dont l’objectif nous rejoint en partie » (car l'équité implique autant les mamans que les papas) que l’association se sent concernée et encourage ses adhérents à prendre part à la manifestation du 16 mai 2018 devant les TGI de France. L’association sera présente devant le TGI de LILLE de 12h00 à 14h00 (temps fort, mais la mobilisation s'achève à 18h00), et les adhérents des autres secteurs de la région des Hauts de France (TGI d’ARRAS, d’AMIENS,…) tout comme les adhérents des autres régions de France, peuvent s’y associer également près de chez eux. Vous trouverez selon le département où vous résidez, toutes les informations liées à cette manifestation nationale du mercredi 16 mai 2018 à l’adresse : http://www.equiteparentale.com/

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Pour le Nord de la France (Nord-Pas-de-Calais), c'est le TGI de LILLE  uniquement qui est finalement le théâtre du rassemblement des Hauts-de-France pour défendre l'équité parentale. Au total, 22 TGI sont au contact avec le mouvement : ANGERS, BORDEAUX, BOURG-EN-BRESSE, BESANÇON, CAEN, CASTRES,  EVREUX, GRENOBLE, LILLE, LYON, MULHOUSE, NANTES, ORLÉANS, PAPEETE, PARIS, POITIERS, REIMS, RENNES, SAINT-ETIENNE, SENLIS, TOULON et TOULOUSE.

 

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2018 : SIGNEZ LA PETITION INTERNATIONALE CONTRE l'ALIENATION PARENTALE

N'hésitez pas à signer la pétition internationale adressée à l'association Américaine de Psychologie (APA) qui représente l'un des plus importants organes de décision en matière de pathologies et de reconnaissance des troubles psychologiques et psychiatriques à travers le monde.

Le nom de cette pétition : Ending the Pathology of "Parental Alienation" for All Children Everywhere. 

(Mettre fin à la pathologie de "l'aliénation parentale" pour tous les enfants du monde).

Ci-dessous le lien direct à la pétition :

https://www.change.org/p/the-american-psychological-association-ending-parental-alienation-pathology-for-all-children-everywhere?utm_medium=email&utm_source=petition_signer_receipt&utm_campaign=triggered&j=254048&sfmc_sub=179406241&l=32_HTML&u=46244908&mid=7233052&jb=718237

 

Merci ! Signez et faites signer autour de vous ! On compte sur vous !

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JM2P à l'honneur dans le bulletin Municipal "Hellemmes Actualités" - Mars / avril 2017.

Dans le bulletin Municipal de la Ville d'Hellemmes n°45 (HELLEMMES Actualités) de mars-avril 2017, l'association et son action sont présentées aux habitants d'Hellemmes (Le siège social étant fixé à la Mairie de la Municipalité). C'est un moyen supplémentaire de faire connaître autour de nous ce qu'est l'exclusion parentale (l'aliénation parentale) et ce que JM2P tente de mener depuis des années maintenant afin de la combattre.

A lire...

Jm2p dans bulletin d hellemmes 03 2017Merci à la Municipalité d'Hellemmes de soutenir notre travail et nos actions.  

La nouvelle loi 2016 (19 mai) relative au divorce par consentement mutuel.

Un aperçu sur les chiffres du divorce en France aujourd’hui et la nouvelle loi sur le divorce par consentement mutuel.

 

En moyenne 130 000 divorces sont prononcés tous les ans en France...

Le nombre de divorce augmente constamment depuis 2010 : 1,8 mariages pour 1 divorce (en 1972 il y a eu 44738 divorces).

En clair, le taux de divorce en France est de 10 environ, chaque année 10 couples mariés sur 1000 divorcent (1 %).

Il y a donc environ 45 % des mariages qui finissent par un divorce.

 

La nouvelle loi sur le divorce par consentement mutuel sans passer par le Juge des Affaires Familiales,

Le 19 mai 2016, nos députés ont adopté un texte de loi sur « le divorce par consentement mutuel sans passer par le J.A.F. ».

Il semble que ces députés veuillent désengorger les tribunaux, qui, à ce jour, doivent traiter près de 60 000 divorces par consentement mutuel. En 2015, 56 000 divorces par consentement mutuel ont été prononcés, soit 54 % des procédures (source LE MONDE).

Ce qui provoque une levée de boucliers des opposants à cette loi (représentants des Juges et Avocats, Associations familiales, collectifs féministes, Associations de protection de l’enfance, etc.) la plus discutée de cette réforme qui a pour nom « Justice du XXIème Siècle », qui prévoit également la suppression des tribunaux correctionnels pour les mineurs.

Cet amendement vient du Garde des Sceaux et Ministre de la Justice, Jean-Jacques URVOAS.

Cette procédure de divorce donnera lieu à un accord écrit, validé par les avocats de chaque époux, et pour finir par être signé chez un notaire. A noter que l’homologation par un juge sera nécessaire dans le cas où un enfant mineur demande une audition.

L’idée affichée par le législateur, c’est de « déjudiciariser » les divorces par consentement mutuel, ce qui a déjà suscité beaucoup d’opposition (en 1997, 2001, 2207 et 2013).

Pour les magistrats il y a toujours un risque qui existera lorsqu’on fait face à un divorce ou une séparation de couple avec enfant(s). Ce nouveau texte tient compte de la place de l’avocat.

Pour le Président du Conseil National des Barreaux, c’est « un outil de pacification » contrairement à « l’idée que l’avocat alimente le contentieux... ».

Celui-ci compte d’ailleurs interpeller le parlement sur le souhait que l’homologation du juge soit systématique, et demeure opposé au fait que les couples avec enfant(s) évitent le juge.

En revanche,  il défend depuis longtemps le divorce par consentement simplifié chez les couples sans enfant, restant de ce fait « un service public ».

Pour les notaires cette mesure va dans le bon sens, car ces actes ne devraient coûter que 50 euros, et avec près de 10 000 notaires répartis sur 6 800 points d’accueil, ils pensent répondre à cette mission.

 

Que faut ’il retenir de cette nouvelle loi pour notre, pour VOTRE association ?

Depuis la création de notre association JM2P, notre discours n’a pas changé, notre combat est et restera le même afin que l’enfant ou les enfants issu(s) de couples séparés conserve(nt) le lien avec les deux parents et que le droit fondamental à vivre avec les deux parents soit respecté.

L'enfant ne doit jamais servir d’otage à l’un ou l’autre des parents. Le conflit parental ne le regarde pas et ne doit pas le concerner. L'enfant aime ses deux parents indépendamment.

C’est L’AMOUR qui guide notre action, L’AMOUR de l’enfant envers ses deux parents, et L’AMOUR des deux parents envers leurs enfants.

Généralement lorsqu’on est ensemble, lorsqu'on vit en couple, tout va bien, tout est merveilleux, on est souvent considéré comme la plus merveilleuse des mamans et le plus merveilleux des papas, mais lorsque la séparation apparaît on devient alors la pire des mamans et le pire des papas, chacun se jetant des horreurs à la figure.

Aussi, est-ce que cette loi va dans le sens de notre action, va-t-elle permettre de pacifier vraiment les séparations et divorces, empêcher les conflits, empêcher les "prises d'otage" d'enfants ?

Pour les divorces sans enfant, le problème ne se pose pas, mais c’est lorsqu’il y a des enfants et que leurs parents se séparent que le conflit peut être terrible et le contentieux risque de perdurer.

Est-ce que cette loi peut permettre de vraiment pacifier le conflit et faire en sorte que l'un des deux parents ne puisse pas se servir de ses enfants pour se venger de l’autre parent.

Du côté « financier » : ce n’est pas garanti que les dépenses reviennent moins chères pour les personnes, puisqu’il faut prendre un avocat pour chacun des deux époux, au lieu d’un seul auparavant en cas d'entente...

Du côté « affectif » : dans certains pays l’Aliénation Parentale pouvant apparaître lors de séparations conflictuelles est sanctionnée (Par ex. : au Brésil,  depuis la loi de 2010) et de plus en plus de juridictions reconnaissent aujourd’hui l’Aliénation Parentale et ses conséquences. Dans ces conditions, ne vaut-il pas mieux aller à l’essentiel et programmer une loi  globale sur le divorce ou la séparation et prendre les mesures nécessaires afin de sanctionner tout parent aliénant, plutôt que de faire des mesures de type « pansement », petits bouts par petits bouts, qui, à mon avis, ne règle aucunement le problème de l’exclusion parentale.

Le débat reste ouvert. 

Michel DEMUYTER

En quarante ans le divorce par consentement mutuel n a pas conquis toute la france

JM2P a participé à la journée des Unités Territoriales de Prévention et d'Action Sociale du Département du Nord le vendredi 29 avril 2016.

Compte tenu de l’évolution des modèles familiaux, des avancées législatives qui ont bouleversé la société contemporaine ces dernières années, une journée de réflexion pour les Unités Territoriales de Prévention et d'Action Sociale du Département du Nord s'est déroulée le vendredi 29 avril 2016 sur le thème : "La famille évolue, parlons-en", à la Salle André Malraux à Lambersart (59130).  

Dans le cadre de cette journée, JM2P a pu participer au forum des associations, ce qui fut l'occasion de mieux nous faire connaître au sein du Département du Nord notre association et son oeuvre et de sensibiliser les personnels des UTPAS au phénomène d'aliénation parentale et de ses terribles conséquences sur l'enfant ou l'adolescent victime de manipulation et d'emprise, et les parents et familles soudainement exclus en toute injustice et en toute inhumanité de ces enfants ou adolescents victimes de cette aliénation parentale, par conséquent victimes d'une véritable violence psychologique. Nous avons reçu une écoute particulièrement favorable et les différents personnels rencontrés ont confirmé l'augmentation de ces phénomènes d'emprise, de séparations conflictuelles grandissantes, ce que nous, en tant qu'association, nous rencontrons également lors de nos permanences. Un certain nombre de reponsables d'UTPAS devrait reprendre contact afin de rencontrer leurs équipes et de les sensibiliser à cette problématique engendrée par l'exclusion parentale. A suivre... 

Un grand merci à celles et à ceux qui ont mis en place cette journée du 29 avril 2016 et qui ont permis à "JM2P" d'y participer et de s'y faire connaître.

(N.B. : Cette rencontre s'adressait aux professionnels, essentiellement les assistantes sociales du Département du Nord)

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Pour que l’Assemblée des Nations-Unies déclare l'année 2017 : « Année internationale de la coparentalité ».

2017, année internationale de la coparentalité ?

Vous pouvez y contribuer... Déjà plus de 7000 signatures... Il en faut bien plus encore...

Suite à la résolution adoptée par l’Assemblée Générale des Nations Unies étant intitulée « Un monde digne des enfants » (S-27/2, du 10 mai 2002) et qui reconnaît la responsabilité partagée des parents pour ce qui est d'éduquer et d'élever les enfants, et l'importance de mettre tout en œuvre pour veiller à ce que les pères, comme les mères aient la possibilité de participer à la vie de leurs enfants,

Suite aux conventions européennes et internationales qui reconnaissent le droit à la Famille, le droit à l'enfant séparé de ses deux parents ou de l'un d'eux d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents,… (Droits de l’Homme – Droits de l’Enfant) :

Il apparaît essentiel de mettre en œuvre :

Une année internationale pour sensibiliser l'opinion publique et l'ensemble des élus de toutes les nations sur l'importance du rôle de chacun des deux parents - qu'ils soient ensemble, séparés ou divorcés - auprès de leur(s) enfant(s).

Une année afin de créer des lieux de rencontre afin d'imaginer des solutions pour favoriser et surtout valoriser l'engagement de chaque parent auprès de leur(s) enfant(s),

Une année pour repenser à une plus grande équité (notamment dans le partage du temps parental) entre les deux parents en cas de séparation / divorce, dans le plus grand intérêt de l'enfant, l’enfant ayant besoin de ses DEUX parents.

Une année afin de reconnaître le rôle prépondérant de chaque parent et célébrer l'engagement de chacun auprès de leur(s) enfant(s).

Une année pour se rappeler que chaque enfant à DEUX parents uniques - un père et une mère (*) - qui ont les mêmes droits et les mêmes responsabilités afin de lui offrir les meilleures conditions de vie possibles, lui donner de l'affection, lui apporter aide et protection, l’écarter de toute forme de maltraitance (Y compris de l’aliénation parentale reconnue comme étant une maltraitance psychologique sévère par de nombreux psychiatres, pédopsychiatres, psychologues et autres professionnels à travers le monde), de toute exploitation et de discrimination, lui donner une éducation, favoriser l’épanouissement de sa personnalité, lui transmettre des valeurs et respecter son patrimoine, autant maternel que paternel.

Dans cette perspective, indépendamment des couleurs politiques, sociales ou religieuses, qu'on soit papa, maman, grand-mère ou grand-père, ou simplement citoyen attaché aux droits des personnes, nous demandons à l'Assemblée des Nations-Unies de déclarer l'année 2017 : Année internationale de la coparentalité.

Pour contribuer à cette légitime requête, n’hésitez pas à vous connecter directement sur le lien ci-dessous :

https://www.change.org/p/2017-ann%C3%A9e-internationale-de-la-coparentalit%C3%A9-international-year-of-co-parenting

afin de vous associer à cette demande, de la signer et de la diffuser, autant que possible, autour de vous, afin que cette pétition puisse être adressée aux membres de l’Assemblée Générale des Nations Unies, avec autant de signatures que possible. Merci.

 

(*) : C’est un constat d’ordre général (Appelé concept de « famille nucléaire » comprenant un père, une mère et les enfants), amené à présent à des variations avec l’homoparentalité reconnue (biologiques, psychologiques ou légales).

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Plus d'enfants victimes de sérieux conflits parentaux... Et l'aliénation parentale est bien présente...!

Selon les dernières observations faites, malgré la loi de la famille de 2002 reconnaissant le principe de la coparentalité, malgré la loi de 2004 simplifiant les procédures du divorce, le nombre d'enfants se trouvant impliqués dans la séparation hautement conflictuelle de leurs parents serait en augmentation. 10% des séparations sont particulièrement conflictuelles. Quelque 1 000 à 1 100 enfants sont enlevés chaque année en France par l'un de leurs parents. Près de 28 000 plaintes et plus de 130 000 mains courantes pour non représentation d'enfants sont enregistrées chaque année. Et d'après Le Quotidien du médecin (n° 8 469),  les conséquences de l'aliénation parentale concerne actuellement, chaque année, de 5 à 10 % des 75 000 divorces avec enfant(s).

Divorce blog

Octobre 2015 : Face à l'ultime espoir juridique pour retrouver Laura S.

Ultime espoir fh org

En ce mois d'OCTOBRE 2015, la situation est gravissime car depuis près de 400 JOURS après le retour en France de François SCHEEFER, père de Laura (Pour raisons de santé majeures) et le fait que l'Autorité centrale Française (Par conséquent le Ministère de la Justice) fut saisie en urgence afin que celle-ci obtienne auprès de son homologue islandaise le respect immédiat et l'application urgente de la Convention de la Haye du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfant, visant l'organisation et/ou la protection de l'exercice effectif du droit de visite, rien n'a été fait. Malgré l'intervention de plusieurs députés et de notre association auprès de Madame TAUBIRA, la France se contente d'attendre alors que la procédure risque de passer à la trappe parce que l'ISLANDE à dès cette saisine maintenu un silence absolu et que la FRANCE n'a donc pas réagi et que ce turpide et abject silence a empêché toute instruction de procédure.

Par conséquent, à aucun moment la famille SCHEEFER n'a été contactée, ni même été consultée et les autorités islandaises vont sans aucun doute venir déclarer d'ici peu que Laura ayant 16 ans au cours de ce mois d'octobre 2015,  plus rien ne sera fait... Un scénario hélas plus que prévisible et donc amplement dénoncé et qui demeure  absolument abominable.

La malhonnêteté islandaise au cours des nombreuses années écoulées dans cette affaire a déjà et malheureusement largement fait ses preuves.

L'article 4 de ladite Convention de la Haye du 25 octobre 1980 stipule : "L'application de la Convention cesse lorsque l'enfant parvient à l'âge de 16 ans." Tout le monde a d'ores et déjà compris la manœuvre...!  Laura qui avait encore 14 ans lorsque la double procédure dans le cadre de cette Convention fut engagée, aura 16 ans au cours de ce mois d'octobre 2015.  

Jusqu'à preuve du contraire, les autorités Françaises saisies démontrent leur embarras abandonnant ainsi des citoyens Français dans la douleur, victimes d'injustices et d'inhumanité, laissant la jeune Laura à son triste sort d'enfant manipulée, d'enfant victime d'aliénation parentale, où les droits les plus fondamentaux qui soient de toute une famille sont bafoués, à commencer par celui de la Famille (Article 8 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme). 

Un tel immobilisme vient, de plus, réduire à néant les propos du Président de la République, François HOLLANDE qui, à Mexico, le 10 avril 2014, déclarait haut et fort :

« La France n’abandonne personne... Il peut y avoir des ressortissants Français qui, à la suite de séparations, de drames conjugaux, peuvent être séparés. Sachez bien que la France sera toujours à vos côtés, qu’elle n’abandonne personne, aucun ressortissant.»   

Pour que les racines et le patrimoine paternels de Laura ne soient pas réduits à néant, le Président François HOLLANDE et son homologue islandais Ólafur Ragnar GRÍMSSON doivent enfin faire appliquer, coûte que coûte, par leurs propres instances, les règles et conventions en vigueur...

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Une nouvelle banderole pour promouvoir l'association.

Afin de mieux promouvoir l'association, afin d'être davantage vus lors des diverses actions et manifestations auxquelles l'association participe, une nouvelle banderole de 183 cm sur 76 cm a été inaugurée fin juin 2015; un outil de communication précieux et qui permettra de mieux faire connaître l'aliénation parentale en quelques coups d'oeil.  

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Message aux adhérents : Faites connaître l'association autour de vous. Merci.

Pour développer notre jeune association,

Pour mener à bien nos actions, nos projets, l’accueil lors de nos permanences mensuelles, mais aussi et surtout pour développer les actions de sensibilisation et d’information,

Pour mener à bien notre mission, nous comptons sur votre soutien, sur le soutien de tous.

Cette association est aussi, et avant tout, la vôtre.

Faites la également connaître autour de vous.

Adhérez, renouvelez votre adhésion pour 2015, faites adhérer celles et ceux, autour de vous, qui souhaitent participer à l’association, obtenir son aide conformément à sa mission.

Nous comptons sur vous tous. Merci à vous...