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Bienvenue sur notre site ! - De quoi apprendre, comprendre et répondre... L'ENFANT EST AU CENTRE DE NOS PREOCCUPATIONS. QUI PLUS EST, IL A BESOIN DE SES 2 PARENTS.

"Briser les chaînes de l'emprise" vibrant récit (aliénation parentale)

Troisième volet de la trilogie de Jean-Luc BERNARD, auteur, « Briser les chaînes de l'emprise »… Un incontournable récit à découvrir (2021) « Un ...

Permanence du samedi : Mai 2024

Samedi 11 mai 2024 de 09h00 à 12h00 (Arriver au plus tard à 10h45)  Salle du Parc Bocquet - A 2 mn. de la station de métro « Hellemmes » Le préfabriqué ...

Permanence du lundi : Mai 2024

Lundi 13 mai 2024 de 09h00 à 12h00.   Pour la permanence du lundi, il est possible de prendre rendez-vous à l'avance par e-mail à l'adresse : JM2P@ ...

Permanence du samedi : Juin 2024

Samedi 8 juin 2024 de 09h00 à 12h00 (Arriver au plus tard à 10h45)  Salle du Parc Bocquet - A 2 mn. de la station de métro « Hellemmes » Le préfabriqué ...

LES DROITS FONDAMENTAUX DE L'ENFANT DOIVENT ÊTRE, COÛTE QUE COÛTE, MIS EN APPLICATION. IL EN VA AUSSI DE MÊME POUR CEUX DES PARENTS, CEUX DES GRANDS-PARENTS,... STOP AUX VIOLATIONS ! STOP AUX ABUS !

TOUTE L'ACTUALITÉ DU MOMENT ET DE CES DERNIERS MOIS, ANNÉES :

 

Info 53570

 A LILLE le jeudi 25 avril 2024 :

En France, près de 35% des enfants ne voient plus du tout ou sinon au maximum 2 fois par an l'un de leurs deux parents. Ce chiffre est profondément révoltant et même horrifiant ! Cela suffit !

Il est  capital aujourd’hui que la Ministre chargée de l'Enfance, de la Jeunesse et des Familles (Madame Sarah EL HAÏRI) intègre dès maintenant les violences psychologiques engendrées et infligées aux enfants lors des séparations parentales ultra-conflictuelles, de par leur prise en otage, au sein du « Plan d'action 2023-2027 contre les violences faites aux enfants » lancé depuis novembre 2023 et que des premières actions de protection et de prévention soient instaurées afin de garantir également le respect du droit fondamental à la vie familiale.

La journee du 25 avril 2024 a lille

 Jeudi 25 avril 2024 : L’association JM2P a décidé de sensibiliser les passants, converser, témoigner, échanger à Lille, au niveau du pont de la Citadelle près de l'Esplanade de Lille dans le cadre de la 19ème journée internationale contre l’exclusion parentale, contre la désaffection parentale et pour la sauvegarde du lien parental :

Des membres du ca le 25 avril 2024 info

 

 Le jeudi 25 avril 2024, la 19ème journée internationale contre l’exclusion parentale, contre la désaffection parentale et pour la sauvegarde du lien parental : Une double action pour l’association « J’aime mes 2 Parents »

A2d75c 60ea054acde04741b8c276f723d53466Cette journée internationale du 25 avril, célébrée dans plus d'une cinquantaine de pays à travers le monde, fédère un grand nombre d'actions afin de dénoncer les violences psychologiques infligées aux enfants lorsque, au cœur même de la séparation parentale ultra-conflictuelle, l'un de leurs deux parents s'ingénie à les manipuler afin de leur faire rejeter le parent ciblé et même les autres membres familiaux du parent ciblé, même si ce dernier n'a jamais commis quoi que ce soit de reprochable, bien au contraire…

Cette journée vient également dénoncer les situations d'exclusion parentale imposées en toute illégalité, au mépris le plus absolu du droit fondamental à la vie familiale que chaque être humain est pourtant en droit de bénéficier, d'où l'immense importance de sauvegarder, coûte que coûte, le lien parental.

2 ACTIONS :

 La première d'entre elles viendra sensibiliser les citoyens de la Métropole Lilloise avec une présence sur un lieu à la fois fréquenté en cette période tactique (Vacances scolaires du printemps) : Présence de nombreux promeneurs, enfants, adultes et familles afin de les sensibiliser à ce terrible fléau que devient l'exclusion parentale au sein de notre société...

C'est donc l'Esplanade de Lille qui a été choisie, carrefour entre l'accès au Zoo de Lille, le terrain de jeux, la Citadelle et le Cita-Parc.

L'association « J’aime mes 2 Parents » sera donc présente afin de sensibiliser les passants, converser, témoigner, échanger : Remise de flyers, d'autocollants et lieu d'information de 14h00 à 18h00 ce jeudi 25 avril.


Citadelle 3b

 

 La seconde action est directement menée auprès du Gouvernement Français et tout particulièrement à destination de la Ministre déléguée chargée de l'Enfance, de la Jeunesse et des Familles, Madame Sarah EL HAÏRI, compte tenu de l'inadmissible inertie de l’État vis-à-vis des millions de victimes de l'exclusion parentale, de la réelle désaffection parentale constatée, impliquant de sévères abus et de lourdes violences psychologiques.

Est-ce à dire que les millions de victimes (enfants et adultes) ne sont, aux yeux de la France, aux yeux du gouvernement, que des INVISIBLES ? 

Or, la France doit assurément garantir la protection de chaque citoyen, mineur et majeur, afin de respecter, en toutes circonstances, son droit au respect de sa vie familiale, gardant à l’esprit que la vie familiale est le droit de vivre et/ou communiquer ensemble, de sorte que des relations familiales puissent se développer normalement, même en cas de séparation des parents et en l'absence de toute violences et abus psychologiques tels que l'emprise mentale, le conflit de loyauté important, l'instrumentalisation, les chantages y compris affectifs, la désaffection parentale, la perte du libre arbitre, …, infligés à l'enfant compte tenu de caractère très conflictuel de la séparation de ses parents.

C'est pourquoi cette seconde action vise la demande immédiate auprès de l’État Français, représenté par la Ministre chargée de l'Enfance, de la Jeunesse et des Familles, afin que ces violences psychologiques puissent enfin être intégrées clairement, et dès maintenant, au sein du « Plan d'action 2023-2027 contre les violences faites aux enfants » et que l’annonce de la mise en place d’actions concrètes soit faite et que suive, dans les plus brefs délais, la concrétisation de ces annonces avec le lancement des premières actions de protection et de prévention.

Lancement de l'opération 25 avril 2024 par Arnaud DEWANNAIN, nouveau président de l'association et François SCHEEFER, ancien président, devenu président d'honneur depuis mars 2024 Ê

Les presidents de jm2p lancent l operation du 25 avril 2024

N’oublions jamais que chaque enfant doit être protégé dans son droit, afin de lui permettre d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants, tant maternels que paternels et ne pas subir le moindre abus psychologique.

POUR EN SAVOIR PLUS, CLIQUEZ SUR CE LIEN : 25 AVRIL 2024 - PLAN D'ACTION

 

 Que les fêtes de Pâques permettent des retrouvailles, de nouveaux espoirs, la force d'espérer et de ne pas lâcher... Chaque enfant a besoin de ses 2 parents.

En 2024, l'exclusion parentale ne fait qu'augmenter encore et encore, engendrant souffrances, inhumanités et de véritables situations de deuil totalement impossibles car il apparaît irréalisable de vivre sans ses enfants, sans ses petits-enfants bel et bien en vie, mais totalement volatilisés…

Que ces fêtes de Pâques puissent être un moment de retrouvailles pour celles et ceux qui peuvent revoir leurs enfants, leurs petits-enfants et pour les autres, que ces fêtes renforcent d'indéfectibles espoirs de retrouvailles. Courage !

JM2P demeure à vos côtés et nous poursuivons notre mission afin que la France et ses services viennent enfin prendre conscience des terribles dégâts de l'exclusion parentale, de l'instrumentalisation des enfants face aux séparations terriblement conflictuelles engendrant des désastres psychologiques sévères et qu'il y a donc une grande urgence à lutter contre ces insupportables abus !

Oeufs de paques

 

 Les violences psychologiques subies dans le cadre de la séparation parentale très conflictuelle doivent, coûte que coûte, intégrer, au plus vite, le plan d'action 2023-2027 contre les violences faites aux enfants.

Les violences psychologiques infligées aux enfants (Situation d’emprise, exclusion, manipulations, instrumentalisation, désaffection forcée envers le parent ciblé et collatéralement les autres membres familiaux du parent ciblé, conflit de loyauté imposé, perte du libre-arbitre, …), au cœur de la séparation parentale ultra-conflictuelle (Plus de 30% des séparations et affectant des millions d’enfants au fil du temps), ne cessent, hélas, de progresser, année après année.

Ces violences souvent cachées engendrent un nombre de plus en plus important de jeunes perturbés, cabossés, désœuvrés, exposés à de multiples pièges au sein de la société (Exposition à de multiples déviances et dérives), au risque de décrocher et/ou d’exprimer une colère que la société n’est pas capable de juguler lorsque leur détresse familiale s'était engagée et/ou s’engage, malgré eux, les poussant même à devenir acteurs de conflits qui, à la base, ne les concernent pas.

 

Tout cela est non seulement irresponsable, mais cela est, avant tout, contraire à l'intérêt supérieur de l'Enfant et au respect de ses droits fondamentaux, tout comme vis-à-vis du droit fondamental à la vie familiale que tout citoyen (enfant comme adulte) est supposé détenir incontestablement. (Sauf si celai est bien entendu contraire à l’intérêt de l’enfant et avéré), affichant, de fait, de graves manquements quant au respect de la Convention Européenne des Droits de l’Homme (Article 8.1), de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (Articles 9, 12, 16, 18, 24) et de la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne (Articles 7 et 24), pour ne citer qu’elles.

Si ces violences psychologiques, compte tenu de la séparation parentale ultra-conflictuelle, se perpétuent et que de telles situations demeurent inchangées, les problèmes majeurs de santé morale, de santé physique et des troubles d’ordre social ne cesseront de s’amplifier encore et encore, et de mettre plus à mal la société, notre société.

 Or, il est du devoir de toutes et tous, à commencer par l’Etat et ses Pouvoirs publics d’y mettre un frein catégorique et d’agir, enfin, en conséquence.

L’intégration au plan d’action 2023-2027 contre les violences faites aux enfants(*) de ces violences et abus psychologiques, afin de mettre en place des actions concrètes de protection, d’accompagnement des victimes et de prévention, est absolument essentielle et urgente ; une intégration suivie d’effet, impliquant, de fait, le lancement, sans perdre de temps, de mesures concrètes. Pas un jour n’est à perdre !

A ce jour, ces violences n'y sont toujours pas incluses ; à ce jour, l’État continue sa politique de l'autruche ; à ce jour, les services concernés se taisent... Quoi de plus déraisonnable et même inconscient ?

Déjà pour le plan d'action 2020-2022, l'association avait demandé l'intégration d'un programme de lutte contre ces violences psychologiques.

JM2P a demandé expressément au Président de la République, au Premier Ministre et à la Ministre déléguée chargée de l'Enfance, de la Jeunesse et des Familles d'y remédier au plus vite.

 

(*) https://www.gouvernement.fr/actualite/plan-2023-2027-contre-les-violences-faites-aux-enfants-22-actions-pouragir#:~:text=Le%20plan%202023%2D2027%2C%20qui,les%20diff%C3%A9rentes%20formes%20de%20violences.

Fille2

 

 Mars 2024 : Passage de flambeau à la présidence de l'association

Après huit années de présidence, François SCHEEFER passe le flambeau à Arnaud DEWANNAIN. Ce dernier aura à cœur de poursuivre le travail entamé depuis douze ans par l'association. Il sera bien entendu épaulé par le Conseil d'administration : https://jm2p.e-monsite.com/pages/conseil-administration.html

C'est en tant que président d'honneur que François SCHEEFER continuera à œuvrer au côté du nouveau bureau exécutif et demeure membre du Conseil d'administration. Il se chargera tout particulièrement des relations avec les Pouvoirs Publics et les instances européennes et internationales.

Sa tâche principale sera donc de poursuivre les négociations avec le Gouvernement et les instances hors de France, afin que l’exclusion parentale endurée, étant donné la désaffection parentale, face à l’intrumentalisation des enfants, vu la séparation parentale ultra-conflictuelle qui ne cesse, hélas, d’augmenter, engendrant un nombre sans cesse croissant de victimes, qu’elles soient enfants, femmes et hommes, issus de toutes les couches sociales, soit non seulement entendue, mais qu'elle soit, enfin et avant tout, prise en compte dans une action concrète, prompte et efficace.

Pour tout contact direct avec le nouveau président de l'association, Arnaud DEWANNAIN, l'adresse mail est : president-JM2P@outlook.fr.

Sinon pour joindre directement l'association, l'adresse demeure inchangée : JM2P@outlook.fr

Passation pouvoirs presidence association j aime mes 2 parents mars 2024 arnaud dewannin nouverau president et francois scheefer a droite► Arnaud DEWANNAIN à gauche et François SCHEEFER à droite.

 

Le DIMANCHE 3 MARS, la fête des Grands-mères et le DIMANCHE 6 OCTOBRE 2024, la fête des Grands-pères.

Victimes collatérales de la séparation conflictuelle des parents, les grands-parents subissent de plus en plus souvent l'exclusion de la vie de leurs petits-enfants, au mépris de leurs droits. 

Or, les grands-parents jouent généralement un rôle primordial dans la formation de l'enfant, tous les spécialistes s’accordent sur le fait qu’ils jouent un rôle essentiel à leur développement, passant par l'écoute et le dialogue, l'apprentissage et la transmission de savoir-faire et du patrimoine familial. En plus d’offrir un soutien aux parents, les grands-parents sont une source inépuisable de câlins et de bisous pour leurs petits-enfants. Les manifestations de tendresse approfondissent et intensifient rapidement la relation affective entre les grands-parents et l’enfant.

Or, face à l'aliénation parentale, les grands-parents se retrouvent isolés, en toute injustice, et très souvent du jour au lendemain, de la vie de leurs petits-enfants. Ils assistent alors, impuissants, à la destruction de leurs propres enfants devenus soudainement de mauvais parents alors qu'auparavant ils étaient considérés par leurs conjoints comme étant les meilleures mamans ou les meilleurs papas du monde...!  Mais ça..., c'était avant la séparation, avant le divorce... Ces grands-parents soudainement rejetés étaient également les meilleurs pour leurs petits-enfants et deviennent alors, du jour au lendemain, les pires personnes du monde en toute calomnie...

L'association pense à elles, pense à eux, en ces jours dits "de fêtes" malgré les circonstances et tient à rappeler que le combat contre l'exclusion parentale, contre l'aliénation parentale et l'isolement dont ils peuvent être victimes est également au coeur de nos préoccupations.

Pour rappel : L'article 371-4 du Code Civil rappelle que : L'enfant a le droit d'entretenir des relations personnelles avec ses ascendants...

La Cour Européenne des Droits de l'Homme a également statué à plusieurs reprises en faveur des grands-parents rappelant que l'article 8.1 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme relatif au droit au respect à la vie de famille n'inclut pas exclusivement celui des enfants avec leurs parents mais les grands-parents y ont également toute leur place auprès de leurs petits-enfants.

Grandparents

 

UNE JUSTICE FAMILIALE DE PLUS EN PLUS SCLÉROSÉE FACE AUX SÉPARATIONS PARENTALES ULTRA-CONFLICTUELLES...

La justice familiale tend à écarter de plus en plus souvent l'un des deux parents dès lors que la séparation parentale apparaît particulièrement conflictuelle et, plus encore, lorsque les enfants se trouvent pris en otage par l'un de leurs parents, histoire d'exclure l'autre parent de leur vie d'enfant et d'ado.

Les enfants se trouvent ainsi exposés face à moult violences et abus psychologiques désastreux (Conflits de loyauté, emprise mentale, chantages et manipulations, perte du libre-arbitre,...) ayant incontestablement des répercussions sur leur avenir, leur équilibre et leurs futures relations socio-émotionnelles.

 Et pourtant,  comme le souligne la loi, il appartient bien aux père et mère, jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant, de le protéger dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne.

En excluant de la vie de l'enfant l'un des deux parents, réduisant le temps partagé à deux week-ends par mois voire moins, laissant le plus souvent les délits de non-représentation(s) d'enfant se perpétuer en toute impunité, permettant ainsi de développer une exclusion parentale durable, au mépris de la loi, au mépris de l'intérêt de l'enfant, au mépris du droit fondamental à la vie familiale, c'est bel et bien l'Etat et sa justice familiale qui défaillent.

Tunnel2

► Appel à participer à une enquête nationale sur les phénomènes de rupture de liens entre parents et enfants après une séparation. (A compter du 15 janvier 2024)

L'association JM2P vous encourage à y participer afin de mieux faire comprendre, au vu des résultats, que l'exclusion parentale, la rupture du lien, affecte autant les hommes que les femmes dans leur condition de parents et à 100% les enfants, premières victimes de ces ruptures de liens avec l'un des deux parents, compte tenu de leur instrumentalisation, bien malgré eux, au cœur de la séparation particulièrement conflictuelle de leurs parents.

Alors, n'hésitez pas à y participer.

Pour en savoir plus :

https://sebastientertrais.com/appel-a-participer-a-une-enquete-nationale-sur-les-phenomenes-de-rupture-de-liens-entre-parents-et-enfants-apres-une-separation/

Pour vous préincrire directement : 

Enquête sur les Phénomènes de rupture de liens entre parents et enfants après une séparation - Préinscription (sebastientertrais.com)

Divorce 1

 

QUE 2024 DEVIENNE L'ANNÉE DE L'ACTION ET DE LA LUTTE CONTRE L'EXCLUSION PARENTALE

Qu'en 2024 de nombreux sourires viennent chasser toute la tristesse en vous, et même toute la détresse qui s'est installée depuis trop longtemps compte tenu de l'emprise subie, et de l'exclusion parentale endurée.


Que les retrouvailles avec vos enfants, vos petits-enfants deviennent enfin réalité.

Que l'espoir dissipe tous les doutes, toutes les peurs et les angoisses.

Espérons que de très grands moments vous attendent en cette année 2024.


L'association « J'aime mes 2 Parents » vous envoie ses vœux les plus sincères, accompagnés de bonne santé à la fois morale et physique et de sérénité.

N'oubliez pas que rien n'est figé ; tout peut changer, évoluer, avancer et progresser, y compris en matière de justice familiale et en toute humanité.

Ensemble, continuons de répandre des actions afin de défendre la coparentalité, le respect des droits de l’Enfant et le droit fondamental à la vie familiale, que tout citoyen du monde est en droit de jouir et de récolter de grandes avancées dans notre, dans votre, juste cause et nobles aspirations.

Ensemble, il nous faut vaincre l'exclusion parentale, l’emprise et l'instrumentalisation des enfants, de vos enfants, de vos petits-enfants, et rendre ainsi possible un maximum de retrouvailles. La France en a grand besoin. Bonne année !

Voeux 2024 association j aime mes 2 parents

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MANIFESTATION À STRASBOURG LE 28 DÉCEMBRE 2023 : Défendre le droit à la vie familiale, l'égalité parentale et les droits de l'Enfant...

« J'aime mes 2 Parents » a participé le jeudi 28 décembre 2023 à une manifestation itinérante depuis la Cour Européenne des Droits de l’Homme jusqu’au centre de Strasbourg (Place Kléber), organisée par la toute nouvelle association « Racines d'enfants », créée début 2023, située dans le Grand-Est et qui milite pour la résidence alternée par défaut et souhaite notamment de faire évoluer l’égalité parentale dans l’intérêt des enfants et des familles, de réfléchir sur la nature des problèmes et proposer des solutions pour défendre le droit à l’enfant, de grandir avec ses deux parents lorsque les conditions sont réunies.

Cette manifestation, impliquant la distribution de nombreux flyers, fut l'occasion de :

- Dénoncer les dérives de la justice (Le non-respect de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, de la Convention Européenne des Droits de l’Homme et de la loi française relative à l’autorité parentale du 4 mars 2002).

- Dénoncer le manque d’application et de cohérence de la part des Juges aux affaires familiales, des Juges des enfants, le mépris vis-à-vis de l'exclusion parentale et envers les victimes d’emprise mentale, d'abus psychologiques et d'instrumentalisation, internationalement intitulés "phénomènes d’aliénation parentale".

- Dénoncer les agissements incohérents de la part des services sociaux dans ces situations d'exclusion parentale inadmissibles.

- Dénoncer les interminables, abusifs et inadmissibles classements « sans-suite » des plaintes parfaitement légitimes de non-représentations d’enfant(s) opérés par les Procureurs de la République, au manifeste mépris de la loi, tout comme l’absence de considération face au délit de dénonciation calomnieuse dans le cadre des plaintes injustifiées, mensongères, calomnieuses et gravement abusives, afin de tenter de justifier et de dissimuler le non-respect de l’application des jugements, pourtant exécutoires, en matière de résidence alternée ou de droits de  visite.

 

Un grand merci à Jean-Michel P., administrateur de JM2P d'avoir porté la voix de JM2P à Strasbourg ce 28 décembre 2023.

 

Nul n'a le droit d'oublier que : « la séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent ». (Article 373-2 du Code civil français)

Alors, qu'attendent les Juges pour enfin l'appliquer consciencieusement et spécialement le faire appliquer avec les services concernés ?

Journee du 28 12 2023 photos 3

NOËL 2023... L’exclusion parentale n’a plus sa place dans la société. Gardons l'espoir en un proche avenir où les Noëls deviendront heureux, accompagnés de radieuses retrouvailles.

La maxime de l’ancien Président des États-Unis, Calvin Coolidge, (: "Noël n'est pas un moment ni une saison, mais un état d'esprit. Chérir la paix et la bonne volonté, être plein de miséricorde, c'est avoir le véritable esprit de Noël.") s’avère plus que jamais d’actualité pour celles et ceux qui se trouvent plongés au cœur de l'exclusion, assaillis par leurs tourments, leur chagrin, leurs illusions de retrouver leurs proches, mais aussi leur désir absolu de les retrouver enfin pour de bon.

Difficile saison que ces fêtes de fin d'année lorsque celle-ci est synonyme de fêtes familiales qui devraient conjuguer amour, partage, joie et convivialité et que les rues des villes et des villages se parent d'une atmosphère propice à l’émerveillement, au ravissement et à la quiétude, à la fois colorée, lumineuse et festive.

Image de pere noel anime

Or, malheureusement, des centaines de milliers d’enfants et de parents, mais aussi de grands-parents, ne passeront pas ensemble ce « Noël 2023 », loin de toute réjouissance. Cela concerne directement plus de 1,5 million d'enfants ! 

Et ces jours festifs ne seront peut-être pas différents des précédents ni même des prochains jours à venir compte tenu de l’exclusion subie, au mépris le plus flagrant qui soit, de profiter de leur droit fondamental à la vie familiale comme tout un chacun sur Terre !

JM2P comprend toutes ces victimes, enfants comme adultes, et sait ce que représentent de telles épreuves, des telles épreuves et de lourds tourments. Mais, malgré cela, il faut avant tout garder l'espoir en de futurs Noëls heureux et de radieuses retrouvailles. Car tout reste possible…

L’espoir doit être une force indispensable, celle qui accompagne, celle qui atténue les douleurs, celle qui réconforte. 

Si rien n’est fait pour remédier à l’exclusion parentale, mettre fin aux violences psychologiques subies, de par l’instrumentalisation des enfants, au cœur de la séparation parentale conflictuelle, toxique et manipulatoire, c’est une société toute entière et surtout son avenir qui se retrouvent ainsi en péril… Il est donc plus que temps de réagir.

JM2P ne cesse de tirer la sonnette d’alarme, forte de son expérience et de plus de 4.600 témoignages en onze années de labeur. Mesdames et Messieurs les gouvernants, les élus, les professionnels de la santé, de la justice et du secteur social, quand allez-vous enfin vous réveiller ?

Il en va de l'avenir de la société et conséquemment du futur de nos jeunes générations !

Non à l'exclusion parentale ! La France n'a nul droit de la laisser s'étendre. 

La Ministre des Familles, Aurore BERGÉ veut responsabiliser davantage les parents dans l'encadrement et l'éducation de leurs enfants, alors que tout soit mis en place pour permettre aux enfants de maintenir le lien avec leurs deux parents, leur famille maternelle autant que paternelle et la séparation des parents ne doit avoir aucune incidence sur le maintien de leurs liens. C'est la loi qui le dit, une loi française que la justice familiale française et ses services feraient bien d'appliquer et de faire appliquer enfin !

Affiche noel 2023 jm2p

Suite aux déclarations de Madame Aurore BERGÉ, le 9 décembre 2023, pour réagir face aux "parents défaillants" suite aux comportements dysfonctionnels grandissant de la part de jeunes mineurs, JM2P réagit :

La Ministre des Solidarités et des Familles, Aurore BERGÉ, veut davantage responsabiliser les parents dans l'encadrement et l'éducation de leurs enfants.

Cette responsabilisation est tout à fait compréhensible et honorable.

Il suffit d'ailleurs, pour s'en convaincre, de se rappeler des émeutes qui s'étaient déroulées au cours de ce début d'été et de consulter les chiffres publiés par le Ministère de l'Intérieur soulignant que plus de 30 % des émeutiers étaient mineurs et que 60 % d'entre eux (qui furent appréhendés et qui firent l'objet de poursuites) ont grandi dans des familles dites monoparentales.

La Ministre des Solidarités et des Familles se pose la question : « Où est le second parent ? » Elle ajoute également : « Souvent le père... Les pères ne peuvent pas se résumer à une pension alimentaire ! »

Mais, s'agit-il alors de stigmatiser les pères ?

L'association « J'aime mes 2 Parents » englobant autant de pères que de mères victimes d'exclusion, espère que non car il y a bel et bien des mères qui se comportent de la même façon. Il ne s'agit donc pas de jeter la pierre sur l'un des deux parents au détriment de l'autre. Là n'est pas l'essentiel du problème.

La coparentalité implique les deux parents et des parents seuls existent aussi du côté des pères, pas uniquement chez les mères (Et bien des familles monoparentales ne dysfonctionnent pas non plus).

Si les pères sont moins nombreux, n'est-ce pas parce que, dans bien des cas, les pères doivent subir un véritable parcours du combattant pour obtenir leur présence auprès de leurs enfants une fois la séparation parentale actée ?

Il en va d'ailleurs de même pour un certain nombre (grandissant) de mères aujourd’hui.

Par conséquent, la monoparentalité pourrait être amplement limitée.

Aujourd'hui, comme hier, c'est un parcours du combattant qui ne devrait pas être au regard de la loi relative à l'autorité parentale du 4 mars 2002 (n° 2002-305) soulignant clairement que le père et la mère exercent en commun l’autorité parentale et que leur séparation doit être sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale, ajoutant, de plus, que chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent.

Certes, il existe, hélas, un certain nombre de parents qui désertent leurs obligations de parents, mais il ne s'agit pas simplement des pères qui délaissent leurs « devoirs parentaux ». Mais là n'est pas l'essentiel des questions soulevées.

En effet, au sein de l'association « J'aime mes 2 Parents », ce qui apparaît comme étant de plus en plus catastrophique, en premier lieu pour les enfants, leur équilibre psychoaffectif et leur devenir, c'est que la justice familiale tend à écarter de plus en plus souvent l'un des deux parents dès lors que la séparation parentale apparaît particulièrement conflictuelle et, plus encore, lorsque les enfants se trouvent pris en otage par l'un de leurs parents, histoire d'exclure l'autre parent de leur vie d'enfant et d'ado.

Les enfants se trouvent alors exposés face à moult violences et abus psychologiques désastreux (Conflits de loyauté, emprise mentale, perte du libre-arbitre,...) ayant incontestablement des répercussions sur leur avenir, leur équilibre et leurs futures relations socio-émotionnelles.

Et pourtant,  comme le souligne la loi, il appartient bien aux père et mère, jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant, de le protéger dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne.

En excluant de la vie de l'enfant l'un des deux parents, réduisant le temps partagé à deux week-ends par mois voire moins, laissant le plus souvent les délits de non-représentation(s) d'enfant se perpétuer en toute impunité, permettant ainsi de développer une exclusion parentale durable, au mépris de la loi, au mépris de l'intérêt de l'enfant, au mépris du droit fondamental à la vie familiale, c'est bel et bien l'Etat et sa justice familiale qui défaillent.

Ne pas encourager, soutenir et aider les parents (qui n'ont pas commis le moindre acte répréhensible à l'encontre de l'enfant) à davantage d'équité, à construire la mise en place d'une résidence alternée pour les enfants (Seulement 13% en France et 40 à 45% en moyenne dans de nombreux pays européens, à commencer par nos voisins Belges) et à les responsabiliser dans ce sens (ce qui demeure pourtant l'esprit de la loi relative à l'autorité parentale), c'est, là aussi, encourager les risques majeurs d'une exclusion parentale, qu'elle soit paternelle ou maternelle.

C'est sacrifier bien des familles et mépriser ainsi le droit fondamental à la vie familiale, tant pour les enfants que pour les adultes concernés.

Alors, lorsque la Ministre des Solidarités et des Familles parle de "parents défaillants" pour lesquels elle annonce « la mise en place de travaux d’intérêt général, le paiement d’une contribution financière pour les parents d’enfants coupables de dégradations auprès d’une association de victimes et une amende pour les parents ne se présentant pas aux audiences qui concernent leurs enfants », il faudrait d'abord s'assurer que ces supposés « parents défaillants » soient effectivement des « parents déserteurs » et non des « parents injustement exclus » !

Oui, des parents exclus de la vie de leurs enfants parce l'autre parent en a décidé ainsi, parce que la justice familiale n'a pas fait le job, parce la justice familiale traîne en longueur, parce que la justice familiale faillit, parce que la justice familiale manque de moyens (adaptés, mais aussi humains, financiers,...) et donc de professionnalisme face à ces situations (Plus de 30% des séparations parentales sont aujourd'hui très conflictuelles...).

Or, l'un des fondamentaux de la société, c'est bien celui de la famille, des familles et de ses valeurs, de leurs valeurs, celui de l’enfant, le fruit de l’union de ses parents et le véritable ciment de la famille.

La famille, ou plutôt les familles, aussi multiples et différentes soient-elles aujourd’hui, s’organise(nt) généralement autour de l’enfant. Et nul ne doit perdre de vue que l'enfant a un besoin essentiel de ses deux parents pour se développer au mieux et se construire afin d’affronter l’avenir et sa future vie d’adulte.

Est-ce que la France en a toujours conscience aujourd'hui, la France mais aussi ses gouvernants, ses législateurs ?

Si oui, tout devrait être mis en œuvre pour protéger, sans délai, la coparentalité et la maintenir, bien au delà de la séparation parentale et des possibles conflits et ainsi lui permettre de survivre, afin de permettre à l’enfant de se construire au côté de ses parents, figures d’attachement et de sentiments, d’éducation, d’accompagnement et de valeurs.

Lorsque la justice familiale vient réduire à une peau de chagrin l'accès d'un parent avec ses enfants, lorsque la séparation parentale est actée ou en cours de procédure, lorsque la justice familiale laisse l'exclusion entre un parent et ses enfants s'installer, qui plus est, en toute impunité, c'est elle qui vient ainsi encourager la perte de repères auprès de notre jeunesse, face au manque affectif, face à la non-prise en compte de ses besoins, de ses obligations.

Elle laisse, de fait, exposer toute cette jeunesse-là, cabossée, déboussolée et manquant ainsi, catégoriquement, de sa figure paternelle ou de sa figure maternelle, à l'abandon, au risque de la stimuler à la prise de risques insensés, à l'entraîner vers d'éventuels pièges de la société, de possibles dérives et déviances.

Or, la coparentalité est nécessaire à la construction de la vie de l’enfant ; il en a grand besoin pour grandir, pour se construire et construire sa propre vie du mieux possible.

Tout doit être urgemment mis en œuvre pour empêcher que ces milliers de parents qui s'ajoutent, année après année, soient injustement catalogués comme « parents défaillants » car encore et encore mis au ban, car ignorés et/ou bafoués dans leur droits et obligations parentales, car injustement et même illégalement empêchés de participer à la construction perpétuelle des relations « parent-enfant », aussi harmonieuses que possible et donc permettre leur implication à la vie de leurs enfants...

« Donner à un enfant, c'est se donner soi. A tout moment. Alors il peut pousser droit, et ses racines seront profondes, fortes. » (Martin GRAY).

Nul ne doit empêcher le coparentalité de se maintenir. Aucun parent n'ayant jamais commis le moindre acte répréhensible à l'encontre d'un enfant ne doit être laissé pour compte, car c'est son enfant, ses enfants qui en paie(nt) le plus lourd tribut.

Monoparental

LORS DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE L'ENFANT À HELLEMMES...

L’arbre des droits de l’Enfant vient de prendre racine.

Et, ô miracle, la pluie s’est arrêtée pour nous laisser célébrer les droits de l’Enfant ! 

Dans la société d’aujourd’hui, on veut faire croire que la majorité des institutions, de la justice et des professionnels, écoutent la volonté de nos enfants face à l'exclusion parentale.

Mais, est-ce vraiment le cas ? 

La situation des enfants qui se trouvent dans une situation où l’un de leurs parents, puis d’autres membres familiaux, sont exclus, démontre, hélas, qu’il n’en est rien dans bien des cas.

Or, ils sont plusieurs millions aujourd’hui à subir un tel affront, une telle inhumanité…

Tous les enfants, n’ont-ils pourtant pas le droit d’avoir des relations et d’entretenir des liens étroits avec leurs deux parents ?

N’y a-t-il pas là, depuis des années déjà, un signal d’alarme puissant qui doit être repéré, compris et analysé avec professionnalisme, lorsqu’un enfant vient soudainement exclure l’un de ses parents et même les autres membres de sa famille maternelle ou paternelle sans le moindre fondement ?

Que l’arbre des droits de l’Enfant fraîchement planté témoigne de l’urgence à agir.

Ne pas reconnaître les droits de k'Enfant, c’est déjà une violence.

Tous les enfants doivent avoir les mêmes chances de s’épanouir et de grandir auprès de leurs ascendants, tant maternels que paternels.

18 11 2023 recitPour en savoir plus cliquez sur ce lien :  ARBRE DROITS DE L'ENFANT 23 

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N.B. :  A ce jour, plus de 1,2 million d’enfants ne voient plus du tout l’un de leurs deux parents ! (Certaines sources parlent même de plus de 1,5 million) et plus de 2,5 millions d’enfants ne voient que rarement l’un ou l’autre de leurs deux parents (Moins de 3 fois par an), mettant profondément à mal les liens familiaux.

 

JOURNÉE INTERNATIONALE DE L'ENFANT ET DE SES DROITS... RENDEZ-VOUS LE SAMEDI 18 NOVEMBRE À HELLEMMES. SOYEZ LES BIENVENU(E)S à 14h30.

« L’arbre des droits de l’Enfant » sera planté au Parc de la Mairie d'HELLEMMES (A côté de LILLE) et il viendra compléter les valeurs et le message exprimés par nos actions, nos missives, et rappeler tout autant l’extrême importance que véhicule, de façon complémentaire, « L’arbre de la Coparentalité » pour lequel nous célèbrerons également son second anniversaire ce samedi 18 novembre à 14h30. L’un ne va pas sans l’autre.

L'intérêt supérieur de l'Enfant se déclinant sur plusieurs principes édictés par la Convention internationale des droits de l'Enfant se trouve trop souvent malmené : l'entretien régulier des relations personnelles et des contacts directs de l'enfant avec ses deux parents n'est plus garanti, tout comme la possibilité pour l'enfant d'être élevé et éduqué par ses deux parents. De même, la protection de l'enfant face à toute forme de violence, y compris psychologique, n'est plus garantie dès lors que son instrumentalisation au cœur du conflit parental ne fait l'objet d'aucune mesure pour y remédier, pour y mettre fin. Cela suffit !

« L’arbre des droits de l’enfant » permettra de rappeler non seulement ce jour, mais jour après jour, année après année, que nul n’a le droit de bafouer les droits de l'Enfant; que tout enfant a les mêmes droits que les adultes, auxquels s’ajoutent des droits spécifiques adaptés à ses besoins.

Img 20231106 0001Img 20231106 0002Affiche 18 novembre 2023 jm2p

Il y a URGENCE d'AGIR !Enfants grillagesfb

Le vendredi 4 août 2023, l'association JM2P a saisi la Commission Européenne, à Bruxelles, contre l'Etat Français pour non-respect de la Charte des Droits Fondamentaux de l'Union Européenne en matière de justice familiale :

 

L’association JM2P a donc introduit, le 4 août 2023, 5 plaintes (L'association + 4 membres introduisant leurs affaires particulièrement probantes en terme de violation du droit à la vie familiale et de la non-protection des enfants) auprès de la Commission Européenne à Bruxelles.

En effet, de par ses fautes, de par ses défaillances, la France, par le biais de sa justice familiale a ainsi pu encourager l’exclusion parentale, laissant ainsi le champ libre à l’instrumentalisation de l'enfant, l'exposant même, plus encore, à de possibles abus psychologiques graves (Phénomène dit d’ « aliénation parentale », profond conflit de loyauté, perte du libre arbitre, défaillances psychologiques et affectives, …), en dépit de son intérêt supérieur, de sa protection, de sa santé mentale, et, conséquemment, venir, de fait, saccager, voire détruire, des familles entières, au mépris du droit au respect primordial de la vie familiale pourtant fixé et rappelé par le biais de la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne à tout état membre de l’Union Européenne.

Or, la France est un Etat membre de l’Union Européenne.

Par conséquent, la Commission Européenne ne peut laisser la situation en l’état et permettre ainsi, à un état membre de l’U.E., les inobservations et/ou les manquements au regard fondamental des articles 7 (Droit à la vie familiale), 24-1, 24-2 et 24-3 (Droits de l’Enfant) de la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne, mais également selon les plaintes introduites, des articles complémentaires 14, 20, 21, 35, 41 et 47 de ladite Charte.

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NUL NE PEUT L'IGNORER...:

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SAMEDI 24 JUIN 2023 : Le pique-nique JM2P en mode « auberge espagnole » pour les membres de l’association qui ont pu faire le déplacement.

 

Ce furent de 35 à 40 participants au total qui se sont déplacés à Hellemmes (Avec plus de 800 kilomètres parcourus par l'une de nos adhérentes pour nous rejoindre à Hellemmes), tantôt en fin de matinée, durant le pique-nique ou tantôt au cours de l’après-midi afin de profiter de la collation et participer aux discussions.

Cela a permis aux membres de pouvoir faire connaissance, échanger sur leur situation d’exclusion ; victimes d’aliénation parentale, qu’elles soient mamans, papas ou grands-parents, participant à cette journée pleinement ensoleillée, avoisinant les 30°C.

Un grand merci aux présent(e)s.

Un moment très sympathique à renouveler…

N’oublions jamais que : « Là, où l’aliénation parentale passe, trépassent le respect de l’enfant et le respect du principe de la coparentalité. » A nous, toutes et tous, de la combattre.

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La fête des mères, la fête des pères, qu’un nombre sans cesse grandissant d’enfants ne peut célébrer, au mépris des droits fondamentaux à la vie familiale.

  

En France comme ailleurs, l’un des principes fondamentaux édictés par les Droits de l’Homme, précise expressément que toute personne a droit au respect de sa vie familiale. Et pourtant, combien de parents et d’enfants se retrouvent isolés, exclus en toute illégalité, au mépris de leurs droits, sans que qui que ce soit ne se soucie de leurs souffrances, de leur détresse, encore plus marquées en ces jours de fête qui sont dédiés à toutes les mamans, puis à tous les papas.

L'association « J'aime mes 2 Parents » leur souhaite de pouvoir restaurer au plus vite les liens avec leurs enfants et elle soutient leur juste et légitime combat pour que la justice familiale respecte enfin leurs droits fondamentaux, qu’elle applique la loi sans la moindre discrimination du fait que la séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale ; que chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent ; et que l’enfant a  le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants, ce que le Code civil impose et qui apparaît bien trop souvent négligé face aux séparations parentales conflictuelles.

Au mépris du principe du droit à la vie familiale et du fondement de la coparentalité, l’exclusion parentale ne cesse de se développer, s’accompagnant le plus souvent de l’instrumentalisation psychologique des enfants.

Nul ne peut l'accepter, à commencer par nos dirigeants, nos législateurs, l'ensemble des pouvoirs publics et des professionnels de la famille mais aussi de l'enfance et de leur protection.

La fête des mères et la fête des pères sont avant tout une célébration en l’honneur des parents, des parents que chaque enfant aime indépendamment, quelle que soit la situation familiale et que l'enfant est en droit de fêter auprès de ses deux parents, ensemble ou séparément et sans la moindre immixtion de qui que ce soit.

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"Parce que tu m'appartiens"...

Le film Parce que tu m’appartiens (1h28) réalisé en Allemagne a le mérite de traiter du thème de l'exclusion parentale compte tenu de l'aliénation parentale exercée par l'un des parents sur une fillette de 8 ans. Il est rare que le thème de l'aliénation parentale soit abordé de façon aussi explicite à la télévision. Diffusé le vendredi 12 mai 2023 sur la chaine ARTE, en français, le film était disponible en replay sur ARTE jusqu'au 10 juin dernier. Maintenant, il reviendra sur la liste des replays de temps à autres. 

A surveiller sur la grille des programmes ARTE proposés en replay...

SYNOPSIS du film :

Séparés depuis un an, Julia et Tom se retrouvent à nouveau devant le tribunal pour trancher le conflit qui les oppose sur la garde d’Anni, 8 ans. Avant de statuer, le juge aux affaires familiales interroge la fillette, qui lui assure qu’elle se tuera si on la force à retourner vivre chez son père. Comment cette enfant en est-elle venue à nourrir un tel sentiment de haine ? Au lendemain de la rupture de ses parents, Anni passait un week-end sur deux avec Tom et la nouvelle compagne de ce dernier, Jenny, mère d’une petite Mia. Visiblement épanouie au sein de ce foyer recomposé, elle semblait s’adapter sans peine à la garde alternée. Mais l’harmonie s’est révélée de courte durée : rongée par la douleur, Julia a commencé à dresser des obstacles entre Anni et son père, allant jusqu’à déménager sans le prévenir…Dès lors, cette femme blessée n’a reculé devant aucun mensonge, aucun stratagème pour éjecter Tom de leur vie et obtenir la garde exclusive de leur fille.

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JM2P était à la Cour Européenne des Droits de l'Homme le 25 avril 2023 dans le cadre de la journée internationale contre l'exclusion parentale, l'occasion d'introduire une requête dénonçant le comportement de la justice familiale française...

 

Le mardi 25 avril 2023, l'association « J'aime mes 2 Parents » s'est déplacée à Strasbourg afin de déposer une requête à l'encontre de l'Etat Français auprès de la Cour Européenne des droits de l'homme, afin de dénoncer le travail bâclé, manquant de professionnalisme et de respect des personnes, enfants comme adultes, dans le cadre des séparations parentales particulièrement conflictuelles, de la part de la justice familiale et visiblement son absence de respect vis-à-vis du droit au respect de la vie familiale (Pourtant incontournable au regard de l'article 8.1 de la Convention européenne des droits de l'homme).

En effet, dans ce cadre là, la justice familiale française apparaît de plus en plus « dysfonctionnante », voire « transgressante », devenant, dès lors, contraire à l’esprit de la Convention Européenne des droits de l’homme.

La requête fait part du constat consternant de cette justice familiale, y compris de la non-application de la loi (Loi n° 2002-305 du 4 mars 2002 relative à l'autorité parentale ou bien encore l'article 227-5 du Code pénal relatif au délit de non-représentation d'enfant).

Pour confirmer ce terrible constat, 7 victimes (3 mères, 3 pères et un couple de grands-parents) de telles situations ont intégré également la requête auprès de la CEDH, venant ainsi appuyer et attester cet effrayant constat face à leurs propre vécu à la fois inhumain et bel et bien contraire à leur droit fondamental à la vie familiale.

Espérons que la CEDH réagira car de par ses fautes, de par ses défaillances, la justice familiale française a ainsi pu encourager l’exclusion parentale, laissant ainsi le champ libre à l’instrumentalisation de l'enfant, l'exposant même, plus encore, à de possibles abus psychologiques graves (aliénation parentale, profond conflit de loyauté, …), en dépit de son intérêt et, conséquemment, venir, de fait, saccager, voire détruire, des familles entières, au mépris du droit au respect de la vie familiale pourtant fixé et rappelé par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme. 

25 04 2023 jm2p a la cedhLes 7 ballons qui ont pris leur envol vers la CEDH symbolisent les 7 affaires introduites à la Cour par l'association. Toutes les victimes espèrent maintenant que la Cour accepte l'instruction des plaintes ce qui permettrait à toutes les victimes de France de pouvoir espérer également que la justice familiale puisse être enfin réorganisée, réformée comme il se doit, afin de respecter enfin le droit à la vie familiale de toutes et tous, enfants comme adultes.

Juste pour rappel :

L’article 373-2 du Code civil annonce que : « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent ».

L’article 371-4 du Code civil rappelle que : « L’enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants ».

Pour en savoir plus, cliquez sur : 25.04.2023 : DESTINATION CEDH

JM2P à la Cour Européenne des Droits de l'Homme ce 25 avril 2023.

La requête contre l'Etat Français en matière de justice familiale est dans le mains du Greffe pour analyse avant la prise de position de la Cour pour traiter ou non notre cause. D'autres informations arriveront plus tard. A suivre...

Jm2p a la cedh 25 04 2023François Scheefer, président et Jean-Michel POL, administrateur de JM2P localisé en Alsace.

JM2P à la Cour Européenne des Droits de l'Homme à Strasbourg, dans le cadre de la journée internationale contre l'exclusion parentale, contre l'aliénation parentale. Depôt d'une requête à l'encontre de l'Etat Français...

Le mardi 25 avril 2023 (Journée internationale contre l'aliénation parentale, contre l'exclusion parentale), l’association « J’aime mes 2 Parents » sera à la Cour européenne des droits de l'homme, à Strasbourg, afin d’y déposer sa requête composée de 7 plaintes de membres de l’association pour violation de l’article 8.1 de la Convention relatif au droit au respect de la vie familiale qui doit être garanti à toute personne.

- 3 mères,

- 3 pères,

- Une famille de grands-parents. 

La requête vise les manquements de l’État défendeur (La France) à son devoir de protéger par tous les moyens possibles le respect de la vie familiale de chaque personne, qu'elle soit enfant ou adulte dans le cadre de procédures de séparations parentales/divorces parentaux particulièrement conflictuelles, mettant qui plus est, à mal, le statut de l'autorité parentale accordée aux parents, les empêchant même d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec leurs enfants et, à l'inverse, pour les enfants qui se retrouvent anormalement victimes d’instrumentalisation (phénomènes d'aliénation parentale) empêchant ainsi tout possible maintien des relations personnelles et des contacts directs avec leurs deux parents et collatéralement les autres membres familiaux du parent ciblé.

De même le mépris et l’absence de traitement adapté des plaintes relatives au délit de non-représentation d’enfant de la part de la justice vient également encourager et accentuer, le plus souvent, les situations d’exclusion parentale.

Egalement, au regard de l’article 6.1 de la Convention relatif au droit à un procès équitable et à l’impartialité des services de justice et des autorités françaises à ce que la cause qui doit être entendue équitablement et dans un délai raisonnable soient appliquées, la requête de l’association « J’aime mes 2 Parents » apparaît également clairement fondée, tout comme vis-à-vis de l'article 14 de la Convention qui interdit toute discrimination et pour laquelle la justice familiale française semble trop souvent l'oublier...

Ces victimes d'exclusion parentale, à la fois illégale et inique, au mépris du droit au respect de leur vie familiale, sont de plus en plus nombreuses en France. Mais pour un bon nombre, il demeure difficile d'avoir la force et le courage de saisir la Cour européenne des droits de l'homme parce qu'il faut se replonger dans le drame familial enduré, parce qu'il faut relire et rassembler les documents des procédures menées depuis des années, des documents pourtant accablants et profondément scandaleux, démontrant les graves manquements, les sérieux dysfonctionnements de la justice familiale française.

Or, de par ses fautes, de par ses défaillances, la justice familiale française a ainsi pu encourager l’exclusion parentale, laissant ainsi le champ libre à l’instrumentalisation de l'enfant, l'exposant même, plus encore, à de possibles abus psychologiques graves (aliénation parentale, profond conflit de loyauté, …), en dépit de son intérêt et, conséquemment, venir, de fait, saccager, voire détruire, des familles entières, au mépris du droit au respect de la vie familiale pourtant fixé et rappelé par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme. 

Affiche 25 avril 2023 officielle

Au sein de l'association « J’aime mes 2 Parents », nous rencontrons un nombre grandissant de victimes d’exclusion parentale (Où l'emprise et les manipulations psychologiques exercées sur l'enfant apparaissent évidents, où le conflit de loyauté peut se développer à grande échelle jusqu’à ce que l'enfant perde, en quelque sorte, son libre arbitre).

 Chaque année depuis plus de dix ans, l’association « J’aime mes 2 Parents » échange avec elles et elles sont autant des mères que des pères ou bien encore des grands-parents, collatéralement victimes.

Toutes ces victimes ne cessent de démontrer que la justice familiale française est clairement devenue incapable, dans un nombre de cas sans cesse grandissant, de faire face aux situations endurées, là où l’exclusion s’installe, là où les abus psychologiques augmentent, de plus en plus incapable d’apporter une justice respectueuse des parties, de garantir l’intérêt supérieur de l’enfant, méprisant, de plus en plus, le respect à la vie familiale, tel que défini par l’article 8 de la convention européenne des droits de l’homme, sacrifiant ainsi tant d’enfants, de parents et de familles.

Il était temps de dénoncer à la Cour Européenne des droits de l'homme de tels abus.

Compte tenu du nombre immense et sans cesse grandissant de requêtes issues des 46 Etats membres (La Russie n'étant plus membre depuis la guerre menée en Ukraine), un nombre impressionnant de rejets est, hélas, observé même si les requêtes déposées se justifient amplement et soulèvent de réelles injustices au regard de la Convention. Or, l'élargissement du territoire confié à la Cour a, paraît-il, dépassé ses limites, ayant pour conséquence inéluctable une bien moindre protection, pour des raisons d'ordre simplement matériel. Il faudrait des moyens qui n'existent, hélas, toujours pas, à ce jour, et une volonté politique paneuropéenne toujours absente, également à ce jour… Et tant que les États Occidentaux ne seront pas plus consistants dans le traitement interne des dossiers qui sont confiés à leurs systèmes judiciaires propres, la Cour européenne des droits de l’homme doit pourtant tenter de continuer à fournir un travail de qualité et s'attacher à tant de cas qui méritent d'être corrigés afin de freiner les comportements négligents bafouant de plus la Convention.

C’est pourquoi, il est important de ne pas laisser les injustices dénoncées, au regard de la Convention, pourvoir ainsi se perpétuer au sein de l’Etat français dans la non-protection du droit à la vie familiale tel qu’il est exposé tout au long de cette requête et des 7 dossiers qu’elle contient. Nous comptons sur elle.

La Cour européenne des droits de l’homme ne peut laisser la situation en l’état. Il est plus que temps de rappeler à l’Etat Français ses obligations en matière de justice familiale et garantir enfin la protection de chaque citoyen, mineur et majeur, afin de respecter, en toutes circonstances, le droit au respect de sa vie familiale, gardant à l’esprit que la vie familiale est le droit de vivre ensemble, de sorte que des relations familiales puissent se développer normalement, même en cas de séparation des parents et que les membres d’une famille puissent être ensemble, d’autant que la séparation des parents doit être sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale et que chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent, sans perdre de vue également que l’intérêt supérieur des enfants ne doit nullement être minimisé, voire laissé de côté. Et chaque enfant doit être protégé dans son droit, afin de lui permettre d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants, tant maternels que paternels et ne pas subir le moindre abus psychologique afin de l’en dissuader et de l’en empêcher.

Pour en savoir plus : 25.04.2023 : DESTINATION CEDH

Cedh 1900

 

JM2P vous souhaite, autant que possible, de bonnes fêtes de Pâques.

En cette année 2023, comme pour tant d'autres années passées, l'exclusion parentale engendre des tonnes de souffrances, de véritables deuils impossibles, imposés en France en toute inhumanité, en toute illégalité... Comment vivre sans ses enfants, sans ses petits-enfants ?

La relation est impossible, comme avec une personne décédée, et pourtant, au cœur de l'exclusion due à l'aliénation parentale, ces enfants sont bel et bien en vie…

Mais il y en a aussi qui arrivent à renouer le lien. Alors il faut y croire. Tout reste possible.

Que ces fêtes de Pâques puissent être un moment de retrouvailles pour les uns, un renforcement de leurs espoirs pour les autres. Courage !

JM2P est à vos côtés et nous mettons tout en place pour tenter d'enrayer autant que possible et obliger la France à agir contre de tels désastres psychologiques, de tels abus, que représentent l'exclusion et l'aliénation parentales, des désastres d'une véritable boucherie familiale. Cela suffit !

Oeufs de paques

Une mise au point qui s'impose...

Suite à la question écrite de Monsieur Roger VICOT, Député de la 11ème circonscription du Nord, sur l’aliénation parentale, posée le 21 février 2023 (question n°5727), les remous qui en ont découlé à travers la France et l’article de la Voix du Nord du 26 février 2023 ainsi que des commentaires ajoutés sur la version numérique de l'article, l’association tient à préciser que même si elle ne doute pas de la bonne foi et du bon sentiment à l'égard de la question posée par ce dernier, nous ne pouvons que regretter que cette question posée fut particulièrement maladroite et que ce député n’ait pas pris contact avec l'association avant toute action de sa part, d'autant que depuis les élections de juin 2022, JM2P lui avait écrit et attendait une rendez-vous de sa part.

La question posée manquait assurément d'informations précises et très importantes afin d'empêcher, autant que possible, tout groupuscule et autres individus se disant "anti-aliénation parentale" et qui n'ont cessé ces dernières années de semer le trouble et de tenter de faire croire tout et n'importe quoi, de chercher à discréditer de réels abus psychologiques opérés par des parents aliénants (hommes et femmes) dans le cadre de séparations parentales très conflictuelles par le biais de l'instrumentalisation de l’enfant, alors victime de terribles manipulations et emprise mentales impliquant une exclusion parentale profonde et synonyme de tragédies.

Conclusion, ni une ni deux, le Député Roger Vicot s’est empressé d’annuler sa question écrite au Gouvernement dès le 28 février, au lieu de la corriger, de la compléter… !

Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ci-contre : A la UNE ce semestre (2019 -.)

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Dimanche 5 mars 2023 : La fête des Grands-mères... Dimanche 1er octobre 2023 : La fête des Grands-pères...

Bien trop souvent victimes collatérales en cas d'exclusion parentale et pire encore face à l'aliénation parentale, les grands-parents se retrouvent alors isolés, en toute injustice, et très souvent du jour au lendemain, de la vie de leurs petits-enfants. Ils assistent alors, impuissants, à la destruction de leurs propres enfants devenus soudainement de mauvais parents alors qu'auparavant ils étaient considérés par leurs conjoints comme étant les meilleures mamans ou les meilleurs papas du monde...!  Mais ça..., c'était avant la séparation, avant le divorce... Ces grands-parents soudainement rejetés étaient également les meilleurs pour leurs petits-enfants et deviennent alors, du jour au lendemain, les pires personnes du monde en toute calomnie...

L'association pense à elles, pense à eux, en ces inhumaines circonstances et tient à rappeler que le combat contre l'exclusion parentale, contre l'aliénation parentale et l'isolement dont ils peuvent être victimes est également au coeur de nos préoccupations.

 

Pour rappel : L'article 371-4 du Code Civil rappelle que : L'enfant a le droit d'entretenir des relations personnelles avec ses ascendants...

La Cour Européenne des Droits de l'Homme a également statué à plusieurs reprises en faveur des grands-parents rappelant que l'article 8.1 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme relatif au droit au respect à la vie de famille n'inclut pas exclusivement celui des enfants avec leurs parents mais les grands-parents y ont également toute leur place auprès de leurs petits-enfants.

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♦ UN ABUS PSYCHOLOGIQUE GRAVE QUI DOIT DONC ÊTRE COMBATTU COÛTE QUE COÛTE !

Un nombre de plus en plus important de tribunaux dans le monde a intégré la notion d'aliénation parentale faisant fi des débats stériles et malfaisants de groupuscules ultra-féministes cherchant, avant tout et à tort, à avilir le phénomène.

Or, quels que soient les termes employés (Phénomène d'emprise mentale, manipulations psychologiques, aliénation parentale, problème relationnel aigu enfant-parent, perte du libre arbitre, parentectomie, conflit de loyauté,...), l'essentiel est de reconnaître qu'il s'agit bel et bien d'un abus psychologique grave et que la lutte contre la farouche volonté d'un parent d'utiliser l'enfant,  afin de porter atteinte à l'autre parent, de pouvoir ainsi le démolir, purement et simplement, aux yeux de l'enfant et même d'éradiquer toute la famille et les racines du parent ciblé, doit être menée de façon efficace et radicale.

La Cour Européenne des Droits de l'Homme l'a également reconnue depuis bien des années déjà et un nombre grandissant d'Etats Européens a été condamné.

Somme toute, un nombre croissant de pays n'a cessé et ne cesse de prendre en compte ce phénomène apparenté à une véritable violence psychologique impliquant une prise en charge des victimes de plus en plus réelle, ce que, hélas, la France refoule encore le plus souvent en toute méconnaissance et en réelle inhumanité.

Or, concernant l'aspect scientifique, il y a bien longtemps qu'un nombre important de médecins, de (pédo)psychiatres, de psychologues et de chercheurs l'a associée aux pathologies relatives au problème de relation « parent-enfant ».

D'ailleurs au sein des classifications internationales des maladies, si le terme aliénation parentale n'apparaît pas, noir sur blanc, c'est qu'il n'est pas nécessaire en tant que tel. Et le milieu médical considère, de plus, que cette terminologie s'apparente avant tout au milieu juridique et non médical. Par conséquent, aussi bien dans le DSM-5 (Classification des maladies mentales), que dans la CIM-11 (Classification internationale des maladies) parue le 1er janvier 2022, l'aliénation parentale se rattache, de fait, aux pathologies relatives au problème de relation « parent-enfant ».

Aujourd'hui, il est donc quelque peu malvenu et même honteux de continuer à se voiler la face et de se détourner de tels abus psychologiques, pourtant sources de terribles traumatismes et de souffrances. Aucune instrumentalisation de l'enfant ne doit être admise ; aucune exclusion parentale en découlant ne peut être tolérée.

Le respect du principe de coparentalité doit, coûte que coûte s'appliquer conformément à l'article 373-2 et les suivants définis par le Code civil mais aussi à l'article 8.1 de la Convention Européenne de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales :« Toute personne a droit au respect de sa vie familiale… ».

Ne rien faire, c'est donc se rendre coupable de non-assistance à personne(s) en danger.

Ne rien faire, c'est également cautionner un abus psychologique grave ! Or, qui dit abus dit délit !

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♦ MEILLEURS VŒUX POUR CETTE ANNÉE 2023...

Une année vient de s’éteindre,

Et 2023 vient de voir le jour.

365 nouvelles occasions s'offrent à celles et ceux qui luttent contre l'exclusion parentale d'espérer les retrouvailles. 2023 permettra possiblement d'ouvrir une nouvelle porte ; une nouvelle chance de restaurer le droit fondamental à la vie familiale.

Retroussons nos manches, œuvrons à ce juste combat et retrouvons les nôtres, enfants et/ou petits-enfants.

Que la lettre et l'esprit de la loi cessent d'être outragés, que la protection de l'enfant soit effective face aux violences psychologiques, le plus souvent dissimulées et insidieuses.

Ayons le courage de rappeler à tous que le principe de coparentalité repose sur le fait qu'un enfant a toujours, et dans tous les cas, le droit de conserver une relation équilibrée avec ses deux parents, même si ces derniers sont séparés ou divorcés. La justice se doit d'avoir, coûte que coûte, le courage de l'entendre mais aussi et surtout de l'appliquer.

Le mépris judiciaire ressenti vis-à-vis des droits fondamentaux à commencer par celui de la vie familiale n'a nul droit d'être…

Que personne n'oublie, à commencer par nos dirigeants, nos législateurs, nos magistrats, nos avocats, nos médecins et psychologues, nos travailleurs sociaux, que l'exclusion parentale et l’aliénation parentale sont une seule et même prison dont on ne sort jamais vraiment si rien n'est entrepris pour les combattre.

Nul ne doit lâcher, battez-vous pour le droit à la vie familiale, à la protection de l’enfant qui, rappelons-le, a le droit le plus absolu d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants.


Que tout en cette année 2023 vous soit facilité autant que faire se peut, ajoutant toutes les possibilités de contact, d'échange et de rencontre. 

Que 2023 permette tous les possibles et pourquoi pas les miracles !

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♦  EN 2022, NOËL PEUT ENCORE ÊTRE TRÈS ÉPROUVANT ET, HÉLAS, VENIR RAVIVER, PLUS ENCORE, LES DOULEURS DE L'EXCLUSION, DE LA DÉSOLATION...

Les sapins ont beau être décorés, les rues être parées de guirlandes lumineuses suspendues, les vitrines paraître plus attrayantes et remplies de belles choses, des pères Noël déambulant dans les rues des centres-villes, rien ne peut malheureusement venir réconforter ces milliers et même ces millions de victimes qui n'ont d'autre choix que de faire le deuil de partager ces moments supposés festifs auprès de leurs enfants, auprès de leurs petits-enfants...

Injustement et illégalement privés de ces enfants, de ces petits-enfants, les innombrables « proscrits » ont bien du mal à faire face aux éprouvantes journées préparatoires de Noël, aux chants, pourtant mélodieux, célébrant la nativité et aux incessants téléfilms relatant les joies d'être en famille en cette période de fin d'année, sans parler du jour J...

Pour les enfants, tout autant victimes, forcés au rejet, manipulés et instrumentalisés, un grand vide s'installe, le plus souvent, au fond de leur cœur, même s'ils tentent de faire bonne figure, même s'ils se laissent bercer par la magie de Noël. Mais, la plupart du temps, les fêtes de fin d'année leur rappellent le poids des absents, les éprouvant changements d'ambiance, les chaises vides qui ont été indûment effacées...

Car un enfant aime indépendamment ses parents, ses grands-parents et les conflits d'adultes ne les concernent pas. Alors, ils doivent inéluctablement subir, sans le moindre choix.

Hélas, cette année encore, des millions de victimes, enfants, parents, grands-parents, de France et d'ailleurs, ne seront pas réunis et ne pourront donc pas partager ce Noël 2022 ensemble, ni les autres jours... Cela suffit !

Etant donné que l'injustice perdure, que les gouvernants et leurs institutions s'enferrent encore dans une forme de lâcheté ou sinon ne cessent alors de s'enfoncer dans un amateurisme déconcertant jonché de négligences et de dysfonctionnements, l'exclusion parentale, accélératrice d'abus psychologiques graves sur l'enfant et lourdement préjudiciable à la coparentalité, continue malheureusement d'envahir notre société...

Nul n'a le droit, y-compris nos instances, de bafouer, avec récurrence, le droit fondamental à la vie familiale appartenant pourtant à tout être humain...

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Or, pour beaucoup, le miracle de Noël n'existera pas, laissant ainsi juste un vide absolu, une douleur éprouvante et révoltante que nul ne devrait subir.

Nos instances, nos gouvernants, doivent coûte que coûte mettre un point final à toutes ces situations d'exclusion et combattre l'instrumentalisation et la prise en otage des enfants au cœur même des conflits parentaux liés à la séparation, une séparation pour laquelle aucun enfant ne devrait y être séquestré.

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♦  RENDEZ-VOUS RÉUSSI À HELLEMMES, DANS LE NORD, LORS DE LA JOURNÉE MONDIALE DES DROITS DE L'ENFANT...

Les derniers mois ont démontré, en France, à quel point l'exclusion parentale continue, hélas, de galoper et pourtant, celle-ci est totalement contraire à nos lois, aux conventions européennes et internationales et à nos convictions.

 

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Comme un certain Jacques CHIRAC, alors Président de la République, avait déclaré à propos de notre planète : « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs.» Pour ce qui nous réunit aujourd'hui, dans le cadre de la journée internationale de l'Enfance et des droits de nos enfants, cette maison qui brûle c'est aussi celle de la justice familiale et de nos institutions qui laissent tant de victimes s'asphyxier, pour ne pas dire les supplicier plus encore.

Alors, au regard de la situation et des milliers de SOS reçus par l'association « J'aime mes 2 Parents », cette journée est bel et bien l'occasion d'enclencher le processus de lancement d’une requête qui sera adressée au cours du premier trimestre 2023 à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, à l’encontre de l’État Français, pour non-respect récurrent (pour ne pas dire quotidien) du droit fondamental à la vie familiale que, pourtant, tous nos enfants sont en droit d'espérer et de voir se réaliser, que tout parent, que tout grand-parent et que citoyen du monde sont en droit de se voir appliqué.

Dsc03654 2En présence du Maire d'Hellemmes, Franck GHERBI, le 1er anniversaire de l'arbre de la Coparentalité. Samedi 19 novembre 2022.

Pour en savoir plus, cliquez sur le lien : 19.11.22:Autour de notre ARBRE

 

♦  RENDEZ-VOUS À HELLEMMES LE SAMEDI 19 NOVEMBRE - Dans le cadre de la journée internationale de l'Enfance et des droits de l'Enfant.

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Depuis 10 ans, l’association « J'aime mes 2 Parents », localisée à Hellemmes (NORD), commune associée à la Ville de LILLE, entend les SOS de milliers de parents et de grands-parents, victimes d'exclusion parentale s'accompagnant le plus souvent de phénomènes d'emprise et de violences psychologiques infligés aux enfants...

Depuis 10 ans, « J'aime mes 2 Parents » constate et dénonce le déni et l'immobilisme de la France face à de tels abus psychologiques gravissimes...

Cette « non-assistance à familles en danger » n'est plus tolérable au sein d'une société qui se dit soucieuse du respect des droits de l'Homme et où la sacro-sainte justice familiale se targue d'être le pays où l'enfant a le droit de grandir en profitant autant de ses deux parents malgré la séparation parentale.

Le 20 novembre, depuis des décennies déjà, est célébrée à travers le monde la journée de l'Enfant et de ses droits.

Ainsi, le 20 novembre 2021, l'association, associée à la Municipalité d'Hellemmes (Associée à la Ville de Lille), plantait « l’arbre de la Coparentalité » au Parc de la Mairie.

Ce magnifique érable qui a pris racine est ainsi devenu un symbole fort de volonté et d’espoir pour que la coparentalité ne soit pas vaine, qu’elle survive et s’installe coûte que coûte, dans chaque situation familiale, malgré la séparation parentale.

Tout enfant a besoin de ses deux parents, il les aime indépendamment même s’ils ne vivent pas ou plus ensemble 24h/24.  

Planter un arbre, celui de la coparentalité, c’était non seulement rappeler l’un des fondamentaux de notre société, celui de la famille et de ses valeurs, mais c’est aussi rappeler que l’arbre, symbole de vie, demeure un élément essentiel au quotidien de la société humaine et de son cadre de vie.

L’arbre joue un rôle déterminant pour la survie de l’humanité ; la famille s’apparente au berceau de la vie, à la base de la société, où les individus se rencontrent avec leur histoire et leur désir commun de devenir parent. Ainsi, les enfants doivent pouvoir grandir, vivre et s'épanouir auprès de leurs parents, quelles que soient les circonstances (à l'exception bien entendu que cela ne soit pas contraire à leur intérêt).

Or, à ce jour, ils sont des millions en France à avoir perdu le lien avec l'un des deux parents et même des autres membres de la famille du parent injustement écarté, au mépris de la loi et des conventions et, avant tout, au mépris de leurs droits fondamentaux.

Et, malheureusement, leur nombre ne cesse de progresser et ils sont ainsi de plus en plus nombreux à perdre le lien avec l’un de leurs deux parents compte tenu de la séparation parentale.

Et pourtant, l’article 9 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant prévoit que : « Les États parties respectent le droit de l'enfant séparé de ses deux parents ou de l'un d'eux d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents, sauf si cela est contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant ».

Et même notre droit français (Hélas, trop souvent non-appliqué en toute injustice) souligne que : « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent. » De même : « L’enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants. » 

En ce mois de novembre 2022, il apparaît très important, non seulement de célébrer cette journée internationale des Droits de l'Enfant, mais aussi de fêter le premier anniversaire de « l'Arbre de la Coparentalité » à Hellemmes,

Les adultes peuvent faire le choix de ne plus vivre ensemble, de ne plus être conjoints, de ne plus être maris ou épouses, mais en présence d’enfant(s) suite à leur union, ils demeurent et resteront, à vie, parents.

La coparentalité doit demeurer, coûte que coûte, d'autant que les enfants en ont grand besoin.

Enfants comme adultes doivent bénéficier de l'application du droit fondamental à la vie familiale, ce que, d'ailleurs, dicte très clairement la Convention Européenne des Droits de l'Homme.

Le rendez-vous est donc donné au Parc de la Mairie d'Hellemmes, face à « l'arbre de la Coparentalité » (Situé à 50 mètres sur la droite derrière la Mairie), le samedi 19 novembre 2022 à 16h00.

(Le matin du 19 novembre une opération de sensibilisation à cette journée sera également effectuée au Marché, avec distributions de tracts et d’autocollants)

Ce sera l'occasion de partager ce moment fort autour d'un petit goûter afin de célébrer le premier anniversaire de « l'arbre de la Coparentalité », mais aussi et surtout de pouvoir échanger et de prendre connaissance de la situation de la France, à ce jour, face au respect (ou non) du principe de la coparentalité, face au respect (ou non) du droit fondamental à la vie familiale qui concerne en premier lieu les enfants et leurs parents mais également les grands-parents et les autres membres familiaux proches des enfants.

Au regard de la situation et des milliers de SOS reçus par l'association « J'aime mes 2 Parents », cette journée du samedi 19 novembre 2022 sera également l'occasion d'enclencher officiellement le processus de requête qui sera adressée début 2023 à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, à l’encontre de l’Etat Français, pour non-respect récurrent (pour ne pas dire quotidien) du droit fondamental à la vie familiale (Article 8.1 de la Convention européenne des droits de l'Homme).

Il faut donc agir vite et fort, à commencer pour les enfants. Que personne n'oublie, à commencer par nos dirigeants, nos législateurs, nos élus quels qu'ils soient, nos magistrats, nos avocats, nos médecins et psychologues, nos travailleurs sociaux, que l’exclusion parentale entraînant, de plus, des situations d’emprise et de violence psychologique, est une prison dont on ne sort jamais vraiment si les choses demeurent ainsi !

Venez donc nombreux, on compte sur vous !

Rendez-vous ce samedi 19 novembre 2022 à 16h00 au Parc de la Mairie d'Hellemmes - 155, rue Roger Salengro (59260 HELLEMMES).

Pour en savoir plus, cliquez sur ce lien : 19.11.22:Autour de notre ARBRE

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♦  A PROPOS DE "L'ALIÉNATION PARENTALE" : UNE BASE DE CONNAISSANCES SCIENTIFIQUEMENT FIABLE...

Contrairement aux propos tenus par des détractrices et/ou des détracteurs considérant que l’aliénation parentale (ou tout autre terme pour la décrire, tel que, par exemple, "la parentectomie", utilisé au Canada) en tant que condition mentale serait infondée sur la recherche scientifique, elles/ils se trompent lourdement, tout autant d’ailleurs lorsqu'elles/ils oublient, sciemment ou non, de spécifier que l’aliénation parentale n’est effectivement pas genrée.

De plus, il existe une richesse de connaissances cliniques accumulées sur l'aliénation parentale dans moult cas réels et très conflictuels.

Deux articles publiés récemment dans les revues scientifiques viennent d’ailleurs distinctement démentir les déclarations déraisonnables, voire irresponsables, de tel(le)s détractrices/détracteurs.

Ces publications scientifiques (En juin et août 2022) viennent clairement souligner qu’en accédant à quatre bases de données électroniques, les chercheurs scientifiques signataires ont identifié 213 documents contenant des données empiriques sur l'aliénation parentale, 213 documents publiés en 10 langues différentes jusqu'en décembre 2020 (La recherche s'arrêtant à cette date). Ainsi, les résultats ont confirmé que l'état actuel de la recherche sur l'aliénation parentale répond à trois critères d'un domaine de recherche scientifique en pleine maturation et que près de 40 % de la littérature (scientifique) sur l’aliénation parentale a été publiée depuis 2016, ce qui montre que la recherche sur le sujet a dépassé le stade précoce de développement scientifique et produit donc une base de connaissances scientifiquement fiable.

La France n'a donc nul droit d'ignorer la situation, alors que nos voisins européens, quant à eux, agissent et/ou mettent en œuvre des actions cohérentes afin de lancer la lutte ou de lutter d'ores et déjà, contre ces situations d'emprise et de manipulations mentales, représentant de réels et gravissimes abus psychologiques infligés, en premier lieu, à l’enfant.

Enfin, n’oublions pas les mots prononcés par Monsieur Emmanuel MACRON , le 20 avril dernier au soir : « La protection de l'enfance sera au cœur des cinq années qui viennent. », des mots qui furent d’ailleurs repris et confirmés après sa réélection et que la Secrétaire d’Etat chargée de l’Enfance, Madame Charlotte CAUBEL, est venue re-confirmer, en juin dernier, par voie de presse...

Qu’on se le dise !

Références de ces publications :

“Developmental psychology and the scientific status of parental alienation” by Harman, J. J., Warshak, R. A., Lorandos, D., & Florian, M. J. (Médecins, psys, chercheurs, de renommée internationale), publication validée par l'APA (La plus grande association (américaine) de professionnels au monde de la santé mentale) -  (2 juin 2022).

https://psycnet.apa.org/record/2022-66868-001?doi=1

"Lessons Learned From Parental Alienation Cases" by Alan D. Blotcky, PhD (8 août 2022)

https://www.psychiatrictimes.com/view/lessons-learned-from-parental-alienation-cases

Garde partagee site

 

♦  LES PAYS-BAS FACE À L'ALIÉNATION PARENTALE : BRAVO !

Le 29 mai 2022, le Parlement des Pays-Bas, constatant que l'aliénation parentale est devenue un problème social majeur et qu'en 2020 une équipe d'experts sur l'aliénation parentale recommandait déjà que les parents soient avertis à un stade précoce qu'ils enfreignent la loi et qu'ils soient sensibilisés aux conséquences possibles de celle-ci, il a été décidé que :

"Tout parent aliénant devra être informé dès que possible que des poursuites pénales peuvent dorénavant être engagées si les accords ou les modalités des droits de garde et/ou de visite établis par le tribunal ne sont pas respectés et le gouvernement néerlandais, conformément à la recommandation de l'équipe d'experts sur l'aliénation parentale, doit, dès maintenant, développer une méthode par laquelle les parents seront avertis à un stade précoce qu'ils enfreignent la loi et doit rapidement déterminer les sanctions qui pourront intervenir rapidement, par exemple au travers d'une courte procédure judiciaire ainsi que de la mise en œuvre de la sanction établie qui sera mise à exécution rapide avec le soutien des agents de police bien préparés à cela."

Parlement neerlandais a la haye pays bas 2Quant à nos dirigeants Français et quant à nos parlementaires, ils continuent, les uns et les autres, de briller par leur immobilisme ! Pauvre France ! - L'exclusion parentale et les situations d'emprise et de manipulations psychologiques sur l'enfant peuvent se poursuivre sans problème...! Des abus psychologiques inacceptables !

 

♦  UNE FÊTE DES MÈRES ET UNE FÊTE DES PÈRES POUVANT ÊTRE TRÈS DOULOUREUSE - UNE SITUATION INACCEPTABLE !

 

En France, il y a tant d’enfants qui aimeraient dire des choses essentielles qu'ils n'ont jamais l'occasion de dire à d’autres moments et de pouvoir exprimer leur amour à leurs parents…

Hélas, ils ne le peuvent pas parce qu’ils se trouvent prisonniers d’une emprise mentale telle que même leurs droits fondamentaux à la vie familiale sont illégalement bafoués.

Des millions d'enfants et de parents doivent affronter une exclusion parentale dramatique et avant tout inhumaine parce que d'autres parents, hommes ou femmes, devenus des aliénants, des manipulateurs, des pervers toxiques, agissent à leur guise et en toute impunité, refusant ainsi le respect du droit à la vie familiale, sacrifiant, de plus, l’équilibre psychoaffectif des enfants, de leurs enfants, allant même jusqu’à leur interdire de souhaiter une "Bonne Fête" à leur Maman ou à leur Papa ? Quoi de plus abject ? 

Ainsi, leurs parents se retrouvent tout autant blessés et meurtris au plus haut point, envahis d’une infinie tristesse…

Ils sont des millions de victimes en France à subir une telle ignominie, ils sont des millions à être bâillonnés, empêchés ainsi de communiquer, alors que, dans le même temps, l'indifférence des pouvoirs publics se maintient encore et toujours…

L’association apporte tout son soutien à toutes les victimes de ces terribles injustices, qu'elles soient enfants, mamans et papas, mais aussi, collatéralement : grands-parents et autres membres familiaux.

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♦  UNE JUSTICE FAMILIALE VISIBLEMENT DÉPASSÉE...

Notre justice familiale se trouve dépassée croulant sous les dossiers, les procédures, les repoussant à des délais d’attente dépassant l’entendement, des droits de visite repoussés aux calendes grecques (A titre d"exemple : jusqu'à plus de 6 mois pour que des droits de visite médiatisés, ordonnés par jugement, débutent enfin ! ou bien encore les innombrables plaintes pour non-représentations d'enfant(s) méprisées, ignorées par le système judiciaire...!), et prononçant, dans un nombre grandissant de cas, des décisions inadaptées, inappliquées et/ou même inapplicables...!

Quant aux Etats généraux de la Justice lancés à l’automne 2021, ils semblent bel et bien enlisés, laissant à ce jour une chape de silence supplémentaire s’installer…

Des dégâts collatéraux de plus à subir suite à la crise sanitaire ? Halte au massacre !

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♦  LUNDI 25 AVRIL 2022 - LILLE :

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Aucun enfant ne doit devenir otage de la séparation parentale. Il aime indépendamment ses 2 parents, sources de vie, nécessaires à la construction de sa vie et à son développement quotidien et futur...

Et pourtant,  à ce jour, plus de 4,2 millions d'enfants ne voient plus du tout ou au maximum 2 fois par an l'un de leurs 2 parents, soit environ 30% des enfants de France !

CELA SUFFIT ! NON À UNE TELLE EXCLUSION !

NON À DE TELLES VIOLENCES PSYCHOLOGIQUES SUBIES !

EN CETTE JOURNÉE INTERNATIONALE POUR LE MAINTIEN DU LIEN PARENTAL, LUNDI 25 AVRIL, NOUS SOMMES À LILLE POUR LE FAIRE SAVOIR !

 Le Président de la République avait annoncé en conclusion du débat présidentiel du mercredi 20 avril dernier qu’il mettrait la protection de l'Enfance au cœur de son quinquennat.

Réélu, le Président de la République doit donc, dès maintenant, le prouver et agir enfin face aux violences psychologiques endurées, compte tenu des situations d’emprise mentale, de conflits de loyauté et d'instrumentalisation, imposés aux enfants, dans le cadre des séparations parentales ultra-conflictuelles; des violences psychologiques dénoncées sans relâche depuis des années et pourtant lâchement abandonnées lors du précédent quinquennat et des gouvernants en charge de cela...

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♦ CE LUNDI 25 AVRIL 2022 : 17ème journée internationale :

- de lutte contre l’aliénation parentale,

- de lutte contre l’exclusion parentale,

- de la sauvegarde du lien parental.

Cette journée est partagée dans le monde entier au cours de laquelle un nombre de plus en plus important de pays s'unit (Plus de 50 à ce jour), englobant l’ensemble des continents, afin de sensibiliser chacune et chacun à cette inadmissible situation que représente la destruction de la vie familale de l'enfant compte tenu de l'exclusion et des abus psychologiques orchestrés...

En France, l’association « J’aime mes 2 Parents » sensibilisera la population de la Métropole Lilloise par la distribution de tracts et d'autocollants à l’effigie de l'enfant (Autocollant créé pour la circonstance) qui, malgré la séparation parentale, aime ses deux parents et n'a pas à subir la moindre instrumentalisation en cas de différends parentaux.

  RENDEZ-VOUS GRAND PLACE DE LILLE DE 13h30 à 16h30  (Place du Général de Gaulle, du côté du Furet du Nord)

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Trop de gâchis à ce jour, trop de drames, trop de tragédies familiales…

Les situations d'exclusion parentale subies, les situations d’emprise sur l’enfant, totalement arbitraires, généralement contraires à la loi et aux conventions pourtant ratifiées par la France doivent cesser de suite.

Et notre justice familiale se trouve dépassée croulant sous les dossiers, les procédures, les repoussant à des délais d’attente dépassant l’entendement et prononçant, dans un nombre grandissant de cas, des décisions inadaptées, inappliquées et/ou même inapplicables...! Notre justice familiale et les services gravitant autour sont profondément sclérosés, manquant de formations, de compétences et de moyens, oubliant même d'appliquer la loi ; ils ne sont pas ou ils ne sont plus capables de traiter la plupart de ces situations, et leurs dysfonctionnements peuvent même aggraver dangereusement celles-ci. Halte au massacre... !

La coparentalité doit être reconnue conformément à la loi du 4 mars 2002 (n° 2002-305) relative à l'autorité parentale. Elle est à la fois orientée sur l'intérêt de l'enfant et sur la coparentalité, en toutes circonstances, y compris lors des séparations particulièrement conflictuelles...

L’intérêt de l’enfant est explicitement celui d’être élevé par ses deux parents, reprenant également l’esprit des dispositions édictées par la Convention internationale des droits de l’enfant.

François Scheefer Président d’honneur de l’association « J’aime mes 2 Parents » : « Aucun enfant ne doit devenir otage de la séparation parentale. Il aime indépendamment ses deux parents, sources de vie, nécessaires à la construction de sa vie et à son développement quotidien et futur.»

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♦ Cette tentative auprès des deux finalistes à l'élection présidentielle a échoué !

Il apparait, hélas, très clair que la famille, les familles, n'ont aucune importance aux yeux des deux finalistes, tout comme, d'ailleurs, auprès des 10 autres candidats éliminés à l'issue du premier tour des élections. C'est à la fois grave et inquiétant.

La détresse des centaines de milliers de parents et même de millions de membres familiaux illégalement exclus et meurtris, de tant de familles bafouées, de tant de grands-parents en plein désespoir et de tant d'enfants fracassés, ignorés, délaissés, au mépris des lois, des conventions et du droit fondamental à la vie familiale importe peu...! C'est affligeant !

N'ont-ils pas conscience que la famille, les familles sont bel et bien les cellules de base de la société, de notre société, et que l'enfant se trouve, quant à lui, au centre des liens familiaux, là où il se développe afin de devenir un futur citoyen adulte et responsable ? Venir torpiller ses liens maternels ou ses liens paternels, soit la moitié de son patrimoine, de ses racines, y compris en utilisant la violence psychologique, c'est à la fois irresponsable mais aussi inhumain et parfaitement contraire à toute société responsable atterntive et sérieuse. 

 

♦ NOUVELLE TENTATIVE... Des réponses cette fois-ci ?

Avant le second tour de l'élection présidentielle du 24 avril 2022, l'association s'est adressée aux deux finalistes afin de savoir s'ils allaient enfin répondre aux questions posées par l'association depuis un mois déjà...

Face aux lacunes évidentes du système de justice familiale, quelles réponses comptent-ils apporter aux enjeux de l’exclusion parentale, de la manipulation mentale de l'enfant et du conflit de loyauté qui touche un nombre grandissant d’enfants de couples séparés, compte tenu d'un conflit parental aigu ?

1) Quelles seront leurs propositions concrètes liées à ce sujet et aux éléments soulevés par le courrier adressé depuis un mois ?

2) Quels moyens accorderont-ils pour mettre rapidement un frein à ces terribles fléaux que représentent, au quotidien, l’exclusion parentale et les violences psychologiques infligées à l’enfant au cœur de la séparation parentale particulièrement conflictuelle ?

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♦ LAMENTABLE !... 0 réponse de la part des 12 candidats...! Pauvre France !

Les Chefs de l'Etat Français passent, les gouvernements passent également et l'inaction face à l'exclusion parentale, face à l'aliénation parentale se poursuivent et s'aggravent au fil des ans... Plus de 4,2 millions d'enfants (soit 30% de tous les enfants de France) ne voient plus du tout l'un de leurs 2 Parents ou au maximum une à deux fois par ans... Est-ce normal ?

Quel sera la situation après ces élections présidentielles, puis celles des législatives ?

Les 12 candidats à la présidentielle, questionnés sur le sujet, ont maintenu le silence (Ils étaient 5 à avoir répondu en 2017), démontrant clairement que la famille, les familles, que la protection des droits fondamentaux à la vie familiale, que l'enfant exposé aux violences psychologiques lors de la séparation conflictuelle des parents importent peu et sont clairement le cadet de leurs soucis...

Qu'on se le dise !

NON à l'exclusion parentale !

NON à l'instrumentalisation de l'enfant lors du conflit parental.

NON à la violation de l’autorité parentale et des jugements rendus en toute impunité !

NON à une justice familiale dépassée, poussiéreuse et sans moyens appropriés !

POUR RAPPEL : L'enfant n'est ni un otage ni une arme stratégique afin d'assouvir les desseins les plus vils qui soient de la part d'un parent manipulateur cherchant, coûte que coûte, à éradiquer la relation de l'enfant avec l'autre parent.

OUI au respect et à l'application du droit à la vie familiale !

OUI aux mesures de lutte contre l'emprise et les manipulations psychologiques subies par l'enfant lors de la séparation parentale !

OUI à la protection des victimes de telles situations d’emprise, de manipulations mentales et d’exclusion et à la reconnaissance de leur statut de victimes !

OUI à l’action !

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« Nous sommes bien bas ! Pauvre France ! Où allons-nous ? »

Marcel PROUST

 

JM2P s'adresse aux 12 candidats en lice à l'élection présidentielle d'avril 2022...

L'association s'est adressée à chaque candidate, à chaque candidat, à l'élection présidentielle d'avril 2022 afin de leur demander quelles seront leurs propositions liées aux drames relatifs à l'exclusion parentale qui ne cesse de progresser et pour lesquels la justice et les autres services gravitant autour apparaissent vraiment dépassés, non-formés, pour lesquels les enfants se retrouvent de plus en plus souvent instrumentalisés par l'un des deux parents au cœur même de la séparation, alors victimes d'abus psychologiques graves (Conflits de loyauté, perte du libre arbitre, chantages affectifs et manipulations psychologiques,…) ? Quels moyens concrets accorderont-elles, accorderont-ils, pour mettre rapidement un frein à ces terribles fléaux que représentent, au quotidien, l’exclusion parentale et les violences psychologiques infligées à l’enfant ?

Les conflits nés de la séparation des parents peuvent engendrer de sérieuses violences psychologiques intra-familiales. Celles-ci peuvent mettre en danger l’équilibre mental et psychoaffectif de l’enfant soumis à des manipulations, à un chantage affectif et à des phénomènes d'emprise psychique par l'un des deux parents.

En 2018, l’INSEE estimait ainsi que plus de quatre millions d'enfants (sur 14,1 millions au total) ne voyaient plus du tout l'un des deux parents ou sinon qu'une à deux fois par an. En 2019, on parlait de situation « hautement conflictuelle » pour environ 20 à 25% de séparations parentales (ce qui est déjà élevé) ; en 2021, selon les remontées de terrain, les 30% sont déjà amplement dépassés. On imagine combien la crise sanitaire et l‘enfermement ont pu dégrader, plus encore, la situation depuis.

A travers ce courrier, des constats et des propositions concrètes sont apportés. Espérons que les candidates, les candidats à la présidentielle auront le courage d'y répondre. 

L’inquiétude qui est la nôtre quant à l'avenir de centaines de milliers, de millions, d’enfants et de familles et aussi face à l'absence inacceptable d’actions concrètes menées par les précédents gouvernements, y compris au cours de ce quinquennat qui s’achève, ne cesse d’enfler.

Jour après jour, année après année, nous voyons le phénomène de l’exclusion accompagné d’abus psychologiques graves s’amplifier. Pour autant, les courriers qui furent adressés à la Présidence de la République, tout comme aux Ministères concernés, tous les témoignages fournis, tous les résultats d’enquêtes ou d'analyses et les mises en garde finissent, visiblement, aux oubliettes et à l’indifférence… Cela suffit ! Halte au massacre… !

Le courrier adressé aux candidat(e)s et celui adressé au candidat à sa propre réélection en avril 2022

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Le dimanche 6 mars 2022 : C'est la fête des Grands-mères  Et le dimanche 2 octobre 2022 : C'est la fête des Grands-pères...

Trop souvent victimes collatérales en cas d'aliénation parentale, les grands-parents se retrouvent ainsi isolés, en toute injustice, et souvent du jour au lendemain, de la vie de leurs petits-enfants. Ils assistent également, impuissants à l'exclusion de leurs propres enfants devenus soudainement de mauvais parents alors qu'auparavant ils étaient considérés par leurs conjoints comme étant les meilleures mamans ou les meilleurs papas du monde...!  Mais ça..., c'était avant la séparation, avant le divorce...

L'association pense à elles, à eux, en ces circonstances et tient à rappeler que le combat contre l'aliénation parentale et l'isolement dont ils peuvent être victimes est également au coeur de nos préoccupations.

 

Pour rappel : L'article 371-4 du Code Civil rappelle que : L'enfant a le droit d'entretenir des relations personnelles avec ses ascendants...

La Cour Européenne des Droits de l'Homme a également statué à plusieurs reprises en faveur des grands-parents rappelant que l'article 8 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme relatif au droit au respect à la vie de famille n'inclut pas exclusivement celui des enfants avec leurs parents mais les grands-parents y ont également toute leur place auprès de leurs petits-enfants.

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UNE TRISTE RÉALITÉ...

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"J'AIME MES 2 PARENTS" : 10 ANNÉES DE COMBAT...

En 2022, cela fait 10 ans que l'association « J'aime mes 2 Parents » œuvre pour lutter et dénoncer les abus psychologiques graves découlant de séparations parentales ultra-conflictuelles. 

Or, nul n’a le droit de porter atteinte à l’entretien de relations personnelles entre l’enfant et ses ascendants. C’est une atteinte aux racines-mêmes et au patrimoine de l’enfant. Et nul n'a le droit de porter atteinte au droit, pourtant universel et fondamental, à la vie familiale, tant envers les enfants qu'envers les adultes, quels qu'ils soient. 

Et pourtant, à ce jour, en France, les violations du droit fondamental à la vie familiale se multiplient. La France et ses institutions  apparaissent de moins en moins respectueuses des droits fondamentaux de l’Enfant pourtant inscrits et ratifiés dans le cadre de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant. 

La situation n'a fait que s'aggraver au cours de ces dix dernières années... !  

Les souffrances et les injustices sont immenses, voire incommensurables.  

La lutte contre de telles violations et de tels abus psychologiques graves doit être lancée au plus vite. De nombreux pays Européens l'ont compris, mais la France s'enferme, plus encore aujourd'hui qu'hier, dans un irresponsable immobilisme, sacrifiant ainsi des milliers de familles chaque année.  

Aujourd’hui, plus d'un quart des enfants de France ne voient plus du tout (ou au grand maximum une à deux fois par an) l'un de leurs deux parents… 

Cette exclusion n’est nullement une question de genre ou bien encore de classe sociale. Mais, quoi qu'il en soit, elle est répugnante, inhumaine et même illicite.  

le 31 décembre 2021, le Président de la République, dans son allocution au peuple Français précisait : « Je veux vous dire que je suis résolument optimiste pour l’année qui vient. Optimiste pour notre Nation pas simplement pour 2022, mais pour les années qui viennent. Car l’ambition et la solidarité dont nous n’avons cessé de faire preuve nous autorisent tous les espoirs. » 

Mais quels espoirs la France peut-elle venir offrir aux millions d'enfants, de parents et de familles victimes d'exclusion parentale et pour lesquels le conflit de la séparation parentale est tel que l'enfant se trouve inadmissiblement instrumentalisé, au mépris de sa protection, de ses droits et surtout de son équilibre psychoaffectif, sans parler de l'impunité, à la fois effarante et effrayante, permettant ainsi à ces violences psychologiques de perdurer ?  

Mais quels espoirs la France peut-elle venir offrir aux millions d'enfants, de parents et de familles victimes d'exclusion parentale, lorsque, année après année, l'immobilisme excelle, au mépris de toutes ces victimes, qui plus est lorsque celles-ci doivent faire face à des abus et violences psychologiques graves (Phénomènes d'emprise psychologique et de manipulations mentales) infligés aux enfants lors de la séparation parentale ultra-conflictuelle ? 

10 années de combat...  

L'association « J'aime mes 2 Parents » ne lâchera pas et s'il faut 10 ans de plus pour dénoncer la situation de la France face à l'inertie des gouvernants, des législateurs, des pouvoirs publics, l'association sera là et ne lâchera pas. A ce jour, toutes ses propositions et mesures concrètes à mettre en œuvre sont demeurées vaines… 

Le mépris, la lâcheté ou bien encore l'injustice n'ont plus leur place au sein de la société où les trajectoires familiales, devenues multiples, reposent sur la coparentalité qui se doit d'être maintenue coûte que coûte, bien au delà de la séparation parentale et des possibles conflits engendrant des situations d’exclusion inhumaine et ainsi survivre, afin de permettre à l’enfant de se construire au côté de ses parents, figures d’attachement et de sentiments, d’éducation, d’accompagnement et de valeurs. 

Le 4 mars prochain, la France fêtera les 20 ans de la loi n° 2002-305 relative à l'autorité parentale à la fois orientée sur l'intérêt de l'enfant et sur la coparentalité en toutes circonstances, y compris lors des séparations particulièrement conflictuelles... 

Or, celle-ci apparaît de moins en moins appliquée tout particulièrement lors des conflits parentaux épineux liés à la séparation et cette non-application représente bel et bien une flagrance d'injustice inadmissible et même souvent pusillanime...  

« La coparentalité est nécessaire à la construction de la vie de l’enfant, tout comme l’oxygène est indispensable à la vie, à la construction de la vie sur Terre. »  François Scheefer. 

Le massacre n'a déjà que trop duré.   

Et : « Une injustice faite à un seul est une menace faite à tous. »  Montesquieu. 

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A QUAND LA FIN DE LA POLITIQUE DE L'AUTRUCHE ET CELLE DE LA LANGUE DE BOIS ?

Cette question à la fois claire, urgente et franche apparaît particulièrement légitime compte tenu des propos tenus par le Chef de l'Etat lors de son allocution du 31 décembre 2021 et les souffrances endurées par tant de victimes qui, visiblement, n'émeuvent pas nos dirigeants malgré la gravité de la situation et, hélas, le nombre sans cesse grandissant de cas d'exclusion parentale et de situations d'emprise psychologique exercée, par l'un des deux parents, sur les enfants, lors de la séparation parentale ultra-conflictuelle afin de rejeter, sans le mondre fondement, l'autre parent et, collatéralement, les autres membres de la famille du parent ciblé...

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MEILLEURS VŒUX POUR CETTE NOUVELLE ANNÉE...

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2022, ne pourrait-elle pas devenir l'année de tous les défis ? 

Et si on tentait de croire en l'impossible, de se dessiner enfin un destin prodigieux dans lequel l’esprit de coparentalité sera enfin omniprésent, les enfants seront enfin protégés des violences psychologiques subies, l'exclusion parentale sera enfin bannie et l'aliénation parentale sera enfin éradiquée ?

En cette période de vœux, osons croire à l’impossible.

La justice au sens noble du terme, le bonheur en famille, la restauration du lien, les retrouvailles et la paix se construisent chaque jour.

Alors, commencez déjà par y croire, afin de mettre toutes les chances de votre côté...

Et nul ne doit oublier que : « Une injustice faite à un seul est une menace faite à tous. » (Montesquieu)

Alors, que cette année nouvelle soit favorable à toutes les tentatives et qu’elle permette de gagner enfin les défis qui vous appellent !

« Le meilleur moyen de réaliser l'impossible est de croire que c'est possible. » (Tim Burton - Cinéaste et producteur)

Que cette année 2022 permette à toutes et à tous de déplacer les montagnes et d’accomplir vraiment l’impossible.

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2021, UN NOËL PARTICULIÈREMENT DOULOUREUX POUR UN NOMBRE TOUJOURS GRANDISSANT DE PARENTS, MAIS AUSSI D'ENFANTS ET DE FAMILLES...

Hélas, cette année 2021 aura profondément marqué les esprits de par son lot de douleurs et de souffrances ressenties par tant de parents démunis, de grands-parents tout autant démunis et d’enfants profondément meurtris par l’exclusion parentale s’accompagnant le plus souvent d’emprise et de profondes manipulations psychologiques les plus perverses endurées.  

Parents et grands-parents injustement écartés de la vie de leurs enfants, de leurs petits-enfants, ne savent plus que faire pour renouer le lien avec eux, enfants embastillés et manipulés, englués par un conflit de loyauté qui les dépasse tant.  

En 2021, nous n’avons jamais vu autant de parents, de grands-parents au bout du rouleau face à l’exclusion parentale subie et la cécité et le déni de la justice et de ses services.

Alors, lorsque Noël apparaît comme un crève-cœur de plus qui prend place…  

Mais chacune et chacun se doit de garder l’espoir en de jours meilleurs...

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L'association "J'aime mes 2 Parents" entend, réfléchit, comprend et agit autant que possible pour que les terribles conséquences de l’exclusion et de l’aliénation parentales et leurs infinis chapelets de tourments ne soient plus. L'enfant doit être au centre des priorités, il doit être entendu, écouté, aidé et protégé de tous les abus psychologiques que représentent l'emprise et les manipulations mentales, l’infamie et l'exclusion. Les pouvoirs publics n’ont plus le droit de l’ignorer et de s’enfermer dans un immobilisme, voire une couardise, que plus personne ne doit admettre. 

La vie familiale est un droit fondamental qui, s’il n’est pas respecté, entraîne clairement une situation de délit extrêmement grave, d’ailleurs condamné devant les Cours de Justice Européennes et Internationales s’il demeure effectivement impuni par les tribunaux nationaux !  

Les gouvernants, les services de justice et les autres acteurs des pouvoirs publics Français concernés, l’auraient-ils oublié ? 

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C'EST L'INCOMPRÉHENSION FACE AU COMPORTEMENT DU SECRÉTARIAT D'ÉTAT EN CHARGE DE L'ENFANCE ET DES FAMILLES...

Lors de notre double événement du samedi 20 novembre 2021 (L’arbre aux Témoignages) afin de dénoncer l’exclusion parentale et la plantation de l’arbre de la Coparentalité), Monsieur Adrien TAQUET, Secrétaire d’Etat à l’Enfance et aux Familles avait été officiellement invité à Hellemmes (Près de Lille) dans le cadre de la journée internationale des Droits de l’Enfant. Malgré l’invitation lancée bien à l’avance, suivie de rappels, ce dernier ni aucun de ses collaborateurs n’a daigné y répondre. Même pas la moindre excuse en cas d’empêchement… Rien !  

Or, chacun connaît la célèbre déclaration du dramaturge, essayiste et auteur Irlandais, George Bernard SHAW : « Le silence est l'expression la plus parfaite du mépris. » 

Voilà comment nous sommes visiblement traités après deux années de discussion, de travaux, d’échanges et de promesses qui manifestement ne sont pas tenues du côté ministériel. 

Nous avons donc, tout naturellement, saisi Monsieur Jean CASTEX, Premier Ministre, d’autant que ce dernier annonçait un entretien à venir entre l’association et Monsieur TAQUET…   

Ainsi : "Il n’y a aucune excuse défendable face à tous ces silences, des silences qui perdurent, qui plus est, depuis plus de six mois maintenant… 

Alors, quoi de plus honteux ? Alors oui, « Le silence est l'expression la plus parfaite du mépris. » 

Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Chef du Gouvernement, est-ce là ce qui peut être acceptable et toléré de la part de gouvernants de la France ? 

Qui plus est, envers des personnes en pleine souffrance ?  

Qu’elles soient enfants, qu’elles soient adultes (Enfants, mères et pères, grands-parents et autres membres familiaux)... 

Au XXIème siècle, il ne devrait plus exister depuis bien longtemps déjà des orphelins de mère, des orphelins de père, pourtant toutes et tous bel et bien vivants, parce que l’un des deux parents en a décidé ainsi, parce que d’autres peuvent les laisser tomber et que les pouvoirs publics et leur justice manquent d’action, manquent de courage peut-être, manquent visiblement, de plus en plus, de professionnalisme et d’application de la loi, manquent assurément de moyens humains et financiers, s’enfermant même, parfois, dans un inacceptable déni...

Et, à tout cela, s’ajoutent le silence et le mépris… Osons, tout de même, espérer qu’il ne s’agit pas de couardise… !"    

Ce silence c'est celui qui est, hélas, adressé à toutes les victimes de l'exclusion parentale. Ce n'est pas acceptable !

 

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Ç François SCHEEFER, président de l'association JM2P et Adrien TAQUET, Secrétaire d'Etat chargé de l'Enfance et des Familles È

Samedi 20 novembre 2021 - L'arbre aux témoignages et la plantation de l'arbre de la coparentalité

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Les représentants de l'association "J'aime mes 2 Parents" et les élus présents à cet événement - Samedi 20 novembre 2021 - La Municipalité d'Hellemmes (NORD) - Parc de la Mairie.

 

Pour prendre connaissance du discours de François Scheefer, président de l'association, effectué le 20 novembre 2021 à Hellemmes (Lille), cliquez sur ce lien : Discours de francois scheefer pdt de jm2p le 20 novembre 2021Discours de francois scheefer pdt de jm2p le 20 novembre 2021 (129.9 Ko)

 

♦ TÉMOIGNAGES ET L' ARBRE DE LA COPARENTALITÉ :

 

20 11 bandeau257428326 3966430826790800 3516284211386957812 nIl n’y a pas qu’en matière de réchauffement climatique que : « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs », comme le disait  Monsieur J. CHIRAC, alors Président de la République Française et les dégâts humains et familiaux s’annoncent catastrophiques dans ce futur où la vie familiale et les droits fondamentaux qui en découlent se trouvent de plus en plus malmenés, bafoués… voire méprisés !

Au XXIème siècle, il ne devrait déjà plus exister depuis longtemps déjà des orphelins de mère, des orphelins de père, pourtant toutes et tous bel et bien vivants, parce que l’un des deux parents en a décidé ainsi, parce que d’autres peuvent les laisser tomber et que les pouvoirs publics et leur justice manquent d’action, manquent de courage peut-être, manquent visiblement, de plus en plus, de professionnalisme et d’application de la loi, manquent assurément de moyens humains et financiers, s’enfermant même, parfois, dans un inacceptable déni...

Comme le soulignait Martin Luther King : « La moindre injustice, où qu’elle soit commise, menace  l’édifice tout entier.».

Pour garder l’espoir de jours meilleurs, pour oser espérer que l’Etat fera tout son possible pour respecter enfin l’esprit de coparentalité qui doit animer notre société et protéger chaque enfant et ses droits les plus fondamentaux qui soient, à commencer par celui du maintien du lien avec ses deux parents, avec ses racines, tant maternelles que paternelles et de pouvoir jouir de son droit à la vie familiale, l’association « J’aime mes 2 Parents » tient à mettre sur pied, le samedi 20 novembre, une opération au cœur-même de la Municipalité d’Hellemmes (Près de Lille), au Parc de la Mairie, là où se trouve son siège social dans le cadre de la journée internationale dédiée à l’enfant et à ses droits.

 Avec « l’arbre aux témoignages », ce sont 60 témoignages qui seront exposés au pied de l’arbre symbolique du Parc de la Mairie et de ses alentours, rendant ainsi hommage à soixante familles françaises, parmi tant d’autres…, actuellement déchirées, meurtries, faisant face à une injustice et à une inhumanité douloureuses ; des enfants, des mères, des pères et des grands-parents qui se battent contre l’exclusion, contre la manipulation, contre la violence et l’emprise psychologiques endurées, appelées communément « aliénation parentale », venant ainsi saccager les liens familiaux et anéantir, pour l’heure, toute application de la coparentalité pourtant caractérisée par la loi dite du 4 mars 2002, n° 2002-305 - relative à l'autorité parentale, supposée être pleinement exécutoire.

Les premières victimes sont bel et bien les enfants, enfants pour qui, leurs droits fondamentaux se retrouvent ainsi piétinés et outragés au quotidien, dans l’indifférence la plus absolue de nos gouvernants.

Cela suffit !

Cela s’apparente, du reste, à une transgression manifeste du droit fondamental à la vie familiale pour tout être humain ; ce que, d’ailleurs rappelle très clairement l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme (Convention de sauvegarde des droits de l'Homme et des libertés fondamentales, communément appelée Convention européenne des droits de l'Homme).  

De même, la plantation, le 20 novembre prochain, de « l’arbre de la Coparentalité » deviendra un symbole fort de volonté et d’espoir que la coparentalité n’est pas vaine, qu’elle doit absolument survivre et s’installer malgré la séparation parentale. Tout enfant a besoin de ses deux parents, il les aime indépendamment même s’ils ne vivent pas ou plus ensemble.  

Planter un arbre, celui de la coparentalité, c’est non seulement rappeler l’un des fondamentaux de notre société, celui de la famille et de ses valeurs, mais c’est aussi rappeler que l’arbre, symbole de vie, demeure un élément essentiel au quotidien de la société humaine et de son cadre de vie.

L’arbre joue un rôle déterminant pour la survie de l’humanité ; la famille s’apparente au berceau de la vie, à la base de la société, où les individus se rencontrent avec leur histoire et leur désir commun de devenir parent.  

La famille, ou plutôt les familles, aussi multiples et différentes soient-elles aujourd’hui, s’organise(nt) généralement autour de l’enfant.

Or, n'oublions jamais que l'enfant a besoin de ses deux parents pour se développer au mieux.

A travers les trajectoires familiales devenues multiples, la coparentalité doit se maintenir, bien au delà de la séparation parentale et des possibles conflits et ainsi survivre, afin de permettre à l’enfant de se construire au côté de ses parents, figures d’attachement et de sentiments, d’éducation, d’accompagnement et de valeurs.

La coparentalité est nécessaire à la construction de la vie de l’enfant, tout comme l’arbre est nécessaire à la construction de la vie sur Terre ; elle s’apparente à un puissant et réel symbole, par excellence, de la vie en perpétuelle évolution.

Etymologiquement, le terme « coparentalité » renvoie au partage des droits et des responsabilités des parents vis-à-vis de leur progéniture, lorsque ceux-ci se séparent ou divorcent.

La coparentalité témoigne surtout de la volonté d’élever un enfant, des enfants, avec deux parents qui ne vivent pas ou ne vivent plus sous le même toit.

Les adultes peuvent faire le choix de ne plus vivre ensemble, de ne plus êtres conjoints, maris ou épouses, mais en présence d’enfant(s) suite à leur union, ils demeurent et resteront à vie parents (Sauf si, cas rares, cela était contraire à l’intérêt de l’enfant et avéré).


La symbolique de cette journée du 20 novembre 2021 sera riche en signaux lancés envers nos dirigeants et législateurs qui doivent absolument prendre à cœur de réagir et d’agir face à cette dure réalité où
les situations d’exclusion, compte tenu des séparations parentales de plus en plus dures, de plus en plus conflictuelles, et ils doivent, en conséquence, tout mettre en oeuvre pour non seulement appliquer le fondement de la coparentalité et son respect mais également lutter face aux violences psychologiques liées à ces séparations conflictuelles, prenant ainsi en otage l’enfant (Mise en place d’un conflit de loyauté, d’une aliénation parentale ou d’une parentectomie), des violences qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, car elles sont, avant tout, psychologiques et sont alors et pourtant particulièrement néfastes et sérieusement destructrices, pouvant aller ainsi jusqu’à réduire à néant, dans les cas les plus graves, la moitié du patrimoine parental de l'enfant et donc, conséquemment, la moitié de ses racines.

Les séquelles chez l’enfant, devenant au fil du temps, adulte, peuvent alors être redoutables.

C’est donc maintenant, pour ne pas dire hier, qu’il faut agir, que nos dirigeants et l’ensemble des services de l’Etat se prennent enfin la main afin de lutter efficacement contre de telles violences et abus psychologiques et de redonner du sens à la coparentalité et de l’appliquer, telle qu’elle est d’ores et déjà décrite dans nos textes de loi. Bien d’autres pays l’ont déjà compris, y compris ici, en Europe.

-     Il n’y a pas de parent de première classe et de parent de seconde classe !

-  Nul n’a le droit de porter atteinte à l’entretien de relations personnelles entre l’enfant et ses ascendants.

-    Laisser l’exclusion s’installer, c’est porter atteinte aux racines même et au patrimoine de l’enfant, c’est bafouer l’une des deux branches familiales de l’enfant au profit de l’autre.

-   Mépriser le droit à la vie familiale, c’est porter gravement atteinte à l’intérêt de l’enfant qui exige le respect de sa personne et le maintien des liens avec ses deux parents dont il a grandement besoin ; c’est, purement et simplement, honnir des êtres humains.

Nous espérons, outre les représentants politiques, les parlementaires du Nord, les représentants associatifs locaux qui répondront présents, que Monsieur Adrien TAQUET, Secrétaire d’Etat en charge de l’Enfance et des Familles, invité à assister et à participer à cet événement sera des nôtres, représentant directement l’Etat Français. 

Sa présence, vous l’aurez toutes et tous compris, sera(it) essentielle afin de redonner un peu d’espoir à tant de victimes et apporter non seulement son soutien mais faire comprendre et entendre qu’il agira enfin et que de premières mesures pourront être enclenchées rapidement afin de lutter contre de telles violences psychologiques endurées et l'exclusion pouvant s'installer en toute impunité à ce jour.

Les drames familiaux ne cessent d’augmenter, des drames indissociables des séparations parentales de plus en plus conflictuelles (¼ des séparations) et que la crise sanitaire n’a fait qu’accentuer.

Les enfants se retrouvent alors pris en otage, malgré eux, au cœur du conflit parental, subissant alors une emprise psychique et des manipulations mentales qui deviennent alors de terribles violences et abus psychologiques que nul n’est pourtant en droit de subir et qui, pourtant, s’installent généralement en toute impunité et pour lesquels notre société a, malheureusement, la fâcheuse tendance à oublier, voire à occulter, d’autant que nos gouvernants, nos législateurs et l’ensemble des maillons de la République ne prennent aucunement les moyens nécessaires afin d’y remédier, d’appliquer nos lois stricto sensu, les faire évoluer et de condamner ces violences et abus, laissant ainsi de nombreux enfants face à leurs traumatismes, leurs souffrances, leurs blessures, leur perte de faculté de libre arbitre et endommageant gravement leur équilibre psychoaffectif.

 

 " A un enfant, quel que soit son âge, on n'a jamais le droit de voler la fin d'une belle histoire."

Maurice SCHUMANN,

 Homme d'État, journaliste et écrivain français.

 

 « Linterruption des contacts et des relations entre les enfants et l’un des parents après une séparation ou un divorce exerce un impact traumatisant aussi bien sur les enfants concernés que sur leurs parents.

Le maintien du contact affectif naturel et relationnel avec les deux parents est considéré aujourd’hui comme étant un critère important du « bien-être psychique et moral de l’enfant.

La perte d’un des parents bouleverse profondément le soi de l’enfant, sa structure et sa substance. »

Jean-Marc DELFIEU

Psychiatre – Expert près la cour d’appel de Nîmes

 

Aujourd’hui, en 2021, nul ne devrait avoir le droit de jouer ou de continuer à jouer les Ponce Pilate. L’enfant doit être au centre des priorités et doit pouvoir vivre avec ses parents ; ses droits doivent être formellement protégés et la coparentalité doit être appliquée.

Le rendez-vous est donc donné à Hellemmes, au Parc de la Mairie

(Parc François Mitterrand), 155, rue Roger Salengro

(59260 HELLEMMES) Près de LILLE

 le samedi 20 novembre 2021 à 11h00  ​​​

Soyez les bienvenu(e)s, on compte sur vous !

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♦ Chercher à faire l'amalgame entre l'inceste et l'aliénation parentale correspond en fait à une ineptie malhonnête et malfaisante.  

Si le terme « aliénation parentale » est apparu dans les années 1980 aux Etats-Unis et fut mis en lumière par le pédopsychiatre, Richard GARDNER, amplement controversé compte tenu de sa personnalité quelque peu déréglée, nul ne peut faire l'impasse sur le fait que depuis ces années-là, des centaines et des centaines de professionnels de la santé mentale, cliniciens et scientifiques, qu'ils soient hommes ou femmes à travers le monde, ont publié sur la question et que les avancées de GARDNER ont amplement évolué et ont même été amplement améliorées depuis lors. 

Les recherches qui ont été mises en place, à travers le monde, sont clairement venues apporter des garanties scientifiques avérées que des groupes de pression, avant tout idéologiques, quels qu'ils soient, tentent de dévaloriser au mieux, allant même jusqu'à jouer de malhonnêteté en étiquetant systématiquement les auteurs des nouvelles publications comme étant des soi-disant « disciples de GARDNER »...  

Or, la réalité est toute autre et les publications scientifiques issues d’hommes et de femmes, éditées postérieurement à GARDNER, ne peuvent être ignorées. Rappelons également que la publication dans les revues professionnelles de ce genre sont bel et bien soumises à des jurys de pairs, issus de ces milieux scientifiques. 

Quant aux classifications, si le terme aliénation parentale n'apparaît pas, noir sur blanc, c'est qu'il n'est pas nécessaire en tant que tel, et ce afin d'éviter également des polémiques souvent stériles, depuis des années, quant au terme employé. Mais, aussi bien dans le DSM-5 (Classification des maladies mentales), que dans la CIM-11 (Classification internationale des maladies) à paraître le 1er janvier prochain, l'aliénation parentale s'apparente clairement aux pathologies relatives au problème de relation « parent-enfant ». 

Et si l'O.M.S. (Organisation mondiale de la santé) avait validé dans un premier temps le terme « aliénation parentale » dans son index, renvoyant celui-ci aux pathologies relatives au problème de relation « parent-enfant » (Sous la codification « QE52.0 »), elle est venue considérer, compte tenu, là encore, de polémiques trop souvent oiseuses, que le terme se rapporte davantage au domaine judiciaire qu'à celui du vocabulaire médical et que par conséquent les pathologies relatives au problème de relation « parent-enfant » et leurs descriptifs suffisent à eux-mêmes. 

Ainsi, nul ne peut considérer que l'aliénation parentale n'existe pas. Mal compris chez nous, ce terme avant tout anglo-saxon, nécessiterait peut-être une autre appellation ce que, par exemple, d'autres pays nomment aujourd’hui « parentectomie ».  

Mais peu importe, à ce jour, quel que soit le terme employé, les faits sont bel et bien là et les violences psychologiques qui en découlent sont bel et bien présentes, à commencer pour l’enfant qui les subit.  

Et quand la Commission indépendante contre l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) vient demander, dans ses recommandations du 27 octobre 2021, de proscrire l'aliénation parentale, c'est venir prêcher l'absurde et nier ainsi une évidence. 

Pour reprendre la célèbre citation d'Hubert VAN GIJSEGHEM, Professeur de psychologie et expert judiciaire international : « Nier l’aliénation parentale, c'est continuer à affirmer que la terre est plate. ». 

Toutes les victimes de cette emprise psychique exercée sur l'enfant afin de rejeter l'autre parent et, le plus souvent, l'ensemble des autres membres de la famille du parent ciblé, existent bel et bien.  

Au sein de l'association « J’aime mes 2 Parents », nous en rencontrons un nombre grandissant chaque année, nous échangeons avec elles et elles sont autant des mères que des pères ou bien encore des grands-parents, collatéralement victimes.  

Plus de 3200 personnes victimes ont ainsi pu faire part de leur calvaire en 9 années d'existence de l'association. Et là, le conflit de loyauté de l'enfant est largement dépassé, tant la rupture devenue soudaine et violente de par la brutalité avec laquelle cette cassure du lien s'est opérée, sans que le parent ciblé n'ait fait quoi que ce soit de blâmable envers l'enfant. Et la cassure s’élargit pour ainsi dire aussi rapidement avec le reste de la famille du parent ciblé, malgré des sentiments d'amour forts et sincères. 

L’aliénation parentale n’est absolument pas une question de genre. Les victimes sont autant des femmes que des hommes. Et, à tous les coups, l’enfant est, quant à lui, la principale victime. C.q.f.d., hélas… 

Chercher à vouloir enfumer le débat sur un fait grave et dévastateur que représentent l’inceste et de vraies victimes avec l’aliénation parentale qui est tout aussi grave et dévastatrice, correspondant à un abus psychologique sévère, n’est pas acceptable.  

 

« La violence psychologique peut être plus néfaste que la violence physique, elle peut détruire bien plus une personne et laisser des traumas plus importants. »  

Marie-France HIRIGOYEN, psychiatre, psychothérapeute familiale. 

 

Venir déclarer que « les études scientifiques montrent que les fausses dénonciations de maltraitance sont marginales dans un contexte de séparation parentale », c'est faire abstraction des effets concrets des séparations « ultra-conflictuelles » qui ne cessent, malheureusement, d'augmenter et que la crise sanitaire a, de plus, amplifiés. 

Le parent ciblé est de plus en plus souvent accusé à tort d'attouchements, d'abus sexuels, même sans aucune preuve ; mais, avant tout, cette stratégie permet alors d'écarter le parent ciblé, le temps de l'enquête, alors que ce parent ciblé (homme ou femme) est, dans la plus grande partie des cas, victime de dénonciation calomnieuse à laquelle l'enfant n'a pas eu d'autre choix que d'y participer (compte tenu de l'emprise endurée, impliquant alors une « allégeance » devenue, aux yeux de l'enfant, comme étant une réelle question de survie par rapport à son parent aliénant). 

La Commission indépendante contre l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) préconise que dès l'instant qu’une enquête est ouverte pour inceste, il faut « suspendre » les poursuites pénales pour « non-représentation d’enfant » contre un parent qui refuserait de laisser son enfant au parent soupçonné.  

Cela serait alors la porte systématiquement ouverte à tous les abus pour venir détruire les relations entre l'enfant et l'autre parent si celui-ci n’est coupable de rien !  

Si un parent considère que l'enfant se trouve en danger, qu'attend-il pour agir ?  

L'intervention auprès des forces de l'ordre doit être immédiate.  

Le parent n'a donc plus à se soucier du problème de non-représentation d'enfant, l'affaire étant de suite dans les mains des forces de l'ordre, de la Brigade des Mineurs et/ou des Procureurs et c'est donc à eux de prendre immédiatement la décision qui s’impose quant au devenir temporaire des relations entre l'enfant et l'autre parent (accusé(e)) et cela n’implique donc pas une décision uni-latérale à prendre par le parent venant porter à la connaissance des services de Police ou de Gendarmerie des abus qui seraient commis sur l'enfant. 

Mais attention, et là encore, afin de ne pas ouvrir la porte aux fausses accusations face à des parents qui cherchent avant tout à s’approprier l’enfant, à le « garder pour eux » et de rayer ainsi l’autre parent de la vie de l’enfant, autant que possible, il faut agir rapidement. 

Dans ces conditions, les dénonciations calomnieuses devraient être systématiquement confiées au Tribunal Correctionnel afin de sanctionner de telles fausses accusations avérées qui, soulignons-le, ne cessent d’augmenter compte tenu de la séparation parentale hautement conflictuelle et compliquent à la fois les procédures, mais aussi faisant barrage au bon déroulement de la relation « enfant-parent injustement accusé(e) » et viennent perturber, plus encore, l'équilibre psychoaffectif et psychique de l'enfant. 

Trop souvent, les parents injustement accusés, victimes en premier lieu de la stratégie « manipulatoire » et machiavélique de l’autre parent, dans le but de poursuivre la destruction du lien entre l’enfant et le parent accusé à tort, se trouvent démunis et même encouragés à laisser tomber car de toute façon la justice ne fera rien pour eux… ! Cela doit absolument changer. 

Si, comme le propose justement la Commission indépendante contre l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise), le retrait de l’autorité parentale doit être établi automatiquement suite à la condamnation d’un parent pour viol ou agression sexuelle (Une demande logique et légitime), il n’en demeure pas moins vrai que les fausses accusations devraient également être automatiquement sanctionnées car, là aussi, le préjudice est bel et bien là... 

Rappelons-le, la dénonciation calomnieuse est un délit défini dans les articles 226-10 à 226-12 du Code pénal.  

L’article 226-10 du Code pénal dispose : « La dénonciation, effectuée par tout moyen et dirigée contre une personne déterminée, d'un fait qui est de nature à entraîner des sanctions judiciaires, administratives ou disciplinaires et que l'on sait totalement ou partiellement inexact, lorsqu'elle est adressée soit à un officier de justice ou de police administrative ou judiciaire, soit à une autorité ayant le pouvoir d'y donner suite ou de saisir l'autorité compétente, soit aux supérieurs hiérarchiques ou à l'employeur de la personne dénoncée est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 45 000 €  d'amende. » 

Le parent coupable de dénonciation calomnieuse doit être automatiquement poursuivi au pénal et condamné. 

Chaque année, 22 000 enfants subissent des violences sexuelles de la part de leur père, selon la Ciivise. Pourtant en 2020, seules 1 697 personnes ont été poursuivies pour viol incestueux sur mineur ou agression sexuelles sur mineur. 

La Ciivise oublie que des mères sont également accusées… 

Mais, aujourd’hui en France, démocratie dite « civilisée » et Etat dit « de droit », plus d’un million d’enfants ne voient plus du tout l’un de leurs deux parents ! (Certains spécialistes avançaient même, en 2020, le chiffre de 1.800.000  enfants en France,  le pays  dit des droits de l’homme) et plus de 2,7 millions d’enfants voient rarement l’un ou l’autre de leurs 2 parents (Moins de 3 fois par an). 

Est-ce acceptable ? 

“Si la justice se présentait toujours sous l'apparence du courage, il y aurait plus de justice.”  

Alain, philosophe.

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LES ETATS GENERAUX DE LA JUSTICE : Prenez la parole.

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Pour accéder directement sur la plate-forme, cliquez : https:///www.parlonsjustice.fr/

 

♦ Au second semestre 2021 : La poursuite des pourparlers avec le Secrétariat d'Etat à l'Enfance et aux Familles.

 

Une fois n'est pas coutume, ce semestre nous vous proposons le dernier courrier adressé en cette fin d'été 2021 à Monsieur Adrien TAQUET, Secrétaire d'Etat en charge de l'Enfance et des Familles. En effet, cette année 2021 aura d'ores et déjà profondément marqué les esprits de par son lot de douleurs et de souffrances ressenties par tant de parents démunis, de grands-parents tout autant démunis et d’enfants profondément meurtris par l’exclusion parentale s’accompagnant le plus souvent d’emprise et de profondes manipulations psychologiques les plus perverses endurées. L'aliénation parentale est là et elle s'installe sans que les pouvoirs publics et leurs services ne lèvent, ne serait-ce que le petit doigt, pour prendre des mesures et même s'inquiéter de l'ampleur des dégâts qui, depuis la crise sanitaire, se sont davantage amplifiés.

Parents et grands-parents injustement écartés de la vie de leurs enfants, de leurs petits-enfants, ne savent plus que faire pour renouer le lien avec eux, enfants embastillés et manipulés, englués par un conflit de loyauté qui les dépasse tant.

Et malheureusement, les services de l’Etat ne sont, à ce jour, toujours pas en capacité d'y remédier et même d'appliquer, d'ores et déjà, la loi en vigueur, mais également de venir mettre en place des procédures nécessaires, pourtant proposées, afin de contrer de tels drames, de telles injustices, s'accompagnant le plus souvent d'abus psychologiques graves imposés à l'enfant. L'enfant est alors devenu un pion sur l'échiquier d'une guerre sans merci où il se retrouve ainsi piégé par un parent possessif souvent manipulateur et même toxique qui transforme l'enfant en soldat soudainement chargé de haïr son autre parent et la famille qui va avec. Peu importe si l'enfant aime ses deux parents, s'il affectionne ses deux familles, il n'a plus de choix possible et doit alors se soumettre et obéir au parent aliénant.

Et pourtant, d’autres pays, y compris en Europe, semblent en passe de réussir, ou sont tout  au moins sur la voie de parvenir à agir et même de contrer des situations dites d'aliénation parentale et/ou d'exclusion, après avoir réussi à se remettre en question, à se former et à réformer comme il se doit tout ce qui touche à l’enfant et ses fondamentaux et à la justice familiale. Et pourquoi pas la France ?

Depuis plus de deux ans l'association mène un combat sans relâche auprès de Monsieur Adrien TAQUET, Secrétaire d'Etat en charge de l'Enfance et des Familles et de ses services qui disent avoir compris (Contrairement au Ministère de la Justice qui ne cesse de jouer à la sourde oreille ou au sein duquel des fonctionnaires se cantonnent tout bonnement dans le déni).

Des réponses à nos demandes, des actions à proposer, des premières mesures,... auraient dû apparaître à la veille de cet été 2021, en se référant au dernier échange avec le Directeur de Cabinet de Monsieur TAQUET. Mais voilà, tout cela traîne encore et encore... Indéfiniment... Combien de temps encore ?

Monsieur Adrien TAQUET, la balle est dans votre camp...

Pour en savoir plus et prendre connaissance du courrier adressé au Secrétaire d'Etat, cliquez sur le lien ci-dessous :

A la UNE ce semestre (2019 -.)

 

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♦ « J'AIME MES 2 PARENTS » créée depuis un peu plus de 3200 jours..., a lu, vu, rencontré et pris directement connaissance de près de 3200 situations, 3200 familles de France appelant au secours !

Terre

L’exclusion parentale ne cesse de progresser et depuis 2020, la situation de pandémie a accentué, plus encore, cette triste réalité.

On parlait en moyenne de 20 à 25% de séparations parentales qui se trouvaient hautement conflictuelles en 2019 ; en 2021, selon les remontées de terrain, les 30% sont déjà amplement dépassés. Il est estimé aujourd’hui que plus de quatre millions d'enfants (sur 14,1 millions au total (INSEE - 2018)) ne voient plus du tout l'un des deux parents ou sinon qu'une fois par an.

 

Cette année 2021 a, d'ores et déjà, profondément marqué les esprits de par la terrible détresse émanant de tant de parents et collatéralement de grands-parents qui ne savent plus que faire pour renouer le lien avec leurs enfants, avec leurs petits-enfants embastillés et manipulés, englués par un conflit de loyauté qui les dépasse tant. Et comme les services de l’Etat ne sont pas en capacité de venir en aide, de mettre en place les procédures nécessaires afin de contrer de tels abus et même de faire appliquer la loi et les jugements rendus, pourtant exécutoires (Alors que dans le même temps, d’autres pays, y compris en Europe, semblent en passe de réussir, ou sont, tout  au moins, sur la voie d’y parvenir, après avoir œuvré collectivement entre tous les services concernés, parvenant à se remettre en question et à réformer, comme il se doit, tout ce qui touche à l’enfant et ses fondamentaux et à la justice familiale), une réelle bombe à retardement, représentée par tant de personnes subissant l’injustice, la violation de leurs droits en toute impunité et dans l'indifférence des services auxquels elles font appel, auxquels elles crient et lancent leur appel au secours, le plus souvent ignoré, voire méprisé, s’enclenche en conséquence et s’est sans doute déjà enclenchée.

Cette année, comme jamais auparavant, nous faisons face à un nombre inquiétant de parents qui ont « jeté l’éponge », abandonnant ainsi leur juste et légitime combat contre l’exclusion et de pouvoir assurer leur rôle de parent et jouir de leur vie familiale : « Ils n’ont plus d'enfant(s)... »

Plus de 30% de nos adhérents en sont venus à cette extrémité au cours de ces douze derniers mois !

 Certes, le découragement et les terribles effets psychologiques liés à la Covid-19 ont pu servir de détonateur, mais il y a aussi, et surtout, l’état déplorable du système judiciaire, tout comme la « déprofessionnalisation » des services et/ou leur manque de compétence, d’écoute et de moyens, le sentiment de rejet et/ou de mépris face à la détresse des victimes, face à l’injustice subie, la non-application scandaleuse des jugements rendus, la non-application de la loi, le coût exorbitant et insupportable demandé par des avocats, pour un certain nombre d'entre eux, particulière-ment voraces, pour un résultat décevant voire lamentable, les ont alors poussé vers l’abîme.

 

A titre d’exemple, l’application qui devrait être immédiate et sans délai de la loi face au délit de non-représentation d'enfant n'est nullement traité de la sorte alors que chacun le sait, à commencer par les professionnels de la santé mentale, le lien entre l'enfant et le parent ciblé doit être rétabli et restauré au plus vite, c’est une urgence !

Pire, ce délit est le plus souvent méprisé, « blackboulé » aux oubliettes… Et même pour déposer plainte c'est devenu, au fil du temps, le parcours du combattant qui s'impose alors, de plus en plus, voire même le refus qui s’érige !

Lorsque des droits de visite dits médiatisés sont ordonnés par le Juge aux Affaires Familiales (Afin de restaurer le lien ou parce que l’autre parent est venu tenir des propos semant le trouble quant à la droiture de l’autre parent ce qui implique l’attente de résultats d'enquêtes), le gouffre de l’exclusion se creuse plus encore. L'ordonnance a beau être exécutoire, rien ne suit derrière au plus vite. Combien de parents et donc d'enfants doivent attendre six mois de plus et même plus encore avant qu'une rencontre soit organisée. Alors que le lien doit être rétabli au plus vite ; il y a urgence !

Et qui plus est, si l’emprise mentale s’est installée auprès de l'enfant et que la visite apparaît compliquée, la persévérance des services en charge de ces visites n’est guère visible et tout s'arrête ! (La belle excuse : Il y en a tant d’autres qui attendent des créneaux…!) Au mépris du droit fondamental à la vie familiale, l'exclusion se maintient, perdure encore et toujours... Un massacre !

La lutte sans fin pour décrocher une expertise médico-psychologique représente, là aussi, un calvaire de plus dans bien des cas. Et pourtant, seul l’expert, en fonction du travail effectué et de sa qualité, peut ainsi démasquer ces situations dites de conflit de loyauté chez l’enfant, d'aliénation parentale ou de parentectomie, de violence et de manipulations psychologiques, de chantages,...). Mais, là encore, après une lutte sans merci pour décrocher cette expertise, rien n’oblige ensuite le Juge aux Affaires Familiales d'en tenir compte dans ses décisions, même si l'expert met en garde ou alerte de la situation dans laquelle l'enfant se trouve visiblement confronté à un non-négligeable ou sérieux abus psychologique !

N’est-ce pas ce que l’on pourrait qualifier de mascarade ?

 Au regard de la loi, l’article 373-2-11  du Code civil dispose du fait que lorsqu’il se prononce sur les modalités d’exercice de l’autorité parentale, le juge prend notamment en considération l’aptitude de chacun des parents à assumer ses devoirs et respecter les droits de l’autre parent, tout comme à prendre en compte les pressions ou les violences, à caractère physique ou psychologique, exercées par l’un des parents sur la personne de l’autre.

Mais la réalité semble, hélas, toute autre. Tant de victimes de l’exclusion ne devraient assurément pas exister si ces bases étaient effectivement appliquées…

L’exclusion parentale serait alors bien moindre et non en pleine expansion.

Et ci-dessus, il ne s’agissait là que de quelques exemples récurrents parmi bien d’autres…

Depuis sa création il y a 3200 jours et des poussières, l’association a entendu, lu, vu, rencontré et pris directement connaissance de près de 3200 situations, 3200 familles de France appelant au secours…, toutes, ou presque, faisant face à des incohérences de la justice familiale, à des erreurs inacceptables, à l’absence d’écoute et de moyens, à la non-application de leurs droits, à la non-application de la loi, à la non-application de jugements pourtant exécutoires, aux silences et aux délais dépassant l’entendement, à des manques de connaissances et visiblement de formation, à des souffrances inacceptables dans un pays pourtant démocratique et considéré comme étant « le berceau et la terre des droits de l’Homme ».

Dans ces conditions, l’inquiétude quant à l'avenir de centaines de milliers d’enfants et de familles ne peut que s'amplifier jour après jour, d'autant que les années passent et que tous les courriers adressés à nos dirigeants, les témoignages fournis, les résultats d’enquêtes et d'analyses et les mises en garde finissent, le plus souvent, au chapitre des oubliettes, des silences et par conséquent de celui de l’indifférence…

 

Le Président de la République avait annoncé le 5 juin dernier la mise en place des Etats Généraux de la Justice pour cet automne…

Dès cette annonce, l’association avait demandé auprès de l’Elysée, puis de Matignon, si ces Etats Généraux de la Justice prendraient en compte la justice familiale et qu’elle ferait effectivement l’objet d'un état des lieux spécialement appliqué, soigné, objectif et consciencieux, que les dysfonctionnements de plus en plus nombreux et les situations de plus en plus anormales liées aux procédures de séparation et de divorce (tout particulièrement lorsque celles-ci se trouvent hautement conflictuelles) seront analysés avec soin, rigueur, impartialité et justesse.

Il est capital que la justice civile et donc celle de la famille soit analysée, revue et améliorée au plus vite. Ces Etats Généraux de la Justice ont nullement à se focaliser qu’à propos de sujets poussés par les médias et qu’aux situations de justice n’ayant cessé de faire « le buzz » ces derniers temps… !  Il n’y a pas, à titre d’exemple, que la politique carcérale ou bien encore le monde du pénal, les violences urbaines, les féminicides qui doivent être abordés, compte tenu des événements, des relais médiatiques musclés, des grèves répétées ou bien encore des mouvements sociaux divers de ces dernières années, de ces derniers mois !

Or, ces sérieuses violences psychologiques pouvant entraîner la mise en danger de l’équilibre mental et psychoaffectif de l’enfant (Situations dites de conflit de loyauté chez l’enfant, d'aliénation parentale ou de parentectomie,...), responsables de situations d’exclusion parentale inadmissibles, correspondent à des abus extrêmement graves pouvant être très lourd de conséquences tant sur l’enfant que sur le parent et la famille de ce parent injustement et arbitrairement rejetés, voire honnis à tort. Ces violences, ces abus qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, car ils sont avant tout psychologiques et pourtant particulièrement redoutables et destructeurs, pouvant ainsi détruire la moitié du patrimoine parental de l'enfant et conséquemment de la moitié de ses racines, touchent l’ensemble des classes de la société et ne sont nullement une question de genre et viennent broyer de nombreuses familles, qu’elles soient maternelles ou paternelles.

Mais, là encore, tout comme les questions légitimement posées relatives à ces Etats Généraux de la Justice, le silence s’est, pour l’instant, maintenu…, un silence qui, aux yeux des victimes d’exclusion parentale, passe pour un mépris pur et simple de la part des Pouvoirs Publics au plus haut niveau.

Est-ce acceptable ?

Ces graves situations, si elles étaient traitées en amont, impliquant alors un accompagnement réactif et professionnel des victimes (Enfants et adultes), avec justice (au sens noble du terme) et droiture, appliquant effectivement la loi relative à l’autorité parentale et/ou tout autre texte de référence, tout comme l’exécution des jugements rendus, respectant tout à chacun le droit fondamental à la vie familiale (Article 8 de la CEDH), respectant aussi le maintien des relations personnelles de l’enfant avec ses deux parents et inversement, mais aussi assurant la garantie du respect des liens avec l’enfant d’un parent vis-à-vis de l’autre parent, viendraient indéniablement désamorcer bien d’autres problèmes au cœur-même de la société, limitant autant que possible bien des dérives et des déviances de la part de victimes abandonnées, jeunes et moins jeunes.  

Si ces violences psychologiques subies, tant par les enfants que par les adultes, ne sont pas traitées comme il se doit, de bout en bout, la société entrera sans doute dans un cercle vicieux qui auto-entretiendra la violence en tout genre, tout comme  la perte des repères pourtant essentiels à notre jeunesse et un esprit de famille en haute voie de disparition…

 

Les échéances électorales approchent à grands pas maintenant et si le silence, l’inaction et l’absence d’engagement se maintiennent encore…, une fois de plus, cela ne pourra, par conséquent, que venir prouver que ce quinquennat n’aura décidément rien fait face à toutes ces tragédies familiales qui ne cessent, hélas, d’augmenter.

Mais, par contre, il aura alors facilité et même contribué à leur progression, laissant ainsi les dysfonctionnements de la justice familiale se poursuivre et augmenter, confirmant plus encore les injustices inhumaines subies, laissant ainsi, plus encore, le champ libre au développement d’abus psychologiques graves, à commencer pour l’enfant (phénomènes d’emprise mentale et de manipulations psychologiques exercées sur l'enfant par l'un des deux parents) et de maintenir ainsi la douleur et l’infamie de toutes les victimes…

 

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 MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE, AGISSEZ, FAITES AGIR...!

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 DES ÉTATS GÉNÉRAUX DE LA JUSTICE CET AUTOMNE 2021, L'URGENCE DE RÉFORMER LA JUSTICE FAMILIALE...

Le Président de la République a annoncé, le 5 juin dernier, l’organisation, à l’automne 2021, des États Généraux de la justice.

L’association « J’aime mes 2 Parents » s’est donc adressée à lui en l’invitant à prendre conscience que lorsque l’on parle d’Etats Généraux de la Justice, cela doit bien évidemment englober la justice civile et donc celle de la famille et non se focaliser, encore et toujours essentiellement sur les sujets poussés médiatiquement et/ou qui font « le buzz », tels que la politique carcérale ou bien encore le monde du pénal et des féminicides, des violences (physiques) conjugales,…, compte tenu des événements relayés sur les médias nationaux, des grèves répétées et des mouvements sociaux divers de ces dernières années !

Outre l’urgence de venir en aide et de prendre les mesures qui s’imposent auprès des enfants victimes de violences et abus psychologiques lors des séparations parentales ultra-conflictuelles, violences qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, et pourtant particulièrement redoutables et destructrices, il apparaît, clairement et indubitablement, que la justice familiale a trop souvent été délaissée et doit être enfin et consciencieusement « soignée » afin d’éviter tant de dysfonctionnements et de situations totalement anormales, pourtant subies, parfois même en totale inobservation et non-application de jugements exécutoires rendus et de la loi elle-même (La loi du 4 mars 2002 n° 2002-305 - relative à l'autorité parentale) et de conventions Européennes et internationales (La Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales, la Convention Internationale des Droits de l’Enfant) que la France a pourtant ratifiées.

De tels manquements ne doivent plus se répéter.

Les acteurs de la justice familiale doivent et devront donc radicalement modifier leur présent mode de fonctionnement et les méthodes actuelles dans la gestion des procédures de séparations et de divorces et tout particulièrement lorsqu’ils sont ultra-conflictuels, face aux situations de manipulations psychologiques et d'emprise mentale, mettant clairement en danger toutes les victimes de tels abus (enfants et adultes).

Cette justice d’aujourd’hui est très clairement de moins en moins capable de venir protéger les victimes de l’exclusion parentale.

En neuf ans, nous avons entendu, lu, vu, rencontré et pris connaissance de plus de 3000 situations, 3000 familles appelant au secours…, toutes, ou presque, faisant face à des incohérences de la justice familiale, des erreurs inacceptables, l’absence d’écoute et de moyens, la non-application de leurs droits, la non-application de la loi, la non-application de jugements pourtant exécutoires (Par exemple, le mépris face aux non-représentations d’enfant répétées), des silences et des délais dépassant l’entendement, des manques de connaissances et visiblement de formation, des souffrances inacceptables dans un pays pourtant démocratique et considéré comme étant « le berceau et la terre des droits de l’Homme ».

Il serait particulièrement incompréhensible que ces éléments ne soient pas pris au sérieux, tant par l’Elysée que par l’ensemble des acteurs menés à siéger au sein de ces Etats Généraux à l’automne prochain, et que des améliorations de la justice familiale ne soient pas très vite enclenchées Toutes ces situations sont tellement dévastatrices qu’un nombre grandissant de victimes n’en peuvent plus et risquent le dérapage. Cela représente une bombe à retardement de plus en plus conséquente… C’est pourquoi, il faut agir, améliorer, modifier le présent mode de fonctionnement et les méthodes actuelles menées par notre système judiciaire en matière familiale. C’est d’une urgence absolue.

Hélas, puisque la justice d’aujourd’hui est de moins en moins capable de venir protéger les victimes de l’exclusion parentale, au cœur-même des séparations parentales et des divorces particulièrement conflictuels. engendrant drames et tragédies familiales, de plus en plus de parents victimes n’étant même pas reconnues, étant même méprisées par le système judiciaire, parce que les jugements rendus ne sont pas appliqués, ne sont pas respectés, sont au bout du rouleau et leurs enfants sont profondément meurtris.

Tous ces désastres ne sont pas et ne sont plus admissibles. Tant de familles sont détruites, mais aussi l’avenir émotionnel et possiblement l’avenir mental de tant d’enfants et d’adultes sont en jeu.

Elysee justice

 

 30 mai - 20 juin 2021 : La Fête des Mères et la Fête des Pères... 

Pour un nombre grandissant de parents, la fête des mères et la fête des pères prennent un goût de plus en plus amer face à l’exclusion parentale qui ne cesse de s’installer au cœur de la société.

Face au nombre grandissant de séparations et de divorces parentaux particulièrement conflictuels (environ 20% à 25% de l’ensemble des séparations annuelles à ce jour), les phénomènes d’exclusion n’ont cessé de progresser et les conséquences de la crise sanitaire liée à la Covid-19, ont, plus encore, accentué la situation.

Ainsi, depuis des années déjà, de plus en plus de parents empêchent les enfants de voir l’autre parent, se rendant alors coupables du délit de non-représentation d’enfant. En agissant de la sorte, soit ces parents-là manipulent les enfants afin de les écarter de l’autre parent, les retenant  ainsi en otage, compte tenu de l'emprise psychologique exercée, soit la justice, totalement dépassée et particulièrement sclérosée est devenue incapable de faire respecter la loi relative à la coparentalité et va même jusqu’à glisser sous le tapis les non-représentations d'enfant par un classement sans suite inadmissible et totalement anormal...!

Et pendant ce temps-là, combien de parents devenus des aliénants, manipulateurs, pervers et/ou toxiques peuvent agir à leur guise en toute impunité, sacrifiant même l’équilibre psychoaffectif de leurs enfants afin d’assouvir leur égocentrisme, leur sentiment de propriété de l’enfant, leur volonté narcissique de tout contrôler, leur désir de vengeance quelle qu’elle soit,…

La crise sanitaire et ses conséquences sont même venues s’inviter, depuis l’an dernier déjà, dans ces situations conflictuelles où, quoi qu'il en soit, l'enfant demeure systématiquement la première victime, puis, collatéralement, soit la mère, soit le père de l’enfant.

Et pourtant, l'enfant, lui, aime indépendamment ses deux parents.

A ses yeux, fêter la "fête des mères", puis célébrer, tout autant, la "fête des pères", correspond à un acte essentiel qu’il a à cœur de partager avec ses parents. 

Pour des dizaines de milliers d’enfants et de parents, peut-être même des centaines de milliers d’entre eux, point de fête des mères ni davantage de fête de pères à l’horizon… !

Comment est-il encore possible, qu’en 2021, la justice française soit toujours aussi incapable de faire appliquer les principes de la coparentalité et le droit fondamental à la vie familiale pourtant renforcé par la Cour et la Convention Européenne des Droits de l’Homme… ? Comment admettre un tel déni de légitimité ?

La Fête des mères et la Fête des pères doivent rappeler à chacun, que tout parent respectable a le droit de bénéficier de sa vie familiale avec ses enfants, ce qui rappelons-le est un droit fondamental, tant pour l’enfant que ses parents. Quand on est parent, c’est pour la vie.

Alors, quoi qu’il en soit, soyez conscients, Chers parents, qu’on ne vous oublie pas, que nous sommes de tout cœur à vos côtés et que l’association JM2P se bat pour vous et pour l’application de vos droits.  

 

Fete des meres et peres 2021

Dimanche 25 avril 2021...

25 avril sky

Les échéances électorales approchent et si rien n’est mis en œuvre de façon concrète cela prouverait, qu’une fois de plus, ce quinquennat n’aura rien fait si ce n’est qu’à contribuer plus encore à ces drames familiaux, à ces injustices inhumaines, laissant le champ libre à de tels abus psychologiques que représente l'aliénation parentale, et de se poursuivre ainsi en toute impunité… 

Le Secrétariat d'Etat à l'Enfance et aux Familles devrait s'exprimer auprès de JM2P dans les jours à venir, nous saurons alors si nos gouvernants ont bel et bien l'intention d'agir d'ici la fin de ce quinquennat et que des avancées pourront enfin être menées comme c'est d'ores et déjà le cas dans une bonne dizaine de pays Européens (Le dernier en date : La République de Malte depuis ce mois de janvier 2021).  

 

Dans le cadre de la journée du 25 avril 2021...

L'association JM2P, depuis plus de deux ans maintenant, ne cesse d'agir auprès du Secrétariat d'Etat à l'Enfance et aux Familles, il est temps que celui-ci apporte des réponses concrètes.

Ci-dessous, le dernier courrier adressé au Secrétaire d'Etat. JM2P attend sa réponse...

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Dimanche 25 avril 2021...

Pour cette année 2021, une nouvelle opération devait être mise en place par l’association « J’aime mes 2 Parents », dans le cadre de la 16ème journée internationale annuelle de lutte contre l’aliénation parentale, contre l’exclusion parentale, une journée partagée dans le monde entier au cours de laquelle un nombre de plus en plus important de pays englobant l’ensemble des continents, s'unit afin de célébrer cette journée spéciale du 25 avril.

Mais, compte tenu des mesures sanitaires toujours en cours, liées à la pandémie (Covid-19), même en espace extérieur, celles-ci ne permettent pas d'organiser l'événement dans des conditions optimales et sécurisées, compte tenu des variants du virus (Covid-19) toujours très actifs et les mesures de distanciation restant expressément en vigueur.

Avec « l’arbre aux témoignages », l’association tenait à rendre hommage aux familles actuellement déchirées, meurtries et faisant face à une injustice et à une inhumanité inqualifiables, parmi tant d’autres ; des enfants, des mères, des pères et des grands-parents…

Parce que  cette violence et cet abus qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, car ils sont avant tout psychologiques et pourtant particulièrement redoutables et destructeurs, peuvent détruire la moitié du patrimoine parental de l'enfant et, conséquemment, la moitié de ses racines, ils peuvent tout autant détruire des hommes et des femmes… Ainsi, l’avenir de milliers de familles et d’enfants sont dramatiquement en jeu …

Afin de redonner l’espoir la plantation d’un arbre, devenant alors symbole de la sauvegarde du lien parental aurait dû également prendre place.

Mais cela n’est que partie remise.

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L'association JM2P et de nombreuses victimes attendent des nouvelles du Secrétariat d'Etat à l'Enfance et aux Familles car la journée internationale du 25 avril contre l'aliénation parentale est proche...

 

Des milliers de victimes sont en attente de savoir quel sera l’engagement gouvernemental et la mise en place d'actions contre les abus psychologiques que représentent les situations d’emprise et de manipulations mentales exercées sur l’enfant, tout particulièrement lors de la séparation parentale particulièrement conflictuelle, d’autant qu’en novembre 2020, le Secrétaire d’Etat, Monsieur Adrien TAQUET, appelait à « une mobilisation accrue envers les enfants en situation de handicap, les enfants placés en institution et ceux victimes de violences psychologiques et des phénomènes d’emprise. »

Pour ce 25 avril prochain quelle réponse pourrait-il apporter ?

La question a été officiellement posée par l'association au Secrétariat d’Etat...

 En effet, le dimanche 25 avril prochain correspondra à la 16ème journée internationale annuelle de lutte contre l’aliénation parentale, contre l’exclusion parentale et pour la sauvegarde du lien parental, une journée partagée dans le monde entier et au cours de laquelle un nombre de plus en plus important de pays, englobant l’ensemble des continents, s'unit afin de célébrer cette journée spéciale du 25 avril.

Nous attendons la réponse de Monsieur Adrien TAQUET, Secrétaire d'Etat à l'Enfance et aux Familles...

A suivre...

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Face à l’exclusion parentale (l’aliénation parentale) qui ne cesse d’augmenter, face au mutisme répété, à l’apathie de la part des institutions judiciaires relatif aux multiples délits avérés de non-représentations d’enfant, JM2P s'inquiète de la situation de plus en plus grave...

 

Depuis des années, nous ne cessons de lancer un cri d’alarme concernant les situations d’emprise et de manipulations mentales exercées par l'un des deux parents, sur l’enfant, afin qu’il se mette, petit à petit, à rejeter l'autre parent, voire même à le haïr sans la moindre raison justifiée et justifiable, car devenu le bras armé de ce parent manipulateur et toxique, au cœur même d’une séparation parentale particulièrement conflictuelle (Et les séparations conflictuelles ne cessent, malheureusement, de progresser en France).

 De même, et cela va de pair avec de telles situations d'exclusion et d'emprise, le mépris exprimé par nos institutions judiciaires face aux délits de non-représentations d’enfant(s) ne cesse d’exacerber, plus encore, le mécanisme de colère et de multiples tensions pouvant éclater à tout moment (Silence, classement sans suite, banal rappel à la loi malgré les délits avérés).

Il apparaît clairement que les délits de non-représentation d’enfant ne sont plus traités comme il se doit, si, tant soit peu, ils le sont. Il suffit, même, pour s’en convaincre de constater la dramatique réalité du terrain où les forces de l’ordre elles-mêmes ne tiennent plus à prendre les plaintes dans bien des cas car elles sont débordées et n’ont pas de temps à consacrer pour enregistrer ce type de délit qui n’aboutira pas au moindre suivi derrière…!

Ainsi, au mépris de la loi, au mépris des conventions, le système judiciaire français ne prête pour ainsi dire plus la moindre attention particulière à ces situations pourtant graves, illégales, étant contraires à la loi du 4 mars 2002 relative à l’exercice de l’autorité parentale. 

Or, la non-représentation d’enfant est un délit pénal conformément à l’article 227-5 du Code pénal. (« Le fait de refuser indûment de représenter un enfant mineur à la personne qui a le droit de le réclamer est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. »)

 Ainsi, le préjudice déjà immense, tant sur le plan émotionnel et psychologique que relationnel et social, médical et même vital parfois est assurément minimisé de façon inacceptable. Cette grave et irresponsable attitude encourage souvent le parent irrespectueux de la loi du 4 mars 2002 et des jugements rendus en matière d’organisation de la vie de l’enfant, à poursuivre les délits, en toute impunité pour ne pas dire avec la bénédiction du système de justice !

Ainsi, le risque d’une aliénation parentale devient encore plus sérieux si le parent qui enfreint les jugements rendus a bel et bien décidé de réduire à néant la relation entre l’enfant et le parent anormalement évincé.

Il est particulièrement incompréhensible encore aujourd’hui que l’Etat et la justice ne prennent pas au sérieux ces situations particulièrement dévastatrices.

C’est une véritable bombe à retardement qui est bel et bien enclenchée. Trop de victimes, trop de familles massacrées, trop de douleurs et de souffrances, trop d’abus impunis…  

Avant les premiers confinements, plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) avaient, d’ores et déjà, totalement perdu le contact avec l’un de leurs deux parents, et, plus de 2,5 millions d’enfants ne voyaient que rarement (1 à 3 fois par an) l’un ou l’autre de leurs deux parents.

N’était-ce déjà pas trop d’enfants aux yeux des dirigeants et des législateurs de la France ?  

La crise sanitaire a d’ores et déjà et va encore, à coup sûr, accentuer ces dramatiques situations et, hélas, augmenter ces chiffres déjà très alarmants, si cela n’est déjà pas fait… Triste constat…

Depuis sa création fin 2012, l’association « J’aime mes 2 Parents » a été sollicitée par des milliers de familles victimes.

En ce mois de mars 2021, nous avons passé le cap des 3000 familles victimes ayant pris contact afin de demander de l'aide.

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Il est urgent d'agir contre toutes les formes de violences, d'abus à l'encontre de l'enfant !

Le Président de la République est intervenu le samedi 23 janvier 2021 par le biais d’une vidéo s’adressant prioritairement aux personnes victimes d'inceste, de violences sexuelles inadmissibles et abjectes.

Cette juste et estimable intervention vient malgré tout poser une question essentielle au regard de la protection et du respect des enfants et de leurs droits fondamentaux vis-à-vis d’autres violences qui, quant à elles, sont encore anormalement tues ou sinon délaissées et pourtant pouvant s’avérer tout autant destructrices de leur avenir, de leur équilibre psychoaffectif, de leur santé physique et/ou mentale.

En effet, faut-il rappeler ce que représente la violence psychologique subie par l’enfant, devenu soldat ou objet de manipulation, de chantage et/ou de vengeance, dans le cadre des séparations parentales ultra-conflictuelles pour lesquelles rien n’est mis en oeuvre à ce jour, ou si peu… !?

Or, la violence psychologique attaque la personne dans son intégrité, sa santé psychique et physique. Cela rend malade par le biais du stress ou d'attaques émotionnelles. La psychiatre et psychothérapeute familiale, Marie-France HIRIGOYEN, le souligne : « La violence psychologique peut être plus néfaste que la violence physique, elle peut détruire bien plus une personne et laisser des traumas plus importants. »

Qu’attend donc la France pour lutter efficacement contre toutes les violences, y compris psychologiques ?

Pourquoi ne vouloir traiter que telle ou telle violence, parce que la pression médiatique devient alors particulièrement intense et impose alors une réponse (Il y a quelques temps, c’était le harcèlement scolaire qui faisait cette fois-là, l’objet de toutes les attentions via les médias, puis ensuite des pouvoirs publics) et ne pas agir sur les autres ? Faudra-t-il alors une tragédie qui, plus particulièrement, mettra le feu aux poudres et vienne alors envahir les médias, pour que l’on prenne enfin conscience de ce qui se joue au cœur même des séparations parentales ultra-conflictuelles qui ne cessent, hélas, de progresser (Sans compter les conséquences sur les périodes de confinement en pleine crise sanitaire qui viendront immanquablement grossir, plus encore, leur nombre) engendrant ainsi des situations graves d’emprise et de manipulations mentales afin de détruire les relations maternelles ou paternelles de l’enfant ?

Lors de son intervention du samedi 23 janvier dernier, le Président de la République a clairement indiqué également : « Il nous faut adapter notre droit pour mieux protéger les enfants victimes d'inceste et de violences sexuelles. »

Mais en réalité, c’est bel et bien à l’ensemble des violences subies par l’enfant, qu’elles soient physiques et psychologiques, qu’il faut urgemment adapter notre droit pour mieux protéger les enfants victimes.

Tout comme pour les violences d’ordre physique et/ou sexuel, aucune violence psychologique ne peut être davantage admise, mettant, qui plus est, l’avenir de l’enfant victime, indéniablement en danger (Risques majeurs de dérives, de déviances, de désocialisation, d’atteinte à la santé mentale et/ou physique, de nouvelles violences développées,…).

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♦ Suite à la crise sanitaire et le second confinement ordonné fin octobre 2020, quelle est la situation des adhérent(e)s et sympathisant(e)s de l'association ayant répondu au questionnaire proposé ? Les résultats de cette enquête menée par JM2P. 

 

A l’heure où se murmure, d'ores et déjà, la possible mise en place d’un troisième confinement national (comme c’est déjà le cas dans un certain nombre de pays), il apparaît de plus en plus évident que le Gouvernement n’a pas mesuré toute l’étendue des impacts terriblement négatifs et même nocifs qu’occasionne un tel dispositif (Certes, primordial sur le plan sanitaire) vis-à-vis du bafouement malveillant et même pervers de l’autorité parentale conjointe dans le cadre des séparations parentales ultra-conflictuelles.

Les résultats parlent d’eux-mêmes. 

Tout comme pour la première période de confinement vécue au printemps 2020, une très large majorité des personnes (92%), ayant répondu à ce nouveau questionnaire, rencontre des problèmes pour faire respecter ses droits, pour revoir les enfants et même pour réussir à pouvoir rentrer en communication avec les enfants. Les barrages sont ainsi impossibles à traverser, la communication est donc totalement rompue. Pour consulter l'ensemble des résultats, cliquez sur ce lien : A la UNE ce semestre (2019 -.)

 

 

MEILLEURS VOEUX POUR ...

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Le temps qui passe devrait nous apprendre à toutes et à tous de devenir meilleurs.  

Hélas, il y a des personnes pour qui cela ne fonctionne pas ainsi.   

Aussi, les épreuves de l’existence égratignent notre bonheur.  

Et notre bonheur se trouve soudain endolori et meurtri,  

Plus encore lorsque l’exclusion parentale s’installe.   

Pire encore lorsque nos êtres les plus chers se sont évanouis de nos vies.

Mais la vie avance et ramène un jour, enfin, la paix du cœur.
Que ce temps de renouveau puisse préparer celles et ceux qui en ont besoin deux mille vingt et une lueurs. 
 

Qu’il leur amène de nouvelles raisons d’espérer et aux autres d’avancer avec sérénité,
Qu’il nous enseigne que tout peut effectivement recommencer et que sinon tout est possible,
Que demain reviendra avec la joie et la beauté.
Que l’avenir offrira d’autres raisons de retrouver leurs enfants, leurs petits-enfants et pour tous les autres de fortifier les liens familiaux et de les préserver tel un trésor…  

Famille et santé pour toutes et tous ! 

Alors, je vous souhaite le meilleur renouveau possible et que 2021 soit lumineuse.
Oui, espérons que 2021 permettra à tout à chacun de tourner la page de la pandémie, 
 

Que 2021 devienne pour toutes les victimes d’exclusion parentale la matérialisation des retrouvailles et pour les autres le maintien d’une belle harmonie familiale. 

Que 2021 soit et devienne l’année de la concrétisation de vos vœux les plus chers.  

François Scheefer, président de l'association JM2P.

 

NOËL 2020...

"Ce qui compte à Noël, ce n'est pas de décorer le sapin, c'est d'être tous réunis." disait, il y a quelques années, Kevin Bright, producteur et cinéaste américain...
Mais voilà, quand nous sommes parents ou bien encore grands-parents, injustement et illégalement privés de nos enfants, de nos petits-enfants, même la décoration du sapin demeure impossible... Non pas à cause de la Covid-19... Non, non... Mais à cause d'un parent aliénant, manipulateur et/ou toxique qui en a décidé ainsi, même au mépris des règles, des jugements rendus et des souhaits les plus chers de nos enfants, de nos petits-enfants... Alors, être tous réunis, adultes et enfants est, à ce jour, illusoire, juste impossible. Aucun miracle de Noël, juste un vide absolu, une douleur éprouvante et révoltante… Nos enfants nous manquent, nos petits-enfants nous manquent...!

Malgré tout, gardons l'espoir. Croyons au futur miracle, non pas par naïveté mais parce que tout peut être encore possible...

Malgré tout, bonnes "fêtes" de fin d'année.

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♦ VOTRE SITUATION DEPUIS LA FIN OCTOBRE 2020 SUITE AU RE-CONFINEMENT. Dites-nous si vous subissez à nouveau des difficultés pour faire respecter vos droits et communiquer avec vos enfants. (Questionnaire à compléter et à renvoyer à : JM2P@outlook.fr) 

 

Compte tenu de la crise sanitaire et en raison des mesures de re-confinement qui furent prononcées par le Président de la République le 28 octobre 2020, certes moins drastiques qu’au printemps dernier, des millions de parents ont dû à nouveau s'adapter et chercher, autant que possible, à préserver au mieux l’exercice conjoint de l’autorité parentale afin de ne pas perturber leurs enfants et maintenir le lien.

Dans ces conditions, le maintien du lien entre l'enfant/les enfants et l’autre parent, par tout moyen possible et conforme aux règles liées au confinement, est demeuré essentiel et les jugements devaient, coûte que coûte, s’appliquer, sauf en cas contraire aux mesures sanitaires ordonnées (Par exemple, des enfants résidant dans une autre région que le parent à qui ils devaient séjourner).

Par contre, la résidence alternée devait absolument s’appliquer d'autant que la scolarisation des enfants a pu se poursuivre, contrairement au printemps dernier.

Mais, malheureusement, à en juger par le nombre grandissant de personnes ayant contacté ou ayant à nouveau contacté l'association, et qui ont fait part de multiples abus, de manquements et de violations subis, vis-à-vis de l’exercice conjoint de leur autorité parentale, du droit de communication et d'information, des droits de visite et d'hébergement et de résidence alternée (Pourtant parfaitement réalisables à condition de rester à une distance raisonnable (et non interrégionale jusqu'au 15 décembre) malgré le re-confinement, sous réserve d’avoir préalablement rempli une attestation de déplacement dérogatoire), il apparaît particulièrement inadmissible que la Covid-19 soit, à nouveau, devenue le prétexte au sabotage pur et simple des relations « enfant(s)-parent » et aux violations flagrantes des jugements pourtant exécutoires, et tout à fait réalisables, suite aux règles imposées.

Dans ces conditions et afin de faire remonter de façon concrète au Secrétaire d’Etat à l’Enfance et aux Familles, vous êtes invités à compléter le questionnaire ci-dessous et de l’adresser à l'association "J'aime mes 2 Parents" à l'adresse mail suivante : JM2P@outlook.fr

ACCÈS AU QUESTIONNAIRE, CLIQUEZ SUR LE LIEN : Questionnaire suite au covid 19 et le reconfinement automne 2020Questionnaire suite au covid 19 et le reconfinement automne 2020 (104.37 Ko)

(Date limite de l’envoi : le 6 janvier 2021) Merci.

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 ÇA Y EST, C'EST DIT ! : « Il faut une mobilisation accrue envers les enfants victimes de violences psychologiques et des phénomènes d’emprise. »

 

Dans le cadre de la journée du 20 novembre 2020, le Secrétaire d’Etat à l’Enfance et aux Familles, Monsieur Adrien TAQUET, a effectué une déclaration au Comité de suivi du plan (2020-2022)* à propos des violences faites aux enfants, reprise ensuite par les différents organes de gestion du pays :

« En 2018, 122 mineurs ont été victimes d’infanticide, dont 80 dans le cadre intra-familial. Deux tiers avaient moins de 5 ans. La même année, 23 560 plaintes ont été déposées pour des violences sexuelles sur mineurs, dont 7 260 dans le cercle familial.

Face à cette situation, le plan de lutte contre les violences faites aux enfants a pour objectif de mieux protéger chaque enfant en tout lieu et à tout moment, afin qu’aucun contexte ni aucun environnement n’échappe à la vigilance nécessaire. Ces mesures, axées sur la prévention, la libération de la parole, la protection, l’accompagnement des jeunes mais également la répression à l’égard des auteurs des auteurs de violences, ont fait l’objet d’une communication transparente du Secrétariat d’Etat.

Les avancées de mesures phares du plan dans un contexte de crise sanitaire : le déploiement en cours sur l’ensemble du territoire des unités d’accueil et d’écoute Enfant en Danger Pédiatriques (UAPED), la généralisation du numéro d’écoute et d’orientation pour les personnes attirées sexuellement par les enfants, ou encore le lancement depuis septembre 2020 d’une taskforce sur la prostitution des mineurs, tout en appelant à une mobilisation accrue envers les enfants en situation de handicap, les enfants placés en institution et ceux victimes de violences psychologiques et des phénomènes d’emprise.

Parce que le bien-être de l’enfant est une priorité partagée, une équipe interministérielle est étroitement impliquée, réunissant pour la première fois les ministères des Solidarités et de la Santé, la Justice, l’Intérieur et l’Education Nationale autour des violences. »

Le Secrétaire d’Etat déclare en conclusion : « La lutte contre les violences faites aux enfants reste une priorité constante. Malgré le report des Etats généraux initialement prévus le 17 novembre, j’ai souhaité faire un point d’étape, en toute transparence, sur l’avancée des mesures et le chemin qui nous reste à parcourir. La lutte contre les violences faites aux enfants, sous toutes ses formes, ne peut pas être mise entre parenthèses pendant la crise sanitaire que nous traversons ».

https://solidarites-sante.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/a-l-occasion-de-la-journee-internationale-des-droits-de-l-enfant-adrien-taquet

 

Quelle victoire pour notre association !

Nous avons, enfin, été entendus. C’est la toute première fois qu’un membre du Gouvernement français vient citer « les situations de violences psychologiques et des phénomènes d’emprise » (Expression voulue et utilisée par l’association JM2P depuis 2 ans déjà, afin d’éviter les débats stériles et partiaux autour de la terminologie « aliénation parentale ») et annoncer la défense envers de telles victimes.

Un premier grand pas a donc été franchi. La prise de conscience est effective, la volonté de combattre de tels abus est  « dans les tuyaux »… !

La prochaine grande étape sera le résultat des mesures proposées en équipe interministérielle et tout particulièrement de la part du Ministère de la Justice, trop souvent conformiste et se contentant de conserver les usages établis (Sans oublier les positions ambiguës de la précédente Ministre de la Justice, Madame Nicole Belloubet, vis-à-vis de l’aliénation parentale, sous l’influence des propos tenus par Madame Laurence Rossignol, Sénatrice et ancienne Ministre des Familles avant mai 2017).

Mais, là aussi, notre association n’hésite et n’hésitera pas non plus à bousculer et à démontrer l’urgence d’agir contre les violences psychologiques et les phénomènes d’emprise exercés sur l’enfant, en 4 mots : phénomène d’aliénation parentale.

Puis, viendra l’étape ultime, celle de la mise en application de mesures concrètes, fermes et appliquées d’ici les élections du printemps 2022…

Nous pouvons être fiers. La voie est tracée ; maintenant, il ne faut plus perdre de temps !

La France n’a plus le droit de jouer les « Ponce Pilate » ni même de fuir ses responsabilités. Sinon, que deviendront tous ces enfants « fracassés », devenus des adultes possiblement « déglingués » de demain ? 

L’enfant doit être au centre des priorités, il doit pouvoir vivre avec ses parents, maintenir le lien avec tous ses ascendants, et ses droits doivent être protégés.

 

: Le plan en question correspond aux « 22 mesures pour en finir avec les violences faites aux enfants », lancé le 20 novembre 2019 et pour lequel l’association s’est battue pour que les violences psychologiques et les situations d’emprise soient prises en compte, tout particulièrement dans le cadre des séparations parentales hautement conflictuelles. Malheureusement, à l’époque, aucune référence à des telles violences et abus n’avaient été reprise.

 

 LE 20 NOVEMBRE 2020 : LES DROITS DE L'ENFANT ONT 31 ANS..., MAIS, HÉLAS, LEUR APPLICATION EST LOIN D'ÊTRE ACQUISE... 

 

Les droits de l’enfant n’ont pas à être bafoués, à commencer par celui de pouvoir maintenir le lien avec ses deux parents, ses autres ascendants.

Or, combien de milliers, de millions d’entre eux en sont inhumainement empêchés ?

Alors oui, rappelons-le :

Non, il n’y a pas que la violence conjugale qui court…

Non, il n’y a pas que les violences physiques intra-familiales qui circulent !

Il y a toute cette violence et abus qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, car ils sont avant tout psychologiques et pourtant particulièrement redoutables et destructeurs, à commencer pour les enfants alors exclus de la moitié de leur patrimoine parental et conséquemment de la moitié de leurs racines !

La France n'a nul droit de cautionner de telles situations absolument contraires à la Convention Internationale des Droits de l'Enfant (CIDE) !

Le 20 novembre 2020, la CIDE a 31 ans… Et pourtant la France laisse toujours de tels abus se perpétuer. Cela suffit !

Affiche 20 novembre 2020

 AGIR COÛTE QUE COÛTE - PROTECTION DES DROITS DE L'ENFANT ET DU PRINCIPE DE COPARENTALITÉ

 

Non, il n’y a pas que la violence conjugale qui court…

Non, il n’y a pas que les violences physiques intra-familiales qui circulent !

Il y a toute cette violence et abus qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, car ils sont avant tout psychologiques et pourtant particulièrement redoutables et destructeurs, à commencer pour les enfants alors exclus de la moitié de leur patrimoine parental et conséquemment de la moitié de leurs racines !

L’association “J’aime mes 2 Parents ”, après avoir sensibilisé et apporté des propositions concrètes au Secrétaire d’Etat à l’Enfance et aux Familles en octobre 2020, a décidé d’agir également auprès des instances nationales, européennes et internationales afin de leur demander de prendre attache avec la Présidence de la République dans le but de notifier les dysfonctionnements graves apparaissant progressivement dans la vie de l’enfant lors de la séparation conflictuelle de ses parents, y compris l’emprise psychologique pouvant être exercée sur lui afin de l’obliger à rejeter l’un des deux parents et de rappeler que, par conséquent, l’Etat Français se doit de prendre toutes les mesures nécessaires, y compris l’application de la loi et des Conventions ratifiées, pour le maintien du lien et de la vie familiale, tant maternelle que paternelle, pour enrayer également tout drame familial affectant en premier lieu l’enfant et de le protéger de toutes les violences psychologiques subies que représentent vraiment l’exclusion, l’isolement, ou bien encore l’aliénation parentale endurée.

Le mois de novembre est consacré aux droits de l’enfant et le 20 novembre lui est dédié ainsi qu’à la convention internationale des droits de l’enfant. C’est pourquoi, l’association a décidé de taper un grand coup afin de dénoncer les manquements de la France vis-à-vis du droit à la vie familiale pourtant fondamental et du fait qu’à ce jour plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) ont totalement perdu le contact avec l’un de leurs 2 parents (majoritairement avec leur père) et au surplus, plus de 2,5 millions d’enfants voient rarement l’un ou l’autre de leurs 2 parents (majoritairement leur père).

Ces faits sont rapportés à :

- La Défenseure des Droits (France), Madame Claire Hédon,

- La Secrétaire Générale du Conseil de l’Europe, Madame Marija Pejčinović Burić,

- La Secrétaire Générale adjointe du Conseil de l’Europe, Madame Gabriella Battaini-Dragoni,

- Le Secrétariat Général de la Cour Européenne des Droits de l’Homme,

- La Commissaire aux Droits de l'Homme au Conseil de l’Europe, Madame Dunja Mijatović,

- La Présidente de l’ENOC : The European Network of Ombudspersons for Children au Conseil de l’Europe, Madame Koulla Yiasouma,

- Le Directeur de l’Agence des Droits Fondamentaux de l'Union Européenne, Monsieur Michael O’Flaherty,

- Le Haut Commissariat aux Droits de l'Homme et de l’Enfant des Nations Unies,

- Le Président du Comité des droits de l'Enfant auprès des Nations-Unies, Monsieur Luis Ernesto Pedernera Reyna,

- La Présidente de l’Union Nationale des Associations Familiales (UNAF), Marie-Andrée Blanc,

- Le Président de l’Union Départementale des Associations Familiales 59 (UDAF), Pierre M. Lebrun,

afin de bien vouloir rappeler haut et fort auprès du Gouvernement de l’Etat Français et de la Présidence de la République Française que :

 

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 LES INADMISSIBLES NON-APPLICATIONS DE L'AUTORITÉ PARENTALE CONJOINTE...

 

Les séparations parentales conflictuelles sont trop souvent dédaignées, et dépréciées par l’ensemble des acteurs du monde judiciaire, considérant, trop souvent, et à tort, celles-ci comme étant encore mineures, voire  marginales, par rapport à l’ensemble des autres procédures de séparations et de divorces. 

Pourtant, les séparations parentales « hautement conflictuelles » n’ont cessé de progresser au fil des ans. Si nous parlions de 5% à 7% au tout début du XXIème siècle, pour passer le cap des 10% dix ans plus tard, il apparaît, qu’aujourd’hui, les 20% sont atteints (Soit une séparation sur cinq). Et les crises successives au sein de la société, sans compter la période de confinement et de post-confinement liée à la Covid-19, ne vont guère modérer cette triste progression, au contraire…

Qui plus est, les principes de l’autorité parentale, près de vingt ans après l’introduction de la loi dite du 4 mars 2002 n° 2002-305 - relative à l'autorité parentale -, restent trop souvent non-appliqués.

Or, cette non-application vient accentuer plus encore la situation d’injustice en cas d’exclusion parentale orchestrée par l’un des deux parents (Phénomènes d’aliénation parentale) et porter gravement atteinte aux droits fondamentaux à la vie familiale et à l’équilibre psychoaffectif de l’enfant, à sa santé mentale. 

Les résultats de cette nouvelle enquête de l’association JM2P confirment et crient haut et fort les terribles situations et drames subis compte tenu de l’inacceptable non-application des principes le l’autorité parentale.

Pour consulter tous les résultats de cette enquête (Septembre 2020), cliquez sur le lien : Votre autorite parentale respectee ou non respecteeVotre autorite parentale respectee ou non respectee (5.76 Mo)

Extrait :

Autorite parentale result 09 2020

 

♦ LA LOI DU 4 MARS 2002 SUR LA COPARENTALITÉ DOIT ÊTRE ABSOLUMENT APPLIQUÉE ET COMPLÉTÉE...

Aujourd’hui, il y a une extrême urgence à venir asseoir les principes de l’autorité parentale et avant tout à les appliquer par tous les acteurs, qu’ils soient avocats, juges, psychologues, travailleurs sociaux, médecins et autres,. A ce jour, près de vingt ans après l’introduction de la loi du 4 mars 2002 n° 2002-305 - relative à l'autorité parentale, celle-ci reste visiblement non-appliquée par la justice et ces mêmes acteurs, par la société elle-même gravitant autour de l’enfant et de sa famille, autant maternelle que paternelle.
La loi doit être, coûte que coûte, appliquée. Elle doit être également complétée car les situations d'exclusion et d'aliénation parentale demeurent particulièrement ignorées alors qu'elles ne cessent d'augmenter. 20% des séparations parentales sont aujourd'hui particulièrement conflictuelles et engendrent, hélas, un nombre grandissant de situations d'emprise psychologique sur les enfants.
Ces compléments pourraient d’ailleurs servir de tremplin pour appliquer enfin l’ensemble de la loi relative à l'autorité parentale.

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Résultats de l'enquête menée sur l'expérience vécue par les adhérent(e)s de l'association auprès des travailleurs sociaux, lors de leurs procédures + Expertise psychologique et ou psychiatrique.

Si les travailleurs sociaux œuvrent globalement dans le domaine de l'action sociale au sens large, nous nous sommes attachés à celles et ceux qui touchent de près les personnes généralement victimes de séparations particulièrement conflictuelles, qu’elles soient hommes ou femmes et qui, de plus, pour le plus grand nombre, doivent faire face à des situations d’exclusion parentale de la part de leurs enfants (et parfois de leurs petits-enfants), compte tenu de réels et sérieux phénomènes de manipulations psychologiques et d’emprise mentale exercées par l’autre parent, visant ainsi à démolir autant que possible la relation avec leurs enfants ou sinon, à minima, afin de régler des comptes et de se venger de la séparation du couple qui n’a jamais été acceptée.

Ainsi, les travailleurs sociaux rencontrés à multiples niveaux de la procédure ou des procédures afin de faire respecter et appliquer le principe de coparentalité, réaffirmé par la loi du 4 mars 2002 relative à l'autorité parentale, n’ont visiblement pas apporté l’aide, le soutien et le professionnalisme attendus :

Dans le cadre d’une demande directe de la part des personnes en difficultés (Centres communaux d’action sociale, aide sociale à l’enfance,…), dans le cadre d’une médiation, ou bien encore dans le cadre d’une enquête sociale ordonnée par le Juge (JAF) et celui d’une mesure d’AEMO (Action Educative en Milieu Ouvert) ordonnée par le Juge des Enfants, mais aussi, lors des droits de visite médiatisés prononcés par le Juge aux Affaires Familiales.

A travers les résultats de cette enquête, un nombre assez important de dysfonctionnements a été rapporté, des lacunes et des manquements relatés par celles et ceux qui ont bien voulu y répondre. Certains manquements ou sérieuses lacunes ont même fait l’objet de plaintes auprès des Présidents de Département (Organe chapeautant une bonne part des travailleurs sociaux impliqués).

Si la violence physique est généralement facilement visible et généralement condamnée par notre société, la violence psychologique, ou morale, est largement moins visible et beaucoup plus insidieuse dans ses effets négatifs et dévastateurs.

De par une certaine forme d’invisibilité (tout particulièrement pour Monsieur & Madame tout le monde) et la difficulté à la démontrer (Sans l’appui des experts et professionnels), notre société a tendance à oublier cette forme terrible de violence, à l’occulter même et ne prend pas les moyens pour y remédier et même la condamner, laissant ainsi de nombreux enfants face à leurs souffrances, leurs blessures, leur perte de faculté de libre arbitre et endommageant gravement leur équilibre psychoaffectif, pouvant alors entraîner de terribles conséquences sur eux-mêmes (Développement de dérives et de déviances pouvant aller jusqu’au suicide dans les cas les plus graves)

Or, justement, de nombreux travailleurs sociaux ont tendance à passer, tout comme Monsieur & Madame tout le monde, à côté de ces souffrances liées à de tels abus psychologiques que représentent la manipulation, le chantage, l’emprise et leurs chapelets de mesures ignobles pour développer alors une indéniable aliénation parentale pouvant même s’avérer particulièrement sévère.

Il est donc capital que les travailleurs sociaux, à qui est confiée une mission dans le cadre de séparations parentales ultra-conflictuelles, aient une formation adéquate, qu’ils soient préparés à des situations « hors normes » même si celles-ci restent minimes (Environ 20% de séparations ultra-conflictuelles sur l’ensemble des séparations parentales à ce jour, contre une dizaine de % il y a une douzaine d’années), mais celles-ci ne cessent d’augmenter de façon affolante. La formation doit donc être menée dès le cursus universitaire.

De même, l’immense importance de la réactualisation des connaissances et des pratiques, sur les formations continues indispensables, les manques de moyens humains et financiers, le nombre trop important de dossiers à gérer en même temps et par conséquent le manque de temps pour suivre les dossiers et les enquêtes, doivent être sérieusement pris en compte.

Le manque de temps est souvent le pire ennemi d’un travail attendu, net et sans bavure, complet et impartial, circonstancié et compétent ! 

Il y a beaucoup à faire et les travailleurs sociaux devraient se poser la question, en toute honnêteté, à savoir s’ils se sentent effectivement capables de gérer les missions confiées face à la séparation ultra-conflictuelle, face à des situations d’aliénation parentale, facteurs de drames et de souffrances devenant insoutenables, en ont-ils les moyens et les compétences ? Si la réponse est non, qu’ils soient honnêtes avec leur hiérarchie et qu’ils demandent le soutien de professionnels de ces questions.

Car leur manque de connaissances, de maladresses, leur manque d’empathie face à de telles victimes peuvent tout autant s’avérer catastrophiques.

« Ne faites pas aux autres ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fasse. » : Les travailleurs sociaux ne devraient jamais l’oublier…

 

Pour prendre connaissance des résultats complets de l'enquête, rendez-vous à la rubrique à la UNE ce semestre. Cliquez sur le lien : A la UNE ce semestre (2019 -.)

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Le principe de coparentalité bafoué par des parents sans scrupule, utilisant le "Covid-19" comme moyen d'action ou de prétexte...!

La crise sanitaire et le confinement qui en a découlé ont permis à des parents peu scrupuleux, considérant que leurs enfants leur appartiennent, des parents, généralement qualifiés d’aliénants, ou bien encore, de  pervers narcissiques, ou de parents toxiques et jusqu'auboutistes, qui, profitant de l’occasion de la crise du Covid-19, ont ainsi mis en place autant de stratégies que possible, afin d’instaurer une coupure nette et précise entre les enfants et leur autre parent, au mépris de leurs inquiétudes, de leurs angoisses quant à l'état de santé de leur autre parent et le besoin d'être rassurés, permettant ainsi de se les approprier plus encore, de, possiblement, les manipuler davantage.

Ainsi, faisant fi des textes officiels parus par l'intermédiaire du Ministère de la Justice (Y compris les attestations de déplacement dérogatoire) à cette occasion un certain nombre de parents ont, bel et bien, décidés, unilatéralement, de passer outre !

Plus de 500 personnes ont répondu au questionnaire proposé par l’association : adhérent(e)s, sympathisant(e)s et de nombreux parents, sans attache particulière à l’association si ce n’est qu’ils consultent notre site et notre page Facebook. Ainsi, chacun et chacune a pu exprimer ses difficultés, son injustice vécues, ses souffrances à supporter.

Ces résultats ont été transmis au Gouvernement ainsi qu'au Défenseur des Droits, afin qu’ils prennent conscience des drames très sérieux, hélas silencieux, qui se jouent, à commencer pour les enfants et nous attendons leurs avis et propositions sur le sujet.

Les résultats de cette enquête sont accessibles ci-dessous (Il suffit de cliquer sur le lien) :

Resultats enquete sur le non respect de la coparentalite durant le confinement - Avril 2020Resultats enquete sur le non respect de la coparentalite durant le confinement - Avril 2020 (5.31 Mo)

Non, il n’y a pas que la violence conjugale qui galope… Non, il n’y a pas que les violences physiques intra-familiales qui courent !

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Il y a toute cette violence qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas, car elle est avant tout psychologique et pourtant destructrice ! 

Ces résultats parlent d’eux-mêmes !

EXTRAIT :

Covid info facebook

 

Le samedi 25 avril 2020 : 

Pour la 15ème année consécutive, un nombre de plus en plus important, à travers le monde, devait s'unir afin de célébrer à nouveau la journée internationale contre l'exclusion parentale, contre "l'aliénation parentale".

Que cette journée, même si elle ne peut pas permettre de rassemblements et d'actions pour cause de crise sanitaire, soit dédiée à toutes les victimes de cet infâme abus psychologique... Enfants, parents, grands-parents,...

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VOTRE SITUATION SUITE AU CONFINEMENT ? Dites-nous si vous subissez des difficultés pour faire respecter vos droits et communiquer avec vos enfants. (Questionnaire à compléter et à renvoyer à : JM2P@outlook.fr) 

En raison des mesures de confinement prononcées par le Président de la République depuis le 16 mars 2020, des millions de parents doivent, en conséquence, adapter leurs conditions de vie pour une durée indéterminée. Mais il n'empêche que chaque parent se doit de préserver l’exercice conjoint de l’autorité parentale afin de ne pas perturber les enfants.

Dans ces conditions, le maintien du lien entre l'enfant/les enfants et l’autre parent, par tout moyen possible et conforme aux règles liées au confinement, est essentiel.

Les consignes précisent même qu'il doit primer même si la décision de justice ne le prévoit pas. Il est primordial que la communication s'établisse et puisse être renouvelée aussi régulièrement que possible. C'est capital !

Le parent ayant l'enfant/les enfants à domicile doit informer régulièrement l’autre parent des conditions de vie de l'enfant, des enfants, de son/leur état de santé et de sa/leur scolarité dans le contexte de « l’école à la maison ».

Les parents doivent tenter, autant que possible, de trouver des réels accords « en bonne intelligence », et de ne jamais perdre de vue l’intérêt premier de leur(s) enfant(s) afin de préserver son bien-être, leur bien-être, et son/leur équilibre tant physique que psychologique.

Malheureusement, à en juger par le nombre important de personnes ayant contacté l'association et qui, à ce jour, ont déjà fait part de multiples abus, de manquements et de violations, tant vis-à-vis de l’exercice conjoint de l’autorité parentale, du droit de communication et d'information, des droits de visite et d'hébergement et de résidence alternée (Pourtant parfaitement réalisables puisque les transferts demeurent possibles à condition de rester à une distance raisonnable (et non interrégionale) malgré le confinement, sous réserve d’avoir préalablement rempli une attestation de déplacement dérogatoire), il apparaît inadmissible que le Covid-19 soit devenu le divin prétexte pour ainsi saboter sciemment les relations « enfants-parents » et même les supprimer, purement et simplement, en toute inhumanité et développer plus encore la détresse et la souffrance de tous ces enfants, devenus orphelins de mère ou de père, parce que l'autre parent en a décidé ainsi et cherche donc à s'accaparer l'enfant/les enfants, développant, très possiblement, des situations graves d'exclusion et d'aliénation parentales inqualifiables et illégales, malheureusement déjà existantes chez certains.

Depuis le 23 mars dernier, nous avons alerté le Secrétaire de la Protection de l'Enfance à ce sujet, lui rappelant l'urgence de réagir. Le gouvernement a su le faire face aux violences conjugales. Mais que fait-il face à la souffrance des enfants victimes d’exclusion, des parents également victimes et des « disparitions » soudaines compte tenu du confinement que des parents utilisent pour arriver à leurs fins. Quels moyens entendait-il mettre en place rapidement, pour ne pas dire immédiatement, afin de rappeler, l'extrême importance de permettre à l’enfant de garder le lien avec ses deux parents, mais aussi d’appliquer les jugements en vigueur (sauf si cela était contraire à l’intérêt de l’enfant et non conforme aux règles actuelles de confinement). La seule réponse : LE SILENCE !

Dans ces conditions et faire savoir de manière concrète la gravité de la situation, l'association « J'aime mes 2 Parents » propose ce rapide questionnaire (Ci-dessous en cliquant sur le lien) Merci de le compléter (cela ne prend que quelques instants).

LIEN : Questionnaire respect de vos droits suite au covid 19 et confinementQuestionnaire respect de vos droits suite au covid 19 et confinement (100.88 Ko)

Merci de le faire connaître autour de vous, de demander à toutes les personnes que vous connaissez et qui sont, comme vous, comme nous, concernées, de le compléter et de nous le renvoyer par e-mail (En répondant directement à ce mail, ou en scannant les réponses, ou en les photographiant, etc...) au plus tard :

le lundi 20 AVRIL 2020 à : JM2P@outlook.fr  (Précisez votre n° de département et si vous êtes la mère, le père ou autre)

L'ensemble des résultats sera, après synthèse, adressé à tous les responsables du Gouvernement directement impliqués, également au Chef de l'Etat et à l'ensemble des médias qui ont, à ce jour encore, bien du mal à vouloir communiquer sur ces réelles souffrances et abus, sur les inhumanités qui se jouent, hélas, pour un nombre non négligeable, loin de là, de parents et d'enfants (Sans oublier, collatéralement, les grands-parents tout aussi affectés et victimes).

Qui sait ? Peut-être que ses résultats feront enfin prendre conscience des drames supplémentaires qui se jouent, là aussi !

ON COMPTE SUR VOUS TOUTES ET SUR VOUS TOUS !  

Prenez bien soin de vous et de vos proches. Courage !

Questionnaire respect de la coparentalite ou non lors du confinement

N.B. : Les pouvoirs publics soulignent que si un parent décide de contrevenir à une décision de justice, il ne peut le faire qu’au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant avéré. Dans tous les autres cas, ce parent s’exposera à un dépôt de plainte pour non-présentation d’enfant et avoir éventuellement à se défendre dans le cadre d’une procédure à bref délai.

 

POUR INFORMATION - Droits de visite médiatisé, droit de visite et d'hébergement et résidence alternée suite au confinement (Covid-19).

Dans ces moments difficiles, il est essentiel de souligner que les mesures de prévention et de confinement mises en place par le Gouvernement ne doivent pas avoir d’incidence sur les droits de visite et d'hébergement exécutoires à domicile, ainsi que pour ce qui concerne la résidence alternée, dont les parents bénéficient avec leur(s) enfant(s), conformément au jugement en vigueur.

Aussi, pour celles et ceux qui ont la chance de garder le lien avec leur(s) enfant(s), il ne devrait pas y avoir de difficultés majeures. Ainsi, pour pouvoir aller chercher et/ou reconduire le/les enfant(s), il faut, conformément aux consignes du Ministère de l'Intérieur, compléter l’attestation de déplacement dérogatoire et la porter sur soi afin de la présenter lors des possibles contrôles de police et/ou militaire. Avec ce document complété (Attention, à chaque déplacement, à une date différente, il faut à nouveau remplir l'attestation), il est conseillé de porter également sur soi la copie du jugement qui justifie le déplacement afin d’aller chercher le/les enfant(s) chez l’autre parent et/ou le/les y reconduire en fin de droit.

Malheureusement, pour les droits de visite médiatisés, la fermeture des centres habilités met actuellement un terme à toute possible rencontre. Et nous espérons de tout cœur que cette terrible épreuve ne durera pas trop longtemps. Courage. Aussi, pour les droits de visite médiatisés annulés car il n’y a plus d’accueil, l'urgence est de faire comprendre à la partie adverse, par voie d'avocat, de l’obligation de respecter le droit à l'information, les parents étant détenteurs de l'autorité parentale conjointe. Tout refus d'information transmise est en violation avec la loi.

De même l'avocat peut insister sur l'urgence de pouvoir échanger directement avec l'enfant, non seulement pour se rassurer mutuellement, mais aussi désamorcer l'angoisse de l'enfant (souvent non exprimée par l'enfant, mais pourtant très intense).

Compte tenu de la situation, tentez, autant que possible de négocier avec l'autre parent, malgré la possible antipathie, les désaccords et les possibles tensions. Il s'agit avant tout de rassurer votre/vos enfant(s), de lui/leur permettre de constater que vous n'êtes pas malade et d'évacuer autant que possible le stress ressenti ; la séparation étant déjà assez douloureuse comme cela.

Bon courage et prenez bien soin de vous et de vos proches.

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La Journée internationale contre l'aliénation parentale - Edition 2020.

000 cov annuleLe samedi 25 avril, pour la 15ème année consécutive, un nombre de plus en plus important, à travers le monde, englobant l’ensemble des continents, s'unira afin de célébrer à nouveau la journée internationale contre l'exclusion parentale, contre "l'aliénation parentale". Pour combattre l'aliénation parentale il est capital d’éduquer chacune et chacun afin de les alerter à propos des dangers qu’elle représente.

Les premières victimes sont avant tout les enfants, pris généralement au piège par l’un des deux parents au cœur même du tourbillon de la séparation particulièrement conflictuelle. Ainsi, l’un des deux parents met tout en place pour exclure l'autre parent de la vie des enfants, n'hésitant pas à manipuler leurs propres enfants pour qu’ils deviennent eux-mêmes acteurs du rejet du parent à ostraciser.

Et pourtant, il demeure capital pour tous les enfants de ne pas se mêler des disputes des parents et de leur séparation et donc de ne pas les laisser les obliger à mentir pour dire du mal contre l’un des deux parents.

Aucun parent ne doit forcer les enfants à s’impliquer dans les disputes et les séparations parentales et de les empêcher ainsi de partager des moments de vie avec leurs parents,tantôt chez l'un, tantôt chez l’autre...

Les enfants ne sont pas responsables de la séparation de leurs Parents.

Aussi, il est fondamental que chaque enfant puisse garder le droit de pouvoir vivre auprès de ses 2 parents malgré la séparation et/ou le divorce. (Sauf bien entendu s’il s’avère que cela soit contraire à son intérêt et que cela soit prouvé).

Les enfants n'ont pas à se séparer ou à divorcer de leurs parents et même notre code civil rappelle clairement que : « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent » (Article 373-2) et « L’enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants. » (Article 371-4).

Pourtant, aujourd’hui en France, les chiffres avancés sont accablants : Plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) ont totalement perdu le contact avec l’un de leurs 2 parents (majoritairement avec leur père). Plus de 2,5 millions d’enfants voient rarement l’un ou l’autre de leurs 2 parents (Pour plus des ⅔, il s’agit de leur père).

C’est pourquoi, en 2020, l’association « J’aime mes 2 Parents » a voulu axer son action en direction des enfants, afin de les sensibiliser sur l’importance de ne pas oublier qu’ils ne sont absolument pas responsables de la séparation de leurs parents, qu’il faut continuer à les aimer comme avant et que ni l’un ni l’autre n’ont le droit de leur en empêcher.  

Pour les parents, c’est également un message très important qu’ils se doivent de conserver en eux. En effet, si malheureusement, ils se trouvent un jour confrontés à la séparation et/ou au divorce, qu’ils n’oublient jamais qu’ils resteront parents toute leur vie et que de ce fait, le respect de leurs enfants, mais aussi celui de l’autre parent demeurent essentiels afin de protéger l’équilibre psychoaffectif de leurs enfants mais aussi de les aider à préparer au mieux leur vie future. 

Ainsi, le samedi 25 avril prochain, c’est par la magie du théâtre de marionnettes, que le message à destination des enfants, mais aussi des adultes, sera délivré.

Faire comprendre ce qu’est l’aliénation parentale, avec des mots simples et faire prendre conscience de l’existence des pièges qui peuvent s’installer lors de situations d'emprise mentale et de manipulations psychologiques, représentent les principaux axes de cette journée. Cela n’arrive pas qu’aux autres !

L'événement est prévu à HELLEMMES (Banlieue de LILLE), le samedi 25 avril à l’« Espace des Acacias » (Au premier étage) - Place Joseph Hentgès - 59260 HELLEMMES - Accès possible par le métro, ligne n°1 - arrêt « Hellemmes » se trouvant juste en face de la salle municipale (Rue Roger Salengro) 

 2 séances du spectacle de marionnettes :

1ère séance à 15h00 et la 2ème séance à 17h00.

- 1ère séance : Accueil dès 14h30. A 15h00 : Présentation suivie du spectacle, lui-même suivi de questions/réponses et échanges avec le public.

- De 16h00 à 16h30 : Pause avec possibilité de prendre une boisson. 

- A 17h00 : Nouvelle présentation suivie du spectacle, lui-même suivi de questions/réponses et échanges avec le public. Fin à 18h00.

Affiche 25 avril 2020On marche sur la tête…! Incohérence et injustice...

En droit de la famille, la loi Française est, on ne peut plus claire : La non-représentation d'enfant est un délit...

Elle ajoute également que : Le non-paiement de la pension alimentaire est également un délit…

Là-dessus, tout le monde ne peut qu’être d’accord.

Mais voilà, lorsque la justice ne réagit pas de la même façon face à ces deux délits et que, de plus, elle n’applique pas équitablement la loi comme il se doit ou ne l’applique pas, l’incohérence, mais aussi une véritable forme de déloyauté, un fort sentiment d’injustice et de discrimination s’installent, se sont installés.

Ainsi, le parent qui ne respecte pas, en vertu d'une décision judiciaire exécutoire, son obligation de représenter l'enfant à l'autre parent, démontre un comportement constitutif du délit pénal de non représentation d'enfant (Article 227-5 du Code pénal).

L'article 227-5 du Code pénal pose des conditions particulièrement strictes pour constituer le délit de non représentation d'enfant mineur.

Il énonce ainsi que " Le fait de refuser indûment de représenter un enfant mineur à la personne qui a le droit de le réclamer est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende."

De même, le parent qui refuse, à tort, de régler la pension alimentaire est aujourd’hui très rapidement poursuivi en justice… ! Le Gouvernement à tout mis en œuvre, en 2019, pour venir protéger les parents ne recevant pas la pension alimentaire comme il se doit, face à l’autre parent qui ne l’a pas payée.

Ainsi, le versement sera effectué par l'intermédiaire de la CAF, à condition que l'un des parents ou le juge, le demande et donc le titre exécutoire fixant la pension alimentaire sera envoyé directement à la CAF.

Selon l'article 227-3 du Code pénal, le non-paiement d'une pension alimentaire    pendant plus de deux mois peut faire l'objet de poursuites pour abandon de famille, un délit passible de 2 ans de prison et 15 000 € d'amende. Alors la justice réagit et rapidement le parent qui n’a pas payé se trouve poursuivi… La Cour de cassation a d’ailleurs rappelé l’an dernier que la pension alimentaire devait être versée prioritairement à toute autre dépense, sous peine de sanctions pénales et qu’elles seraient exemplaires.

Malheureusement, un bon nombre de  parents, au bout du rouleau, parce que les non-représentations d'enfant n'ont cessé de s'accumuler en toute impunité, au mépris de la loi et de son application, ne sachant même plus ce qu'il en est de la vie de leurs enfants, ni même parfois où ils se trouvent, arrêtent (A tort) de verser la pension alimentaire, espérant ainsi qu'on va enfin s'intéresser à eux et à leur propre situation, leur calvaire.

Eh bien ce sont ces personnes-là qui seront de fait attaquées et même rapidement sanctionnées…! (Pouvant même être considérées comme coupables d'abandon de famille…!)

En 2020, l'Etat va même plus loin sur le dossier des pensions alimentaires puisqu’il a décidé de pourchasser plus encore les mauvais payeurs...!

Ainsi, "dès juin 2020, 350 nouveaux agents recrutés afin de lutter contre les impayés de pensions alimentaires seront opérationnels"... a précisé en cette fin février 2020, la Secrétaire d'Etat aux Solidarités, Madame Christelle DUBOS, ajoutant que l'objectif est d'avoir 100% de recouvrement et de "garantir le versement des pensions alimentaires, afin que les familles soient libérées de ce souci…"

Et pendant ce temps là, les non-représentations d’enfant continuent à se développer.

L’Etat n’a rien annoncé à ce sujet, l’Etat se tait, l’Etat préfère continuer, jusqu’à preuve du contraire, d’appliquer la politique de l'autruche.

Aujourd’hui, plus qu’hier, compte tenu des séparations parentales de plus en plus conflictuelles parmi lesquelles de plus en plus d’enfants se retrouvent pris en otage « psychologique et mental » par l’un des deux parents, les non-représentations deviennent, hélas, un grand classique, permettant ainsi au parent manipulateur, pervers et/ou toxique d’agir à sa guise, ayant le champ libre pour anéantir autant que possible la relation entre l’autre parent et ses enfants.

Ce grand classique est tel que les forces de Police et de Gendarmerie supposées enregistrer les plaintes pour non-représentation d’enfant (Puisqu’il y a délit avéré - jugement exécutoire non-appliqué) rechignent de plus en plus à le faire et refusent même, de plus en plus catégoriquement, de recevoir les victimes (Au mépris de la loi les concernant : Conformément à l'article 15-3 du Code de procédure pénale, tout commissariat de Police ou Gendarmerie de France est tenu de prendre les plaintes et ce, même si le domicile du plaignant ou les faits sont géographiquement éloignés.), se retranchant derrière des prétextes multiples mais essentiellement en se référant sur l’inutilité de la plainte puisque la justice ne fera rien et qu’elle s’en fout éperdument et cela se sait. Alors, dans ces conditions, recevoir ces victimes serait donc une perte de temps pour eux, à commencer de taper un procès verbal qui ne servira à rien et tant les Policiers que le Gendarmes se retranchent derrière le fait qu’ils ont bien d’autres chats à fouetter… !

Cela peut paraître surréaliste, et pourtant, c’est la stricte réalité vécue par des hommes et des femmes au fils des mois et des années, des parents bafoués dans leur droit fondamental à la vie familiale, mais aussi leurs enfants, pour lesquels la justice a pourtant ordonné le maintien de ce droit, par jugement exécutoire et ce, conformément à la loi (Code Civil), mais aussi aux conventions ratifiées par la France (A commencer par la Convention Européenne des Droits de l’Homme, Convention Internationale des Droits de l’Enfant).

Le plus effrayant, c’est que la réalité démontre également qu’à maintes reprises en matière judiciaire, une fois les plaintes (si elles ont été prises par l’officier de police ou de gendarmerie) transmises aux Procureurs de la République, qui ont le devoir de décider de l'opportunité ou non de lancer des poursuites, c'est-à-dire de donner suite ou non aux plaintes reçues pour la non-représentation d'enfant, qui rappelons-le, si elle est avérée est un indiscutable délit pénal au regard de la loi (Article 227-5 du Code pénal), le devenir de toutes les plaintes reçues est le plus souvent inexistant… !

il apparaît donc que les Procureurs de la République ont la fâcheuse tendance à classer sans suite les plaintes pour non-représentations d’enfant, que les plaignants n’en sont même plus avertis et que par conséquent, à leurs yeux, la perte du lien entre le parent et l’enfant ou les enfants victimes de tels délits de non représentation ne représentent donc visiblement pas un préjudice important, à leurs yeux, même si le jugement organisant la vie de l’enfant avec ses parents (Les droits de visite et d’hébergement, les rencontres médiatisées, la résidence alternée,…) est indiscutablement exécutoire !

C’est non seulement effarant, mais particulièrement avilissant et humiliant ! 

Faut-il alors, ou bien sinon faudra-t-il alors, instaurer un « quota » de plaintes pour pouvoir être enfin entendus et que la loi, elle-même soit enfin appliquée ? La question est posée !

Et pourtant, le préjudice de la non-représentation d’enfant est immense, tant sur le plan émotionnel et psychologique que relationnel et social, médical et même vital parfois. Le risque d’une aliénation parentale devient sérieux si le parent qui enfreint les jugements rendus a bel et bien décidé de réduire à néant, qui plus est impunément, la relation entre l’enfant et le parent anormalement et illégalement évincé.

Faut-il davantage de drames et de tragédies, de familles pulvérisées, réduites à néant, d’enfants devenus orphelins de mère ou de père alors que ceux-ci sont bels et bien vivants, mais illégalement rejetés, aliénés, d’enfants arrachés à leur patrimoine maternel ou paternel, sans que la Justice française n’intervienne rapidement, ni ne vienne prendre la moindre mesure qui, pourtant, s’impose ?!

Les services de la Police Nationale ainsi que ceux de la Gendarmerie Nationale, mais également les services de la justice, à commencer par les Procureurs de la République, puis les Juges, ne peuvent plus faire comme si tout allait bien…

"350 nouveaux agents recrutés afin de lutter contre les impayés de pensions alimentaires…" ! "Pour 100% de recouvrement et de garantir le versement des pensions alimentaires…"

A quand le recrutement de 350 magistrats et procureurs afin de lutter à 100% contre les non-représentations d'enfant ?

A quand l'application de la loi ?

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Une nouvelle enquête JM2P : Quelle réalité face à la non représentation d'enfant ?

L’association, dans sa nouvelle enquête auprès de ses adhérent(e)s a voulu se pencher, cette fois-ci, sur le vécu et les difficultés rencontrées pour déposer plainte auprès des services de Police et/ou de Gendarmerie face à la non représentation d’enfant(s) - La non représentation d’enfant étant un délit pénal (Article 227-5 du Code pénal) -.

Vous découvrirez les résultats de cette enquête qui parlent d’eux-mêmes et la réponse quant à la confiance faite auprès des services de Police et de Gendarmerie dans le cadre des non représentations d’enfant(s) est sans appel : 58% n’ont pas confiance, auxquels s’ajoutent 28% d’indécis. Ce n’est donc seulement qu'un total de 14% des personnes interrogées, ayant répondu, qui gardent confiance.  Ces chiffres viennent démontrer à quel point la situation est dramatique.

A la décharge de la Police et de la Gendarmerie, une bonne partie des personnes interrogées considèrent que ces deux services ne correspondent en réalité qu’à deux maillons de la chaîne judiciaire où l’ensemble de ses acteurs se trouvent impactés par une justice familiale (Comme, d’ailleurs, dans d’autres secteurs) totalement bancale, aujourd’hui grandement sclérosée, dépassée et manquant terriblement de moyens humains, matériels et financiers ; une justice devenue incompétente et broyeuse d’enfants, de parents, de familles.

Mais voilà, ce n’est pas parce que la justice est « malade » que ses divers et propres maillons ne doivent pas assurer le plus consciencieusement leur travail.

Il est inadmissible qu’un OPJ de Commissariat ou de Gendarmerie, où qu'elle se trouve, refuse de prendre la plainte d’une victime de non-représentation d’enfant (mineur) alors que la loi elle-même qualifie cet acte de non-représentation d’infraction et par conséquent de violation de la loi ! (Conformément à l'article 227-5 du Code pénal)

Les enfants ont besoin de leurs deux parents. Toutes les conventions, qu'elles soient européennes et internationales, mais aussi les lois le reconnaissent, à commencer par notre loi Française dite du 4 mars 2002 relative à l’autorité parentale. Par conséquent leurs droits doivent être, coûte que coûte, protégés et appliqués. La non-représentation d’enfant ne sanctionne pas simplement le parent et la famille de ce parent, mais aussi et avant tout l'enfant.

Les enfants sont de plus en plus pris à partie dans les conflits conjugaux ils n’ont pas y se retrouver à cette place. Aujourd’hui, plus de 40 % des requêtes aux Juges des enfants ont pour cause un conflit entre les parents, c’est énorme ! Et les délais d’audience auprès des Juges aux Affaires Familiales ne cessent de s’allonger. Plus les incidents violents dans les familles se multiplient et dans le même temps plus les allégations mensongères s'accumulent. afin de bloquer autant que possible les relations entre les enfants et les parents faussement accusés de tous les maux de la Terre. Alors quand un jugement existe, qu’il est exécutoire, tout doit être mis en œuvre pour l’appliquer.

Les services de Police et de Gendarmerie, saisis d’une violation de jugement, en l’occurrence par le biais d’une non-représentation d’enfant, ne doivent en aucun cas la prendre à la légère, allant même jusqu’à s’en débarrasser en envoyant, par exemple, purement et simplement balader les victimes, ou bien même ne proposer qu’une simple main courante suite à l’insistance des victimes, sachant parfaitement que la main courante ne mettra en marche aucune action de la part des forces de police et ensuite des autorités de justice, ni même la moindre information adressée au Procureur de la République.

Un tel comportement est contraire à la loi. C'est même une faute inadmissible : Article 15-3 du Code de procédure pénale - Modifié par la loi n°2019-222 du 23 mars 2019 - art. 42.

Pour en savoir plus et prendre connaissance de cette enquête et de ses résultats, cliquez sur le lien : Questionnaire n5 - NRE police et gendarmerieQuestionnaire n5 - NRE police et gendarmerie (9.47 Mo)

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Au premier semestre 2020 : Des méthodes pour lutter contre l’exclusion et l’aliénation parentale. La France devrait s’en inspirer (Exemples de l’Allemagne et de la Grande-Bretagne)…, plutôt que de se complaire dans un insupportable immobilisme, préférant sacrifier enfants et familles ! Cela suffit !

Dans les ruptures familiales, les enfants, quel que soit leur âge, doivent malgré tout se séparer de leur père, et de leur mère, alternativement, selon l’organisation des droits de visite et d’hébergement ou de la résidence alternée, mais irrémédiablement.

Il n’empêche que le lien doit être maintenu et même si physiquement les enfants ne se retrouvent que plus ou moins rarement en présence de leurs deux parents (tout du moins ne vivant plus avec les deux parents sous le même toit). Mais les séparations conflictuelles de plus en plus nombreuses tendent à malmener et même à détruire le lien entre un parent et ses enfants parce que l’autre parent en a décidé ainsi sans se soucier un seul instant du bien-être et de l’équilibre psychoaffectif des enfants soudainement devenus, inhumainement et même souvent illégalement, orphelins de mère ou de père (Alors que leurs parents injustement éradiqués sont bel et bien en vie).

Face à ces situations d’exclusion parentale, d’aliénation parentale, représentant de terribles abus psychologiques, à commencer sur les enfants devenus otages, compte tenu de l’emprise mentale subie, des manipulations psychologiques et chantages exercés sur eux, la justice française apparaît clairement inactive le plus souvent, incohérente et démontre trop souvent un manque évident de professionnalisme de la part de ses acteurs (Par manque de moyens et de formations, d’incohérence et de courage) mais aussi par manque de volonté à agir, contrairement à d’autres pays à travers le monde, y compris en Europe.

Ainsi, la France et son système judiciaire ne cherchent même pas à comprendre le fonctionnement d’autres modèles européens…  Tels que celui venu d'Allemagne (Le « modèle de Cochem ») et les mesures prises en Grande-Bretagne depuis le printemps 2018...

Pour en savoir plus, cliquez sur ce lien : A la UNE ce semestre (2019 -.)

Justice nr2

Affiche noel 2019

JEUDI 5 DECEMBRE 2019 : L'ASSOCIATION "J'AIME MES 2 PARENTS" MISE À L'HONNEUR À LILLE...

François Scheefer, Président de l’association a été mis à l’honneur lors de la 5ème cérémonie des trophées de l’engagement de la Ville de Lille. Il a reçu ainsi que d’autres membres d’associations diverses, des mains de Martine AUBRY, Maire de LILLE et de Franck GHERBI, Maire d’HELLEMMES, le trophée de l’engagement.

François Scheefer : « Cette mise à l’honneur est avant tout celle de notre association « J’aime mes 2 Parents ». Je la dédie à l’ensemble des victimes de l’exclusion parentale, de l’aliénation parentale: Enfants, parents, grands-parents, familles injustement et inhumainement évincés de leur légitime vie familiale. Que chacune et chacun garde l’espoir, l’exclusion parentale n’est pas une fatalité et doit être combattue avec ardeur.»

20 NOVEMBRE : JOURNÉE INTERNATIONALE DE L'ENFANT ET DE SES DROITS... 

Le 20 novembre 2019 : C’est le 30ème anniversaire de l’adoption de la Convention relative aux droits de l’enfant (CIDE). Or, si ce texte international est aujourd’hui le plus ratifié au monde, de nombreux droits de l’enfant peinent encore à être respectés en France. Lorsque l'on pense aux droits des enfants bafoués, on pense immédiatement aux pays pauvres, en guerre, dévastés par de multiples catastrophes naturelles ou autres. Et pourtant, à travers le monde les enfants et leurs droits se trouvent confrontés à de multiples violations. Et là, la France n'y échappe pas. Hélas ! Car s'il y a bel et bien un secteur où les droits de l'enfant peuvent être quotidiennement bafoués, chez nous,  sans que cela n'émeuve les pouvoirs publics ni même nos gouvernants, c'est bel et bien le nombre grandissant d’enfants et d’adolescents qui, compte tenu d'une justice trop souvent désœuvrée, sclérosée, manquant de formation et de moyens financiers et humains sacrifie des milliers d'enfants et d’adolescents pris dans la tourmente du divorce conflictuel de leurs parents. Plus les divorces et les séparations parentales apparaissent particulièrement conflictuels, plus les enfants et les adolescents pris en otage trouvent leurs droits bafoués jour après jour, mois après mois, année après année... Disparition de l’un des deux parents en cas d’aliénation parentale, mais aussi de tous les ascendants rattachés au parent injustement, illégalement, et dans tous les cas, inhumainement évincé.

JM2P prend la parole sur Grand Lille TV :

JM2P a saisi non seulement les autorités compétentes (Y compris plusieurs rencontres ministérielles), mais également le Défenseur des Droits, le Haut Commissariat aux Droits de l'Homme et par conséquent de l’Enfant. Les parents se mobilisent. Non à l'aliénation parentale ! Non à l'exclusion parentale !

Voici la lettre proposée  (fichier pdf ci-dessous), prête à être imprimée que vous pouvez ainsi compléter avec vos coordonnées, votre signature et à adresser à l'Elysée, au Chef de l'Etat. Envoyez-la, faites-la envoyer également par les membres de votre famille, par vos amis, collègues et connaissances. Votre courrier complété est donc à adresser à : Monsieur le Président de la République - Palais de l'Elysée - 55, rue du Faubourg Saint-Honoré - 75008 PARIS. - inutile d’affranchir votre lettre lorsque l’on s’adresse au Président de la République - 

Lettre commune a destination du president de la republique e macron 2019 20Lettre commune a destination du president de la republique e macron 2019 20 (126.67 Ko)

Chaque enfant a besoin et a droit à ses 2 Parents. Des tracts sont également distribués sur les marchés en ce mois de novembre 2019 (Vous trouverez ci-dessous la maquette du tract que vous pouvez imprimer et distribuer sur les marchés après en avoir informé l'association : JM2P@outlook.fr).

Tract jm2p 20 novembre 2019Tract jm2p 20 novembre 2019 (355.35 Ko)

De leur côté, les grands-parents, victimes collatérales directes des ces situations d’exclusion, manifesteront afin de médiatiser le droit de l'enfant, en cas de séparation ou de divorce, de voir autant ses deux parents et donc, ses grands parents.Tous les grands parents sensibles à ces situations sont invités à rejoindre cette marche avec des poussettes vides, des peluches, des ballons gonflables... Le rendez vous est prévu à 14h00 à Paris, à l'angle de la rue Danielle Casanova et de la rue de la Paix (au nord de la place Vendôme) à 500 m des Tuileries. Le rendez-vous au jardin des Tuileries est annulé par la Préfecture.

François Scheefer, Président de l'association "J'aime mes 2 Parents" : « Nul n’a le droit de laisser tomber les dizaines de milliers, les centaines de milliers, voire les millions de victimes de l'exclusion, enfants et adultes, toutes et tous citoyens « fracassés » et oubliés de la République ! »

Affiche 20 novembre 2019

NOVEMBRE 2019 : RENCONTRES MINISTÉRIELLES.

Les entretiens auprès du Ministère de la Justice et du Ministère de la Santé et des Solidarités, plus particulièrement dans le cadre de la Protection de l’Enfance, ont permis de faire prendre conscience de l'inquiétante augmentation des situations d'exclusion parentale, des manipulations psychologiques et de situations d'emprise mentale exercées sur l'enfant afin d'empêcher l'un des deux parents d'exercer son rôle parental, mais aussi de maintenir le lien avec l'enfant en toute violation des principes de l'autorité parentale conjointe définis par la loi du 4 mars 2002. Et plus largement encore, cette exclusion entraîne également celle des autres membres de la famille du parent arbitrairement et iniquement évincé.

Or l'augmentation des séparations et divorces particulièrement conflictuels n'a cessé de progresser ces dernières années. La dégradation de la situation sociale, les difficultés du quotidien et le climat social particulièrement tendu n'ont qu'accentué les conflits intra-familiaux où l'enfant se retrouve alors, bien malgré lui, pris en otage au cœur même du conflit de ses parents, qui, pourtant, ne devrait en aucun cas, le concerner.

Rappelons que « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent ». Article 373-2 du Code Civil.

Ces rencontres ont permis de prendre davantage conscience de ces situations. Etant moins nombreuses que les séparations dites « normales » ou tout du moins apaisées, les séparations ultra-conflictuelles (Environ 20% aujourd'hui) entraînent pourtant de nombreux drames affectant des millions de personnes chaque année et les institutions Françaises ne sont clairement pas capables aujourd'hui, dans une très large majorité, d'y remédier.

Il a été particulièrement important de rappeler que ces situations vécues ne sont en aucun cas liées à une question de genre. En ces temps où médiatiquement la société apparaît essentiellement focalisée sur les violences (physiques) faites aux femmes, il est extrêmement important de souligner que les situations d'exclusion parentale ne suivent pas ce même schéma. Dans tous les cas l'enfant est évidemment la première victime.

Quant aux parents toxiques, ils peuvent être autant mères que pères tout comme leurs victimes (en dehors des enfants). Notre association le représente et le démontre chaque année. Selon les années nous recevons et récoltons des adhésions oscillant entre 46 et 54 % de femmes et de 46 à 54% d'hommes.

De même, ces situations d'exclusion revêtent bien entendu une autre forme de violence que celle amplement débattue dans les médias à propos des violences conjugales et/ou faites aux femmes. Il s'agit là de violences psychologiques. Or, de nombreuses instances internationales ont bel et bien déclaré que l'aliénation parentale est une violence psychologique grave et s'apparente à un abus psychologique particulièrement sérieux.

Ces prises de conscience établies, tant du côté de la justice que du côté de la Protection de l'Enfance, une conclusion s'impose, celle d'une mise en chantier de discussions et de propositions interministérielles.

Ces passerelles entre Ministères vont d'ores et déjà pouvoir débuter par l'intermédiaire des Conseillers que l'association vient de rencontrer. Ces conseillers vont, dès que possible, faire remonter auprès de leurs Ministres respectifs, à la fois le fruit du travail présenté par l'association, les résultats des enquêtes établies auprès des adhérents, mais également les propositions faites, à la fois concrètes et pertinentes.

Ensuite, pourra alors débuter un réel travail interministériel au cours duquel les principaux acteurs en charge des affaires familiales dans le cadre de la séparation et du divorce pourront apporter leurs propres observations et faire part de leurs besoins pour que l'enfant puisse maintenir le lien avec ses ascendants (A commencer avec ses parents) conformément à ses droits fondamentaux, mais également protéger comme il se doit les droits et les obligations des deux parents conformément à la loi.

En cas de difficultés et tout particulièrement face aux situations d'emprise psychologique et de manipulations mentales, les familles devront pouvoir être accompagnées et suivies en tant que victimes et les responsables d'une telle emprise devraient être recadrés, mais également accompagnés et suivis afin de retrouver le droit chemin. Cela implique l'intervention de professionnels à la fois formés et préparés à ces situations d'exclusion et d'aliénation parentales.

Les constats de ce jour démontrent clairement qu'il y a urgence à agir, mais pour cela, le chemin sera long. Il faudra effectivement passer par une réforme de la justice dans ce domaine (Auprès des magistrats, mais également des avocats) mais aussi développer un travail d'importance de formation et de suivi de formation auprès des professionnels de la santé, du secteur consacré à la psychologie, mais aussi auprès des travailleurs sociaux. Il y a une importance considérable à ce que de véritables passerelles, de véritables collaborations pluridisciplinaires soient établies, mais aussi appliquées.

Sans ces passerelles, rien ne pourra être mené à bien et le nombre des victimes ne cessera, hélas, de continuer sa progression.

 

Francois scheefer aux ministeres 05 11 2019

 

 

L'EXPERIENCE  VECUE PAR DE NOMBREUX ADHERENTS "JM2P" AVEC LES AVOCATS (Résultats de l'enquête). 

 

Les résultats de l’enquête réalisée cette fois entre le 2 septembre et le 6 octobre 2019 par l’association « J’aime mes 2 Parents », faisant suite à celle menée sur l’expérience vécue auprès de juges en juin dernier, vient compléter l’urgence de réformer la justice familiale de notre pays face au conflit parental de plus en plus conséquent lors de la séparation, impliquant de plus en plus de situations d’aliénation parentale.

 

Aujourd’hui, la séparation conflictuelle engendrant des situations d’aliénation parentale reste, malheureusement, une problématique bien trop souvent méconnue par un bon nombre d’avocats. Certes « techniciens » du divorce, ces avocats n’imaginent pas à quel point le conflit, qui plus est, lorsque l’enfant se retrouve malgré lui manipulé au sein de celui-ci, change totalement la donne par rapport à un divorce que nous appellerons « classique » (Même si chaque divorce a ses propres caractéristiques).

L'avocat apparaît comme étant un juriste dont les fonctions traditionnelles sont de conseiller, représenter, d'assister et de défendre ses clients en justice, en plaidant pour faire valoir les droits de leurs clients et, plus généralement, pour les représenter. Dans ces conditions, son image de professionnel apparaît évidente aux yeux de celles et ceux qui font appel à lui.

Mais, il est alors essentiel, qu’en tant que spécialiste du Droit de la Famille, les conflits violents et l’aliénation parentale ne devraient plus avoir de secrets pour lui et ces questions devraient, coûte que coûte, être abordées sur l’ensemble du territoire de la République lors de son cursus universitaire afin de devenir juriste. A ce jour, il n’en est rien…

 

L’avocat doit avoir un rôle pédagogique réel afin que la personne qui le sollicite ait pleinement conscience des enjeux de l’affaire engagée. Son attention, son écoute, la maîtrise de la situation sont des éléments primordiaux.

Aussi, compte tenu d’une formation qui n’est plus adaptée, le droit à la Famille doit urgemment prendre en compte  tout le volet psychologique au sein-même des études, un volet devenu amplement indispensable.

A ce jour encore, la formation des avocats relative l’emprise mentale, de la violence psychologique, de l’aliénation parentale (terme admis internationalement) demeure inexistante, voire très exceptionnelle. Bien peu comprennent alors l’ampleur de la violence connue et subie et ses conséquences dramatiques pour l’enfant, première victime mais aussi pour le parent aliéné qui n’apparaît être, le plus souvent, qu’un simple client aux yeux de l’avocat.

 

Le côté particulièrement mercantile apparaît lui aussi en bonne position dans les observations faites par celles et ceux qui ont répondu à notre enquête. Certains parlent même de « businessman » en faisant référence à leur avocat. Il faut clairement que les avocats comprennent que leurs clients peuvent être amenés à se sacrifier eux-mêmes sur le plan financier pour tenter de sortir du cauchemar de l’aliénation parentale et de ses conséquences dans lequel ils ont été plongés, souvent bien malgré eux, et qu’ils sont prêts à tout pour sauver leur(s) enfant(s), à tout, même jusqu’à s’endetter lourdement…

Les dépenses liées à la multiplication des procédures lors de la séparation et/ou du divorce conflictuels sont intrinsèquement, rattachées aux frais d'avocats, auxquels viennent s’ajouter les frais de justice, dépens, frais d’huissiers, frais d’expertises, …

Malheureusement, certains avocats n'hésitent pas à présenter des honoraires particulièrement élevés invoquant la difficulté du dossier compte tenu de l’importance du conflit parental, d’un temps considérable à comprendre le dossier et à le préparer…

Et c’est ainsi qu’on entend de plus en plus souvent que les séparations parentales et les divorces font marcher le commerce… ! Et plus les séparations deviennent particulièrement conflictuelles, plus cela va multiplier les procédures, plus celles-ci dureront dans le temps et plus cela permettra d’actionner le tiroir caisse à maintes et maintes reprises...!

Il y en a même qui iront jusqu’à dire qu’on a intérêt à jeter de l'huile sur le feu pour que le feu dure aussi longtemps que possible. « Ce feu immonde c'est le gagne-pain de l’avocat… ! » Jean-Lucien HARDY, fonctionnaire européen.

 

En plein désarroi, déstabilisé et sous le choc émotionnel de la séparation, du devenir des enfants et de leur possible maltraitance psychologique, le client est déjà au bord du gouffre. Son avocat, supposé être son allié, ne devrait pas et ne doit pas l’y plonger plus encore. Sans excès de philanthropie, l’avocat doit trouver la juste mesure afin de ne pas, financièrement, accabler plus encore, son client déjà bien englouti au cœur du conflit du divorce et même de l’aliénation parentale lorsque celle-ci est présente.

Pour éviter les frustrations il faut informer le client dès le premier rendez-vous du moyen de communication le plus propice pour se joindre et à quels horaires.

De même, il faut absolument éviter que le client ait la nette impression que son avocat ne lui répond jamais, ni à ses appels, ni à ses messages, car très vite le client est persuadé que son avocat ne travaille en aucun cas sur son affaire.

Expliquer, échanger sont deux clés supplémentaires à ne pas négliger. L’avocat ne devrait pas non plus se montrer capable et bien informé face à des problèmes tels que l’aliénation parentale, s’il ne l’est pas. Soyons honnêtes !

Chaque client doit se sentir unique et il veut se sentir considéré comme tel, et une compréhension mutuelle doit ainsi pouvoir perdurer tout au long du processus engagé.

Ainsi, bien des frustrations, des incompréhensions, des quiproquos, du mécontentement et le possible sentiment d’abandon pourront être plus facilement évités, sinon gommés.

 

Tout comme pour les juges, les avocats, y compris ceux de la partie adverse, ne sont pas là pour broyer les familles, mais tout au contraire ils doivent, avant tout, les accompagner et penser également à l’enfant et à ses souffrances mais aussi à son avenir dans un esprit apaisé et de coparentalité, une coparentalité qui doit être fondamentalement mise en application (sauf, bien entendu, s’il s’avère que cela serait contraire aux intérêts mêmes de l’enfant).

Tous les résultats de cette enquête et leur analyse sont disponibles en cliquant sur ce lien : Resultats du questionnaire jm2p a propos des avocats octobre 2019Resultats du questionnaire jm2p a propos des avocats octobre 2019 (7.71 Mo)

 

Capture avocats

 

La majorité présidentielle a mis en ligne sur Internet une page intitulée « Parlement Ouvert - Groupe LaREM » qui permet de poser une question au Gouvernement sur un sujet qui préoccupe. Voici ce que JM2P a adressé :

Les séparations conflictuelles ne cessent de progresser, laissant s’installer de plus en plus de situations d’aliénation parentale, de violences et abus psychologiques graves, à commencer sur les enfants, mais aussi sur la famille maternelle ou paternelle de l’enfant…

Pourtant, au XXIème siècle, il ne devrait déjà plus exister et il ne doit plus exister des orphelins de mère, des orphelins de père, pourtant toutes et tous bel et bien vivants, parce que l’un des deux parents en a décidé ainsi, parce que d’autres peuvent les laisser tomber. De plus en plus de pays à travers le monde s’organisent pour tenter d’y remédier. Chez notre voisin britannique, des règles ont été instaurées et une clinique dédiée à la lutte exclusive contre l’aliénation parentale et ses terribles conséquences travaille depuis des années maintenant à Londres.

A ce jour, en France, plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) ont totalement perdu le contact avec l’un de leurs deux parents (majoritairement avec leur père) et plus de 2,5 millions d’enfants voient rarement l’un ou l’autre de leurs deux parents (Pour plus de ⅔, il s’agit de leur père) – Pour une population totale de 14,5 millions d'enfants (< à 18 ans) - (INSEE-2018).

Cela représente, à ce jour, quasiment un quart des enfants impactés ; et malheureusement ce chiffre n'a cessé de progresser au fil des ans, plus encore sur cette dernière décennie.

La Cour Européenne des Droits de l'Homme a déjà condamné plusieurs Etats compte tenu de l’absence de réaction et de la perte de temps opérées par la justice, laissant ainsi s’installer l'emprise psychologique sur l’enfant, entraînant une aliénation (exclusion) parentale de plus en plus sévère. La CEDH a légitimement reconnu la violation de l'article 8, relatif au droit fondamental à la vie familiale.

Des tribunaux Français ont également condamné des situations d’aliénation parentale, y compris en Correctionnelle (TGI de Lyon du 01.09.2015). Et pour cause, l’aliénation parentale est un abus psychologique grave reconnu internationalement, c’est un délit.

De son côté, l'Organisation Mondiale de la Santé a parfaitement compris ce que peut représenter l’aliénation parentale et ses conséquences dévastatrices et a pu se pencher durant des années sur les nombreuses publications cliniques et scientifiques, parues depuis de nombreuses années, affinant même les résultats des recherches pratiquées au fil du temps. C’est ainsi que l'O.M.S. a décidé le 25 mai dernier d'indexer officiellement l’aliénation parentale dans sa onzième révision de la Classification statistique internationale des maladies et des problèmes de santé connexes (CIM-11), en l’associant au code « QE52.0 » se rapportant aux pathologies relatives au problème de relation "parent-enfant".

Dans ces conditions, qu’entend faire la France pour non seulement prendre en compte ces situations de plus en plus nombreuses d’aliénation parentale qui ne sont, d’ailleurs, en rien une question de genre (Il y a autant de mères que de pères qui peuvent se rendre coupables de violences psychologiques et de manipulations psychologiques sur les enfants afin de tenter coûte que coûte de se les approprier) ?

Quand la France va-t-elle reconnaître le statut de victime pour l’enfant victime d’aliénation parentale, tout comme pour le parent injustement écarté, rejeté à tort compte tenu de l’emprise mentale exercée sur l’enfant par le parent aliénant et collatéralement pour d’autres membres familiaux tout autant évincés (A commencer par les grands-parents) ?

Quand, la France, prendra-t-elle les mesures nécessaires pour empêcher et lutter face à ces situations d’emprise et de manipulations psychologiques (Aliénation parentale) particulièrement développées lors des séparations parentales conflictuelles ?

Quand, la France, prendra-t-elle et appliquera-t-elle des mesures efficaces pour stopper les actions néfastes des parents aliénants, accumulant aisément les non-représentations d’enfant en toute impunité, bafouant le principe de coparentalité et d’autorité parentale conjointe, ne se privant pas de dénonciations calomnieuses en toute impunité et de développer des situations destructrices d’emprise psychologique ?

Concerne en premier lieu :

- Madame la Ministre des Solidarité et de la Santé,

- Madame la Ministre de la Justice,

- Monsieur le Secrétaire d’Etat en charge de la Protection de l’Enfance.

Chaque mois, ce sont donc des questions sélectionnées notamment parmi celles les plus discutées sur cette page que les Députés du groupe porteront aux membres du Gouvernement concernés afin d’obtenir des réponses.

C’est dans cette démarche que nous conseillons à vous tous, mais aussi à tout votre entourage et à vos connaissances, de porter la question que vous souhaitez poser à propos de l'aliénation parentale, via cet outil informatique.

Plus nous serons nombreux, plus nous aurons la possibilité d'être entendus et compris et d’obtenir également des réponses. Merci à toutes et à tous !

N’oubliez pas de faire figurer les mots « aliénation parentale » dans le titre de votre question.

L’adresse du lien pour vous connecter : https://questions.parlement-ouvert.fr/group/4

La deuxième phase de cette opération consiste à débattre sur l’une des questions proposées et récolter un maximum de réaction sur cette question. Alors, n’hésitez pas à apporter votre contribution sur la question proposée, participez au débat, faites participer vos amis, votre famille, vos collègues pour que nous ayons un maximum de réactions sur la question posée.
Si la question sélectionnée que nous proposons fait partie des plus discutées sur le site, les Députés du groupe porteront le sujet aux membres du Gouvernement concernés afin d’obtenir des réponses.


Par conséquent, merci de bien vouloir commenter et/ou apporter vos observations relatives à la question suivante : https://questions.parlement-ouvert.fr/post/1020

 

Nous comptons sur vous, toutes les victimes de l’aliénation parentale (Enfants, parents, grands-parents et autres victimes collatérales) comptent sur vous. Merci.

 

 

M2s breaking news

 

L’Organisation Mondiale de la Santé a définitivement validé la onzième révision de la Classification statistique internationale des maladies et des problèmes de santé connexes (CIM-11). En indexant l’aliénation parentale au sein de le CIM-11, l’O.M.S. renvoie celle-ci au problème de santé mentale se rapportant aux pathologies relatives au problème de relation "parent-enfant".

 

Les États membres de l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) ont définitivement adopté le 25 mai 2019 la onzième révision de la Classification statistique internationale des maladies et des problèmes de santé connexes (CIM-11) qui fut proposée le 18 juin 2018. Elle entrera internationalement en vigueur dès le 1er janvier 2022. Celle-ci inclut l’aliénation parentale dans son Index en l’associant au code « QE52.0 » se rapportant aux pathologies relatives au problème de relation "parent-enfant"qui s’apparentent à un problème de santé mentale.

 

L’O.M.S., devant les multiples apports et preuves scientifiques venues du monde entier n’a pas cédé à la pression, ni aux vagues de désinformation et de fausses nouvelles relatives à l'aliénation parentale, lancées par quelques groupes idéologiques et politiques, incluant des groupuscules ultra-féministes ou bien encore quelques olibrius (Y compris en s’attaquant au quotidien régional « La Voix du Nord »). Ils ne lâchent pas et pourtant ces détracteurs n'ont aucune objectivité face à la réalité confortée par de plus en plus d'études scientifiques les plus rigoureuses qui soient.

 

Tout comme au siècle dernier pour la reconnaissance de l'autisme, il faudra peut-être envisager cette même bataille, mais cette fois-ci en faveur de la reconnaissance pleine et entière de l'aliénation parentale, y compris son inscription au sein de la prochaine version du manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux ; même si les deux causes sont très différentes.

La science ne cesse d'avancer, de progresser et les publications renforcent, plus encore, année après année, la véracité et l'exactitude que représente, scientifiquement et cliniquement, l'aliénation parentale, ses conséquences et l'urgence de la combattre coûte que coûte.

 

Pour accéder à l’article complet, cliquez sur ce lien :  A la UNE ce semestre (2019 -.)

 

 

Agir 3

 

L'EXPERIENCE  VECUE PAR DE NOMBREUX ADHERENTS "JM2P" AVEC LES JUGES (JAF et JE) - Résultats de l'enquête -. 

 

Les résultats de l’enquête réalisée entre le 9 juin et le 12 juillet 2019 par l’association « J’aime mes 2 Parents » sont particulièrement éloquents et viennent rappeler, une fois encore, l’urgence de réformer le système judiciaire, de former les juges, à commencer par les juges aux affaires familiales qui apparaissent pour beaucoup comme étant incapables de comprendre la situation, d’apporter une écoute et une patience pourtant requises dans le domaine, de prendre les moyens qui s’imposent pour comprendre les drames qui se jouent (considérant trop souvent qu’ils/qu’elles n’ont pas besoin d’aide extérieure, à commencer par celle des experts) et donnent la redoutable impression de fonctionner en mode « robot » en mode « copié-collé » d’une affaire à l’autre, sans réaliser, en fait, un seul instant, la détresse humaine qui se trouve face à eux / à elles, celle des parents, mais aussi et avant tout, celle des enfants.

 

Ces résultats rappellent également l’urgence de rendre véritablement les différents intervenants responsables de leurs décisions devant être rendues en toute impartialité, avec compétence, courage et vertu (Tels que les juges aux affaires familiales, les juges des enfants, les experts, les médiateurs, les éducateurs et les personnels en charge des AEMO, les services sociaux, etc…), qu’ils les justifient et prennent à la fois le temps de l’échange, celui des explications et la volonté d’apporter toute l’aide nécessaire pour mettre fin aux souffrances, aux abus et injustices vécus de manière beaucoup trop importante à ce jour.

 

De même, les moyens financiers, les formations nécessaires et une véritable et efficace professionnalisation des juges sont devenus plus que nécessaires, dès maintenant, et même impératifs. Cette justice familiale d’aujourd’hui, à la fois sclérosée et visiblement dépassée, est devenue une patiente en pleine décrépitude, pour ne pas évoquer son agonie… !

 

Rappelons enfin que ces magistrats possèdent entre leurs mains l’avenir de l’enfant, mais aussi l’avenir de la famille de l’enfant, famille qui doit, coûte que coûte, demeurer maternelle et paternelle pour l’enfant, sauf bien entendu si cela était contraire à son intérêt supérieur. L’enfant a besoin de ses deux parents.

 

Tous les résultats et leur analyse sont disponibles en cliquant sur ce lien : Résultats du questionnaire jm2p à propos des juges - juillet 2019Résultats du questionnaire jm2p à propos des juges - juillet 2019 (4.97 Mo)

 

Justice bis

 

L’ensemble de ces résultats et les commentaires qui en découlent ont été transmis au groupe d’études contre les violences intra-familiales au sein de l’Assemblée Nationale. JM2P attend ses observations et les mesures qui pourront être prises afin de faire entendre cette urgence de non seulement apporter les modifications au sein de la loi afin de lutter efficacement contre la manipulation et l’emprise mentales (aliénation parentale) pouvant être exercées par l’un des deux parents lors de séparations et/ou divorces particulièrement conflictuels (comme demandées durant l’audition de notre président, François Scheefer, le 2 avril dernier) mais également de faire prendre conscience auprès de l’exécutif de  l’extrême urgence de réformer le système judiciaire.

 

Im justice bis 1

 

 

LE CLIP MONDIAL 2019 : 33 PAYS UNIS LE 25 AVRIL DERNIER AFIN DE DENONCER L'ALIENATION PARENTALE ET SES RAVAGES.

 

33 pays se sont unis ce 25 avril 2019 pour dénoncer les terribles conéquences de l'aliénation parentale et faire prendre conscience à tous : Aux Chefs d'Etat, aux gouvernements, aux élus, aux magistrats, aux médecins, aux psychologues, aux travailleurs sociaux, ..., aux citoyennes et citoyens du monde, que ce terrible abus psychologique est non seulement dévastateur, mais aussi et avant tout, qu'il doit être combattu, coûte que coûte, compte tenu des millions de victimes qu'il engendre. 

 

Le clip mis en ligne et diffusé à travers le monde depuis le 18 juillet 2019 (Cliquez et allez sur Youtube - diffusion via Youtube) :

 

 

 

♦ CLIN D'ŒIL : " JM2P " PORTÉE SUR LA PLUS HAUTE CIME D'EUROPE PAR UNE ADHÉRENTE : DESTINATION MONT BLANC. 

- 4.809 mètres - Mercredi 19 juin 2019 - 

 

" Monter là-haut, c'était porter le combat contre l’aliénation parentale au plus haut, sur le toit de l'Europe.

Cette ascension fut difficile : La fatigue, la douleur, le froid, le manque d oxygène, …, mais ce n’est rien, en réalité, à côté de ce que l’aliénation parentale peut détruire.  Rien de comparable en terme de douleur et d’injustice.

Une fois redescendue j’ai reçu les compliments de la part de ma famille, des amis... Mais "mon sommet", ma victoire, ne sont pas là. Car le sommet qui réjouira mon cœur est celui de revoir ma fille et de maintenir le lien avec mes fils…

Aucune sommet n’est plus dur que celui de lutter contre l’aliénation parentale ! "

 

Lucie CLÉMENT – Adhérente JM2P (Doubs)

 

Bravo et merci Lucie d'avoir porté notre légitime cause, notre combat, au sommet de l'Europe ! 

 

Combien de milliers d’enfants se sentent soudainement abandonnés par l’un de leurs deux parents alors qu’en réalité ils ne le sont pas, mais en fait ils sont tout bonnement écartés injustement et illégalement, manipulés ou bien encore dominés par une emprise psychologique délétère menée par l’autre parent (aliénant, manipulateur, menteur, pervers narcissique) afin de détruire la relation ?

Combien de mères et de pères, de grands-parents et autres membres familiaux se sentent tout aussi désemparés, ravagés par l’injustice, désespérés et même anéantis par les mêmes causes ? (Des adultes n’ayant rien fait de mal mais que le parent "aliénant", manipulateur, menteur, pervers narcissique, cherche à abattre !)

Qui oserait encore venir nier que l’aliénation parentale n’est pas un abus gravissime ? Tout enfant victime doit être urgemment protégé ! Les adultes aliénés souffrent tout autant de problèmes aussi sérieux et méritent également le statut de victime et obtenir protection.

 

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LA VOIX DU NORD - SAMEDI 1er JUIN et LUNDI 3 JUIN 2019 :

 

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LA FÊTE DES MÈRES ET CELLE DES PÈRES TOUJOURS DOULOUREUSE EN CAS D'EXCLUSION PARENTALE.

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UNE ABERRATION DE PLUS DE LA PART DE NOS GOUVERNANTS...

 

Des parents refusent, à tort, de régler la pension alimentaire. Un bon nombre d’entre eux correspond à des parents perdus, démunis parce que victimes d’exclusion et d’aliénation parentales, ne sachant même plus où se trouvent leurs enfants, ce qu’ils deviennent. Ces parents, bel et bien, victimes d’une profonde injustice (mais aussi d’une profonde violation de leurs droits pourtant fondamentaux rappelés par la Convention Européenne des Droits de l’Homme que, dans ces conditions, la France bafoue au quotidien) espèrent (à tort) ainsi punir l’autre parent qui empêche tout contact avec leurs enfants et cherchent ainsi à l’atteindre, à l’obliger de réagir.

Le non-paiement de la pension alimentaire est un délit.

Mais qu’en est-il des ces centaines de milliers de parents qui ne respectent pas les jugements relatifs à l’autorité parentale conjointe, à l’application de la résidence en alternance, de l’application des droits de visite et d’hébergement ? Ces non respects sont également des délits baptisés « Non-représentation d’enfant ».  La non représentation d'enfant est un délit !

Or, la réalité démontre que les non-représentations d’enfant demeurent tant de fois lettre morte, certains services de Police et de gendarmerie refusent même aujourd'hui de les enregistrer, les Parquets se taisent et/ou classent sans suite, alors, dans ces conditions, il faut une énergie colossale pour qu’enfin un parent puisse espérer être entendu et reconnu comme étant victime. Comment ne pas exprimer leur colère face à tant d’impunité et d'injustice ?

Le Gouvernement s’attaque au délit de non-paiement de la pension alimentaire, très bien ! Car la situation n’est pas acceptable.

Mais que fait-il du délit de non-représentation d’enfant ?

Dans de nombreux cas, l’un ne va pas sans l’autre… ! Honte au Gouvernement s’il ne fait rien.

 

Justice nr et pa

 

LA XIVème JOURNÉE INTERNATIONALE CONTRE L'ALIÉNATION PARENTALE.

 

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JEUDI 25 AVRIL 2019 - Thursday April 25th :

C'était la journée mondiale contre l'aliénation parentale

et pour le maintien du lien parental !

This was the International day against parental alienation !

 

Où avez-vous retrouvé un message attaché à un ballon bleu biodégradable ?

Merci de nous le dire. 

Where did you find a message tied on a blue biodegradable balloon ?

Please let us know. Thank you.

Contacter l'association : JM2P@outlook.fr

 

LE PREMIER BALLON A ÉTÉ TROUVÉ AUX PAYS-BAS, AU NORD DU PAYS A !

THE FIRST BALLOON HAS BEEN FOUND IN THE NORTH OF NETHERLANDS !

 

NOMBRE DE BALLONS RETROUVÉS : 25 - Mis à jour le 17 mai à 17:00.

NUMBER OF FOUND BALLOONS : 25 - Updated on May 17th at 17:00. 

7 ballons en Belgique - 7 balloons in Belgium

17 ballons aux Pays-Bas - 17 balloons in Netherlands

1 ballon en Norvège - 1 balloon in Norway

 

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On ne l’attendait plus, on y croyait plus... Et pourtant le message est tombé ce dimanche 12 mai après-midi : Des restes du gros ballon et surtout le message qui l’accompagnait (en français et en anglais) ont été retrouvés plus de deux semaines après son envol.

Et c’est au sud de la Norvège que le message a été retrouvé, un message qui était adressé au Président de la République et les gouvernants de la France.

C’est un Norvégien, en vacances dans la région, prénommé Bård qui l’a retrouvé près du phare de Kvassheim et de la plage de galets localisés sur la commune de Vigrestad, dans le comté de Rogaland au Sud-ouest de la Norvège. A vol d’oiseau, ce ballon a donc parcouru 899 kilomètres.

Ce ballon, c’est Bernard GÉRARD, Maire de Marcq-en-Baroeul et ancien Député du Nord qui avait eu mission de lui faire prendre son envol au Parc Jean-Baptiste Lebas à Lille.

 

Message pour envol du gros ballon 25 avril 2015 envoi par bernard gerard

 

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L'un des ballons retrouvés (carte) est dédié au jeune Thomas, un message de la part de sa maman qui garde espoir et espère un avenir meilleur pour eux deux.

Les restes d'un autre ballon ont été retrouvés, un ballon sur lequel était inscrit les noms de Sulian et de Séléna.

Un autre ballon trouvé aux Pays-Bas, dédié cette fois-ci à la jeune Emilie.

Toujours aux Pays-Bas, un ballon a été retrouvé dans le village de "De Koog" sur l'île de Texel tout au nord du pays. Le message adressé était dédié au Papa de Laulie, décédé, dont elle a été injustement séparée depuis l'âge de 3 ans et qu'elle n'a ensuite, hélas, jamais pu revoir, victime d'aliénation parentale.

En Belgique, un message d'espoir adressé à Elodie et Jéremy par leur papa a été également retrouvé sur la côte et un ballon dégonflé a été trouvé en Flandre-Occidentale sur lequel était inscrit le prénom Nicolas.

 

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Le ballon (diamètre : 27 cm) qui a, pour le moment, parcouru la plus longue distance depuis Lille a été retrouvé à De Koog sur l'île de Texel (Tout au nord des Pays-Bas), soit 305 kilomètres parcourus à vol d'oiseau.

The balloon that has, for the moment, traveled the longest distance from Lille was found in De Koog on the island of Texel (Northern part of Netherlands), which means 305 kilometers traveled as the crow flies.

 

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C'ETAIT CE JEUDI 25 AVRIL : Le lâchez de ballons, de vos ballons, mais ne lâchez pas vos enfants, vos petits enfants…

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JM2P : AUDITION À L'ASSEMBLÉE NATIONALE, L'URGENCE DE LÉGIFÉRER CONTRE LES SITUATIONS D'EXCLUSION PARENTALE, D'ALIÉNATION PARENTALE...

Le 2 avril dernier, l’association « J’aime mes 2 Parents » a été reçue à l’Assemblée Nationale afin d’être auditionnée par le groupe d’Etudes consacré aux violences intra-familiales, présidé par Madame Valérie BOYER, Députée des Bouches-du-Rhône.

 

Compte tenu de l’augmentation sans cesse grandissante du nombre des séparations parentales et des modifications de plus en plus nombreuses liées aux séparations des parents, il apparaît urgent de pallier, de façon urgente, aux situations d’emprise et de manipulations mentales (*) que peut exercer l’un des deux parents au détriment de l’autre afin de :

 

-   Briser l’ensemble des liens entre l’enfant et l’autre parent,

-   Prendre l’enfant en otage afin de faire pression sur le mode de séparation et le possible partage des biens du couple,

-  S’approprier l’enfant à soi et imposer la séparation comme étant celle de l’enfant et de son parent avec lequel l’autre parent ne souhaite plus partager sa vie,

-   Volonté de nuire à l’autre parent et/ou de se venger de la séparation mise en place,

-   Troubles psychologiques sévères.

 

Il est donc devenu impératif de venir compléter la loi du 4 mars 2002 n° 2002-305 - relative à l'autorité parentale car, il manque visiblement tout un chapitre à consacrer aux séparations dites « hautement conflictuelles » venant affecter la vie de l’enfant et son équilibre psychoaffectif. Il en va de l’intérêt de l’enfant. La lutte contre l ‘emprise mentale et les manipulations psychologiques doit être prise en compte au sein de la loi.

Il en va de même, si l’un des parents décide de s’approprier l’enfant et de ne pas respecter les droits de l’autre parent, bafouant alors l’autorité parentale conjointe.

Ainsi cette autorité parentale pourtant égalitaire tant pour les droits que les devoirs vient s’inscrire dans la durée, peu importe d’ailleurs qu’ils soient mariés, pacsés, ou non, et qu’ils cohabitent ou non.

 

L’audition fructueuse s’est achevée par la volonté d’agir et par conséquent, l’association « J’aime mes 2 Parents » a pour mission de transmettre tous les éléments y compris les pistes permettant la rédaction d’une proposition de projet de loi qui pourra alors être déposée, afin de compléter la loi du 4 mars 2002 n° 2002-305 - relative à l'autorité parentale.

Le travail de rédaction de l'association a été réalisé et la proposition a donc été transmise à Madame Valérie BOYER, Députée et Présidente du groupe d’Etudes consacré aux violences intra-familiales à l’Assemblée Nationale, le 9 avril 2019. A suivre…

 

(*) : Autrement dit, l’aliénation parentale (pour reprendre le terme utilisé internationalement)

 

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Plus d'un million d'enfants ne voient plus l’un de leurs 2 parents.

Et pourtant les enfants n'ont pas à se séparer ou à divorcer de leurs parents.

Et pourtant les enfants doivent pouvoir entretenir des relations avec leurs ascendants.

 

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25 AVRIL 2019 : La 14ème journée internationale contre l’aliénation parentale approche…

 

Le jeudi 25 avril prochain, il est devenu plus qu’urgent de se mobiliser toutes et tous contre cette violence et cet abus psychologiques appelés "aliénation parentale" ou bien encore "parentectomie".

Quoi qu’il en soit, quel que soit le terme employé, les dégâts sont bel et bien là, les drames et tragédies intra-familiales augmentent, moult dérives et déviances frappent toutes ces victimes, appartenant au monde des enfants et des adolescents manipulés, embastillés dans le conflit de loyauté, muselés compte-tenu de l'emprise psychologique exercée sur eux, et appartenant également au monde des adultes se trouvant, de fait, injustement éradiqués de la vie de leurs enfants et/ou petits-enfants, malmenés par les pouvoirs publics, victimes d’une justice inexpérimentée et incompétente à ce jour et de tout un système amplement inexpérimenté, manquant cruellement de moyens, mais aussi souvent de courage.

A ce jour, les résultats sont sans équivoque :

 

E Plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) ont totalement perdu le contact avec l’un de leurs 2 parents (majoritairement avec leur père).

E Plus de 2,5 millions d’enfants voient rarement l’un ou l’autre de leurs 2 parents (Moins de 3 fois par an et pour plus des ⅔, il s’agit de leur père).

Est-ce encore acceptable ?

 

La France n’a plus le droit de feindre l’ignorance et de se taire, d’autant que nos voisins européens, quant à eux, évoluent, débattent et commencent même à légiférer, prenant de plus en plus de mesures afin de limiter, autant que possible, les conséquences de telles exclusions accompagnées de perfides manipulations et d’emprise psychologique et même de les sanctionner.

 

Chaque année, à travers le monde, des scientifiques et professionnels publient de nombreuses conclusions apportant des preuves à la fois cliniques et scientifiques démontrant les preuves des dégâts occasionnés par l’aliénation parentale. L’Organisation Mondiale de la Santé l’a d’ailleurs bien compris. De fait, l’aliénation parentale, étant reconnue comme un abus psychologique grave, est dorénavant incluse dans l'index de la nouvelle classification internationale des maladies, appelée CIM-11 (ICD-11 en anglais) proposée depuis le 18 juin 2018 ; elle se rapporte ainsi aux différentes pathologies relatives au problème de relation "parent-enfant" (Sous la codification « QE52.0 »).

 

Alors oui… ! La France n’a plus le droit de feindre l’ignorance et de se taire.

 

C’est pourquoi, l’association « J’aime mes 2 Parents » effectuera un grand lâcher de ballons biodégradables le jeudi 25 avril prochain, au cœur de la Ville de Lille.

500 ballons, pour 500 messages d’espoir ou de désespoir, dénonçant la situation hélas constatée, chaque jour, par des milliers, des centaines de milliers de victimes, subissant l’injustice, l’inhumanité et le mutisme de la part des pouvoirs publics, au quotidien.

 

Chaque ballon biodégradable sera accompagné d’un message.

Il vous est possible de nous faire part de vos messages qui pourront prendre leur envol :

 

u Soit sur place à LILLE, au Parc Jean-Baptiste Lebas, le jeudi 25 avril (Entre 14h00 et 17h30 – l’envol étant programmé à 17h00).

 

v Ou sinon, en nous envoyant votre message par e-mail à : JM2P@outlook.fr entre le jeudi 21 mars et le lundi 22 avril au soir.

 

Ces messages seront imprimés et attachés aux ballons qui prendront leur envol le 25 avril à 17h00.

(Maximum 20 mots par message) Merci de préciser sur l’objet de votre e-mail la mention : « Message pour le 25 avril ». Merci.

 

Pour en savoir plus sur la journée du 25 avril et l'opération "Les Ballons du 25 avril 2019", n’hésitez pas à cliquer sur le lien proposé ci-dessous : "LES BALLONS DU 25 AVRIL 2019"

 

De par la teneur de plus en plus grave, voire virulente, que peut prendre le conflit parental lors de la séparation ou du divorce, l'exclusion parentale, l’aliénation parentale, n'ont nul droit de s'implanter, trôner et provoquer moult drames et tragédies. « 2019 » doit être assurément l’année du réveil des consciences, mais aussi celle de l’action !

On compte sur vous ! N'hésitez pas à venir accompagnés de votre famille, amis et collègues.

 

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Ci-dessous toutes les informations pratiques afin de nous retrouver ce jeudi 25 avril:

25 04 2019 info journee ap Où seront retrouvés les messages envolés cette année ? Les premiers résultats à partir du 25 avril prochain au soir... 

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Comme l'a souligné le dramaturge et journaliste, George Bernard Shaw : « Le silence est l'expression la plus parfaite du mépris. »

Cette citation apparaît, hélas, comme étant le constat, sans équivoque, d'une bien triste réalité vis-à-vis des interlocuteurs de la République que l'association « J'aime mes 2 Parents » (JM2P) n'a cessé de solliciter et d'interpeller depuis les dernières élections de 2017, face au développement exponentiel de l'intransigeance, voire même d'une forme réelle de radicalisation au sein des conflits parentaux lors de la séparation et/ou du divorce, entraînant alors ce que l'on qualifie globalement d'exclusion parentale (ou d'aliénation parentale, pour reprendre le terme anglo-saxon, un terme pas toujours bien compris en France et au sein même d'un certain nombre de nos institutions et/ou d'interlocuteurs).

Ces phénomènes d'aliénation parentale correspondent bel et bien à un abus psychologique sévère infligé à l'enfant et, plus encore, à une violence psychologique particulièrement nocive, ce qu'a d'ailleurs pu constater un nombre sans cesse croissant de professionnels et de scientifiques du monde entier (L'OMS est d'ailleurs venue intégrer les termes « aliénation parentale » dans l'index de sa nouvelle classification internationale des maladies qui fut introduite en juin 2018).

Les dégâts provoqués par l'aliénation parentale apparaissent sérieux et incommensurables, tant pour les enfants que pour les adultes qui se retrouvent du jour au lendemain exclus, isolés, puisque par le mensonge, la calomnie et la manipulation renouvelés sans relâche, l’un des deux parents (la mère ou le père) s’approprie mentalement l’enfant afin de le programmer de sorte qu’il se mette petit à petit à rejeter puis à haïr aveuglément l'autre parent et ensuite collatéralement les autres membres familiaux du parent injustement rejeté (Grands-parents,…) sans que cela ne soit justifié. Une véritable « parentectomie » !

En France, toutes ces victimes se retrouvent alors broyées et anéanties compte tenu de la violence engendrée par de tels situations conflictuelles et le système judiciaire mais aussi celui du médical et du social n'ont pas encore su prendre les mesures qui s'imposent de toute urgence (Car trop souvent incompétents par méconnaissance, par manque de moyens et de formation, et demeurent anormalement impuissants), sacrifiant ainsi enfants et adultes, les projetant en pleine détresse psychologique, pouvant engendrer dans un certain nombre de cas de graves répercussions tant psychologiques, psychiatriques que physiques sur le plan de la santé et dévastatrices sur le plan social.

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Pour un sujet aussi grave que celui de l'exclusion parentale, de l'aliénation parentale, de l’autorité parentale « conjointe » maintes fois bafouée lors des séparations et divorces conflictuels, de celui du droit fondamental à l’Enfant à vivre avec ses deux parents et d'entretenir régulièrement des relations personnelles avec eux, mais aussi avec ses autres ascendants (A commencer par les grands-parents), il ne peut aucunement exister de tels drames et de telles tragédies, pourtant sans cesse répétés, renouvelés sans relâche . Il ne peut plus exister des orphelins de mère, des orphelins de père, pourtant toutes et tous bel et bien vivants, parce que l’un des deux parents en a décidé ainsi, parce que d’autres peuvent les laisser tomber, parce que notre système judiciaire apparaît véritablement à bout de souffle, dépassé, déconnecté, noyé sous des tonnes de dossiers, mal informé et mal formé face à ces situations sérieuses engendrant tant de dégâts humains, de drames et de tragédies et manque cruellement de moyens financiers, humains et de formations adaptées, mais aussi, parce que :

 « l'inaction professionnelle face à de nombreuses preuves, à grande échelle, relatives aux dommages sérieux de l'aliénation parentale touchant les enfants et les parents, s'impose encore anormalement à ce jour.

La question repose aussi sur l'indifférence des professionnels de la santé mentale et du juridique qui semblent ignorer les recherches existantes, qui nient l'existence de l'aliénation parentale et contribuent aux dommages subis par les enfants et les parents compte tenu de leur inaction. L'incompétence professionnelle à la fois dans l'évaluation et le traitement de l'aliénation parentale est un problème grave, car de nombreux praticiens de la santé mentale manquent de connaissances et de compétences pour travailler avec cette population. » 

(Publications vérifiées de psys et/ou cliniciens :  Lorandos et al, 2013; Baker & Sauber, 2012 - Docteur Edward KRUK, (MSW, Ph.D) en Sciences et travaux sociaux, Professeur agrégé à l'Université de Colombie-Britannique - Canada).

 

Aujourd’hui, si rien n’est fait rapidement, si le silence perdure, si chacun et chacune laisse la situation se dégrader davantage et permettre aux conflits de la séparation parentale et du divorce de s’accentuer, de devenir plus violents encore, sacrifiant en premier lieu des milliers, des dizaines de milliers d’enfants,  quel sera alors l’avenir de la société, un avenir qui n’est déjà pas si simple à gérer ?

Ne l’oublions pas, tous ces jeunes êtres « fracassés », victimes actuelles de l’aliénation parentale, de l’exclusion parentale, seront bel et bien les adultes de demain et participeront à la gestion future du pays… Oui, quel avenir pour eux ?

 

A ce jour, plus d'un million d'enfants en France ne voient plus l'un de leurs deux parents !...

 

Et pendant ce temps-là, le silence apparaît le grand gagnant, la seule réponse apportée...

Or, … « Le silence est l'expression la plus parfaite du mépris. » Cela suffit !...

 

 

A LA UNE CE SEMESTRE - 1er semestre 2019 :

Second questionnaire "JM2P" : Des résultats qui parlent à nouveau d’eux-mêmes.

L’aliénation parentale est un abus psychologique gravissime. Si elle affecte en premier lieu les enfants victimes, il n’en demeure pas moins vrai que les parents exclus, puis collatéralement les grands-parents exclus, victimes tout autant, payent également un lourd tribut face à cette situation à la fois insupportable et inhumaine.

 

En ce premier semestre 2019 marquant la septième année d’existence de l’association « J’aime mes 2 Parents » et pour faire suite à la précédente analyse de septembre 2018 (Voir dans le menu du site à la rubrique « A la UNE ce trimestre ») principalement axée sur les procédures face à l’exclusion parentale qui s’installe, sur l’aide éventuelle des autorités pour y pallier et/ou sur l’absence de soutien de leur part sans omettre les conséquences directes observées chez les enfants, nous avons voulu, cette fois, axer ce second volet sur les parents faisant face à l’exclusion, face à l’aliénation parentale qui s’installe et sur les grands-parents collatéralement victimes, afin d’observer non seulement les effets sur ces adultes obligés de se battre pour tenter de faire respecter leurs légitimes droits, obligés de se battre pour chercher, coûte que coûte, à maintenir le lien avec leur(s) enfant(s) et obtenir justice au sens noble du terme, mais aussi les multiples dégâts occasionnés tant financièrement que psychologiquement, physiquement et socialement.

Des résultats à couper le souffle pour toutes et celles et tous ceux qui ne connaissent pas ou n’imaginent même pas les ravages engendrés par l’aliénation parentale.

 

Pour en savoir plus et prendre connaissance des résultats de ce questionnaire, veuillez cliquer sur ce lien : A la UNE ce semestre (2019 -.)

 

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MADAME N. BELLOUBET, MINISTRE DE LA JUSTICE, CHERCHE VISIBLEMENT À IGNORER L'ALIÉNATION PARENTALE AU SEIN DES SÉPARATIONS CONFLICTUELLES

« Le Gouvernement a déjà exposé sa volonté de développer des modes alternatifs de règlement des différends, particulièrement en matière familiale. Il espère impulser ainsi un changement de positionnement des parents confrontés à un désaccord en les incitant à favoriser la voie de résolution préservant le mieux la poursuite de rapports parentaux apaisés. L’expérimentation de la tentative de médiation familiale préalable obligatoire et l’ouverture à la médiation après décision judiciaire sont autant de preuves de cette volonté. »

Extrait du Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires ◊ Assemblée nationale », nº 5 A.N. (Q), du 29 janvier 2019, p. 910.

 

Madame BELLOUBET, Ministre de la Justice, ne semble pas réaliser la véritable stérilité de telles mesures face au conflit parental aigu où l’aliénation parentale et les manipulations psychologiques exercées sur l’enfant par l’un des deux parents afin d’empêcher la relation de l’enfant avec l’autre parent et même sa destruction, sont enclenchées et s’aggravent au fil du temps, compte tenu du degré de la violence exercée par le parent aliénant mais aussi face à une réelle incompétence professionnelle (médico, psycho, social et judiciaire) à la fois dans l'évaluation, le traitement et le suivi de l'aliénation parentale (Essentiellement par indifférence, par manque d’explications, de formation, mais aussi de compétences et de moyens).

 Aujourd’hui, si rien n’est fait rapidement, si chacun et chacune laisse la situation se dégrader davantage et permettre aux conflits "aigus" de la séparation parentale et du divorce de s’accentuer, de devenir plus violents encore, sacrifiant en premier lieu des milliers, des dizaines de milliers d’enfants, quel sera alors l’avenir de la société, un avenir qui n’est déjà pas si simple à gérer ?

 

Mj2

 

"JM2P" A PRIS CONTACT AVEC M. Adrien TAQUET, NOMMÉ AU MOIS DE JANVIER 2019, SECRÉTAIRE D'ÉTAT EN CHARGE DE LA PROTECTION DE L'ENFANCE. 

Aujourd’hui, ce nouveau personnage entré au Gouvernement fin janvier 2019 devient un interlocuteur important face à la cause que nous défendons et le juste et légitime combat pour la protection des droits de l'enfant et de la famille en cas de séparation parentale conflictuelle.  Que fera-t-il ? Sera-t-il à l'écoute de "JM2P". Nous attendons son retour suite à notre intervention.

 

En France, plus d’un million d'enfants (âgés de moins de 18 ans) ont totalement perdu le contact avec l’un de leurs 2 parents (majoritairement avec leur père).

Plus de 2,5 millions d’enfants voient rarement l’un ou l’autre de leurs 2 parents (Pour plus des ⅔, il s’agit de leur père).

Et pourtant les enfants n'ont pas à se séparer ou divorcer de leurs parents. 

Au sein de toutes les situations de séparations parentales hautement conflictuelles où l’aliénation parentale se développe, les enfants se trouvent « pris en otages » et se retrouvent alors broyés, anéantis parce que le système judiciaire et médical n'a pas encore su prendre les mesures qui s'imposaient de toute urgence, les sacrifiant ainsi, les projetant en pleine détresse psychologique, pouvant engendrer dans un certain nombre de cas de graves répercussions tant psychologiques, psychiatriques que physiques et sociales.

En France, de plus en plus d'enfants et d'adolescents se trouvent ainsi pris en otages par un parent dit "aliénant" prêt à tout pour exclure l'autre parent de la vie de ces jeunes.

La situation devient rapidement difficile à vivre, à supporter pour ces jeunes devenus instruments de vengeance, de propriété, devenus objets,..., de leur parent "aliénant" et devient rapidement cauchemardesque pour le parent injustement rejeté et collatéralement pour les autres membres de la famille également rejetés, à commencer par les grands-parents.

Chacun est laissé dans sa détresse, au mépris des règles et conventions, chacun se retrouve victime de manipulations, de mensonges, d'emprise et la justice, tout comme les services sociaux et l'ensemble des autres acteurs susceptibles de venir en aide à toutes ces victimes, restent trop souvent incompétents par méconnaissance, sinon impuissants.

Beaucoup trop de personnes dans le système français se gargarisent et/ou se retranchent derrière la sempiternelle expression « dans l’intérêt supérieur de l’enfant », mais bien peu, en réalité se soucient réellement des millions d’enfants séparés de l’un de leurs deux parents (Majoritairement le père). Or, les droits de l’enfant doivent primer et passer avant toute autre considération par rapport au « droit à l’enfant ». L’enfant a droit à ses deux parents et a besoin de ses deux parents.

Les conséquences des séparations conflictuelles (qui ne cessent d’augmenter, année après année) sont effroyables : dépression, maladies mentales développées, anorexie, auto-mutilations, suicides individuels ou collectifs, des jeunes sombrant dans la délinquance, la drogue et à l'heure actuelle où l'on s'inquiète énormément, et à juste titre, des jeunes qui risquent de tomber ou tombent déjà dans les pièges de la radicalisation en lien avec des filières djihadistes, ils deviennent alors des proies plus faciles à atteindre car profondément fragilisés. Il n'existe pas à ce jour de vraie politique de prévention des graves conflits parentaux, lors de la séparation, pouvant impliquer de profonds traumatismes et parfois même de lourdes séquelles pour les enfants et adolescents victimes.

 

Aujourd’hui en France, il y a une véritable urgence à agir pour que non seulement les victimes d'exclusion et d'aliénation parentale soient reconnues comme telles, mais également que les diverses instances impliquées dans la gestion des conflits inhérents à la séparation et au divorce travaillent conjointement, la nécessité d’une coopération interdisciplinaire indispensable (Santé – Justice – services sociaux) pour perdre le moins de temps possible et permettre le maintien, coûte que coûte, le lien de l’enfant avec ses deux parents (sauf si cela est bien entendu contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant), cela est primordial pour l’enfant.

 L'enfant doit être et demeurer au centre des priorités. De nombreuses études l’ont démontré, l’absence  et même l’effacement d’un parent chez l’enfant entraîne davantage de conduites déviantes et/ou à risques, plus particulièrement à l’adolescence. Il faut AGIR sans plus attendre !

 

Enfant triste

 

2017-2019 : UN LOURD SILENCE PARTICULIÈREMENT ANORMAL ET INADMISSIBLE...

 

Lors de nos échanges depuis janvier 2017 (Donc depuis 2 ans aujourd'hui) avec le Docteur Edward KRUK, (MSW, Ph.D) en Sciences et travaux sociaux, Professeur agrégé à l'Université de Colombie-Britannique au Canada, déclarait afin de faire ouvrir les yeux au Gouvernement Français de l’urgence d'agir dans la lutte contre l'aliénation parentale :

 

« Une grande partie du problème de l'aliénation parentale réside du fait de l'inaction professionnelle face à de nombreuses preuves, à grande échelle, relatives aux dommages sérieux de l'aliénation parentale touchant les enfants et les parents. »

« Compte tenu de la prévalence et des effets profonds découlant de l'aliénation parentale, l'ignorance et le manque d'action sont totalement inacceptables. Compte tenu de l'état actuel de la recherche et du consensus parmi ceux qui ont étudié l'aliénation parentale, il est urgent de réformer la loi pour résoudre le problème. Les professionnels de la santé mentale, les décideurs et les législateurs doivent donc être tenus comme responsables, à la fois pour leur déni et leur inaction.

Il incombe à ces groupes professionnels d'aider les parents à s'acquitter de leurs responsabilités parentales envers les besoins de leurs enfants. »

 

Depuis lors, la France se tait ! Laurence ROSSIGNOL, alors Ministre des Familles sous le Gouvernement de l’ère HOLLANDE, n’a jamais daigné répondre à ce propos et depuis les élections présidentielles, le Gouvernement de l’ère MACRON a, tout autant, maintenu le silence… le SILENCE… !

Vous avez dit silence ? Eh oui, hélas…!

Pour George Bernard Shaw : « Le silence est l'expression la plus parfaite du mépris ».

A quand des réponses gouvernementales ? A quand l'action ? A quand la prise en charge des victimes d'aliénation parentale, enfants comme adultes ? A quand la prise en charge des aliénants et la prise de sanctions en cas de besoin ?

 

 

M2s breaking news

 

MADAME BELLOUBET, MINISTRE DE LA JUSTICE, À PROPOS DU NON RESPECT DES DÉCISIONS DE JUSTICE RENDUES PAR LE J.A.F. (A commencer par les droits de visite et d'hébergement).

Dans le cadre des parents privés de leurs enfants en raison du droit de garde non appliqué, la Ministre de la Justice annonce début janvier 2019 : « Le Gouvernement ne méconnaît pas la situation dramatique que vit un parent empêché de voir son enfant parce que l’autre parent refuse d’appliquer une décision de justice qui fixe pourtant ses droits. Le ministère de la Justice s’est donc saisi de cette difficulté et a souhaité intégrer dans son projet de loi de programmation 2018- 2022 et de réforme pour la justice des dispositions destinées à améliorer l’effectivité des décisions en matière familiale. Elles prévoient un dispositif graduel qui comporte en particulier la possibilité de sanctionner l’autre parent sur le plan pécuniaire par une astreinte ou une amende civile, et, en dernier recours, de demander à la force publique d’intervenir. L’entrée en vigueur de ces dispositions devrait apporter une réponse concrète aux situations exposées, comme à toutes celles où un parent récalcitrant ferait obstacle à la bonne exécution de la décision d’un juge aux affaires familiales. » Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Assemblée nationale », nº 1 A.N. (Q), 1er janvier 2019, p. 12458.

Cette réponse reste bien peu convaincante lorsque de nombreux parents assistent déjà, totalement impuissants, depuis des années, encore et encore, aux multiples classements sans suite, aux multiples silences et même à des refus de la part des services de Police et/ou de Gendarmerie de prendre en compte la non-représentation d’enfant, malgré les jugements exécutoires. Or, lorsque le parent chez lequel réside l'enfant ne remet pas l'enfant à l'autre parent (qu'il soit mère ou père) à la date prévue, il se rend  bel et bien coupable d’un délit, celui de la non-représentation d'enfant (article 227-5 du code pénal (*) ).

Ces injustices sont d’autant plus graves et plus traumatisantes encore face aux phénomènes d'exclusion et d'aliénation parentales où le parent aliénant conserve alors le champ libre pour poursuivre la violation du jugement exécutoire des droits de visite et d’hébergement, ou de résidence alternée, accumulant ainsi le nombre impressionnant de non-représentations d'enfant, et peut ainsi renforcer son emprise et ses manipulations psychologiques sur l'enfant.

Pour en revenir à la non-représentation d’enfant, celle-ci relève du Tribunal correctionnel et le Juge peut d’ailleurs condamner le parent fautif à une peine pouvant aller jusqu’à un an d'emprisonnement et 15.000 euros d'amende, la condamnation pénale pouvant être, de plus, enregistrée sur casier judiciaire du parent coupable. (*)

Mais à ce jour, combien de condamnations ont été rendues par rapport aux milliers, aux dizaines de milliers de non-représentions d’enfant constatées et avérées chaque année et visiblement de plus en plus nombreuses ?

De plus, il n'a échappé à personne la formule exécutoire apposée sur les décisions de justice, en dernière page, y compris pour celles se rapportant à la fixation du domicile de l'enfant en cas de séparation et/ou divorce des parents et celle des conditions du droit de visite et d'hébergement du parent chez lequel l’enfant ne réside pas (Formule prescrite par le décret n°47-1047 du 12 juin 1947). Cette formule ainsi rédigée  précise : « La République Française mande et ordonne à tous Huissiers de Justice sur ce requis de mettre la dite décision à exécution, aux Procureurs Généraux et aux Procureurs de la République près les Tribunaux de Grande Instance d'y tenir la main, à tous Commandants et Officiers de la Force Publique de prêter main-forte lorsqu'ils en seront légalement requis. En foi de quoi, la présente décision a été signée par le Président et le Greffier. »

 Or, les non-représentations d'enfants viennent bel et bien dénoncer des décisions de justice exécutoires !

De quel droit la plainte pour non-représentation d'enfant ne serait pas traitée avec respect, célérité et professionnalisme et peut, par contre, être refusée, y compris le dépôt de plainte lui-même, alors que le délit est, quant à lui, évident et même incontestable ?

Dans les conditions actuelles, déjà désastreuses pour de nombreuses familles, comment ledit « dispositif graduel comportant en particulier la possibilité de sanctionner l’autre parent sur le plan pécuniaire par une astreinte ou une amende civile, et, en dernier recours, de demander à la force publique d’intervenir », pourrait effectivement s’appliquer ?!

Les non-représentations d’enfants sont déjà, ô combien, difficiles à être entendues, à être prises au sérieux par des instances judiciaires, par des services de Police et/ou de Gendarmerie (Débordés disent-ils et qui ne servent à rien puisque le « classement vertical » est si souvent d’usage !) et même à être traitées, jugées !

Combien de temps, combien de mois, combien d’années…? Et pendant ce temps-là, combien de souffrances,  combien de dégâts qui ne cessent de se poursuivre, combien de drames et de tragédies familiales qui ne cessent de se développer et dont le nombre ne cesse de progresser ?

 

(*) : Article 227-5 du Code Pénal : « Le fait de refuser indûment de représenter un enfant mineur à la personne qui a le droit de le réclamer est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. »

L'association est intervenue auprès de Madame Nicole BELLOUBET, Ministre de la Justice, pour lui faire part de ses observations suite à la publication du 1er janvier 2019 et lui rappeler l'anormalité de son silence et de ses services depuis octobre 2017, malgré l'intervention de l'Elysée et de nos différents rappels...

 

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Noël approche...

"Ce qui compte à Noël, ce n'est pas de décorer le sapin, c'est d'être tous réunis." a déclaré Kevin Bright, producteur et cinéaste américain...
Mais voilà, quand nous sommes parents ou grands-parents injustement et illégalement privés de nos enfants, de nos petits-enfants, même la décoration du sapin est impossible. Être tous réunis est illusoire, juste impossible. Aucun miracle de Noël, juste un vide absolu, une douleur éprouvante et révoltante…

 

Enfant noel

 

MESDAMES, MESSIEURS LES ÉLUS, AUJOURD'HUI, ON NE PEUT PLUS IGNORER L'ALIÉNATION PARENTALE ET SES GRAVES CONSÉQUENCES...

 

Pas un mot, pas une seule ligne, pas une seule recommandation au sujet de l'aliénation parentale, pourtant reconnue comme étant un abus psychologique grave, pas un mot sur ses dégâts (alors qu'il y a des pages et des pages sur les violences physiques, sur les agressions sexuelles,...)  dans le rapport d’information n° 1358, enregistré à la Présidence de l’Assemblée Nationale le 31 octobre 2018 concernant le projet de loi de programmation 2018-2022 et de la réforme pour la justice…

Autrement dit, les massacres peuvent et pourront continuer… !

Et pourtant, l'American Psychological Association (APA - La plus importante organisation professionnelle de psys) déclare que les abus psychologiques infligés à l'enfant sont aussi nocifs que les abus sexuels ou physiques (Docteur et Professeur Joseph SPINAZZOLA, Directeur du centre de traumatologie à l'Institut de ressources judiciaires, Massachusetts - USA). 

 

Poursuivons

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Reportage Grand-Lille TV - Mardi 20 novembre 2018 :

 

 

 

DANS LE CADRE DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANT - Mardi 20 novembre 2018 :

 

Nous demandons auprès du Gouvernement Français et de la Présidence de la République Française de respecter et faire respecter ce qui suit :

 

1° CHAQUE ENFANT A LE DROIT DE VIVRE ET DE COMMUNIQUER AVEC SES DEUX PARENTS.

 

2° CHAQUE ENFANT A LE DROIT DE COMMUNIQUER TANT AVEC SES ASCENDANTS MATERNELS QUE SES ASCENDANTS PATERNELS.

 

3° CHAQUE ENFANT AIME INDEPENDAMMENT SES DEUX PARENTS ET DOIT DONC POUVOIR LES AIMER LIBREMENT ET INDEPENDAMMENT.

 

4° CHAQUE ENFANT A BESOIN DE SES DEUX PARENTS. AUCUN ENFANT N’A ET NE DOIT DIVORCER DE L’UN DE SES DEUX PARENTS.

 

5° LE DROIT À LA VIE FAMILIALE EST UN DROIT FONDAMENTAL À CHACUN, À COMMENCER POUR L’ENFANT (Art.8 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme).

 

6° TOUTE EMPRISE ET MANIPULATION MENTALES ÉXERCÉES SUR L’ENFANT AFIN DE L’ÉCAR-TER DE L’UN DE SES DEUX PARENTS EST UN DÉLIT, UN ABUS PSYCHOLOGIQUE GRAVE.

 

7° TOUT DOIT ÊTRE MIS EN ŒUVRE POUR APPLIQUER L’ENSEMBLE DE CES PRINCIPES.

 

Car il en va de l'avenir de nos enfants et de notre pays qu’est la France.


Si ces principes ne sont ni appliqués, ni même respectés, comment ne pas comprendre que tant de jeunes ayant perdu leurs repères familiaux, ou bien étant enchaînés par l’emprise psychologique liée au conflit parental, ou encore livrés à eux-mêmes, glissent inexorablement vers la dangereuse pente pouvant alors les mener à toutes sortes de déviances et de dérives, engendrer l’effondrement de leur santé physique ou sinon l’écroulement de leur santé morale et la dépression, pouvant possiblement, dans les pires cas, les pousser au renoncement à la vie car la famille n’est plus ? Halte au massacre !

 


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LE 20 NOVEMBRE : JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANT ET DE L'ENFANCE.

 

L’association se mobilise encore et toujours : Après être intervenue auprès de l'Elysée, l'association JM2P intervient auprès du Haut Commissariat aux Droits de l’Homme (ONU), de l'UNICEF et du Défenseur des Droits pour leur demander une intervention officielle auprès de l’Etat français et plus particulièrement de l’Elysée pour souligner qu’il y a bel et bien un secteur où les droits de l'enfant peuvent être quotidiennement bafoués sans que cela n'émeuve les pouvoirs publics et nos gouvernants, à savoir celui du nombre grandissant d’enfants et d’adolescents qui, compte tenu d'une justice trop souvent désœuvrée, sclérosée, manquant de formation et de moyens financiers et humains sacrifie des milliers d'enfants et d’adolescents pris dans la tourmente du divorce conflictuel de leurs parents pour lequel ils peuvent même être également mêlés et manipulés. Plus les divorces ou les séparations parentales apparaissent conflictuelles, plus les enfants ou adolescents pris en otages trouvent leurs droits bafoués.

Et face à cela, la France joue surtout à la politique de l’autruche, celle du déni et laisse ainsi sacrifier des milliers d’enfants chaque année, mais aussi collatéralement l’un des deux parents et les autres membres de la famille maternelle ou paternelle.

Les enfants sont de plus en plus ignorés, les expertises psychologiques non-assurées, l’accompagnement et l’écoute des enfants non-effectués ou mal assurés, et ainsi, des phénomènes d’emprise peuvent s’installer en toute quiétude et en toute impunité. Les « professionnels » ne sont pas formés face à l’ampleur des conflits qui se jouent et l’enfant se retrouve en première ligne victime de tout un système qui risque de tomber assurément en pleine décadence et dans lequel il disparaît.

L’aliénation parentale (concept qui a fait coulé beaucoup d’encre) existe bel et bien quel que soit le nom que l’on veut lui donner. D’ailleurs, l’Organisation Mondiale de la Santé qui préparait la publication de la version anglophone de la 11ème classification mondiale des maladies (La CIM-11) l’a fait paraître le 18 juin dernier. Et dans cette publication, l’aliénation parentale est bel et bien incluse dans l'index des termes se rattachant à la CIM-11 (ICD-11 en anglais) sous le code « QE52.0 » se rapportant aux pathologies relatives au « problème de relation "parent-enfant" ». Les termes « aliénation parentale » y sont bel et bien intégrés noir sur blanc !

Là encore, la France s’en moque éperdument contrairement à d’autres pays européens qui ont pris conscience de l’urgence de protéger l’enfant face à de tels abus psychologiques (abus reconnus aujourd’hui par l’APA – Association américaine des psychologues / psychiatres) et qui ont pris conscience de l’importance pour l’enfant de maintenir, coûte que coûte le lien avec ses ascendants, qu’ils soient maternels ou paternels malgré la séparation des parents. L’enfant a besoin de ses 2 parents, de ses racines, de son patrimoine tant maternel que paternel.

Or, aujourd’hui la France méprise totalement cette importance et même celle de l’enfant. Face au conflit de la séparation auquel les enfants n’ont en aucun cas à y être mêlés, combien de milliers d’entre eux se sentent soudainement abandonnés par l’un de leurs deux parents alors qu’en réalité ils ne le sont pas, mais en fait ils sont tout bonnement écartés injustement et illégalement, manipulés ou bien encore dominés par une emprise psychologique délétère ? Combien de milliers d’entre eux se trouvent exposés et subissent des décisions émanant d’une justice incapable de protéger le principe de la coparentalité et le droits fondamentaux de l’enfant ? Or, les pouvoirs publics n’apportent aucun remède et cherchent même à ignorer ces situations de plus en plus nombreuses !

Rappelons-le, plus de 920.000 enfants, à ce jour, en France, ne voient plus l’un de leurs 2 parents ! CELA SUFFIT !

 


20 novembre 2018 annonce jm2p journee de l enfant

 

LA LETTRE ADRESSÉE ET À ADRESSER À MONSIEUR EMMANUEL MACRON, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE... N'HÉSITEZ PAS À LA COPIER, LA COMPLÉTER ET LUI ADRESSER PAR VOIE POSTALE... 

 

Malgré la loi du 4 mars 2002 relative à l’autorité parentale, inscrivant le principe que la séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale, que l’obligation aux deux parents est de maintenir des relations personnelles avec leurs et que l’obligation de respecter les liens personnels existant entre les enfants et l’autre parent est de rigueur, l'exclusion parentale (à laquelle l'aliénation parentale s'installe) se développe sans relâche et augmente considérablement compte tenu de la progression dramatique des séparations et des divorces conflictuels représentant, alors, une violence psychologique inadmissible à laquelle la justice est incapable de faire face et, dans la plupart des cas, incapable d’y remédier, voire même d’y mettre un frein, faute de moyens, de formation, de personnels adaptés, de professionnels capables d’intervenir correctement,....

 

Quant à nos gouvernants, c’est le plus souvent le silence, la politique de l’autruche, voire même le déni… La famille, les familles, ne représentent en aucun cas un sujet à traiter, encore moins une priorité. Peu importe si la France bafoue et viole le droit fondamental à la vie familiale, si elle se moque éperdument du droit le plus élémentaire de l’enfant à pouvoir maintenir le lien avec ses deux parents, avec les ascendants…!

 

Trop c’est trop !

 

Comme le déclarait le dramaturge et auteur irlandais George Bernard Shaw : « Le silence est l'expression la plus parfaite du mépris. » Pourquoi devrions-nous subir encore et encore ce silence, mais aussi une exclusion parentale imposée, une aliénation parentale inhumaine parce que l’un des deux parents l’a décidé tyranniquement, qui plus est, en toute illégalité, en toute impunité ?

 

C’est pourquoi nous avons décidé, individuellement, d’adresser au Président de la République la lettre proposée (fichier joint) et que nous vous invitons à en faire de même. Envoyez cette lettre complétée (Nom, adresse, date et signature) au Président de la République. Demandez aux autres membres de vos familles subissant collatéralement l’exclusion et les dégâts de l’aliénation parentale, d’en faire autant. Même vos amis, vos collègues peuvent être intéressés et peuvent aussi agir de leur côté. Plus nous serons nombreux, plus les courriers afflueront à l’Elysée et plus nous aurons une chance de faire prendre conscience de l’urgence d’agir et de prendre les mesures qui s’imposent pour lutter efficacement contre l’exclusion parentale / l’aliénation parentale.

Cela ne coûte rien (Sauf l’enveloppe et les pages à imprimer) puisque vous pouvez écrire au Président de la République sans affranchir votre lettre (20 gr. Maximum soit 3 pages).

 

Soyons le plus nombreux à agir et donc à écrire au Président de la République ! Faisons-le pour nos enfants, nos petits-enfants…

 

NOUS COMPTONS SUR CHACUNE, SUR CHACUN D’ENTRE VOUS !

Plus il y aura de lettres reçues, plus le Président de la République devra sortir de son silence, tout comme le Gouvernement, et ils devront apporter des réponses, proposer et mettre en place des solutions pour lutter efficacement contre l'exclusion parentale et la violation des droits fondamentaux de l'enfant et des familles face à ces milliers de drames subis.

 

Il nous faut convaincre, coûte que coûte, nos gouvernants que l'enfant doit être au centre des priorités, il doit être entendu, écouté, aidé et protégé de tous les abus psychologiques que représentent l'emprise, les manipulations mentales et l'aliénation parentale. Les familles frappées par de telles situations doivent être également reconnues comme étant des victimes.

Elles sont en danger et risquent à chaque instant de tomber dans moult pièges liés aux risques de dérives et de possibles déviances, tant pour les enfants que les adultes victimes.

 

IL FAUT AGIR !

 N'hésitez plus... Faites-le…

 

Voici la lettre proposée, à compléter et à envoyer à l'Elysée, au Président de la République : 

Lettre commune a m emmanuel macron president de la republique 2018Lettre commune a m emmanuel macron president de la republique 2018 (385.39 Ko)

 


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A LA UNE CE TRIMESTRE - 4ème trimestre 2018 :

Questionnaire "JM2P" : Des résultats qui parlent d’eux-mêmes.

Qui oserait encore venir nier que l’aliénation parentale n’est pas un abus gravissime ? Tout enfant victime doit être urgemment protégé ! Les adultes aliénés souffrent tout autant de problèmes aussi sérieux et méritent également le statut de victime et obtenir protection.

 

Pour ce dernier trimestre 2018 et après six années d’existence de l’association "J’aime mes 2 Parents", il paraissait particulièrement utile et instructif de faire une analyse de la situation auprès des adhérents et des anciens adhérents qui ont bien voulu répondre, afin de mieux cerner leurs difficultés face à la séparation conflictuelle, face à une aliénation parentale grandissante, vécue et subie puis l'exclusion avérée qui, dans les cas les plus graves, en découle inexorablement (hélas !)

 

Ces résultats, mais aussi les demandes les plus urgentes émanant d’une bonne centaine de parents et/ou grands-parents victimes (123) ayant répondu, parlent d’eux mêmes et viennent hélas démontrer à quel point il faut non seulement réformer le système judiciaire et former, coûte que coûte, les juges pour lesquels une très large majorité de parents victimes ne portent plus aucune confiance étant trop souvent incompris et, de plus, abandonnés par ces « soi-disant » professionnels.

Il en va de même pour les avocats beaucoup trop souvent considérés comme étant dépassés, impuissants, manquant de connaissances face aux phénomènes d’exclusion parentale et aux lourds conflits familiaux, sans compter pour un certain nombre d’entre eux des honoraires astronomiques, voire faramineux, imposés pour n’obtenir que de bien piètres résultats.

 

Aujourd’hui, la justice n’est manifestement pas ou plus adaptée et n’est pas ou plus capable de faire face à de telles situations.

 

C’est hélas, un constat de plus en plus criant. Le manque de moyens financiers élimine également la planche de salut que peuvent représenter les expertises psychologiques, pédopsychiatriques et psychiatriques auprès de professionnels de la santé. Ainsi la restriction de ces expertises permet d’occulter, dans bien des cas, l’ensemble des dégâts occasionnés par l’aliénation parentale, empêchant que ce phénomène ne puisse plus s’étendre. Les médiations (certes à la mode) n’ont nullement leur place face aux séparations conflictuelles et aux phénomènes d’exclusion, car il est déjà bien trop tard… En effet, face à un parent manipulateur, pervers narcissique et/ou aliénant, la médiation est vouée à l’échec avant même qu’elle ne soit décidée ! Ce parent toxique met tout en œuvre pour faire échouer toute possible médiation, à commencer pas son refus d’y participer.

Quant aux services sociaux, rares sont les personnels capables de faire face à ces situations graves et lourdes de conséquences pouvant, de plus, faire basculer les victimes, (enfant, adolescents et adultes) dans toutes sortes de dérives et de déviances, mais aussi pouvant engendrer des troubles de la santé, tant physique que mentale.

 

 Des réponses qui en disent long sur l’urgence d’agir !

 

Pour en savoir plus et prendre connaissance des résultats de ce questionnaire, veuillez cliquer sur ce lien : A la UNE ce trimestre... 2015-2018.

 

 


Agir 7

 


M2s breaking news

 

Combattre l’aliénation parentale… la FRANCE croupit !

Et pendant ce temps-là, en INDE, la prise de conscience est acquise et le travail de lutte contre l'aliénation parentale progresse à grands pas !...

 

Au cours de ce mois de septembre 2018, les autorités indiennes prennent très au sérieux les traumatismes subis par les enfants de couples qui se séparent et tout particulièrement lorsqu’ils se trouvent plongés au cœur des conflits. Elles prennent tout spécialement conscience que les enfants, dont les parents en instance de divorce se disputent, sont de plus en plus souvent confrontés à un environnement hostile en raison des tentatives de lavage de cerveau, des manipulations et autres phénomènes liés à l'aliénation parentale que l’un ou l’autre parent peut leur infliger.

A ce jour, les tribunaux indiens sont habilités à confier la garde de l’enfant à l’un ou l’autre des parents en fonction de l’intérêt de celui-ci et de son bien-être.

Mais compte tenu de l’impact que l’aliénation parentale exercée par l’un des deux parents peut avoir sur l’enfant, le choix entre le père et la mère pourrait être considéré comme étant contraire aux intérêts de l’enfant. Le fait d’accorder la garde de l’enfant à un seul parent (L’autre parent n’obtenant alors que des droits de visite) peut avoir des répercussions sur le bien-être émotionnel et psychologique de l’enfant. La justice indienne tend à dire aujourd’hui que les parents n'ayant pas la garde sont relégués au rôle de simples "parents visiteurs" dans la vie de leur(s) enfant(s) et ne sont pas autorisés à remplir leur véritable rôle de parent, ce qui peut entraîner la destruction de la relation « parent-enfant(s) ».

Les experts indiens vont jusqu’à préciser que l’aliénation parentale a de lourdes répercussions sur ces enfants victimes, devenant plus enclin à abandonner leur scolarité, mais aussi à se livrer à des actes répréhensibles allant jusqu'au crime, à devenir des consommateurs de drogue ou bien encore à développer des idées suicidaires, voire même de passer à l'acte.

Dans ces conditions, le consensus de la justice indienne semble bel et bien évoluer vers une égalité parentale pouvant permettre et encourager, autant que faire se peut, la résidence partagée. Le tribunal doit alors évaluer si les parents sont l'un et l'autre suffisamment mûrs, responsables, équilibrés et disposés à s’entendre raisonnablement sur les décisions qui affectent le bien-être de l’enfant. De plus, pour éviter les phénomènes d’aliénation parentale, le tribunal devrait également évaluer si les parents seront en mesure de cesser tout conflit affectant l'enfant, de concevoir et de mettre en œuvre conjointement un plan de stabilité. Sinon, des mesures spécifiques devront être mises en place.

 

Compte tenu du taux de divorce en hausse en Inde, la Cour Suprême d’Inde a lancé les travaux et les législateurs réfléchissent sérieusement à la modification prochaine de la loi afin d’atténuer et de mettre un terme aux traumatismes subis par les enfants face à la séparation conflictuelle de leurs parents.

Lorsque la loi sera votée au Parlement, chaque tribunal pourra ainsi nommer un psychologue clinicien qualifié pour suivre, accompagner et traiter l'enfant, ou un pédopsychiatre, afin d’éviter les possibles conséquences de l’aliénation parentale, afin d’accompagner ceux-ci pour prévenir tout traumatisme lié à la séparation parentale, malgré une résidence alternée encouragée et, en tout état de cause, éviter toute éventuelle perte du lien avec l’un des deux parents après leur séparation.

Et en France, pendant ce temps-là, les pouvoirs publics restent visiblement les bras croisés et continuent à se boucher les oreilles devant la souffrance, le désespoir, les traumatismes et la dévastation causés par l’aliénation parentale !

 


Ap inde

QUAND LA FRANCE SAURA-T-ELLE ENFIN COMBLER SON RETARD,

SON IMMENSE RETARD ?...

 

 

 


Agir 3

Face à l’aliénation parentale, la France, a-t-elle conscience de l’immense retard, qu’elle a d’ores et déjà par rapport à de plus en plus de ses voisins Européens ?
Suite à la séparation des parents, plus de 920.000 enfants, à ce jour, en France, ne voient plus l’un de leurs 2 parents !...
Et pourtant, le Code civil est très clair :
- Article 372 : « Le père et la mère exercent en commun l’autorité parentale ».
- Article 373-2 : « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent ».
- Article 371-4 : « L’enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants ».
Et la Convention Européenne des Droits de l’Homme rappelle : « Toute personne a droit au respect de sa vie familiale… » (Article 8).
Visiblement, ces lois et principes sont amplement méprisés et les pouvoirs publics s’en moquent éperdument. Et nos gouvernants appliquent la politique de l’autruche.
N’hésitez pas à interpeller vos élus, près de chez vous, (Députés, Sénateurs) car les pouvoirs publics n’ont plus le droit de mépriser une telle injustice, une telle infamie !

Il faut agir !

 

 

PRENEZ NOTE MADAME LA MINISTRE...!

 

Pour faire suite à la déclaration du 12 juillet 2018 de Madame Nicole BELLOUBET, Ministre de la Justice, (voir ci-dessous) annonçant une note d’information qui a été mise en ligne sur le site « intranet » de la direction des affaires civiles et du sceau du Ministère de la justice pour informer les magistrats du caractère controversé et non reconnu du syndrome d’aliénation parentale, il serait capital pour elle de prendre conscience de la fourberie de tels propos. De plus, elle devrait venir écouter les nombreux spécialistes, praticiens et professionnels de l’aliénation parentale qui se réunissent en Suède, à Stockholm, les 24 et 25 août 2018 lors du séminaire international 2018 organisé par le « Parental Alienation Study Group Inc. » (PASG), un séminaire qui sera d’ailleurs suivi par celui de l’association européenne des praticiens de l’aliénation parentale (The European Association of Parental Alienation Practitioners) se déroulant à Londres les 30 et 31 août 2018.

 

 


Avis jm2p

Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les Ministres, Mesdames, Messieurs les élus de France…

L'auriez-vous oublié ?

 

 


Child abuse non

 

LE MINISTÈRE FRANÇAIS DE LA JUSTICE FAIT FAUSSE ROUTE...!

C’est avec grande attention que l’association JM2P a pris connaissance de la réponse écrite en date du 12 juillet 2018 de Madame BELLOUBET, Ministre de la Justice, faisant suite à la question écrite n° 02674 publiée dans le J.O. du Sénat en date du 28/12/2017, provenant de Madame Laurence ROSSIGNOL, ancienne Ministre des Familles et aujourd’hui Sénatrice de l’Oise et qui n’a cessé de clamer qu’aucune autorité scientifique n’a jamais reconnu l’aliénation parentale (AP), son syndrome (SAP) et réclamait la diffusion immédiate d’instructions à l’attention des Juges aux Affaires Familiales et de la magistrature visant à proscrire l’utilisation de l’AP, du SAP (Elle n’a jamais cessé de jouer sur les mots).

L’association JM2P est immédiatement intervenue auprès de Madame BELLOUBET, Ministre de la Justice suite à sa réponse.

En effet, on ne peut qu’être étonnés, voire même choqués, par certaines phrases publiées dans cette réponse du 12 juillet.

En effet, le Ministère de la Justice ne pouvait pas ignorer que :

 

  Madame ROSSIGNOL, en tant que Ministre des Familles, fait l’objet d’une plainte à son encontre depuis l’an dernier, par une quinzaine d'associations de France devant la Cour de justice de la République, suite à ses prises de position sur le bannissement de l'AP et/ou SAP (Aliénation Parentale / Syndrome d’aliénation parentale) dans le cadre du cinquième plan de mobilisation et de lutte contre les violences faites aux femmes visant l'objectif intitulé : « Protéger les mères et leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale pendant et après la séparation » et sa volonté absolue de faire proscrire l'utilisation du "concept idéologique" dénommé SAP (Syndrome d'aliénation parentale) ou AP (Aliénation parentale).

 

Les autorités Françaises ne pouvaient pas ignorer que les experts du Groupe de travail du DSM-5 (Diagnostic and Statistical Manual = Manuel Américain de Définition et de Classification des maladies et troubles psychiatriques) ne voulaient pas que l'aliénation parentale figure comme un diagnostic séparé dans le DSM-5 (paru en 2013), mais pensaient que l'aliénation parentale pourrait être considérée comme un exemple parmi d'autres diagnostics qui sont effectivement présents dans le DSM-5. Les termes "aliénation parentale" ne figurent pas noir sur blanc dans le DSM-5, mais plusieurs diagnostics peuvent être utilisés dans ces situations. « L'«esprit» de l'aliénation parentale est dans le DSM-5, même si les mots n’y sont pas » avait déclaré le psychiatre et Professeur, William BERNET, du Département de psychiatrie de l'Université  de Médecine Vanderbilt à Nashville, Tennessee (Etats Unis) et également Président du « Parental Alienation Study Group, Inc. » (Abréviation : PASG) - Groupe d'étude sur l'aliénation parentale -, organisme international sans but lucratif qui compte environ 300 professionnels de la santé mentale et des professionnels du droit en provenance d'une quarantaine de pays. Les autorités Françaises ne pouvaient plus ignorer ces déclarations maintes fois transmises depuis 2016.

 

De même, les autorités Françaises ne pouvaient pas ignorer non plus que l’Organisation Mondiale de la Santé préparait la publication de la version anglophone de la 11ème classification mondiale des maladies (La CIM-11).

Or, celle-ci est parue le 18 juin 2018, donc antérieurement à la réponse de Madame BELLOUBET, Ministre de la Justice faite le 12 juillet 2018. Et dans cette publication, l’aliénation parentale est bel et bien incluse dans l'index des termes se rattachant à la CIM-11 (ICD-11 en anglais) sous le code « QE52.0 » se rapportant aux pathologies relatives au « problème de relation "parent-enfant" ». Les termes « aliénation parentale » y sont bel et bien intégrés noir sur blanc !

Déclaration de William BERNET : « La CIM-11 inclut l'aliénation parentale. De nombreux membres du PASG ont contribué à cette reconnaissance. POUR LA PREMIÈRE FOIS, le terme « aliénation parentale » est effectivement inclus dans la nouvelle classification. L'aliénation parentale n'est pas un diagnostic distinct de la CIM-11, mais elle est considérée comme un synonyme ou comme un indice du diagnostic précis, intitulé « problème de relation parent-enfant » (Ayant pour référence : QE52.0). La version de la CIM-11 est disponible gratuitement sur Internet à l'adresse https://icd.who.int/  L’aliénation parentale figure dans l’index de la CIM-11.

Les termes «aliénation parentale» (parental alienation) et «exclusion parentale» (parental estrangement) sont clairement reconnus puisqu’ils  figurent dans l'Index de la série de trois volumes de la CIM 11.

Les deux termes amènent le lecteur à poser le diagnostic de problème de relation entre le parent et l'enfant (celui qui s’occupe de l’enfant et l’enfant : “index terms” for caregiver-child relationship problem) , ce que le personnel en charge de la classification a bien confirmé. Nous savions depuis toujours que l'aliénation parentale ne serait pas un diagnostic distinct, mais qu’elle est considérée et qu’elle est assurément affiliée comme étant un autre terme pour décrire le problème de la relation parent-enfant. L'aliénation parentale est donc dans la CIM-11 et reconnaît cette réalité. »

 

Or, la Ministre de la Justice a déclaré, ce 12 juillet 2018, qu’une note a été publiée sur le site « intranet » de la direction des affaires civiles et du sceau du Ministère de la Justice pour informer les magistrats du caractère controversé et non reconnu du SAP (sous-entendu l’aliénation parentale puisque là encore le flou est maintenu).

Cette publication pose un réel et sérieux problème, sans même tenir compte des avis scientifiques (A commencer par la position de la CIM-11 antérieure à la déclaration de la Ministre) et peut bel et bien non seulement venir influencer gravement la prise de décisions par des magistrats, minimiser, voire insuffler un risque réel de déni face à la réalité de l’aliénation parentale (ou de l’exclusion parentale) et accentuer plus encore de nombreux drames familiaux et même des tragédies développées lors de séparations conflictuelles, sacrifiant en premier lieu des milliers d’enfants, puis des milliers de parents et collatéralement de familles (A commencer par les grands-parents) tout aussi injustement, illégalement et inhumainement écartés, bafouant plus encore les conventions européennes et internationales liées aux droits fondamentaux de l’Enfant et des droits de l’Homme (Respect de la vie familiale, respect de l’entretien de relations personnelles et de contacts directs de l’enfant avec ses deux parents, responsabilité commune des deux parents afin d’élever et d’assurer le développement de l’enfant)

 

Est-ce que la France, est-ce que la Ministre de la Justice réalisent le retard, l’immense retard, que notre pays conserve, voire accentue, par rapport à nos voisins Européens, par rapport au nombre de plus important de pays à travers le monde qui prennent les mesures qui s’imposent (Protection, projets de loi, formation des professionnels, condamnations en cas de besoin, obligation de soins,…) pour faire barrage aux graves dégâts liés à l’aliénation parentale ?

 

Visiblement pas ! C’est affligeant !

 

Ci-dessous, la question de L. Rossignol et la réponse de la Ministre de la Justice le 12 juillet 2018 :

Reponse du ministre de la justice 12 juillet 2018 a question ecrite 2674 rossignol senatReponse du ministre de la justice 12 juillet 2018 a question ecrite 2674 rossignol senat (218.41 Ko)

 


Capture la france accentue le retard

 

LES PAYS-BAS disent NON à l'aliénation parentale...!

Le Parlement Néerlandais a adopté plusieurs motions le 6 juillet 2018 afin de lutter efficacement contre l’aliénation parentale et de sanctionner les parents aliénants bloquant la communication et se rendant coupables de non-représentations d’enfant. Ces motions viennent renforcer le Code pénal afin de sanctionner de tels comportements et confirment la notion de délit sérieux en commettant de tels abus psychologiques.

De même, depuis 2016 à travers l'Europe, la Roumanie, l'Italie, la Croatie, l'Espagne, la République Tchèque, le Portugal, la Suisse, la Grande-Bretagne,..., progressent pour la mise en place d'une vraie résidence alternée, pour la lutte effective contre les non-représentations d'enfant, pour la lutte contre l'aliénation parentale et ses conséquences...

Et en France, pendant ce temps là, les drames familiaux et les tragédies liées à l'aliénation parentale se poursuivent et progressent compte tenu des séparations conflictuelles de plus en plus nombreuses. 

 


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O.M.S. : La proposition finale de la "CIM-11" est parue aux Etats-Unis le 18 juin 2018.

Pour les professionnels, il apparaît à partir de ce jour que même si l’aliénation parentale n'est pas formellement incluse en tant que telle dans la liste des maladies, elle est dorénavant incluse dans l'index des termes se rattachant à la proposition de la CIM-11 (ICD-11 en anglais) sous le code « QE52.0 » se rapportant aux pathologies relatives au problème de relation "parent-enfant". Malgré tout, un grand pas est franchi !

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CIM-11 (Fr)

ICD-11 (US/GB)

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________________

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► Les déclarations de Madame Laurence ROSSIGNOL, ex-Ministre des Familles, aujourd'hui Sénatrice de l'Oise, continuent de choquer.

 

Une fois de plus, Madame Laurence ROSSIGNOL, aujourd’hui devenue Sénatrice de l’Oise (Hauts-de-France) se comporte de façon inacceptable, faisant preuve d’un déni effarant, malgré les preuves apportées à propos de l’existence indiscutable de l’aliénation parentale et de ses conséquences.

Fin décembre dernier elle s’est même « attaquée » à Madame Nicole BELLOUBET, Ministre de la Justice, lui réclamant alors la diffusion d'instructions à l'attention des juges aux affaires familiales et de la magistrature visant à proscrire l'utilisation du syndrome d'aliénation parentale. 

A ce jour le Ministère de la Justice n’y a pas répondu.

Le « flou artistique » entretenu à propos du SAP et de l’aliénation parentale elle-même et ses conséquences est tout aussi inadmissible. L’aliénation parentale existe et a été amplement prouvée, n’en déplaise à Madame ROSSIGNOL !

Voici le courrier adressé par JM2P à Madame L. ROSSIGNOL et, pour information, à Madame N. BELLOUBET, Ministre de la Justice. 

 

Madame la Sénatrice,

 

Si nous vous adressons ce courrier, c’est pour faire suite aux multiples interventions que nous avions faites lorsque vous étiez encore Ministre des Familles, interventions non seulement de la part de notre association, mais aussi de la part de professionnels de la santé, du social et de la Fédération paneuropéenne COLIBRI à laquelle nous appartenons et qui est présidée par le Docteur Vittorio Carlo VEZZETTI, Pédiatre et spécialiste des troubles subis suite à la séparation parentale (La Fédération paneuropéenne COLIBRI regroupant non seulement de nombreuses associations européennes, mais également de nombreux praticiens à travers l’Europe entière).

 

En effet, Madame la Sénatrice, comment ne pas être choqués et même indignés face à votre question écrite n° 02674 publiée dans le J.O. du Sénat en date du 28/12/2017 - page 4666, appelant l'attention de Madame Nicole BELLOUBET, Garde des sceaux, et Ministre de la justice à propos du syndrome d’aliénation parentale et/ou l’aliénation parentale ?

 

Votre question écrite a choqué autant les femmes que les hommes qui adhèrent et/ou gravitent autour de notre association, mais aussi tant d’autres associations, y compris hors de frontières de France.

 

Est-ce à dire, Madame la Sénatrice, que vous ne donnez aucun crédit, ni même le moindre intérêt, aux courriers et informations qui vous furent adressés entre 2015 et 2017, alors que vous étiez encore Ministre des Familles, des courriers émanant aussi bien de notre association (Par exemple : 30 décembre 2016 – 28 janvier 2017 – 6 avril 2017 et 27 avril 2017), que de l'éminent Psychiatre et Professeur, William BERNET, du Département de psychiatrie de l'Université de Médecine Vanderbilt à Nashville, Tennessee (USA), que du Professeur Edward KRUK, Professeur agrégé en Travail Social à l'Université de la Colombie-Britannique (CANADA), spécialisé dans la politique de l'enfance et de la famille ou bien encore du Docteur Vittorio Carlo VEZZETTI (ITALIE), Pédiatre et spécialiste des troubles subis suite à la séparation parentale et Président de la Fédération paneuropéenne COLIBRI et de Cătălin BOGDAN, Vice-président de la Fédération paneuropéenne COLIBRI (6 février 2017 – 10 avril 2017) ?

 

Madame la Sénatrice, vous semblez bel et bien vous entêter à vous enfermer dans le déni concernant l’aliénation parentale et/ou le syndrome d’aliénation parentale (Puisque, de plus, depuis plusieurs années maintenant, vous cherchez à jouer également sur les mots).

 

Comme il vous a déjà été déclaré, puisque vous semblez faire preuve d'un déni durable particulièrement inconcevable, il est ahurissant de venir lier l'aliénation parentale à la protection des mères et de leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale, ce qui est purement abject (Votre publication - 4ème plan de Prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes - Axe D - Objectif 19 : « Protéger les mères et leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale pendant et après la séparation.», page 41 et l’ « Action 58 » y figurant).

 

L'aliénation parentale, Madame la Sénatrice, n'a pas de genre ni de sexe!

 

La manipulation et l'emprise psychologiques sur l'enfant peuvent être à la fois pratiquées tant par le père que par la mère, voire parfois par d'autres membres de la famille.

Venir lier la protection des mères et de leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale et tacitement ne pas vouloir lier la protection des pères et de leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale est une bassesse, pour ne pas dire une infamie, sans fond et vient clairement jeter, au surplus, un pavé sur le chantier gouvernemental visant l'égalité entre les femmes et les hommes !

 

Comment oser venir, encore aujourd’hui, rejeter tout concept d’aliénation parentale ? Votre déni vient gravement bafouer le travail de tant de chercheurs, de praticiens et cliniciens qui, à travers le monde ont amplement prouvé l’aliénation parentale et ses conséquences.

Les chercheurs, cliniciens et professionnels de la santé tels que, à titre d’exemples :

 

Les docteurs Jayne A. Major (psychologue et éducatrice spécialisée à la famille), Ludwig F. Lowenstein (Docteur en psychologie), Professeur Richard A. Gardner (psychiatre et psychologue),   Michael R. Walsh et J. Michael Bone (psychologues et médiateurs), Hubert Van Gijseghem (Docteur en psychologie), les professeurs Hayez et Kinoo (professeurs de pédopsychiatrie) ou bien encore du côté français, les docteurs Paul Bensussan (psychiatre et expert auprès des Tribunaux et Roland Broca (psychiatre), le professeur Edward Kruk, spécialisé en sciences sociales et familiales de l'Université de Colombie-Britannique et le Professeur et psychiatre, William Bernet, du Département de psychiatrie de l'Université  de Médecine de Nashville Tennessee, Président de l'organisation mondiale d'étude sur l'aliénation parentale, Karen et Nick Woodall, thérapeutes et responsables de la Clinique contre l’aliénation parentale à Londres, Catherine Cyr-Villeneuve, docteur en psychologie au Québec, le Professeur C.A. Childress, psychiatre, et Amy J.L. Baker, USA,… (Et la liste est loin d’être achevée), seront particulièrement « charmés par vos discours » et ce n’est pas faute d’avoir tenté de vous ouvrir les yeux sur la question.

 

De plus, vous n’êtes pas sans ignorer (puisque nous vous en avions officiellement informée) que l'Europe s’est dotée, l’an dernier d'une association Européenne des Praticiens de l'Aliénation Parentale ("The European Association of Parental Alienation Practitioners").

Il existe déjà depuis des années la même structure « internationale » cette fois intitulée « Parental Alienation Study Group, Inc » (PASG), regroupant près de 500 spécialistes, chercheurs, docteurs et scientifiques à travers le monde entier et qui travaillent depuis des années sur l’aliénation parentale et ses conséquences, tant sur l’enfants que sur les parents aliénés et les aliénants.

 

Unique en son genre sur notre continent, l'association Européenne des Praticiens de l'Aliénation Parentale est d'ores et déjà composée de praticiens d'Europe travaillant avec des enfants aliénés et leurs familles, œuvrant ensemble afin de mieux comprendre les mécanismes de l'aliénation parentale, par la pratique et la recherche, et mettent en place les meilleures pratiques dans ce domaine.

De même, une "Clinique de séparation familiale" (Family Separation Clinic) située à Londres offre, depuis des années déjà, des services spécialisés aux familles en plein divorce et séparation conflictuels et, en particulier, lorsqu'un enfant se trouve en situation anormale de rejet envers l'un de ses parents, victime évidente d'aliénation parentale.

 

Enfin, et j’en resterai là, même si nous pourrions vous apporter encore tant d’éléments venant vous démontrer que votre déni est devenu aujourd’hui impardonnable (Tel que l’aliénation parentale et ses conséquences bel et bien enseignée en France dans le cadre du cursus des lycéens en Sciences et Techniques Sanitaires et Sociales, qui étudient au sein de l'émergence d'un problème social celui de l'aliénation parentale et ses conséquences, ou S.A.P. Pages 113 à 119 de l'ouvrage d'enseignement utilisé par les enseignants et les élèves (T.D. de méthodologie et de cours) dans le cadre des sciences et techniques sanitaires et sociales (classes de 1ère ST2S) aux Editions Casteilla), vous n’êtes pas sans savoir, puisque nous vous l’annoncions dès l’an dernier, que la prochaine classification internationale des maladies effectuée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) intitulée CIM-11 devrait voir le jour d’ici peu, au cours de cette année 2018. Et dans cette nouvelle édition, les mots « aliénation parentale » et « exclusion parentale » seront visiblement intégrés au sein de la CIM-11, l'aliénation parentale n'étant pas intégré comme étant un diagnostic distinct mais se trouvera classée dans le diagnostic relatif au problème de relation "parent-enfant".

 

Tout comme il vous avait déjà été démontré en 2016 par le psychiatre et Professeur, William BERNET, du Département de psychiatrie de l'Université  de Médecine Vanderbilt à Nashville, Tennessee (Etats Unis) que : « Les experts du Groupe de travail du DSM-5 avaient dit il y a 2 ou 3 ans qu'ils ne voulaient pas que l'aliénation parentale figure comme un diagnostic séparé dans le DSM-5, mais qu’ils avaient pensé que l'aliénation parentale pourrait être considérée comme un exemple dans d'autres diagnostics qui sont dans le DSM-5.

 

Les termes "aliénation parentale" ne figurent pas dans le DSM-5, mais plusieurs diagnostics peuvent être utilisés dans ces situations. Je dirais que l'«esprit» de l'aliénation parentale est dans le DSM-5, même si les mots n’y sont pas.


Le « Problème relationnel Parent-Enfant » dispose désormais d'un chapitre dans le DSM-5, et pas seulement d’une étiquette. La discussion explique que les problèmes cognitifs dans un problème relationnel parent-enfant" peuvent inclure des attributions négatives aux intentions de l'autre, de l'hostilité envers l’autre ou la prise de l’autre comme bouc émissaire, ainsi que des sentiments d'éloignement injustifiés."

C'est une assez bonne description d'un enfant du point de vue du parent aliéné, même s'il s'agit d'une utilisation malheureuse du mot «éloignement».


 « Abus psychologique de l'enfant » est un nouveau diagnostic dans le DSM-5. Il est défini comme « actes non accidentels de violence verbale ou symbolique de la part d’un parent ou d’un adulte proche, qui ont pour résultat, ou qui ont potentiellement pour résultat, un dommage psychologique significatif chez l'enfant."

Dans de nombreux cas, le comportement du parent aliénant constitue un abus psychologique de l'enfant.

 

« Enfant affecté par une relation parentale en détresse » est un autre nouveau diagnostic dans le DSM-5. Il doit être utilisé "lors de l’examen clinique d’un enfant dans la famille, si la discorde parentale (par exemple, des niveaux élevés de conflit, de détresse ou dénigrement), a des effets négatifs sur l’enfant dans sa famille, y compris avec des effets inducteurs de troubles psychiques ou physiques chez l'enfant. " C'est également une bonne description de la façon dont l'aliénation parentale apparaît.

...

En conclusion, le concept de l'aliénation parentale figure clairement dans le DSM-5, bien que les mots exacts n’y soient pas."

 

Comme vous le savez, alors que vous étiez alors encore Ministre, une quinzaine d'associations de France a décidé, l’an dernier, de porter plainte contre vous-même, en tant que Ministre des Familles, devant la Cour de justice de la République, suite à vos prises de position sur le bannissement de l'AP et/ou SAP dans le cadre du cinquième plan de mobilisation et de lutte contre les violences faites aux femmes visant l'objectif intitulé : « Protéger les mères et leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale pendant et après la séparation », faisant suite à la publication du bilan relatif au 4ème plan de Prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes (2014-2016) et l'intervention auprès de la justice par la prochaine publication d'une fiche sur le site du Ministère de la Justice, visant à proscrire l'utilisation du "concept idéologique" dénommé SAP (Syndrome d'aliénation parentale) ou AP (Aliénation parentale).

 

Notre association "J'aime mes 2 Parents" n’avait pas voulu participer à cette procédure, osant, encore, espérer compter sur le dialogue, sur le bon sens, la concertation et  la correction qui devait être menée de toute urgence afin de retirer vos déclarations et d’annuler votre volonté de publication d'une fiche sur le site du Ministère de la Justice que vous demandiez avec véhémence… Mais en fait, vous semblez, bel et bien,  vous entêter à le faire faire encore, par l’intermédiaire de votre question écrite n° 02674 publiée dans le J.O. du Sénat en date du 28/12/2017 - page 4666, à l'attention de Madame Nicole BELLOUBET, Garde des sceaux, et Ministre de la justice. C’est déplorable et profondément désespérant !

 

Cela démontre, hélas, un déni qui n’a aucune raison d’être car l’aliénation parentale frappe des milliers de victimes chaque année en France, à commencer par les enfants eux-mêmes, mais aussi autant de mères que de pères et collatéralement des grands-parents, des oncles, tantes, etc.

 

Savez-vous, Madame la Sénatrice, qu'en matière de lutte contre l'exclusion parentale, la France a pris un énorme retard depuis 2012 et plus encore aujourd’hui, comparativement à ce qui se passe en Europe, à commencer par la Grande-Bretagne, la Belgique, la Roumanie, la Croatie, la République Tchèque, l’Espagne, l’Italie, etc...?

Vos prises de positions risquent plus encore d’accentuer gravement ce retard et risquent, de plus, venir grossir de façon très importante le nombre d'enfants et de familles victimes d'aliénation parentale, d'exclusion parentale et venir accentuer plus encore le nombre de drames familiaux déjà alarmant...

Avez-vous décidé, Madame la Sénatrice, de cautionner ces drames familiaux, de devenir, en quelque sorte, responsable de cette prévisible augmentation de drames, broyant à jamais des milliers d'enfants, de parents (femmes et hommes) et de familles ?

Compte tenu de l'état actuel de la recherche internationale et du consensus parmi celles et ceux qui ont étudié de près, en détail, humainement, scientifiquement et cliniquement l'aliénation parentale et ses terribles conséquences, il est plus qu'urgent de réformer la loi afin de résoudre le problème. Les professionnels de la santé mentale, les décideurs et les législateurs doivent agir ensemble et mettre en place toutes les mesures nécessaires afin de mettre fin à ces abus psychologiques graves.

 

Rappelons aussi qu’en 2016, l'association américaine de psychologie, l'APA, est venue enfin reconnaître que l'aliénation parentale est bel et bien un abus psychologique grave infligé à l'enfant.  Le Docteur et Professeur Joseph SPINAZZOLA, Directeur du centre de traumatologie à l'Institut de ressources judiciaires, Massachusetts – USA au nom de l’APA - l'American Psychological Association : « L’aliénation parentale est un abus psychologique grave et doit être non seulement pris en charge, mais combattue à tous les niveaux (Au plan médical, social et judiciaire). »

 

Chaque enfant a droit à ses deux parents, chaque enfant a besoin de ses deux parents, chaque enfant a le droit d'aimer et d'entretenir des relations avec ses ascendants, à commencer avec ses parents. Et nul n'a le droit de salir et de calomnier l'autre parent (qu’il soit femme ou homme), devant l'enfant, afin de détruire petit à petit l'image de ce parent injustement diffamé, de manipuler l'enfant et lui instiller de fausses idées, de fausses informations et empêcher toute possibilité de rester maître de ses sentiments et de ses facultés de libre-arbitre.    

 

Espérant que vous comprendrez les erreurs commises et qu'il faut y remédier urgemment, plutôt que de vous obstiner, par erreur, dans le déni, veuillez croire, Madame la Sénatrice, à l’assurance de notre haute considération.

 

L’association « J’aime mes 2 Parents »

 

Notre page consacrée aux échanges de JM2P avec Madame ROSSIGNOL, cliquez sur : JM2P & Mme Laurence ROSSIGNOL

 

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► ROMPRE LE SILENCE : Tous ensemble à travers le monde pour dénoncer l'aliénation parentale et ses terribles conséquences...

 

Nous sommes tous dans l'attente impatiente de la prochaine classification des maladies, la CIM-11, publiée par l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé). Dans cette nouvelle édition, les mots « aliénation parentale » et « exclusion parentale » ont été intégrés dans la dernière mouture de la CIM-11, avant publication finale. L'aliénation parentale n'y est pas intégrée comme étant un "diagnostic distinct" mais elle se trouve bel et bien classée dans le diagnostic pathologique relatif au problème de relation "parent-enfant". Cette publication officielle est attendue avec un vif intérêt au cours de cette année 2018...

 

 

« L’aliénation parentale est un abus psychologique grave et doit être non seulement pris en charge, mais combattue à tous les niveaux (Au plan médical, social et judiciaire) »

 

Docteur et Professeur Joseph SPINAZZOLA, Directeur du centre de traumatologie à l'Institut de ressources judiciaires, Massachusetts, USA au nom de l’APA (American Psychological Association),

Docteur et Professeur  William BERNET du Département de psychiatrie de l'Université  de Médecine Vanderbilt à Nashville, Tennessee, USA.

 

 

► Mai-juin 2018 : La fête des Mères, la fête des Pères, des instants qui peuvent être particulièrement  douloureux... "JM2P" pense spécialement à celles et ceux, enfants, mamans et papas, qui se trouvent injustement exclus, anormalement isolés et oubliés...

Fete des meres et des peres 2018

A g i r

 

► Le 16 mai 2018 : TOUS POUR L'EQUITE PARENTALE, le respect de chacun et chacune : mamans, papas, grands-parents,... Pour le bien-être de l'enfant.

 

A LILLE, mais aussi à travers la France, un vaste mouvement national pour défendre la coparentalité et son application s'est mobilisé. L'équité parentale, quoi de plus légitime ? 

Le 16 mai 2018, des parents, femmes et hommes, des grands-parents, citoyens responsables se sont réunis devant 22 TGI de France pour faire prendre conscience aux magistrats mais aussi et surtout à nos dirigeants que les enfants, malgré la séparation de leurs parents, ont besoin d’eux et n’ont nullement à devenir orphelin de mère, mais plus généralement de père.
 
L'association JM2P a pu compter sur la présence d'une petite dizaine d'adhérents des Hauts-de-France à Lille, venus soutenir le rassemblement pour "l'équité parentale - Papas modernes" (qui à l'avenir devrait être rebaptisé "Equité parentale - parents modernes") Pour davantage d'informations et de détails sur cette journée de l'"équité parentale" du 16 mai, cliquez sur le lien ci-contre : Mercredi 16 mai 2018 : JOURNEE POUR L'EQUITE PARENTALE
 
Et pour en savoir plus sur ce mouvement national : http://www.equiteparentale.com/
 
REPORTAGE DE GRAND-LILLE TV - JOURNÉE DU 16 MAI 2018 :
 
 
Les TGI qui ont été le théâtre de rassemblements le 16 mai :  ANGERS, BORDEAUX, BOURG-EN-BRESSE, BESANÇON, CAEN, CASTRES,  EVREUX, GRENOBLE, LILLE, LYON, MULHOUSE, NANTES, ORLÉANS, PAPEETE, PARIS, POITIERS, REIMS, RENNES, SAINT-ETIENNE, SENLIS, TOULON et TOULOUSE.
 
A LILLE : 
Dsc05477
Dsc05486
 

M2s breaking news

 

► STOP INFO : UN DES MESSAGES DU 25 AVRIL RETROUVÉ AU DANEMARK ! :

 

Les ballons du 25 avril contre l'aliénation parentale ! Un message retrouvé au DANEMARK !

A 623 kms à vol d’oiseau de Lille (Le 32ème message a donc été retrouvé cette année grâce à une habitante de Blåvand, qui a retrouvé un message sur la plage !).

Au total, sur ces quatre dernières années près de 200 ballons et leurs messages ont été retrouvés et signalés à l’association, sensibilisant ainsi des habitants de 8 pays différents : la France, la Belgique, les Pays-Bas, l'Allemagne, le Luxembourg, la Pologne (1 ballon arrivé en 2017), le Danemark (1 ballon arrivé en 2018) et l'Islande (puisque simultanément l’association a organisé le lâcher de 50 ballons, chaque année, depuis Reykjavik). »

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“Rien dans ce monde n'arrive par hasard." (Paulo Coelho)

C'est ainsi que le ballon retrouvé au Danemark avait été lâché par le Maire d'Hellemmes, Monsieur Franck GHERBI, invité d'honneur de l'opération "Ballons de 2018". (Il s'agissait du gros ballon du stand, d'où un temps de vol largement supérieur à celui des 500 autres ballons envolés au même moment.). L'association le remercie très sincèrement pour son soutien à notre légitime cause.

 

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M2s breaking news

Mobilisons-nous à LILLE et à travers toute la FRANCE le 16 mai 2018...

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Notre association a été amplement sollicitée par plusieurs départements de France pour participer au mouvement national du 16 mai 2018 piloté par le groupe « Équité parentale – Papas modernes » et a reçu la déclaration suivante : « Toutes les associations dont l'objectif nous rejoint en totalité ou en partie sont les bienvenues. »

 

LA VOIX DU NORD ET NORD ECLAIR - MARDI 8 MAI 2018

ET MERCREDI 9 MAI 2018 :

Vdn ne 09 05 2018

L'association JM2P : C’est après mûre réflexion et consultation du Bureau exécutif et faisant référence à la mention « ...dont l’objectif nous rejoint en partie » que l’association se sent concernée et encourage ses adhérents à prendre part à la manifestation du 16 mai 2018 devant les TGI de France. L’association sera présente devant le TGI de LILLE, et les adhérents des autres secteurs de la région des Hauts de France (TGI d’ARRAS, d’AMIENS,…) tout comme les adhérents des autres régions de France, peuvent s’y associer également près de chez eux. Vous trouverez selon le département où vous résidez, toutes les informations liées à cette manifestation nationale du mercredi 16 mai 2018 à l’adresse : http://www.equiteparentale.com/

 

Même si nous nous ne pouvons pas accepter la totalité de l’objectif de cette opération, compte tenu d’une mise en avant parfois trop intense de la position des pères sur les documents présentés (y compris l’expression « papas modernes » accolée avec « équité parentale »), alors que si nous parlons d’équité parentale, de coparentalité, il semble dès lors maladroit (Pourquoi ne pas faire figurer « papas et mamans », ou « parents » ?) de risquer une différence entre les 2 parents même s’il est vrai que la réalité lors de la séparation reste trop souvent déséquilibrée, au détriment des pères, « J’aime mes 2 Parents » ne peut qu’encourager cette opération.

Luttant contre l’aliénation parentale et ses terribles conséquences, la question du genre ne se pose pas puisque tant les mères que les pères peuvent en être victimes et collatéralement les autres membres de la famille (A commencer par les grands-parents) et tous les enfants de ces parents-là le sont inéluctablement.

 

En conséquence, pour les raisons suivantes, l’association « J’aime mes 2 Parents » vous informe et vous conseille de vous associer à ce mouvement national d’ampleur et de vous rendre auprès du TGI le plus proche de votre domicile le mercredi 16 mai 2018. (A Lille, de 12h00 à 18h00 – le temps fort de cette journée étant de 12h00 à 14h00).

 

Nos raisons :

 

- Pour que les enfants puissent vivre équitablement avec leurs 2 parents malgré leur séparation et/ou divorce. Actuellement, en France, plus de 920.000 enfants ne voient plus l’un de leurs deux parents ; c’est intolérable !

 

- Pour que le principe de la coparentalité et l’ensemble des règles qui en découlent, rappelé par la loi du 4 mars 2002, soit effectivement appliqué.

 

- Pour empêcher que le système judiciaire, mais aussi social instaurent un réel statut de « parent de première classe » (Généralement le parent ayant la résidence principale de l’enfant, on bien encore le parent aliénant (en cas d’emprise et de manipulation psychologiques exercées sur l’enfant) et pour l’autre parent un statut de « parent de seconde classe ». Non seulement l’enfant a besoin de ses 2 parents, sans la moindre disparité, mais, de plus, il ne divorce pas de ses parents !

 

- Pour que les Conventions européennes et internationales dans ce domaine soient assurément respectées, à commencer par :

 

L’article 8 de la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales : « Toute personne a droit au respect de sa vie familiale… ».

 

L’article 9 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant : « Les États parties respectent le droit de l'enfant séparé de ses deux parents ou de l'un d'eux d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents, sauf si cela est contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant ».

 

L’article 18 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant : « Les États parties s'emploient de leur mieux à assurer la reconnaissance du principe selon lequel les deux parents ont une responsabilité commune pour ce qui est d'élever l'enfant et d'assurer son développement ».

 

- Pour que les conflits familiaux liés à la séparation soient pris en charge et que ceux-ci soient traités en toute équité et apportent toute la protection nécessaire et l’aide professionnelle exigée aux victimes de l’exclusion parentale, de l’aliénation parentale.

 

- Pour que la famille ne soit plus traitée par nos gouvernants, par les pouvoirs publics,  comme étant accessoire, voire inexistante, au point de supprimer le Ministère et/ou le Secrétariat d’Etat qui s’y consacraient.

 

- Pour que l'Etat vote enfin de réels budgets afin de doter les Juges aux formations nécessaires et de gérer un nombre raisonnable de dossiers, afin permettre un travail sérieux et professionnel dans ce domaine et d’appliquer comme il se doit le principe de la coparentalité et l’ensemble des règles qui en découlent, sans limiter l’utilisation des outils nécessaires afin d’y arriver (médiation, expertises,...) et d’empêcher la multiplication du nombre de drames et de tragédies familiales liés aux conflits de la séparation et aux phénomènes d’exclusion (aliénation parentale) progressant de façon très inquiétante au sein de la société, responsables, de plus, d’une augmentation non négligeable de dérives et déviances possibles de la part de victimes de ces exclusions familiales profondément injustes et arbitraires.

 

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Photos de l'envol des ballons de LILLE, le 25 avril 2018 - Journée mondiale contre l'aliénation parentale et pour le maintien du lien parental.

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LE PREMIER BALLON A ÉTÉ TROUVÉ AUX PAYS-BAS AU SUD DE ROTTERDAM !

THE FIRST BALLOON HAS BEEN FOUND NEAR ROTTERDAM (NETHERLANDS) !

 

NOMBRE DE BALLONS RETROUVÉS : 32 - Mis à jour le 19 mai à 22:30.

NUMBER OF FOUND BALLOONS : 32 - Updated on May 19th at 22:30. 

16 ballons en Belgique - 16 balloons in Belgium

15 ballons aux Pays-Bas - 15 balloons in Netherlands

1 ballon au Danemark - 1 balloon in Denmark !

 

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S’il y a bien une chose que les gouvernements successifs de ces dernières décennies n’ont pas compris, ce sont bel et bien les terribles conséquences observées face aux séparations parentales conflictuelles qui ne cessent d’augmenter. L’aliénation parentale découle directement de celles-ci, sans compter un tas de dérives et de déviances…

Halte au massacre !

N'hésitez pas à signer la pétition internationale adressée à l'association Américaine de Psychologie (APA) qui représente l'un des plus importants organes de décision en matière de pathologies et de reconnaissance des troubles psychologiques et psychiatriques à travers le monde.

Le nom de cette pétition : "Ending the Pathology of "Parental Alienation" for All Children Everywhere."

(Mettre fin à la pathologie de "l'aliénation parentale" pour tous les enfants du monde).

Ci-dessous le lien direct à la pétition :

https://www.change.org/p/the-american-psychological-association-ending-parental-alienation-pathology-for-all-children-everywhere?utm_medium=email&utm_source=petition_signer_receipt&utm_campaign=triggered&j=254048&sfmc_sub=179406241&l=32_HTML&u=46244908&mid=7233052&jb=718237

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La justice réagit enfin...

La Guyane française montre l'exemple, la Cour de Cassation confirme.

 

La Cour de Cassation a pris une décision particulièrement importante, faisant de suite jurisprudence face à la non-représentation d'enfant et au déménagement abusif afin d'empêcher l'autre parent d'exercer son droit de visite et d'hébergement, lors de son audience du 29 novembre 2017.

En effet, la Cour de Cassation a validé le jugement de la Cour d'Appel de Cayenne (Guyane française) qui avait pris la décision de transférer le résidence de l'enfant chez le père car la mère avait empêché ce dernier d'être en contact et de pouvoir exercer ses droits de visite et d'hébergement avec sa fille âgée aujourd'hui de 7 ans. A la séparation des parents, la résidence habituelle de l’enfant avait été fixée chez la mère à compter de 2013. Pour le père, il n'a pas été facile de pouvoir rester en contact avec l'enfant compte tenu du comportement de la mère qui n'a pas hésité, de plus, au cours du mois de juin 2016, de venir s'installer en Métropole sans que le père de l'enfant ne puisse garder le moindre contact avec l'enfant (Déménagement pour convenance personnelle sans que le père ni le Juge n'aient été informés et adresse inconnue pour le père en France) avant la fin juin 2017.

C'est dans ces conditions que le 11 août 2017 la Cour d'Appel de Cayenne a prononcé, dans l'intérêt de l'enfant, le transfert de la résidence habituelle de la fillette au profit de son père compte tenu des comportements de la mère ayant empêché la l'enfant de pouvoir maintenir le lien avec son père.

L'intérêt de l'enfant commande que soient maintenus les liens de l'enfant avec ses deux parents et tant la Cour d'Appel que la Cour de Cassation ont considéré, à juste titre, que le comportement de la mère a compromis cet équilibre et a donc justifié le changement de résidence habituel de l'enfant.

Qu'attentent les autres Tribunaux Français pour suivre l'exemple guyanais et sanctionner également de tels comportements commis tant par des mères que des pères irresponsables, considérant l'enfant comme étant leur "propriété privée" et voulant nuire autant que possible à la relation entre l'enfant et l'autre parent ?

 

Références :

Cour de cassation (Paris)
Chambre civile 1

Nº de pourvoi : 17-24015

Audience publique du mercredi 29 novembre 2017.

 

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M2s breaking news

Noël 2017 est proche, mais cette année encore combien de centaines de milliers de parents, combien d'autres milliers de grands-parents, combien de centaines de milliers d'enfants et d'adolescents de France (et d'ailleurs) ne passeront pas ces fêtes de fin d'année ensemble, ni même les autres jours qui suivront ?  Des jours et des nuits, des mois, des années...

Quoi de plus douloureux que cette attente imposée, totalement injuste et imméritée, une attente sans fin, loin de nos enfants bien-aimés, de nos petits-enfants chéris, parce qu'ils nous ont été arrachés en toute inhumanité, en toute illégalité, par des parents irresponsables voulant coûte que coûte s'approprier les enfants pour eux-mêmes, quitte à les manipuler, n'hésitant pas alors à anéantir et pulvériser les liens maternels ou paternels...?

L'association "J'aime mes 2 Parents" ne peut pas résoudre une telle ignominie, mais elle met tout en oeuvre afin que le pouvoirs publics  prennent enfin conscience de cette insupportable situation tant pour les enfants, les parents et les familles victimes d'aliénation parentale.

 A l'heure où les débats s'animent à propos de la résidence alternée, l'aliénation parentale reste inadmissiblement laissée de côté alors qu'elle détruit des familles entières mais aussi l'équilibre psychoaffectif de tant d'enfants.

Face à ces drames qui ne cessent de se multiplier, face aux preuves apportées par de nombreux scientifiques et cliniciens à travers le monde (la prochaine publication de la classification Internationale des Maladies par l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé), pour sa 11ème édition prévue en 2018, devrait en principe intégrer les termes précis d'"aliénation parentale" non pas comme étant un diagnostic distinct mais comme appartenant au diagnostic relatif au problème de relation "parent-enfant"), la France se doit d'agir comme vient de le faire dernièrement la Grande-Bretagne, la Roumanie,...  Mais à ce jour encore la France reste très en retard tant au plan européen qu'international.

Or, les séparations conflictuelles ne cessent de progresser, les phénomènes d'emprise et de manipulation psychologique exercés sur les enfants afin de rejeter l'autre parent, impliquent de plus en plus de dégâts psychologiques et psychiatriques...

L'association "J'aime mes 2 Parents" veut garder l'espoir est adresse ce message à toutes les victimes d'aliénation parentale. JM2P veut encore croire au miracle... Noël, n'est-ce pas la période de prédilection pour  croire plus encore aux miracles ? 

Association jm2p un douloureux noel 2017 pour les victimes d alienation parentale

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M2s breaking news

► Un nouveau pas de géant en Grande-Bretagne afin de lutter contre l'aliénation parentale.

 

L'aliénation parentale est estimée être présente dans 11% à 15% des divorces impliquant des enfants et le constat est très clair : les séparations conflictuelles ne cessent d'augmenter.

Dans ces conditions, la Grande-Bretagne va mettre en pratique des mesures, mises tout d'abord à l'essai dès le printemps 2018, afin d'éviter les manipulations infligées à l'enfant liées à l'aliénation parentale pouvant, dès lors, entraîner la perte permanente du contact entre le parent injustement décrié par l'autre parent et l'enfant.

Ainsi, les parents qui se séparent ou divorcent pourraient perdre le droit d'être en relation avec leurs enfants s'ils essaient sans relâche de les manipuler et de les retourner contre l'autre parent. Dans ce cas, tout parent qui manipule l'enfant, exerçant une réelle emprise psychologique dont le but ultime est de persuader l'enfant d'exclure définitivement l'autre parent de sa vie, se verra sanctionné.

Cette nouvelle approche donnera d'abord aux parents aliénants la possibilité de changer leur comportement à l'aide d'une thérapie intense et des évaluations qui s'ensuivront sur une période plus ou moins longue. Les parents aliénants qui ne répondront pas à cette thérapie ou refuseront de la suivre ne seront plus autorisés à vivre avec leurs enfants. Le contact entre le parent aliénant et l'enfant pourra alors être restreint ou même refusé pendant plusieurs mois. Dans les cas les plus extrêmes, le parent aliénant sera définitivement banni de tout contact avec l'enfant.

 

Sarah Parsons, Directrice-adjointe de la Cafcass (Service national de conseil et de soutien aux enfants et aux familles, un service d'Etat indépendant des tribunaux, des services sociaux, des autorités de l'éducation et de la santé créé en 2001 sous les auspices du Ministère Britannique de la Justice) le précise : "Nous reconnaissons de plus en plus que l'aliénation parentale est un phénomène qui ne cesse de progresser et le nombre de cas croissant sans cesse nous a permis de réaliser qu'il est absolument vital que nous prenions l'initiative de lutter efficacement contre les méfaits de l'aliénation parentale. Cette nouvelle approche est sans doute révolutionnaire, mais devenue indispensable." (17.11.2017 - The Guardian)

Ces nouvelles mesures mises à l'essai seront largement encouragées puisque les juges britanniques reconnaissent de plus en plus le phénomène d'aliénation parentale et ses conséquences dévastatrices. Certains d'entre eux ont déjà été contraints de transférer la résidence de l'enfant pour rétablir une relation entre l'enfant et un parent aliéné. Ils reconnaissent de plus en plus que l'aliénation parentale est extrêmement nuisible, dangereuse et s'apparente bel et bien à un abus psychologique grave.

 

"En Grande-Bretagne, nous avons récemment pris une position beaucoup plus claire relative à l'aliénation parentale et ses mécanismes, aussi nous voulons envoyer un message très clair et fort, car cet abus psychologique doit être combattu et contenu au plus vite." Sarah Parsons, Directrice-adjointe de la Cafcass. (17.11.2017 - The Guardian)

 

Conformément aux lois en vigueur, aux États-Unis et au Canada, des «coordonnateurs des parents» sont ordonnés et supervisés par les tribunaux pour aider à rétablir les relations entre les parents et les enfants identifiés comme étant aliénés. Au Mexique et au Brésil, l'aliénation parentale est un acte criminel, jugé comme tel devant les tribunaux correctionnels. Dans la lutte contre l'aliénation parentale, l'Europe avance également : La Roumanie espère légiférer d'ici peu (La reconnaissance a déjà été établie par les professionnels de la santé et de la justice), la Croatie, la République Tchèque, l'Espagne, l'Italie,..., avancent également. Et la Grande-Bretagne avance à grands pas... Y compris par la publication de rapports cliniques et scientifiques devenus incontestables, criante de vérité.

 

 

► L'association "J'aime mes 2 Parents" va souffler ses 5 bougies... Vdn ne 19 10 201719 octobre 2017 - La VOIX DU NORD et NORD-ECLAIR.     

 

Un insidieux rapport qui ne peut être accepté :  

Septembre 2017 : Une fois de plus, il y a erreur sur ce que représente l'aliénation parentale... C'est grave !

 

Sous le titre "Mieux protéger et accompagner les enfants co-victimes des violences conjugales", l’Observatoire Régional (Île de France) des Violences faites aux Femmes du Centre Hubertine Auclert vient de préconiser dans son rapport de 2017 fraîchement paru de faire connaître l’infondé scientifique du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP).

 

A la lecture de celui-ci on peut d'ores et déjà remarquer que, tout comme Madame l'ex-Ministre des Familles, Laurence ROSSIGNOL, le faisait plus ou moins insidieusement, le mélange entre aliénation parentale (AP) et syndrome d'aliénation parentale (SAP) ne cesse d'être mené (Ainsi, page 53 de ce rapport : « Le concept d’aliénation parentale, ou de syndrome d’aliénation parentale... »). C'est une manœuvre grave qui vient porter un sérieux préjudice à l'ensemble des enfants victimes de manipulations et d'emprise psychologiques sévères, généralement opérées par l'un des deux parents afin de nuire à la relation entre l'entant et l'autre parent dans le cadre de séparations et divorces conflictuels.

Et pourtant, n'en déplaise à celles et ceux qui chercheraient à démolir le concept d'aliénation parentale : le « Problème relationnel Parent-Enfant » dispose d'un chapitre très précis dans le DSM-5 (Manuel Américain de Définition et de Classification des maladies et troubles psychiatriques) expliquant que "les problèmes cognitifs dans un problème relationnel "parent-enfant" peuvent inclure des attributions négatives aux intentions de l'autre, de l'hostilité envers l’autre ou la prise de l’autre comme bouc émissaire, ainsi que des sentiments d'éloignement injustifiés."

De même,  même si à ce jour les mots "aliénation parentale" ne figurent pas dans le DSM-5, plusieurs diagnostics peuvent être utilisés dans ces situations.

 "Aussi, L'"esprit" de l'aliénation parentale figure d'ores et déjà dans le DSM-5, même si les mots n’y sont pas." comme l'ont maintes fois certifié le Professeur William BERNET du Département de Psychiatrie à l'Université de Médecine de Nashville aux Etats-Unis et responsable du "Parental Alienation Study Group" (PASG est consultable sur : https://pasg.info/) regroupant plus de 340 professionnels et chercheurs du monde entier et le Docteur Vittorio Carlo VEZZETTI, spécialiste de la Pédiatrie, qui ajoute : En Italie cela est traduit par alienazione, ce que la communauté scientifique utilise très fréquemment et que ce concept est amplement mentionné (2280 fois sur Google Scholar entre 1994 et 2014. On trouve également 185 articles publiés via le réseau d'information EBSCO et celui de PsycINFO (Medline en français) entre 2000 et 2013; seuls 11 articles critiquent le concept du SAP..."

 

A l'heure où, de plus en plus de pays progressent et travaillent ensemble avec les professionnels de la santé et de la justice (Y compris en Europe) afin de prendre en considération les désastreuses conséquences de l'aliénation parentale, les observations faites à l'encontre de l'aliénation parentale s'inscrivent non seulement à l'opposé de cette réalité, mais viennent désavouer le travail de nombreux chercheurs qui, bien loin des théories des années 1980 ont su mettre en lumière les mécanismes de manipulation et de violence psychologiques opérés sur l'enfant dans le processus d'aliénation parentale, pouvant alors entraîner de graves répercussions, tant psychologiques que parfois physiques... Même, l'APA, (American Psychological Association) qui a longtemps gardé ses distances reconnaît aujourd'hui de tels méfaits. L'APA est venue reconnaître durant le second semestre 2016 que l'aliénation parentale est bel et bien un abus psychologique grave infligé à l'enfant.

 

De plus, à travers le monde, des pères comme des mères manipulent psychologiquement leurs enfants entraînant une peur injustifiée, un manque de respect ou d'hostilité de ceux-ci envers l'autre parent et / ou d'autres membres de la famille de ce parent injustement rejeté au fil du temps. Ces parents manipulateurs démontrent une volonté claire d'exclure l'autre parent de la vie des enfants et collatéralement les autres membres de la famille. Les exemples cliniques ne manquent pas et ont fait l'objet de multiples publications anglophones.

 

Ce rapport du Centre Hubertine Auclert vient également reprendre clairement le contenu du 5ème plan de mobilisation et de lutte contre les violences faites aux femmes (2017-2019) mis en place essentiellement par le Ministère des Familles et intitulé : « Protéger les mères et leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale pendant et après la séparation » et tout particulièrement l'action 58 qui y figure : "Informer sur le caractère médicalement infondé du « syndrome d’aliénation parentale »" et de viser "la proscription de l’utilisation de ce concept via la publication d’une fiche sur ce sujet, sur le site du Ministère de la justice". 

 

Or, venir lier l'aliénation parentale à la protection des mères et de leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale est une pure ineptie mais aussi une totale abjection.  

L'aliénation parentale n'a pas de sexe ! La manipulation et l'emprise psychologiques sur l'enfant peuvent être à la fois pratiquées tant par le père que par la mère, voire parfois par d'autres membres de la famille.

Venir lier la protection des mères et de leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale et tacitement ne pas vouloir lier la protection des pères et de leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale représente une inqualifiable bassesse, pour ne pas dire une infamie, sans fond.

 

Ce rapport 2017 du Centre Hubertine Auclert souligne, comme dans le 5ème plan de mobilisation et de lutte contre les violences faites aux femmes : « Dans les cas de violences conjugales ou de violences faites aux enfants, l’allégation du « syndrome d’aliénation parentale » soulève de réelles difficultés. Elle conduit à décrédibiliser la parole de la mère, exceptionnellement du père ou de l’enfant... »

 

Or, rappelons-le, une fois de plus, l'aliénation parentale et ses conséquences affectent bel et bien autant la gent féminine que masculine et les effets sur les enfants sont catastrophiques tout comme pour les parents injustement écartés, broyés anéantis parce que le système judiciaire et médical n'a pas encore su prendre les mesures qui s'imposaient de toute urgence, sacrifiant ainsi enfants et adultes, les projetant en pleine détresse psychologique, pouvant engendrer dans un certain nombre de cas de graves répercussions tant psychologiques, psychiatriques que physiques et sociales.

 

Notre association JM2P regroupe autant de mères que de pères... Cela ne va pas à sens unique contrairement à ce que l'action ministérielle n°58 mentionnée plus haut dans le 5ème plan de mobilisation et de lutte contre les violences faites aux femmes, laisse clairement sous-entendre.

Cette prise de position a d'ailleurs entraîné une plainte collective de 15 associations de parents, déposée en avril dernier, auprès de la Cour de justice de la République, celle-ci étant la juridiction française compétente afin de juger les crimes ou délits commis par les membres du gouvernement lors de l’exercice de leurs fonctions.

 

Cela ne va pas davantage à sens unique contrairement à ce que souligne le rapport et les préconisations du groupe de travail réuni par l’Observatoire Régional (Île de France) des Violences faites aux Femmes du Centre Hubertine Auclert et son paragraphe 8.1.4 "Faire connaître l’infondé scientifique du Syndrome d’Aliénation Parentale" extrait du chapitre 8 de ce rapport traitant du renforcement de l’application de la loi sur l’autorité parentale permettant de garantir l’intérêt et la sécurité de l’enfant en cas de violences conjugales.

Ce paragraphe 8.1.4 est aberrant, mais aussi et surtout avilissant. 

 

Enfin, ce rapport oublie un point pourtant devenu essentiel et d'ores et déjà connu par de nombreux professionnels internationaux de la santé, sans doute sciemment occulté car très embarrassant pour celui-ci, mais aussi  invalidant plus encore les prises de position inadéquates de l'ancienne Ministre des Familles (Laurence ROSSIGNOL) : Les mots "aliénation parentale" apparaissent aujourd'hui clairement dans la dernière mouture, avant publication, de la CIM-11 qui sera la nouvelle "Classification Internationale des Maladies" soumise à l'Organisation Mondiale de la Santé et devrait donc être publiée dans sa version anglaise après validation définitive d'ici la fin 2018. L'aliénation parentale ne sera pas un diagnostic distinct dans la CIM-11, mais ces termes seront énumérés dans le diagnostic de "caregiver-child relationship problem" (soit globalement au sein des "problèmes de relation entre parent-enfant").

 

Nier l'existence de l'aliénation parentale est un pur déni de réalité, tant envers les victimes d'aliénation parentale qu'envers les milliers de professionnels qui luttent quotidiennement contre ce désastre.

L'aliénation parentale est amplement reconnue à travers le monde entier tant pas les milieux médicaux, psychiatriques et psychologiques, avec une publication de plus en plus vaste menée par de nombreux praticiens, cliniciens et chercheurs. Depuis quelques années, plus d'une centaine de livres et rapports a été publiée sur le sujet dans plus de 10 langues par d'imminents spécialistes et scientifiques.

Jouer la carte du déni face à l'aliénation parentale, ce n'est, et cela ne sera jamais, recevable.

 

Ne l'oublions jamais, la coparentalité doit  primer malgré la séparation ou le divorce; elle est et sera toujours essentielle.

De plus, chaque enfant a droit à ses deux parents, chaque enfant a besoin de ses deux parents, chaque enfant a le droit d'aimer et d'entretenir des relations avec ses ascendants, à commencer avec ses parents. Et nul n'a le droit de salir et de calomnier l'autre parent, devant l'enfant afin de détruire petit à petit l'image de ce parent injustement diffamé, de manipuler l'enfant et lui instiller de fausses idées, de fausses informations et empêcher toute possibilité de rester maître de ses sentiments et de ses facultés de libre-arbitre.     

 

 

Suite aux élections législatives de juin dernier...

 

"La Voix du Nord" et "Nord Eclair" des 31 juillet et 2 août 2017 :  

Vdn 02 08 2017 1Circonscript 14 et 15 legisMaintenant, l'ensemble des Députés du Nord a été destinataire d'une demande de rendez-vous. Les premiers rendez-vous avec les nouveaux Députés du Nord ont, d'ores et déjà,  été pris. Les premières rencontres ont été fixées durant la seconde quinzaine d'août et courant septembre 2017. A suivre...

 

L'Association Européenne des Praticiens de l'Aliénation Parentale est au travail... Et qu'en est-il de la France ?  

 

La première réunion de l'Association Européenne des Praticiens de l'Aliénation Parentale s'est déroulée le 11 juillet dernier à Prague (République Tchèque). Elle a permis de réunir un bon nombre de praticiens (thérapeutes, psychologues, experts et/ou chercheurs) travaillant avec des enfants et des familles victimes d'aliénation parentale. 

Le partenariat entre le Royaume-Uni (A commencer par la "Clinique de séparation familiale" (Family Separation Clinic) située à Londres offrant des services spécialisés aux familles en plein divorce et séparation conflictuels et, en particulier, lorsqu'un enfant se trouve en situation anormale de rejet envers l'un de ses parents, victime d'aliénation parentale), le Centre de protection de l'enfance de Zagreb, en Croatie, et un groupe de praticiens des Pays-Bas et de la Belgique ont permis d'étendre le travail de recherche et de résultats cliniques aux autres pays européens soucieux de combattre l'aliénation parentale. En travaillant en partenariat, chacun des pays européens peut dès lors apporter des réponses et des pratiques plus fortes et assurément reconnues face au problème de l'aliénation parentale. Cela permet de partager les connaissances acquises et de développer des politiques communes et des réponses aux pratiques de chaque pays en s'appuyant sur l'apprentissage de chaque pays membre.

Depuis le 11 juillet dernier un véritable travail européen et de partenariat a commencé et devrait s'étendre plus encore... (Des professionnels d'Allemagne, de Belgique, de Croatie, de Grande-Bretagne, d'Irlande, des Pays-Bas, de Roumanie, de Slovénie, de Suède,... sont d'ores et déjà intervenus lors de cette assemblée du 11 juillet 2017)

A ce jour, sauf erreur, nous n'avons pas connaissance de la participation professionnelle de la France... Qu'en est-il vraiment ?!!!

 

La disparition confirmée du Ministère de la Famille / des Familles / et de l'Enfance renforce  une légitime inquiétude...

 

Dans le second gouvernement nommé le 21 juin 2017, la disparition du Ministère des Familles et de l’Enfance est confirmée.

De même, aucun Secrétariat d'Etat n'a été mis en place pour accompagner et travailler auprès de la Ministre des Solidarités et de la Santé, Madame Agnès BUZYN, cette dernière ayant été confirmée à son poste de Ministre par M. Emmanuel MACRON, Président de la République, sur nouvelle proposition de M. Edouard PHILIPPE, Premier ministre.

Ce signe devient particulièrement  inquiétant pour de nombreuses associations défendant le droit à la coparentalité, luttant contre l'exclusion parentale et oeuvrant pour la défense des droits de l'enfant... 

Rappelons tout de même que les séparations et les divorces conflictuels, cause importante et grave de phénomènes d'exclusion et d'aliénation parentales, bafouant totalement le principe de la coparentalité, ne cessent d'augmenter et entraînent chaque année des milliers de victimes supplémentaires (Enfants, parents et familles injustement et même illégalement écartés) de ces inhumaines et inqualifiables exclusions. 

Logo matignon

 

 

LA RÉSIDENCE ALTERNÉE DOIT ÊTRE ENCOURAGÉE... 

 

La résidence alternée qui a fait couler beaucoup d'encre ces dernières années a fait l'objet d'une importante conférence internationale (International Conference on Shared Parenting) fin mai dernier à Boston (Etats-Unis d'Amérique) sur le thème « Recherches sur la résidence alternée : Un tournant dans la compréhension du meilleur intérêt de l’enfant ? ».

Venant d’Allemagne, d’Australie, de Belgique, du Canada, de Chine, d’Espagne, de France, de Grande-Bretagne, de Grèce, d’Irlande, d’Israël, d’Italie, du Portugal, de Suède, de Suisse, de Turquie et des USA, trente-deux chercheurs et professionnels sont également intervenus durant deux jours lors d’ateliers ayant traité quatre questions majeures auprès de nombreux participants venus de 25 pays du monde : La parentalité, la résidence alternée, les modes d’intervention (notamment la médiation, la lutte contre l'aliénation parentale), les politiques et justice familiales.

Toutes les recherches présentées ont amplement démontré que les enfants construisent rapidement dès la naissance des liens d’attachement avec leurs deux parents. Ces liens sont déjà très importants durant la première année de leur vie, puis se maintiennent et se développent au fil du temps (mais aussi avec les grands-parents, etc.). Aussi, les décisions rendues par la justice afin de confier généralement la garde à la mère, en cas de doute sur la capacité du père ou bien encore celle des parents à pouvoir coopérer, provoquent une fragilisation et/ou la possible rupture des liens d’attachement de l'enfant avec son père.

Dans ces conditions, la fragilisation et/ou la rupture du lien empêchent le développement harmonieux de l’enfant tant sur le plan émotionnel que sur le plan physiologique, venant ainsi démentir les principes liés à la Convention internationale des Droits de l’Enfant et bafouer les droits fondamentaux de l'enfant à vivre et s'épanouir avec ses deux parents malgré la séparation. Ainsi, les enfants ayant des parents séparés ne devraient plus subir la moindre discrimination par rapport à ceux qui vivent avec leurs deux parents sous le même toit. Les instances internationales devraient oeuvrer dans ce sens et encourager les systèmes judiciaires du monde entier à adopter le principe de la résidence alternée. Combien de temps faudra-t-il?  

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► La disparition du Ministère des Familles et de l'Enfance inquiète...

 

Dans le gouvernement resserré nommé le 17 mai 2017, le Ministère des Familles et de l’Enfance a tout simplement disparu.

C'est évidemment un signe très inquiétant pour de nombreuses associations défendant le droit à la coparentalité, la lutte contre l'exclusion parentale et la défense des droits de l'enfant...

Par décret, la Ministre des Solidarités et de la Santé, Madame Agnès BUZYN, qui a été nommée à ce poste par M. Emmanuel MACRON, Président de la République, sur proposition de M. Edouard PHILIPPE, Premier ministre, prend également en charge, au sein de ses attributions annoncées le 24 mai, la politique relative à la famille, à l’enfance, aux personnes âgées et à la dépendance ainsi qu’aux personnes handicapées. Elle est également compétente en matière de professions sociales.

Mais, est-ce suffisant ? ... Loin de là...

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15 associations de Parents ont porté plainte contre Madame Laurence Rossignol ! 

 

15 associations de Parents ont porté plainte contre Laurence Rossignol qui avait déclaré aux états généraux du droit de la famille et du patrimoine du 27 janvier 2017 que « le cinquième plan de mobilisation et de lutte contre les violences faites aux femmes (lancé ces derniers mois) préconise de ne pas utiliser la notion d'aliénation parentale ».

L'aliénation parentale est même depuis quelques mois bannie des tribunaux de la justice familiale !!


« Même si je ne nie pas l'existence possible de phénomènes d'emprise d'un parent sur son enfant, je tiens à vous rappeler qu'aucune autorité scientifique n'a reconnu ce soi-disant syndrome ...» L. Rossignol.

 

Et pourtant, l'aliénation parentale, c'est-à-dire l'instrumentalisation des enfants dans les divorces conflictuels est un des principaux fléaux de la famille, il touche des centaines de milliers d'enfants et de parents.


Madame Rossignol, ose-t-elle encore ignorer que :

- La Cour de Cassation a reconnu le phénomène d'aliénation parentale le 26 juin 2013 ?!

- Les lois civile du 5 mars 2007 et pénale du 12 juin 2001 établissent le danger et les graves conséquences des violences psychologiques subies par l'enfant ?!

- La Cour européenne des droits de l'homme se réfère expressément au syndrome d'aliénation parentale et a déjà condamné la France en 2005 pour ne pas avoir "déployé les efforts suffisants que l'on pouvait raisonnablement attendre » ?!

 

Dès la fin janvier 2017 JM2P avait immédiatement réagi et alertait de même l'ensemble des membres de la Fédération paneuropéenne COLIBRI. Cette dernière accompagnée de réponses de chercheurs et de praticiens et notre association JM2P n'ont cessé depuis lors de démontrer à Madame Rossignol ses erreurs, ses graves prises de position et l'irresponsabilité de celles-ci.  


La plainte contre Madame Laurence Rossignol a dû être remise fin avril à la Cour de Justice de la République via leur avocat, la Cour de justice de la République étant la juridiction française compétente pour juger les crimes ou délits commis par les membres du gouvernement dans l’exercice de leurs fonctions.

 

Pour en savoir plus : http://www.newspress.fr/Communique_FR_302117_6789.aspx

 

Pour suivre toute l'affaire Laurence ROSSIGNOL, cliquez sur : JM2P & Mme Laurence ROSSIGNOL

 

 

M2s breaking news

 

► Un grand pas vers une reconnaissance absolue de l'aliénation parentale pourrait bel et bien s'amorcer...

 

Un grand pas pourrait être franchi d'ici peu avec, enfin, l'apparition des mots "aliénation parentale"  au sein de publications officielles internationales.

Un pas de géant qui pourrait mettre fin à tant de drames dans le futur... A condition, ensuite, que les instances médicales et judiciaires prennent leurs responsabilités avec professionnalisme et objectivité.

En effet, pour la première fois,  dans le projet actuel de rédaction de la CIM-11, les termes "parental alienation" and "parental estrangement" figurent dans le diagnostic de "caregiver-child relationship problem" (soit globalement "les problèmes de relation entre parent-enfant") même si cela ne sera pas un diagnostic distinct.

La CIM-11 correspond à la Classification Internationale des Maladies publiée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Elle classifie les maladies et une très vaste variété de signes, symptômes, lésions traumatiques, empoisonnements, circonstances sociales et causes externes de blessures ou de maladies.

C'est donc un document international essentiel.

La dernière version remonte à 1990 (CIM-10). La version 11 (CIM-11) devrait être soumise à l'Assemblée Mondiale de la Santé dès mai 2018. A suivre !

Un grand pas vers la reconnaissance absolue de l'aliénation parentale s'amorce.

 

N.B. : Rappelons que les termes "aliénation parentale" ne figurent, certes, pas dans le DSM-5 publié en 2013 (DSM: Diagnostic and Statistical Manual = Manuel Américain de Définition et de Classification des maladies et troubles psychiatriques) mais comme l'a maintes fois déclaré le Psychiatre et Professeur, William BERNET, du Département de psychiatrie de l'Université  de Médecine Vanderbilt à Nashville, Tennessee (USA) : "Même si les termes "aliénation parentale" ne figurent pas dans le DSM-5, plusieurs diagnostics peuvent être utilisés; je dirais même que l'«esprit» de l'aliénation parentale est dans le DSM-5, même si les mots n’y sont pas."

Ainsi,  le « Problème relationnel Parent-Enfant » dispose déjà d'un chapitre dans le DSM-5 pouvant inclure des attributions négatives aux intentions de l'autre, de l'hostilité envers l’autre ou la prise de l’autre comme bouc émissaire (frustration), ainsi que des sentiments d'éloignement injustifiés (« Abus psychologique de l'enfant », « Enfant affecté par une relation parentale en détresse »,...).

Cette fois, avec l'apparition des termes "aliénation parentale", vraisemblablement dans la CIM-11, plus de contestation malintentionnée ne serait être possible.

Le combat mondial pour une reconnaissance pleine et entière de l'aliénation parentale et de ses terribles conséquences se poursuit et il vaincra !

 

Ap

 

 

Une autre grande avancée pour nous en Europe, la création de l'Association Européenne des Praticiens de l'Aliénation Parentale.

 

La création de l'Association Européenne des Praticiens de l'Aliénation Parentale (AEPAP - "The European Association of Parental Alienation Practitioners")  a été réalisée en ce premier semestre 2017. Cette association européenne, unique en son genre, vise d'ores et déjà à mieux cerner et faire comprendre le problème de l'aliénation parentale tant au niveau des familles que des enfants victimes quant aux politiques et les pratiques mises en place en Europe.

Elle est composée de praticiens d'Europe travaillant avec des enfants aliénés et leurs familles, œuvrant ensemble afin de mieux comprendre les mécanismes de l'aliénation parentale, par la pratique et la recherche, et mettre en place les meilleures pratiques dans ce domaine.

La première réunion de l'association se déroulera le 11 juillet 2017 à l'Université Charles à Prague (République Tchèque). La réunion réunira des praticiens en tant que thérapeutes, psychologues, experts et chercheurs. William BERNET, Psychiatre et Professeur au Département de Psychiatrie de l'Université  de Médecine Vanderbilt à Nashville, Tennessee (USA) et Président du Groupe International d'études sur l'aliénation parentale (PASG) tiendra le discours inaugural de cette inédite association européenne.

La création de l'association AEPAP trouve son origine à la Clinique de séparation familiale basée au Royaume-Uni (Londres) qui travaille en partenariat avec le Centre de Protection de l'Enfance de Zagreb, en Croatie, et avec des praticiens des Pays-Bas et de Belgique. D'autres pays Européens préparent leur adhésion afin de partager leurs connaissances scientifiques et pratiques et de développer des politiques et des réponses communes décisives et indéniables sur ce phénomène en s'appuyant sur l'apprentissage de chaque pays membre.

Espérons que la France rejoindra rapidement l'Association Européenne des Praticiens de l'Aliénation Parentale.

Contact : https://www.eapap.eu/

 

Puzzle drapeau de l europe avec pays jouet enfa

 

Que pensent les candidats à la Présidentielle 2017 à propos des drames de l'exclusion parentale, des lacunes en matière d'accompagnement, de santé et de justice face aux victimes de l'exclusion parentale, de l'aliénation parentale ?

 

Après avoir adressé un courrier à l'ensemble des candidats ayant participé aux Primaires (Ecologistes - Droite et Centre - puis celle de la Gauche), JM2P a interpellé cette fois les candidats à la Présidentielle.

En effet, face à l'exclusion parentale pour laquelle la justice apparaît vraiment dépassée, mal informée, mal formée, mal organisée, manquant de moyens et par conséquent manquant de professionnalisme pourtant devenu indispensable, les drames engendrés et croissants doivent pouvoir s'inscrire dans le débat de la Présidentielle et être pris en compte par le prochain Président de la République Française. Quelles sont les propositions à ce sujet des candidats ?

 

Voici les réponses reçues : Les 11 candidats 17 04

Plus de 4,3 millions d’enfants vivent dans une famille dite "monoparentale" ou bien alors "recomposée" et le nombre d'enfants exposés aux conflits sérieux de séparation de leurs parents apparaît en augmentation au cours de cette dernière décennie. Il est clair qu'à ce jour environ 10% des séparations sont particulièrement conflictuelles. Mais ces 10% entraînent des catastrophes humaines, des drames et des douleurs de plus en plus sérieux, mettant indéniablement en péril un bon nombre de ces enfants pris, malgré eux, dans le tourbillon de la séparation entre adultes.

Et pourtant les enfants n'ont pas à se séparer ou divorcer de leurs parents.

Ainsi, quelque 1 000 à 1 100 enfants sont également enlevés chaque année en France par l'un de leurs parents. Près de 28 000 plaintes et plus de 130 000 mains courantes pour non-représentations d'enfants sont enregistrées chaque année (des chiffres en augmentation).

Et d'après "Le Quotidien du médecin" (n° 8 469),  les conséquences de l'exclusion parentale concerne actuellement, chaque année, de 7 à 10 % des 75 000 divorces avec enfant(s).

 

De par le teneur de plus en plus grave, voire virulente, que peut prendre le conflit parental, les enfants se trouvent davantage exposés à des dangers majeurs vis-à-vis de leur intérêt, mais aussi et surtout au niveau même de leur équilibre psychoaffectif et l'harmonisation de leur développement. 

Nous sommes confrontés, aujourd'hui plus qu'hier et plus encore qu'avant-hier à une intransigeance, voire même à une forme de radicalisation au sein de conflits parentaux qui entraînent alors ce que l'on qualifie globalement d'exclusion parentale (ou d'aliénation parentale pour reprendre le terme anglo-saxon, un terme pas toujours bien compris en France et au sein même d'un certain nombre de nos institutions et/ou d'interlocuteurs, à commencer par Madame ROSSIGNOL, Ministre des Familles). Certes, la terminologie "aliénation parentale" n'est pas encore officiellement utilisée dans le manuel Américain de Définition et de Classification des maladies et troubles psychiatriques, mais il le deviendra car ses symptômes y apparaissent déjà tout comme l'abus psychologique sur l'enfant. Or, l'aliénation parentale est bel et bien un abus psychologique de plus en plus reconnu par le monde médical  et celui du judiciaire à travers le monde.

 

 

Elections urne bulletin

 

 

2017 : La Ministre des Familles, L. ROSSIGNOL, s'attaque à l'aliénation parentale (AP) visant à proscrire l'utilisation du "concept idéologique" SAP (Syndrome d'aliénation parentale) et/ou l'AP. "JM2P" a réagi de suite ainsi que la Fédération paneuropéenne "COLIBRI".

 

Comment ne pas être choqués et profondément consternés suite à la publication fin décembre 2016 d'un article intitulé " Le Syndrome d'Aliénation Parentale bientôt proscrit des expertises judiciaires" sur le site de Médiapart ?

https://blogs.mediapart.fr/marie-christine-gryson/blog/281216/le-syndrome-dalienation-parentale-bientot-proscrit-des-expertises-judiciaires

        

Cet article annonce clairement la couleur de cette déconcertante décision, celle émanant du Ministère des Familles de l'Enfance et des Droits des femmes dirigé par Laurence ROSSIGNOL. Ainsi ce Ministère soutient formellement la prochaine publication d'une fiche sur le site du Ministère de la Justice, visant à proscrire l'utilisation du "concept idéologique" dénommé SAP (Syndrome d'aliénation parentale) ou AP (Aliénation parentale).

 

Cette publication s'inscrit dans le cadre du 5ème plan de mobilisation et de lutte contre les violences faites aux femmes (2017-2019) visant l'objectif intitulé : « Protéger les mères et leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale pendant et après la séparation », faisant suite à la publication du bilan relatif au 4ème plan de Prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes (2014-2016).

 

Extrait de cette publication (4ème plan de Prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes - Axe D - Objectif 19 : « Protéger les mères et leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale pendant et après la séparation.», page 41 - Action 58 :

 

Action 58 : Informer sur le caractère médicalement infondé du « syndrome d’aliénation parentale » Dans les cas de violences conjugales ou de violences faites aux enfants, l’allégation du « syndrome d’aliénation parentale » soulève de réelles difficultés. Elle conduit à décrédibiliser la parole de la mère, exceptionnellement du père ou de l’enfant, et par conséquent à en nier le statut de victime en inversant les responsabilités. Or, aucune autorité scientifique n’a jamais reconnu un tel « syndrome » et le consensus scientifique souligne le manque de fiabilité de cette notion. Il n’est reconnu ni par le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM5) ouvrage de référence de l’association américaine de psychiatrie (APA), ni par la classification internationale des maladies publiée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La recherche démontre que les fausses allégations de maltraitance ou de négligences sur les enfants sont marginales. C’est pourquoi une communication visant à proscrire l’utilisation de ce concept sera réalisée, via la publication d’une fiche sur ce sujet, sur le site du Ministère de la justice.  

Calendrier : 2017

Pilote : Ministère en charge des droits des femmes, Ministère des familles,

Contributeur.trice.s : Ministère en charge des droits des femmes, Ministère de la Justice, Ministère de la Santé.

 

Dans son introduction, Laurence ROSSIGNOL déclare :

 

"La lutte contre les violences faites aux femmes fait l’objet d’une politique publique à part entière depuis plus de 10 ans. L’arsenal législatif a été profondément renforcé, des dispositifs ont été expérimentés et déployés sur l’ensemble du territoire, les moyens financiers et humains ont été considérablement accrus.

Le 4ème plan de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes (2014-2016) a grandement contribué au renforcement du repérage et de la prise en charge des victimes. Si l’accompagnement et la mise à l’abri des femmes victimes de violences a progressé, en revanche, les faits de violences et le nombre de victimes reste dramatiquement stable. En France, toutes les sept minutes, une femme est violée ; tous les deux jours et demi, une femme meurt sous les coups de son compagnon ou ex-conjoint ; 220 000 femmes sont victimes chaque année de violences dans le couple.

Derrière ces chiffres, il y a des femmes, des enfants, dont le quotidien est fait de souffrances et de peur. Ces violences sont insoutenables et inacceptables pour nous toutes et tous. La lutte contre ces violences doit donc être menée sans relâche.

C’est pourquoi le Gouvernement lance aujourd’hui le 5ème Plan de mobilisation et de lutte contre toutes les violences faites aux femmes (2017-2019). Ce nouveau plan, dont les moyens ont été encore augmentés, est organisé autour de mesures fortes, pour permettre aux femmes victimes de violences d’accéder à leurs droits d’être protégées et accompagnées, pour sortir des violences et se reconstruire."

 

Madame ROSSIGNOL a visiblement une vision partiale en ce qui concerne l'aliénation parentale. Pourtant, ce n'est pas faute de lui avoir donné des informations précises à ce sujet, de dénoncer ses déclarations déjà inadmissibles prononcées alors devant la Commission des Affaires sociales de l'Assemblée Nationale du mardi 14 avril 2015, à propos de l'aliénation parentale : "A propos du débat sur le syndrome d'aliénation parentale, qui par ailleurs n'existe qu'en France; c'est une maladie spécifiquement française, ce qui fait que cela interroge un certain nombre de gens. Ce n'est pas consensuel l'existence de ce syndrome d'aliénation parentale."

 

Décidément, Madame ROSSIGNOL fait part d'une preuve de déni inconcevable et venir lier l'aliénation parentale à la protection des mères et de leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale est purement abject.

 

L'aliénation parentale, Madame la Ministre, n'a pas de genre ni de sexe ! La manipulation et l'emprise psychologiques sur l'enfant peuvent être à la fois pratiquées tant par le père que par la mère, voire parfois par d'autres membres de la famille.

 

Venir lier la protection des mères et de leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale et tacitement ne pas vouloir lier la protection des pères et de leurs enfants dans l'exercice de l'autorité parentale est une bassesse, pour ne pas dire une infamie, sans fond.

 

Notre association regroupe autant de mères que de pères... Cela ne va pas à sens unique contrairement à ce que cette action n°58 mentionnée plus haut, laisse clairement sous-entendre.

Des milliers de personnes ne peuvent et ne pourront qu'être choqués, scandalisés par cette avilissante mesure. Quoi de plus honteux ?

 

Pour rappel et afin de "débloquer le compteur" du Ministère des Familles qui  semble visiblement oublier que bien loin des travaux et de la personnalité même du Docteur Richard GARDNER, USA, (travaux remontant aux années 1980) souvent critiqués, des dizaines, des centaines de chercheurs, Médecins, psychiatres, pédopsychiatres, psychologues cliniciens et autres psychothérapeutes du monde entier sont venus travailler sur le sujet et ont pu aller bien plus loin que GARDNER.

Non seulement leur travail a amplement évolué depuis les premiers écrits de GARDNER, mais ont pu également faire l'objet de multiples publications et études scientifiques (Généralement publiées en anglais) qui apportent petit à petit les preuves qui manquaient encore lors du dernier DSM (Diagnostic and Statistical Manual = Manuel Américain de Définition et de Classification des maladies et troubles psychiatriques), le DSM-5 pour être précis, paru le 18 mai 2013.   

 

Mais comme il a déjà été souligné au Ministère des Familles qui s'est bien gardé d'y répondre,  l'éminent psychiatre et Professeur, William BERNET, du Département de psychiatrie de l'Université  de Médecine Vanderbilt à Nashville, Tennessee (Etats Unis) a clairement rappelé à tous les membres du Groupe International de Travail sur l’Aliénation Parentale, suite à la publication du DSM-5 et à la profession :

 

"« Les experts du Groupe de travail du DSM-5 nous avaient dit il y a 2 ou 3 ans qu'ils ne voulaient pas que l'aliénation parentale figure comme un diagnostic séparé dans le DSM-5, mais qu’ils avaient pensé que l'aliénation parentale pourrait être considérée comme un exemple dans d'autres diagnostics qui sont dans le DSM-5.

 

Les termes "aliénation parentale" ne figurent pas dans le DSM-5, mais plusieurs diagnostics peuvent être utilisés dans ces situations. Je dirais que l'«esprit» de l'aliénation parentale est dans le DSM-5, même si les mots n’y sont pas.


Le « Problème relationnel Parent-Enfant » dispose désormais d'un chapitre dans le DSM-5, et pas seulement d’une étiquette. La discussion explique que les problèmes cognitifs dans un problème relationnel parent-enfant" peuvent inclure des attributions négatives aux intentions de l'autre, de l'hostilité envers l’autre ou la prise de l’autre comme bouc émissaire, ainsi que des sentiments d'éloignement injustifiés."

C'est une assez bonne description d'un enfant du point de vue du parent aliéné, même s'il s'agit d'une utilisation malheureuse du mot «éloignement».


 « Abus psychologique de l'enfant » est un nouveau diagnostic dans le DSM-5. Il est défini comme « actes non accidentels de violence verbale ou symbolique de la part d’un parent ou d’un adulte proche, qui ont pour résultat, ou qui ont potentiellement pour résultat, un dommage psychologique significatif chez l'enfant."

Dans de nombreux cas, le comportement du parent aliénant constitue un abus psychologique de l'enfant.

 

« Enfant affecté par une relation parentale en détresse » est un autre nouveau diagnostic dans le DSM-5. Il doit être utilisé "lors de l’examen clinique d’un enfant dans la famille, si la discorde parentale (par exemple, des niveaux élevés de conflit, de détresse ou dénigrement), a des effets négatifs sur l’enfant dans sa famille, y compris avec des effets inducteurs de troubles psychiques ou physiques chez l'enfant. " C'est également une bonne description de la façon dont l'aliénation parentale apparaît.

...

En conclusion, le concept de l'aliénation parentale figure clairement dans le DSM-5, bien que les mots exacts n’y soient pas."

 

Ne pas en tenir compte est bel et bien un déni de vérité mais également la marque même d'une absence totale d'objectivité et de professionnalisme.

 

Cette "Action 58" est non seulement une insulte pour les milliers de victimes d'aliénation parentale, quelque soit leur sexe, mais elle mettra à coup sûr des milliers d'enfants en danger.

Venir faire pression sur la justice sera tout aussi grave, irresponsable et facteur aggravant des centaines, des milliers de drames familiaux qui se jouent et viennent fracasser tant d'enfants, mais aussi des familles injustement rejetées, aliénées sans la moindre raison valable. 

 

Cette "Action 58" vient cracher à la figure des milliers de professionnels de la santé qui, à travers le monde, ont compris les méfaits grandissants de ce qu'ils appellent les conséquences de l'aliénation parentale. Hommes et femmes du monde entier tentent de lutter et oeuvrent aujourd'hui ensemble pour que le futur DSM-6 intègre de façon plus détaillée ce phénomène de manipulation et d'emprise psychologiques sur l'enfant.

Parmi les plus connus :                                                                         

Amy J. L. Baker, Ph.D. psychologie

William Bernet, Ph.D. psychiatrie

J. Michael Bone, Ph.D.

Craig A. Childress Psy.D.

Douglas Darnall Ph.D.

Robert A. Evans, Ph.D. psychologie, expert et clinicien,

Linda J. Gottlieb, Clinical social worker,

Ludwig F. Lowenstein, Ph.D. Psy.D,

Jennifer Harman Ph.D,

 Zeynep Biringen Ph.D,

Michael R. Walsh, Praticien,

Hubert Van Gijseghem (Docteur en psychologie) Ph.D,

Wilfrid von Boch-Galhau,  Docteur en psychiatrie et neurologue,

Paul Bensussan (Psychiatre et expert auprès la Cour),

Roland Broca (psychiatre),

Jean-Pierre Cambefort, psychologue,

Jacques Biollet, Ph.D pédagogie curative clinique,

Jean-Marc Delfieu, Ph.D psychiatrie,

Jean-Emile Vanderheyden, neuropsychiatre,

Claire Malo, Ph.D. et chercheure (Québec),

Karen Woodall, Ph.D. psychothérapeute clinique.

...

La liste est loin d'être exhaustive.

Car, il y en a tant d'autres qui travaillent également sur le sujet...

 

Cette ahurissante attitude de la France, par la voix du Ministère des Familles, cherchant également à influer sur la Justice, vient afficher là encore, une position particulièrement rétrograde vis-à-vis d'un bon nombre de pays qui, à l'inverse, travaillent et avancent ensemble vers une reconnaissance officielle de l'aliénation parentale et de ses conséquences, où le monde médical et celui du judiciaire ont débattu ensemble et travaillent conjointement vers une meilleure action afin de lutter ensemble contre les conséquences de l'aliénation parentale et même pour certains pays légiférer afin de faciliter la tâche.

Ainsi, en Europe, la Roumanie a fait un bond de géant dans ce domaine avec publication au journal officiel en vue d'une loi spécifique. D'autres pays suivent le même chemin à commencer par la Grande-Bretagne qui a obtenu de grandes avancées ces derniers mois (Croatie, République Tchèque,...).

 

Cette ahurissante attitude vient également mépriser les jugements rendus par la Cour Européenne des Droits de l'Homme qui reconnaît la présence d’emprise (voire de fixations pathologiques) sur l’enfant par un parent aliénant et donc l’existence de l’aliénation parentale pratiquée, Elle insiste sur la nécessité d’agir rapidement lorsque ces phénomènes d'emprise surviennent et de la nécessité de prendre les mesures nécessaires afin d’amener le parent aliénant à respecter ses obligations légales et son devoir d’éducation.

 

A titre d'exemples :

 

- Affaire Koudelka/République Tchèque - n° d'application: 1633/05, 20 Juillet 2006,

- Affaire Zavrel/ République Tchèque  - n° d'application: 14044/05, 18 Avril 2007,

- Affaire Mincheva/Bulgarie - n° d'application: 21558/03, 2 Septembre 2010,

- Affaire Giorgioni/Italie - n° d'application: 43299/12, 15 Septembre 2016,

- Affaire Moog/Allemagne - n° d'application: 2334/10, 6 octobre 2016.

 

Le Ministère ne pourra pas davantage effacer la jurisprudence française.

La discrimination serait alors plus manifeste encore et mériterait dès lors l'arbitrage de la CEDH, voire la demande de la condamnation de l'Etat Français.

 

Alors oui, cette "Action 58" est une honte.

 

Si le Ministère des Familles cherche à lutter contre les violences faites aux femmes, ce qui l'honore, ce n'est en aucun cas en venant bannir l'aliénation parentale qu'il y parviendra, il réussira à développer davantage de séparations conflictuelles (même si à ce jour elle ne dépassent pas en moyenne les 10% de l'ensemble des séparations - Un chiffre toutefois en augmentation) et massacrer des centaines, des milliers d'enfants supplémentaires, enfants qui augmenteront alors les rangs des jeunes à risques en proie à toutes sortes de dérives...

 

Est-ce cela l'objectif premier de la France pour ses citoyens, pour ses jeunes en devenir et ses futures générations ? 

 

Combien d'années et de décennies en France les parents et les victimes de l'autisme ont dû se battre pour se faire entendre et pourtant le manque de détermination de l’Etat dans le cadre des plans autisme et le caractère encore marginal de ses actions demeurent comparées à nos pays voisins et à bien d'autres pays à travers le monde...?

 

Si pour l'aliénation parentale, la même croisade doit être entreprise, elle le sera.

 

Et la France n'a nul droit de faire partie des lanternes rouges, pour un "grand pays" comme le nôtre, ce serait non seulement indigne mais pour sûr particulièrement dégradant alors que tant d'autres nations évoluent et mettent vraiment l'intérêt de l'enfant, la protection de ses droits (tels que rappelés par la Convention Internationale des Droits de l'Enfant) et le souci de coparentalité et de vie familiale (Rappelé par l'article 8 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme) au cœur même de leur préoccupations. Or, l'aliénation parentale, même si elle ne représente pas la majorité des risques lors de la séparation des parents, elle existe, se développe et les séparations conflictuelles le font tout autant, accentuant donc ce risque.  Cette "Action 58" serait alors une voie, un boulevard pour un tel développement de la manipulation et de l'emprise psychologiques sur l'enfant, créant, inexorablement et plus encore, des orphelins de mère, des orphelins de père, sous la haute bénédiction du Ministère des Familles...!

C'est inconcevable.

 

Pour plus de détails :

 

Ministere des familles 5e plan de lutte contre toutes les violences faites aux femmesMinistere des familles 5e plan de lutte contre toutes les violences faites aux femmes (1.22 Mo)

 

Lettre jm2p a madame laurence rossignol ministre des familles monsieur jean jacques urvoas ministre de la justice 28 01 2017 1Lettre jm2p a madame laurence rossignol ministre des familles monsieur jean jacques urvoas ministre de la justice 28 01 2017 1 (355.01 Ko)

 

Attack against pas and pa by the french minister of families jm2p respondsAttack against pas and pa by the french minister of families jm2p responds (297.83 Ko)

 

La Fédération paneuropéenne "COLIBRI" à laquelle adhère JM2P est également intervenue afin de soutenir notre démarche, auprès de Madame L. ROSSIGNOL (Ministre des Familles) et de Monsieur J.J. URVOAS (Ministre de la Justice).

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Pour rappel : La Fédération paneuropéenne "COLIBRI" se composent de partenaires européens officiels et d'associations d'Autriche, de Bulgarie, de Chypre, de Croatie, d'Espagne, de Finlande, de France, de Grèce, de Hongrie, d'Italie, de Lituanie, du Luxembourg, des Pays-Bas, du Portugal, de Pologne, de République Tchèque, de Roumanie, de Suisse, de Slovaquie et de Turquie, à ce jour. D'autres partenaires devraient rejoindre la fédération au cours de l'année.

  

 

2017 : UN TRES BEAU CLIP RAPPELANT QUE L'ENFANT A BESOIN DE SES 2 PARENTS...

 

« Les enfants ne doivent jamais servir d’otage à leurs parents lors d’une séparation. Ils n’ont pas davantage à choisir entre l’un ou l’autre de leurs deux parents. Ils ont besoin de leurs deux parents. »

Quoi de plus normal ? Et pourtant la réalité est malheureusement toute autre... La France prend de plus en plus de retard, un retard qui s'accentue gravement depuis quelques années, contrairement à d'autres pays européens qui, à l'inverse, évoluent, réforment et comprennent cette évidence afin de respecter l'enfant et ses parents, l'enfant et ses droits...!

Le clip ci-dessous rappelle clairement que chaque enfant a besoin de ses 2 Parents !

(Information vidéo de la Fédération paneuropéenne COLIBRI à laquelle JM2P est membre)

 

 

 

NOUVEL AN 2017 : COMME L'AN DERNIER, UN CLIP POUR LUTTER CONTRE L'EXCLUSION PARENTALE...

 

L'association islandaise qui lutte pour le respect des enfants et de la coparentalité  a fait faire un nouveau clip retransmis à la télévision parmi les autres spots publicitaires de la fin d'année 2016 et le début 2017 :

 

Son message : Commençons l'année avec respect et bonté. Pour le respect des droits égalitaires de l'enfant et le respect des droits de visite."

Ce clip met en scène un jeune garçon "orphelin" de sa maman qui va appeler celle-ci en cachette pour lui souhaiter une bonne année. (Un cas tout de même assez rare en Islande, société matriarcale fortement ancrée...) Mais, hélas, c'est un scénario qui n'a pas de frontière. Ne l'oublions pas, l'aliénation parentale est un abus émotionnel gravissime et destructeur, une véritable maltraitance psychologique insupportable.

Pour rappel : L'ISLANDE est un pays européen qui prend amplement ses aises et n'a que faire des règles et conventions Européennes et Internationales en matière de respect de la coparentalité en cas de séparation ou de divorce (Les séparations et divorces sont au plus haut en Islande comparé aux autres pays européens, près des 2/3). Par conséquent les droits fondamentaux de l'enfant se trouvent aisément bafoués, à commencer par celui du maintien du lien avec ses 2 Parents en cas de séparation et/ou de divorce. Société matriarcale par excellence, en cas de blocage de la mère, le père de l'enfant n'est plus que le payeur de pensions alimentaires ! Les droits de visite et d'hébergement peuvent être bafoués en toute impunité jusqu'à la majorité de l'enfant ! 

Les statistiques nationales reproduites par l’association islandaise « Foreldrajafnrétti » (Pour l’égalité des droits des parents) montrent que 33.000 enfants de moins de 18 ans ne voient pas l’un de leurs deux parents (à plus de 95% le père) pour un total de 14.000 parents également victimes, 14.000 qui ne voient donc pas leur(s) enfant(s) - l’Islande comptant +/-350.000 habitants - et ce gouffre s’élargit chaque année un peu plus compte tenu le l’archaïsme inqualifiable de la loi locale dite « Barnalög », une loi et/ou une application ne respectant pas les principes même de l’égalité entre les parents en cas de séparation, une loi contraire en un certain nombre de points aux Conventions internationales pourtant ratifiées et qui ne répond pas aux principes communément admis au sein des Etats membres l’Union Européenne. 

 

JM2P intervient une fois de plus auprès Madame Laurence ROSSIGNOL, Ministre des Familles...

► L'association avait déjà réagi suite aux quelques mots prononcés par Madame Laurence ROSSIGNOL, alors Secrétaire d'Etat à la Famille (Devenue Ministre en février 2016) à propos du syndrome d'aliénation parentale devant la Commission des Affaires sociales de l'Assemblée Nationale, le mardi 14 avril 2015. Pour en savoir plus à ce sujet et prendre également connaissance de la réponse de Madame ROSSIGNOL, adressée le 15 octobre 2015, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous :

JM2P & Laurence ROSSIGNOL

A l'aube de l'année 2017, l'association interpelle à nouveau Madame Laurence ROSSIGNOL qui n'a pas répondu aux demandes d'entretien, à la fois adressées par l'association, mais également par la Députée de notre secteur géographique. Malgré relances aucune réponse n'est parvenue... Chacun pourra juger et tirer les conséquences qui en découlent.

Cette intervention est d'autant plus importante, qu'elle vient clairement démontrer un véritable déni de réalité... En effet, l'aliénation parentale et ses conséquences sont visiblement enseignées en France dans le cadre des sciences et techniques sanitaires et sociales (classe de 1ère ST2S).

Courrier adressé à Madame la Ministre des Familles :

 

 Madame la Ministre,

 

Suite à vos déclarations en réponse au Député, Monsieur Rémi DELATTE, devant la Commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale en date du mardi 14 avril 2015, à propos de l'aliénation parentale : "A propos du débat sur le syndrome d'aliénation parentale, qui par ailleurs n'existe qu'en France; c'est une maladie spécifiquement française, ce qui fait que cela interroge un certain nombre de gens. Ce n'est pas consensuel l'existence de ce syndrome d'aliénation parentale.", nous vous avions fait part de notre étonnement et même de notre émoi, apportant un certain nombre d'éléments démontrant que votre déclaration était non seulement maladroite mais également inexacte. 

 

Si nous revenons vers vous c'est pour réaffirmer votre erreur lorsque vous n'aviez pas voulu entendre le légitime combat mené pour la reconnaissance de l'aliénation parentale (ou l'exclusion parentale) alors que des Tribunaux Français n'ont pas manqué de le faire (Et même sur le plan pénal par la voix du T.G.I. de Lyon en date du 1er septembre 2015 condamnant le parent aliénant)

 

Il ne s'agit nullement d'une "maladie spécifiquement Française". D'ailleurs il est profondément navrant de constater à quel point la France est en retard dans le travail de reconnaissance et de recherche dans ce domaine par rapport aux  Etats européens.

 

Notre association travaillant en étroite collaboration avec plus d'une quarantaine de partenaires européens, affiliée à la Fédération paneuropéenne "Colibri" dévouée à la promotion des droits fondamentaux des enfants et des parents après le divorce ou la séparation, observe à quel point des progrès de reconnaissance, mais aussi des travaux inter-professionnels (Avec des Juges, des avocats, des médecins, des psychiatres, des psychologues,... autour d'une même table) se sont grandement développés ces dernières années, ces derniers mois, aboutissant à des protocoles, mais également concourent à l'élaboration de nouveaux projets de loi (Roumanie, Grande-Bretagne, Croatie, République Tchèque, Suède,...). La Roumanie sera sans doute la première nation européenne à légiférer et à intégrer la lutte contre l'exclusion parentale (Aliénation parentale) au sein de son Code Civil puis Pénal. La Grande-Bretagne pourrait être la suivante.

Quant à la France...

 

Mais le propos de ce jour relève également de l'enseignement secondaire pratiqué en France qui, pour les élèves de Sciences et Techniques Sanitaires et Sociales, étudient au sein de l'émergence d'un problème social celui du syndrome d'aliénation parentale...

 

Vous comprendrez, Madame la Ministre, que vos déclarations du 14 avril 2015 apparaissent dès lors plus que malvenues et même profondément intolérables puisque l'enseignement français a permis son intégration au sein même de travaux dirigés afin de permettre aux lycéens de cette filière d'analyser l'évolution de la structure des familles, définir le syndrome d'aliénation parentale (le terme ne pose aucune difficulté dans ce manuel pédagogique) et la caractérisation de ce syndrome et les réponses de la collectivité. (Voir en fin de lettre les références)

 

Comment, dans ces conditions, vos déclarations ont-elles pu exister ?

 

Comment la France et la grande majorité de ses institutions peuvent-elles demeurer dans le déni ?

 

Comment la France n'a-t-elle toujours pas donné les moyens de formation plus que nécessaires tant sur le plan judiciaire que médical, mais également au niveau des personnels des services sociaux pour permettre d'intervenir efficacement et avec objectivité, mais aussi et surtout avec un réel professionnalisme, envers les centaines, les milliers de drames familiaux qui se jouent face à la séparation conflictuelle, plaçant systématiquement l'enfant en situation de souffrance, de victime d'emprise et de manipulation engendrant de lourds conflits intérieurs (conflit de loyauté, phénomène anormal de rejet, détresse psychologique, stress engendrant multiples troubles de la santé, etc...) et engendrant tout autant des effets néfastes pour le parent injustement évincé et l'ensemble des autres membres collatéralement écartés, à commencer par les grands parents ?

  

Vous pourriez répondre que le syndrome d'aliénation parentale ne figure pas dans le dernier DSM (Diagnostic and Statistical Manual = Manuel Américain de Définition et de Classification des maladies et troubles psychiatriques), le DSM-5 pour être précis et moi je vous réponds par l'intermédiaire des déclarations  du Professeur William BERNET, du Département de psychiatrie de l'Université  de Médecine Vanderbilt à Nashville, Tennessee (Etats Unis) qui a clairement rappelé l'an dernier à tous les membres du Groupe International de Travail sur l’Aliénation Parentale, suite à la publication du DSM-5 :

 

"« Les experts du Groupe de travail du DSM-5 nous avaient dit il y a 2 ou 3 ans qu'ils ne voulaient pas que l'aliénation parentale figure comme un diagnostic séparé dans le DSM-5, mais qu’ils avaient pensé que l'aliénation parentale pourrait être considérée comme un exemple dans d'autres diagnostics qui sont dans le DSM-5.

 

Les termes "aliénation parentale" ne figurent pas dans le DSM-5, mais plusieurs diagnostics peuvent être utilisés dans ces situations. Je dirais que l'«esprit» de l'aliénation parentale est dans le DSM-5, même si les mots n’y sont pas.


Le « Problème relationnel Parent-Enfant » dispose désormais d'un chapitre dans le DSM-5, et pas seulement d’une étiquette.

La discussion explique que les problèmes cognitifs dans un problème relationnel parent-enfant " peuvent inclure des attributions négatives aux intentions de l'autre, de l'hostilité envers l’autre ou la prise de l’autre comme bouc émissaire, ainsi que des sentiments d'éloignement injustifiés."

C'est une assez bonne description d'un enfant du point de vue du parent aliéné, même s'il s'agit d'une utilisation malheureuse du mot «éloignement».


 « Abus psychologique de l'enfant » est un nouveau diagnostic dans le DSM-5. Il est défini comme « actes non accidentels de violence verbale ou symbolique de la part d’un parent ou d’un adulte proche, qui ont pour résultat, ou qui ont potentiellement pour résultat, un dommage psychologique significatif chez l'enfant."

Dans de nombreux cas, le comportement du parent aliénant constitue un abus psychologique de l'enfant.

 

« Enfant affecté par une relation parentale en détresse » est un autre nouveau diagnostic dans le DSM-5. Il doit être utilisé "lors de l’examen clinique d’un enfant dans la famille, si la discorde parentale (par exemple, des niveaux élevés de conflit, de détresse ou dénigrement), a des effets négatifs sur l’enfant dans sa famille, y compris avec des effets inducteurs de troubles psychiques ou physiques chez l'enfant. " C'est également une bonne description de la façon dont l'aliénation parentale apparaît.

...

En conclusion, le concept de l'aliénation parentale figure clairement dans le DSM-5, bien que les mots exacts n’y soient pas."

 

Tous les travaux menés ces derniers mois en Amérique du Nord (Etats-Unis, Canada) mais également en Europe auront à coup sûr une incidence plus forte encore, compte tenu de résultats cliniques, sur la publication du prochain DSM attendu d'ici quelques années.

Nombre d'experts Français sont également confiants pour cette reconnaissance médicale (A titre d'exemple : Roland BROCA, pédopsychiatre, Paul BENSUSSAN, psychiatre et expert agréé par la Cour de Cassation et la Cour Pénale Internationale).

 

Il est a rappeler que nous sommes loin, très loin aujourd'hui des premiers éléments et travaux émis par le pédopsychiatre américain Richard GARDNER ayant introduit cette notion d'aliénation parentale et de syndrome dans les années 1980. Depuis lors, des centaines (et plus encore à travers le monde) de médecins, de psychiatres, psychologues, psychothérapeutes, ont travaillé, publié et ont largement dépassé les premiers pas de GARDNER. Ce phénomène ne peut en aucun cas être davantage ignoré, même au sein de l'enseignement, chez nous, en France, il est intégré !

 

Alors non, Madame la Ministre, tout ce déni, toutes les attitudes à la Ponce Pilate rencontrés çà et là n'ont nul droit d'exister davantage. 

 

Notre association regroupe autant de mères que de pères victimes de l'exclusion parentale parce que l'autre parent (souvent toxique, manipulateur et/ou pervers) a décidé de détruire son ex-conjointe ou conjoint, voulant s'approprier l'enfant (qu'il considère souvent comme un objet et non plus comme une personne à part entière avec ses sentiments, ses choix, ses désirs...).

 

A toutes ces victimes s'ajoutent des grands-parents, victimes collatérales... car c'est bel et bien toute une branche, maternelle ou paternelle qui est soudainement arrachée à l'enfant, la moitié de son patrimoine familial, de ses racines.

 

Est-ce encore acceptable Madame la Ministre ?

La France souhaite-t-elle développer encore et toujours, parmi ses citoyens, des enfants cabossés, des parents mutilés, des orphelins qui pourraient ne pas l'être, des abîmés de la vie, des jeunes à la dérives,..., qui demain deviendront les adultes de notre société ? 

 

Nous avions sollicité un rendez-vous au Ministère depuis des mois et des mois. Hélas, seul le silence a suivi...

La Députée de notre secteur (Audrey LINKENHELD) que nous avons eu l'occasion de rencontrer et de partager notre travail, nos convictions, était elle aussi intervenue... Silence de votre part, silence de votre Ministère...

 

Que dire ? Que conclure...?  Je vous laisse en juger.

 

Restant à votre disposition pour toute information complémentaire souhaitée, veuillez croire, Madame la Ministre, à l’assurance de notre haute considération. 

 

Copie adressée à Monsieur Bernard CAZENEUVE, Premier Ministre et à Madame Najat VALLAUD-BELKACEM, Ministre de l'Education Nationale.

 

Références :  Il s'agit des pages 113 à 119 de l'ouvrage d'enseignement utilisé par les enseignants et les élèves (T.D. de méthodologie et de cours) dans le cadre des sciences et techniques sanitaires et sociales (En classe de 1ère ST2S) par J.-F. BRILLANT, M. JEDYNAK et P. LOTZ aux Editions Casteilla.

 

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LES PRIMAIRES POUR LA PRESIDENTIELLE DE 2017.

 

Dans le cadre de la campagne Présidentielle de 2017, l'association JM2P s'invite dans les débats en interpellant chacun des candidats des Primaires, Ecologiste, Droite et Gauche.

Les candidats Ecologistes  (4 candidats), ceux de la Droite (7 candidats) et ceux de la Gauche (7 candidats) aux élections Primaires ont été destinataires d'un courrier apportant les observations et les propositions que l'association développe, compte tenu de son expérience, afin que le système judiciaire soit réformé, que la loi soit adaptée et les moyens débloqués pour que les professionnels sur le terrain (Justice, santé et services sociaux) puissent enfin prendre en compte cette grandissante situation d'exclusion parentale. Malheureusement, on le sait, la société va assez mal, les conflits s'accentuent et leur violence également. Même minoritaires, les séparations familiales conflictuelles augmentent tout comme leur degré de violence et leurs conséquences. Il faut réagir et agir. Et toutes les jeunes victimes d'aliénation parentale seront les adultes de demain, et plus vite qu'on ne le croit...!

 

Elections urne bulletin

 

N.B.: A ce jour, seul, sur les 18 candidats contactés dans le cadre des Primaires (Droite + Ecologie + Gauche), Monsieur Bruno Le Maire a répondu à l'association. Sa réponse, sous la forme de compréhension et d'écoute, laisse entendre qu'il a pris bonne note des points soulevés par l'association face à l'exclusion parentale et qu'il en tiendra compte et collaborera volontiers avec l'association s'il en a la possibilité dans le futur. Puis, téléphoniquement, le candidat Alain Juppé a fait savoir qu'il soutenait notre action et entendait défendre le concept de la coparentalité et la faire appliquer coûte que coûte, même en cas de séparation parentale. Rien d'autre à ce jour...

 

20 NOVEMBRE : JM2P ET LA 27ème JOURNEE INTERNATIONALE DE L'ENFANT ET CELLE DE SES DROITS.

 

L'an 2016 a été marquée cet automne, pour la 27ème année consécutive, par la journée internationale de l'Enfant et plus précisément celle des droits de l'Enfant.

 C'est en effet, le 20 novembre 1989 que la Convention internationale des Droits de l'Enfant fut adoptée (puis ratifiée par 193 pays à ce jour; seuls les Etats-Unis et la Somalie ne l'ont toujours pas adoptée et mise en application à ce jour).

C'est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la "Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l'enfant" (loi n° 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l'enfant de 1989.

Cette vingtième journée Française du 20 novembre (2016) de défense et de promotion des droits de l'enfant était donc très importante car non seulement elle rappelle les nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde, mais aussi en France !

 

L'INTERVIEW SUR GRAND-LILLE TV :

 

 

"LA VOIX DU NORD" : MARDI 15 NOVEMBRE 2016 :

Vdn 15 11 2016

Lorsque l'on pense aux droits des enfants bafoués, on pense immédiatement aux pays pauvres, aux pays en guerre, aux pays dévastés par de multiples catastrophes naturelles ou autres. Et pourtant, à travers la terre entière les enfants et leurs droits se trouvent confrontés à de multiples violations. La France n'y échappe donc pas la pauvreté, le harcèlement, les possibles exploitations, la maltraitance,..., Hélas !

 

Mais s'il y a bel et bien un secteur où les droits de l'enfant peuvent être quotidiennement bafoués sans que cela n'émeuve, malheureusement les pouvoirs publics, c'est le nombre grandissant des enfants et adolescents qui, compte tenu d'une justice trop souvent désœuvrée, sclérosée, manquant de formation et de moyens sacrifie des milliers d'enfants pris dans la tourmente du divorce de leurs parents. Plus les divorces ou les séparations parentales apparaissent conflictuelles, plus les enfants ou adolescents pris en otages trouvent leurs droits bafoués.

 

Et pourtant, la Convention internationale des droits de l'Enfant rappelle ces incontournables principes que la France et tant d'autres pays ont adoptés (Les appliquent-ils ? ) :

 

Article 9 : « Les États parties respectent le droit de l'enfant séparé de ses deux parents ou de l'un d'eux d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents, sauf si cela est contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant ».

Article 18 : « Les États parties s'emploient de leur mieux à assurer la reconnaissance du principe selon lequel les deux parents ont une responsabilité commune pour ce qui est d'élever l'enfant et d'assurer son développement ».


Les faits démontrent hélas que la France possède toujours un sérieux retard dans ce domaine. Même si le Code Civil de notre pays rappelle par son article 373-2 que : « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale. Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent. » et l'article 371-4 que : « L’enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants. », la réalité n'est pas toujours ainsi, loin de là.

Et la mise en application de la loi du 4 mars 2002 relative à l'autorité parentale, impliquant dès lors la légitimation de la résidence alternée au nom de la coparentalité est loin d'être appliquée.

La résidence alternée, permettant à l'enfant de grandir et de s'épanouir avec ses deux parents indépendamment, reste loin d'être appliquée même si celle-ci peut être matériellement et géographiquement mise en place.

Ainsi, aux yeux de l'enfant, le système judiciaire tente d'imposer un parent "puissant" de "première classe" chez qui l'enfant réside le plus souvent et un parent de "seconde classe", voire "accessoire" chez qui l'enfant passe quelques week-ends (généralement un sur deux)...

Nous sommes bien loin de toute équité, à commencer pour l'enfant qui se trouve ainsi régulièrement amputé plus ou moins sérieusement de l'un de ses deux parents.

De plus selon les régions de France, sa mise en place est loin d'être harmonieuse (Suivant les juges, les TGI,...) Un fait que le Ministère ne peut pas démentir suite à son propre rapport d'enquête de janvier 2014 : La probabilité de la résidence alternée attribuée et fixée ou bien encore homologuée par le Juge en France, varie visiblement de 0% à plus de 30 % suivant les départements. (Voir la carte en fin de communiqué).

 

Et plus gravement encore, lorsque l'exclusion parentale s'installe (phénomène d'aliénation parentale où l'emprise et la manipulation de l'enfant sont opérées par l'un des deux parents afin que l'autre parent soit petit à petit rejeté, voire haï par l'enfant lui-même (devenu soldat du parent aliénant) il est ainsi permis en tout illégalité d'instaurer le rejet de ce parent aliéné et collatéralement le reste de la famille de ce parent rejeté : Grands-parents, oncles, tantes,..., de l'enfant), les droits de l'enfant se trouvent alors totalement réduits à néant parce que, là encore, le système judiciaire ne prend pas les moyens nécessaires pour y remédier contrairement à d'autres pays à travers le monde et même aujourd'hui en Europe !

 

Le nombre des divorces et séparations grandissant, les conflits même s'ils ne sont pas majoritaires croissent également en nombre et en intensité, la justice française ne peut davantage ignorer cette évidence et laisser de tels abus, imposés à l'enfant, se développer et se doit de prendre les mesures qui s'imposent, y mettre les moyens nécessaires pour que notre pays ne devienne pas un sanctuaire d'enfants et d'adolescents délaissés, abandonnés dans leur douleurs et leurs souffrances avant tout psychologiques et affectives les poussant aux pires destins. Ne l'oublions pas, à commencer par les instances de notre pays, tous ces jeunes sont en voie de devenir et seront les adultes de demain.

 

En cette journée dédiée aux droits de l'enfant nous ne pouvons que rappeler et crier haut et fort que :   

 

1° CHAQUE ENFANT A LE DROIT DE VIVRE ET DE COMMUNIQUER AVEC SES DEUX PARENTS.

 

2° CHAQUE ENFANT A LE DROIT DE COMMUNIQUER TANT AVEC SES ASCENDANTS MATERNELS QUE SES ASCENDANTS PATERNELS.

 

3° CHAQUE ENFANT AIME INDEPENDAMMENT SES DEUX PARENTS ET DOIT DONC POUVOIR LES AIMER LIBREMENT ET INDEPENDAMMENT.

 

4° CHAQUE ENFANT A BESOIN DE SES DEUX PARENTS.

 

5° LE DROIT À LA VIE FAMILIALE EST UN DROIT FONDAMENTAL À CHACUN (Art.8 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme).

 

Pour cette journée, l'association a effectué des distributions de tracts dès le début novembre, jusqu'au 19 novembre dernier afin de sensibiliser chacun et chacune à cette légitime cause (Douai, Hellemmes, Marcq-en-Baroeul, Lille,...). Un millier de tracts, au total, a été diffusé.

Dsc02131bisVoir plus de photos dans la rubrique dernières photos - Album photos.

 

Extrait du RAPPORT SUR LES REFLEXIONS DU GROUPE DE TRAVAIL SUR LA COPARENTALITE « Comment assurer le respect de la coparentalité entre parents séparés »

De la Direction des affaires civiles et du Sceau et de la Direction générale de la cohésion sociale - Janvier 2014.

Page 174 de ce rapport : Proportion de résidence alternée fixée ou homologuée par le Juge en France, par département :

 

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Ainsi, la probabilité de la résidence alternée attribuée et fixée ou bien encore homologuée par le Juge en France, varie visiblement de 0% à plus de 30 % suivant les départements !

Source : Ministère de la Justice - enquête "résidence des parents d'enfants séparés 2012"Maquillajeinfantilmonitors3

 

 

L'aliénation parentale, l'exclusion parentale..., elles ne sont pas une fatalité...!

 

C'est pourquoi chacun et chacune doit mettre en place les moyens nécessaires et fournir les outils qui permettront de les combattre efficacement.  Le monde judiciaire, le monde médical, le monde psychologique et social doivent assurément collaborer et rattraper ensemble le retard déjà grand vis-à-vis d'un nombre grandissant de pays qui ont enfin compris cette importance de collaboration et d'action (Amérique du Nord, Argentine, Mexique, Brésil, Roumanie, Grande-Bretagne,...).  L'aliénation parentale, l'exclusion parentale, synonymes de violences psychologiques graves, sont contraires aux règles établies dans nos sociétés reposant sur des fondements d'égalité et de respect de la sauvegarde des droits de l'Homme et des libertés fondamentales.

Aux Etats Unis, le débat a permis un certain nombre d'avancées majeures dans un bon nombre d'Etats et de plus en plus de personnalités montent au créneau.

Ainsi, l'acteur Harrison FORD dénonce l'aliénation parentale et considère à raison qu'il s'agit avant tout d'une violence et d'un abus psychologique infligés à l'enfant.

En 2008, une autre star hollywoodienne, Alec BALDWIN en témoignait déjà : "Au travers de mes expériences avec les juges, les avocats et les experts thérapeutes ordonnés par la Cour lors de ma propre procédure d'un divorce très conflictuel, cela m'a laissé indigné face à tant d'injustices et je crois qu'elles sont endémiques au système juridique de la famille dans notre société, et je n'ai aucune envie de les revoir. La douleur dont j'ai souffert, la peur et la colère que j'ai ressenties face à la quasi-totalité des principaux interlocuteurs rencontrés et le sens inéluctable de l'impuissance et de l'isolement ressenti m'ont épuisé ...

Quelles que soient les raisons pour lesquelles un parent aliénant donne pour justifier ses actions, le bon sens dicte que l'on n'a pas besoin de chercher un modèle de comportement figurant dans le manuel psychiatrique (En référence au DSM américain - Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) pour comprendre que ce problème est bien réel et détruit partout la vie des parents et des enfants... L'aliénation parentale et son syndrome ne sont pas qu'une question théorique dans le divorce, loin de là...

... J'aurais aimé qu'il n'y ait pas de raison de faire un livre sur ce sujet du tout. "

Mais non, c'est pour cela qu'Alec BALDWIN a écrit un livre en 2008 (le divorce remonte à 2002), un terrible voyage au cœur de la paternité et du divorce  (Titre : "A Promise to Ourselves" (Une promesse à nous-mêmes - Aux Editions St. Martin's Griffin - New York - USA - 2008) - Publié en anglais.

Pour Alec BALDWIN : "L'aliénation parentale c'est aussi des gens qui projettent de façon narcissique leur réalité sur un enfant - "Je n'ai pas besoin de toi, donc l'enfant n'a pas besoin de toi". Le but de l'aliénation parentale c'est de tuer le temps passé avec l'autre."

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Etats Unis : Harrison FORD et Alec BALDWIN, le même combat contre l'aliénation parentale.

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La "Convention sur les relations personnelles concernant les enfants" signée à Strasbourg depuis le 15 mai 2003... Et qu'attend vraiment la France pour enfin la reconnaître ?

Pour faciliter les enfants et les parents à maintenir le lien familial, le Conseil de l'Europe a mis en place la "Convention sur les relations personnelles concernant les enfants" qui fut signée à Strasbourg le 15 mai 2003. Ainsi, pour faciliter l'exercice et la protection des relations personnelles des enfants, ainsi que ses éventuelles restrictions, cette Convention permet de réglementer et d'assurer le maintien des relations familiales visant l'intérêt supérieur de l'enfant.

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Cette Convention représente un outil important permettant de renforcer et faire également appliquer l'article 8 de la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales :« Toute personne a droit au respect de sa vie familiale… » et l'article 9 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant : « Les États parties respectent le droit de l'enfant séparé de ses deux parents ou de l'un d'eux d'entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents, sauf si cela est contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant ». Elle prend également en compte l'application de la Convention de La Haye du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants. Cette Convention permet aussi d'améliorer certains aspects relatifs au droit de visite qu'il soit national ou transfrontalier et renforcer le droit fondamental des enfants et de leurs parents d'entretenir des relations personnelles et garantir des contacts directs et de façon régulière. Ce droit peut être étendu, le cas échéant, aux relations entre un enfant et d'autres personnes que ses parents (A commencer par les grands-parents), en particulier lorsqu'il a avec elles des liens familiaux.

Mais voilà, plus de 12 ans après la mise en oeuvre de cette Convention, seuls 19 Etats du Conseil de l'Europe sur les 47 Etats membres ont signé cette convention et 9 d'entre eux  l'ont fait entrer en vigueur... Inadmissible !

La France fait, malheureusement partie de ces Etats qui, à ce jour, ne l'ont même pas encore signée! Est-ce cela la France, pays qui se déclare être la terre des droits de l'Homme...?

L'Etat Français doit, au plus vite, s'engager pour la reconnaissance et l'application de la "Convention sur les relations personnelles concernant les enfants"... 

Pour prendre connaissance du texte de cette Convention, cliquez ci-dessous :

Convention sur les relations personnelles concernant les enfants conseil de l europe mai 2003Convention sur les relations personnelles concernant les enfants conseil de l europe mai 2003 (152.16 Ko)

 

L'association JM2P a rejoint sa consœur canadienne puis américaine qui s'intitule "Parental alienation Awareness Day April 25th" organization.

Logopaad

Notre association s'est liée, lors de la seconde quinzaine de janvier 2016, à sa consœur canadienne puis américaine "Parental alienation Awareness Day  April 25th" organization (Journée de sensibilisation à l'aliénation parentale le 25 avril) pour cette journée exceptionnelle, ajoutant ainsi la France à ses membres internationaux luttant contre l'aliénation parentale, contre l'exclusion parentale, contre la manipulation et l'emprise exercées inadmissiblement sur les enfants et les adolescents par l'un des deux parents pour exclure autant que possible l'autre et même sa famille.

La mission première de cette association canadienne puis américaine fondée par Sarvy EMO (Ontario) et dont elle est la Présidente, est de sensibiliser et d'éduquer les uns et les autres à propos de  comportements adultes particulièrement nocifs pour les enfants, appelés "aliénation parentale" et/ou "comportements parentaux agressifs et hostiles".

C'est elle qui a instauré pour la première fois la journée internationale contre l'aliénation parentale... c'était le 25 avril 2006. Depuis cette date de plus en plus de pays se sont joints à ce légitime combat, y compris la France.

2016 marquera le onzième anniversaire de cette journée particulière, devenue internationale, celle du 25 avril.

Pour l'occasion un certain nombre de pays a décidé d'y participer en soufflant des milliers de bulles de savon (The bubbles of Love Day), comme cela fut fait durant plusieurs années auparavant.

A ce jour, une trentaine de pays, par l'intermédiaire d'associations, de groupes et/ou de familles individuelles, ont rejoint "Parental alienation Awareness Day  April 25th".

L'association "J'aime mes 2 Parents" vient donc d'inscrire, en cette fin janvier 2016,  la France, à la liste des pays militants déjà membres.

Cette affiliation devrait également permettre de pouvoir tisser des liens avec d'autres pays menant le même combat (Membres actuels : Afrique du Sud, Allemagne, Autriche, Australie, Belgique, Les Bermudes, Brésil, Bulgarie, Canada, Chypre, Costa Rica, Espagne, Etats Unis, Finlande, France (Depuis janvier 2016, avec "JM2P"), Irlande, Italie, Lituanie, Mexique, Nouvelle Zélande, Pays-Bas, Pologne, Portugal,  République Tchèque, Royaume Uni, Singapore, Slovaquie, Suède, Tunisie, à ce jour.

Pour celles et ceux qui veulent en savoir plus (exclusivement en anglais), le site de l'association et le clip : 

Adresse du site de l'association canadienne : http://www.paawarenessday.com/

Le clip de sensibilisation :

 

Une prise de contact a également été établie avec l'association irlandaise "Parental Alienation Awareness Association Ireland and International" (PAAA), cela pourrait permettre d'enrichir le travail mis en oeuvre pour lutter contre l'aliénation parentale, d'échanger nos idées, nos expériences et d'être plus forts, tous ensemble... A suivre... 

 

Pour que l’Assemblée des Nations-Unies déclare l'année 2017 :        « Année internationale de la coparentalité ».

Pour en savoir plus et pouvoir vous associer à cette pétition, cliquez sur : Pour que l’Assemblée des Nations-Unies déclare l'année 2017 : « Année internationale de la coparentalité ».

 

Une affaire qui pourra faire jurisprudence...

Le 1er septembre 2015, pour la première fois en France, un Tribunal (Le TGI de Lyon) a jugé un parent en correctionnelle pour violences psychologiques, pour manipulations psychologiques sur les enfants dans le cadre d'un divorce conflictuel, afin de se les "approprier" et de se venger. Le rapport d'expertise psychiatrique dénonce l'aliénation parentale opérée sur les enfants et ses effets néfastes, afin de salir l'autre parent. Inédit, le tribunal est allé jusqu'à condamner le parent aliénant à la prison avec sursis et à de lourdes sanctions financières. Un cas qui devrait faire jurisprudence.

Article progres ap 03 09 2015

► Extrait du journal "Le Progrès" (Lyon)

 

L'aliénation parentale et ses conséquences en pleine lumière...

 

L'association a pour but de défendre les droits de l'enfant à pouvoir rester en contact et vivre avec ses deux parents lors de séparations parentales et/ou divorces conflictuels et de dénoncer les graves conséquences de l'emprise opérée sur l'enfant par l'un des deux parents cherchant ainsi à détruire les liens et les relations entre l'enfant et son autre parent et par conséquent l'ensemble des autres membres de la famille de ce parent rejeté arbitrairement.

Notre combat aujourd’hui est  de faire connaître l’aliénation parentale auprès du public et de la faire reconnaître comme étant un réel trouble psychiatrique et une maltraitance infligée à enfant auprès des professionnels de la Santé, afin de donner aux magistrats une référence internationale plus forte et totalement légitime (Même si, à ce jour, la jurisprudence existante a déjà poussé un certain nombre de magistrats à prendre en considération les risques majeurs et les conséquences désastreuses de l’aliénation parentale) dans la prise de décisions adaptées afin de mieux protéger l’enfant lors des conflits parentaux.

Vous pouvez parcourir le site de l'association "J'aime mes 2 Parents" à l'aide des liens de navigations dans le menu.

Nous vous souhaitons une bonne visite sur le site et nous espérons que vous trouverez les informations que vous cherchiez.

Le syndrome d'aliénation parentale, voir notre page : Syndrome d'aliénation parentale - Thèse du docteur Bénédicte Goudard

 

N.B. : Le site est toujours en pleine évolution et nous essayons donc de développer nos rubriques afin de répondre le mieux possible à vos attentes. Aussi veuillez nous excuser pour les possibles manques d'informations pouvant encore apparaître à ce jour. Mais, d'ores et déjà, n'hésitez pas à nous faire part de vos attentes, de vos souhaits, cela sera pris en compte dans la mesure du possible et ensuite complété sur ce site. Alors n'oubliez pas de nous faire part de vos suggestions et de partager également vos connaissances sur le sujet...

Faites-nous part de vos commentaires... A vos claviers !

 

Notre réussite tient en 3 mots :

ENGAGEMENT + SOLIDARITE + ACTION 

Aff ap bis

CHAQUE ENFANT A DROIT A SES 2 PARENTS !

Famille jmp 2013 2

CHAQUE ENFANT A BESOIN DE SES RACINES, DE SES PARENTS...

 

L’enfant n’est pas un objet

que l’on s’arrache !

 

Il ne doit jamais servir d’otage

à ses parents

lors d’une séparation conflictuelle.

 

Bien qu’ils soient vos enfants,

ceux-ci ne vous appartiennent pas.

 

Vous pouvez bien sûr leur donner tout votre amour mais pas vos rancœurs.

 

Le conflit que l’un des parents vit avec son conjoint(e) ne les regarde pas.

 

Et il ne faut pas perdre de vue que

c’est eux qui en souffrent le plus.

 

En effet, ils n’ont pas à choisir

entre l’un ou l’autre

de leurs deux parents.

 

ONU : Le 25 avril...

Th

 

 

Chaque année, le 25 avril, la journée internationale contre l’aliénation parentale (également appelée, dans certains pays francophones, la journée internationale pour la sauvegarde du lien parental) se répète :

Un problème particulièrement sérieux, une maltraitance psychologique grave infligée à l’enfant ou à l’adolescent, un traumatisme à vie dont ils doivent être absolument protégés.

Ainsi, par le mensonge, la calomnie et la manipulation renouvelés sans relâche, l’un des deux parents s’approprie mentalement l’enfant ou l’adolescent, un abus émotionnel gravissime et destructeur, une maltraitance psychologique, qui peuvent entraîner des répercussions psychologiques et peuvent engendrer des problèmes psychiatriques pour le restant de leur vie. 


Dans un nombre croissant d'états : en Europe, aux Etats-Unis, au Canada, (pays auxquels la Cour Européenne des Droits de l’Homme s’est associée par plusieurs jugements), la justice prend ce fléau au sérieux et a décidé qu’un parent reconnu comme étant « un parent aliénant » doit être puni. Les sanctions peuvent aller jusqu’à deux ans de prison. Dans le reste du monde, rien n’est sérieusement mis en place pour protéger légalement l’enfant de ce danger.

Pourtant, le rejet social qui est installé dans l'ambiance familiale par ces histoires d'aliénation ou de manipulation mentale entre parent et enfant est d'une tristesse profonde, d’une souffrance sans fin, d’une illégalité indubitable et d’une inhumanité empoignante.

L'enfant ou le jeune adolescent, qui, le jour où il se rendra compte que le parent qu'on lui avait appris à haïr l’a toujours aimé et ce sans faillir, lui, aura les plus grandes difficultés à s'intégrer, même en adulte, de manière harmonieuse dans la société. Pourtant les plus grands experts n’ont cessé de tirer la sonnette d’alarme et tentent de faire comprendre que l’aliénation parentale peut aboutir à de graves troubles chez l’enfant ou l’adolescent - dans sa vie actuelle, d’abord, puis dans sa vie d’adulte, ensuite.

 

En tant que parent et grand-parent victimes, nous rappelons que pour défendre les droits de l’homme, il faut d’abord défendre les droits des enfants à leur famille, et :

 

1. Faire réglementer que tout enfant a le droit d’avoir son papa et sa maman, et que ces liens doivent être protégés de manière assurée et équilibrée.

 

2. Que l’aliénation parentale soit reconnue en France et dans toute l’Europe, sans exception, et ailleurs, et qu’elle soit reconnue comme délit dans le cadre légal et que la justice mette en place une loi interdisant les dérives sources de ce phénomène, une loi qui puisse permettre de condamner un parent ou un fonctionnaire aliénant, selon la gravité du délit.

 

3. Faire reconnaître les points (1) et (2) dans les problèmes à caractères nationaux tout comme pour les affaires binationales. Nous vivons depuis trop longtemps dans des sociétés civiles qui, finalement, favorisent le kidnapping parental et la manipulation d’enfant.

 

4. Concernant les droits de visite non respectés, ou les rapts parentaux, afin de faire appliquer les conventions et les lois, nous demandons une justice rapide, car il n’est pas normal qu’un juge indifférent mette une année, voire des années pour rendre une décision ou pour la faire appliquer. Nous ne pouvons faire attendre le temps, les enfants non plus.

 

RAPPEL : L'aliénation parentale est un abus psychologique grave infligé à l'enfant.